Library Wars – Love and War – Tome 1

Hello les matous ! Comment allez-vous en cette journée ensoleillée ? Pour ma part, je continue de fondre mais il y a de l’amélioration… Pourquoi ? Et bien il y a une légère brise cette fois-ci alors cela fait du bien pardi !

Mais cela ne m’empêche pas d’avancer dans mes avis – même si c’est relativement lentement – et cette fois je vous entraîne dans un shôjo offert par ma mère il y a déjà quelques années tout de même. Après les seinen, il faut bien changer un peu, mais ne vous attendez pas à du cul-cul la praline ! Prêt ? Go !

« Library Wars – Love and War »

108712_c

6€90 – Shôjo – 192 pages

A une époque où la loi d’Amélioration des Médias a instauré une chasse aux livres, les bibliothèques se sont dotées d’un corps militaire afin de les défendre. Par admiration pour un des membres de ce corps des Bibliothécaires (dont elle ne se rappelle pas le visage) qui l’a sauvée autrefois, Iku Kasahara intègre cette organisation. Mais au lieu du prince charmant de ses rêves, c’est un terrible instructeur qui l’attend… Le célèbre roman enfin adapté en manga !

Mais pourquoi Library Wars a donc prit le pas sur d’autres articles ? La question est adéquate vu que vous ne m’avez sûrement que peu vu en parler sur Twitter, mais c’est lors d’une discussion par commentaires avec bbunnyhero que je l’ai mentionné. Et… Et bien voici l’avis sur le premier tome sorti aux éditions Glénat. Il faut savoir que ce manga est une adaptation d’un Light Novelcomme d’autres titreset que ce dernier est trouvable également, même si pour le moment je n’ai pas encore eu la chance de mettre la main dessus.

Mais Library Wars cela raconte quoi ? Tout simplement une époque où les livres ne possèdent plus la même place qu’à la nôtre, une époque où ils sont « chassés » un peu comme lors de la célèbre chasse aux sorcières. Sauf qu’ici à la place de personnes envoyées au bûcher ce sont nos amis de papier qui subissent ce mauvais sort et vous vous doutez qu’ils ne peuvent pas prendre leurs jambes à leur cou pour se sauver. De ce fait, un corps militaire nommé le corps des Bibliothécaires est né afin de les défendre et c’est dans cette organisation que nous mettons les pieds en compagnie d’Iku, l’héroïne de ce shôjo.

La demoiselle – qui ne sera pas la seule que nous rencontrerons – à un caractère très, très enjoué. Elle est la bonne humeur incarnée même lors de ses prises de tête avec son instructeur – que nous pouvons plaindre tout de même… – et s’avère également… naïve ? D’une certaine manière c’est le cas, même si cela peut s’avérer moins grave que d’autres héroïnes de shôjo. Et encore, Iku n’est pas que cela et elle le prouvera au fil des pages et des tomes tout en prenant sur elle, avançant, faisant des erreurs et surtout en se battant. Son tempérament peut également être considéré comme étant à la garçonne, parce que oui madame n’est pas non plus une fille nunuche. Elle a ses soucis – comme tout le monde – mais ne se laissera pas forcément marcher sur les pieds. De plus, même physiquement Iku sort des sentiers battus avec ses cheveux courts – à la garçonne en fait… – et sa grande taille. Oui, ça change de d’habitude vu que beaucoup de personnages féminins ont des cheveux longs – ou mi-longs, ‘fin bref vous avez comprit – et puis, même si elle ne s’en rend pas compte, elle est vraiment adorable.

De quoi ? Oui, vous avez bien lu les mots « en se battant » et ce n’est pas une erreur. Elle n’est pas entrée dans le corps des Bibliothécaires pour se la couler douce et chercher son prince charmant. Bon, remettre la main dessus serait une option, mais le but premier est de protéger les livres et cela Iku le fait très bien. Alors oui, lorsque son métier est mit en avant – même si elle a ses défautsnous nous rendons bien compte que notre grande héroïne n’hésitera pas à se défendre, se battre et ce ne sera pas à coup de magie type magical girl ou de poudre de perlimpimpin voire de dialogues. Une guerre cela se gagne de quelle manière à votre avis ? Oui, en parlementant cela peut aider sauf quand les opposants sont bouchés… Ah, je vois que le matou couché sur une marche à comprit ! Ce sont les armes voire le combat à main nue. Bah oui, foncer dans le tas ça fonctionne toujours d’une certaine manière même si parfois c’est dangereux. Et ne pensez pas que ce sera le premier garçon venu qui ne réfléchira pas…

Comment ça « Qui alors » ? La réponse est très simple pourtant… Utilisez votre tête chers petits chats.

Aux côtés d’Iku évolueront, bien entendu, d’autres personnages dont le terrible instructeur qui possède un nom. Il ne vous restera pas inconnu bien longtemps et vu les énergumènes avec lesquels il travaille, nous pouvons réellement le plaindre. Comme tous les personnages de ce manga – et du Light Novel par déductionil possède son caractère qui n’est pas simple à vivre tous les jours, tout du moins pour Iku, mais reste juste. Bon, on se doute qu’il n’est pas là pour prendre un thé en compagnie de ses acolytes et à parler chiffons.

Mais vous vous doutez qu’ils ne seront pas les seuls et pas mal de gens finiront par apparaître, réapparaître même et graviter autours de cette brigade. De plus, la Bibliothèque en elle-même existe toujours – bien que n’étant pas le meilleur lieu venu par rapport à cette loi – et est tenue par des personnes ayant également des attributions. Et bien sûr nous découvrirons au moins un personnage se trouvant à cet endroit dont je ne vous dis pas non plus le nom, mais que j’apprécie énormément. La seule information que je vous donne est son sexe : féminin. A vous de trouver ensuite !

Bien sûr, tous n’apparaîtrons pas dès le premier volume et vous en découvrirez de plus en plus au fil des tomes. Chacun possèdera son background, son caractère, son physique, ses doutes, ses rêves, tout ce qui rend un personnage attachant ou détestable et nous en voyons évoluer, changer au contact des gens, mais je n’en dirai pas plus maintenant après tout nous n’en somme qu’au premier volume ! (Même si IRL je suis au tome 11 sur les 15… La série est terminée, je suis proche du but et du dénouement, mais je n’ai pas envie de les quitter…)

De plus, même si l’histoire d’amour est présente – représentée sous la forme du prince charmant dont tout le monde rêve mais qui n’existe pas dans la  tête d’Iku et la nôtre au fond – elle ne prend pas le pas sur le reste. Oui, elle est là, mais reste dans le fond et nous ne voyons pas les personnages se tourner autour en mode « je t’aime, moi non plus ». L’action et l’humour ont une place bien plus importante ainsi que l’amour des livres… Parce que oui, c’est cet amour qui est bien le plus présent, le plus ardent et comment ne pas le comprendre lorsque la lecture fait partie du quotidien, des activités qui nous rendent le sourire et nous permettent de nous évader ?

Du côté des dessins, ils sont expressifs et me semblent assez doux également. Logiquement, ils ressemblent à ceux présents quotidiennement dans la majeure partie des shôjos et le seul petit souci que pourraient avoir certaines personnes est avec les personnages masculins. Même si ce n’est pas le cas de tout le monde, j’en connais qui ont eu un peu de mal à savoir qui était là ou à les reconnaître, ce ne fut pas mon cas, mais au cas où je préférais tout de même le mentionner.

Pour ce qui est de l’édition et bien elle est agréable en main ! Nani ? Le manga bien sûr ! N’allez pas essayer d’attraper la maison d’édition ou de retirer les pages ! Glénat avait déjà fait du bon travail dessus et la traduction était réellement bonne. Chacun des protagonistes possédant sa manière de parler, souvent liée à son caractère, je n’avais pas trop de mal à savoir qui discutait. De plus, Iku est facilement identifiable que ce soit en dessin ou dans ses paroles… Elle m’a réellement mise de bonne humeur de nombreuses fois.

Alors oui, parmi les shôjos Library Wars – Love and War a une place importante dans mon cœur et est celui dont le synopsis m’intriguait le plus il y a… Déjà 7 ans ? Si je ne me trompe pas il était sorti en 2010. L’adaptation réalisée par Kiiro Yumi est prenante et m’a permit de découvrir l’œuvre d’Hiro Arikawaqu’il va falloir que je trouve en LN… Courage Neko tu y arriveras un jour – sans aucun souci. C’était une belle découverte à l’époque et j’ai déjà relu de nombreuse fois le début étant donné que je traine à finir la série, non pas parce que je n’accroche plus, mais juste parce que je ne veux pas les quitter… Cela peut sembler stupide, mais j’ai du mal à me séparer de ses êtres de papier que j’ai côtoyé d’aussi longues années.

Connaissez-vous le titre les matous ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Y a-t-il un personnage ou un tome que vous préférez ? Pour ceux ne le connaissant pas, comptez-vous l’essayer, lui laisser une chance de vous toucher à sa manière ?

 

Site de l’éditeurExtrait

26 réflexions sur “Library Wars – Love and War – Tome 1

  1. bbunnyhero dit :

    Merci merci merci ! Je l’attendais impatiemment cet avis. Et bien tu m’as donné encore plus envie de le découvrir ! Ca a l’air assez original et doux à la fois. Et puis Iku a vraiment l’air d’être un chouette personnage, que j’ai hâte de découvrir.
    Encore merci pour ton article, et promis, même si c’est dans quelques semaines le temps que je me lance, je reviendrais te dire ce que j’en ai pensé 🙂

    Aimé par 1 personne

    • Neko dit :

      Mais de rien !
      Contente de t’avoir encore plus donné envie de le découvrir ! Ah oui, il change pas mal comparé à d’autres shôjo ^^
      Elle l’est, c’est dur de s’ennuyer avec elle 🙂

      Pas de souci ! Prend ton temps ! Hâte de voir comment tu le trouveras 😀

      Aimé par 1 personne

    • Neko dit :

      Merci ! Oui, parmi les shôjos c’est l’un de ceux que je préfère ♥
      Je suis contente de voir que je donne envie de le lire ! J’espère que le titre te plaira si tu as le temps, un jour futur, de le tenter ^^

      J’aime

  2. Miyuneko dit :

    J’adore tellement ce manga, un gros coup de cœur *_* Ike et Dojo me font tellement rire et rêver en même temps… J’espère qu’ils vont nous sortir la suite en France (elle est géniale en plus 💕), 15 tomes ce n’est pas assez ! 😇

    J’aime

      • Neko dit :

        (Mais c’est tellement bien Fire Emblem, je te comprends 😀 )

        Il faut dire qu’ils font un merveilleux duo ^^ Difficile de ne pas rire en leur compagnie. De plus tous les perso’ sont chouette à suivre, découvrir *-*
        O-Oh ! Y a une suite ? Je ne savais pas oO

        Aimé par 1 personne

      • Miyuneko dit :

        Oui, une suite du nom de Bessatsuhen, qui reprend à la fin du manga. Ce n’est pas présent dans le roman, alors c’est un plaisir de découvrir chaque nouveau chapitre *w* Quand tu auras terminé la série, tu pourras aller jeter un œil sur le tumblr de Hisazuki si tu le souhaites, elle en fait la traduction (fr et eng) 😀

        J’aime

      • Neko dit :

        Je pensais avoir envoyé ma réponse tantôt oO » Rohlala, je suis vraiment un cas ma parole TwT

        Je prend note, je suis vraiment curieuse de la découvrir ! C’est rare des suites de romans créées spécialement en manga, non ?
        Je peux comprendre que ça doit être un plaisir sur le coup ♥ Tout est à découvrir 😀
        Bien sûr, je l’écris sur mon fidèle IPOD (alias Popode) pour ne pas oublier !

        Aimé par 1 personne

      • Miyuneko dit :

        C’est vrai qu’on voit rarement la suite d’un roman publiée seulement en manga. En tout cas, tu ne seras pas déçue si tu aimes LW, je pense *_*

        (Damn, mon iPod a le même surnom ! Et son pote s’appelle Papad)

        Aimé par 1 personne

      • Neko dit :

        Je n’ai pas l’impression de l’avoir déjà rencontré ce cas de figure o_O » En tout cas, jusque là où j’en suis j’aime énormément LW (je pense que ça c’est lu xD)

        (O-Oh ! Copains de surnom ? *brique* Je n’ai pas d’IPad donc pas possible… J’appelle la tablette de ma mère tabtab par contre… Oui, on va pas chercher ^^ » C’est marrant qu’ils aient le même surnom quand même *-*)

        Aimé par 1 personne

      • Miyuneko dit :

        Haha oui on voit bien ton engouement pour la série 😛
        Ce que j’aime aussi, c’est que ça touche vraiment un large public. Un jour, un de mes profs en avait parlé à la fac pour illustrer le phénomène de la censure, il avait cité le film live qu’il avait vu lors d’un voyage en avion et qu’il avait adoré (mais il ne savait pas que c’était un roman à l’origine et ne connaissait pas le manga). J’étais super étonnée ^^

        Aimé par 1 personne

      • Neko dit :

        *tousse* je me suis un peu laissée aller pendant que j’écrivais xD (c’est mon article le plus long pour le moment en plus oO »)
        Ah ça c’est sûr ! C’est chouette que ton prof en ai parlé, c’est rare 😀 Les seuls manga dont j’ai entendu parlé était « Les vacances de Jésus et Bouddha » (philo’ en 1ère année à l’unif) et « Saint Seiya » parce l’une de mes profs parlaient des héros 😀 Et puis si ça permet à d’autres personnes de découvrir le titre, même sans savoir l’origine, c’est le plus important ^^

        J’aime

Laisser un commentaire