Check Me Up – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Petit à petit, le blog reprend des couleurs, des articles et avance à son rythme. Il m’aura fallu le temps, mais je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour, pour le meilleur et pour le pire. Et ce tout en douceur tout de même. Cette fois, nous partons vers un service presse reçu des éditions Kazé, je remercie d’ailleurs Anita pour l’envoi ! Prêt ? On y va !

 

 « Check Me Up ! »

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Josei  – 192 pages – 6€99 / 4€99
Série en 7 tomes

« J’ai travaillé si dur dans l’espoir de revoir l’homme de mes rêves… Ai-je pu me tromper à ce point ? »

 

Après cinq ans d’amour à sens unique, Nanase Sakura va enfin revoir l’homme qui lui a inspiré sa vocation d’infirmière ! Engagée dans le même hôpital que le beau médecin qui a bouleversé sa vie, elle déchante rapidement lorsqu’elle découvre sa vraie personnalité́. Craint par presque tout le corps médical, le Dr Kairi Tendô ressemble plus à un démon qu’à un prince charmant…

 

Beaucoup connaissent Maki Enjoji grâce au manga Happy Marriage ?!, mais pour ma part je la découvrais seulement avec ce premier tome de Check Me up ! Mit dans la collection Shôjo de Kazé, ce manga est en réalité un Josei. Son public d’origine est donc plutôt celui des adultes et non pas les jeunes adolescentes comme pourrait, par exemple, l’être Takane & Hana.

Dans ce tome nous découvrons Nanase Sakura, une jeune femme souhaitant devenir infirmière dans le but de retrouver l’homme ayant bouleversé sa vie. Ce début m’a un peu rappelé le départ de Library Wars – Love and War même si le milieu dans lequel nous nous retrouvons est tout autre. Ici, pas de risques pour les bibliothèques de disparaître ou d’avoir un corps armé car nous nous trouvons tout simplement à l’hôpital. Le monde de la médecine et hospitalier apparaît devant nous tout en gardant une certaine « douceur » malgré quelques évènements forts.

Vous vous doutez bien que tout n’est pas heureux dans ce genre d’endroit, j’espère ?

Différents services apparaissent au fil des pages même si nous nous arrêtons un peu plus longtemps sur certains d’entre eux. Pourtant, cela n’entache rien au récit, à l’humour présent et aux personnages que l’on voit évoluer tout doucement, prendre des décisions, avancer, s’en prendre – parfois – plein la figure. Certaines scènes sont touchantes, même si l’humour reste présent dans ce manga sans prise de tête, même s’il arrive que l’on voie la souffrance de certains d’entre eux ou qu’une mauvaise nouvelle ne tombe…

Il est facile de dire que c’est du « déjà vu », oui une demoiselle qui tombe amoureuse de la personne venant l’aider et souhaitant suivre une voie afin de retrouver le « sauveur » cela arrive souvent et même si le premier chapitre est assez « simple », les autres nous entraînent bien plus rapidement, mettent le ton et nous emporte dans la vie de Sakura, dans l’hôpital et les différents êtres y apparaissant. Certes, on se centre principalement sur notre héroïne et le Dr Tendô, mais d’autres apparaissent doucement et peuvent prendre une place qui leur est propre. Des liens différents se créent, même s’ils arrivent qu’ils se défassent rapidement.

Au niveau des dessins, ils sont relativement doux tout en permettant de directement voir que les personnages sont adultes – cela arrive que des personnages de plus de 18 ans aient des têtes d’enfant en fonction du charadesign employé – et j’avoue avoir bien apprécié le trait. Pourtant, je n’ai pas été plus emportée que cela lors de ma première lecture. C’était agréable, mais je ne me suis pas non totalement tombée sous le charme…

Peut-être faudrait-il que je relise une nouvelle fois ce premier tome ou que je tente avec le second, mais ce n’est pas l’une des séries que je classerais comme étant prioritaire dans mes achats. J’ai beau avoir passé un bon moment, je ne me suis pas totalement immergée dans l’univers, le milieu médical, mais peut-être n’était-ce pas, non plus, une bonne période lorsque je me suis lancée dans la lecture. Je suis certaine qu’il trouvera et a dû trouver ses lecteurs, mais voilà, ce n’était pas pour moi sur le moment n’ayant pas réussi à réellement m’attacher aux protagonistes dès le départ. Pourtant, ce titre est rempli d’humour, possède des moments plus sérieux et ce même s’il n’est, justement, pas à prendre totalement au sérieux… Sauf que voilà… ça n’aura pas prit cette fois chez moi. J’ai tout de même commandé le tome 2, étant donné que j’ai quand même passé un bon moment, je verrai bien lors de son arrivée car je reste curieuse de savoir ce qu’il se passera dans la suite. [Et comme dit, c’était peut-être juste lié à mon humeur sur le moment de la lecture]

 

Et vous l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

 

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Le Goût d’Emma

Aloha les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Je l’espère en tout cas ! De mon côté, le stage de 40h a prit fin et j’étais triste de quitter l’endroit où j’ai passé d’agréables moments. Un très bon stage remplit d’apprentissages et extrêmement enrichissant !

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un titre dont vous avez probablement entendu parler. Le Guide Michelin sera à nos côtés car je vais vous parler…

« Le Goût d’Emma »

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200 pages – 18€ – Roman graphique

Emma a un don, celui du goût. Grâce à la finesse de ses papilles, elle réussit à devenir inspectrice au prestigieux Guide Michelin. Elle réalise son rêve : découvrir les secrets des chefs.

Sa mission est semée d’embûches. On l’envoie sillonner seule les routes de France pour visiter hôtels et restaurants. Elle mange trop, parfois mal, et se heurte au machisme du milieu. Mais guidée par sa passion pour la cuisine et son indépendance farouche, elle vivra une extraordinaire aventure sensuelle et humaine. Cette quête initiatique la conduira même jusqu’au Japon.

Inspiré de la véritable histoire d’une des premières femmes inspectrices au Guide Michelin, Le Goût d’Emma dévoile les coulisses de la gastronomie.

Ce roman graphique est le fruit du travail de trois femmes : deux auteures françaises, Emmanuelle Maisonneuve et Julia Pavlowitch, et une dessinatrice japonaise, Kan Takahama.

Le Goût d’Emma a fait l’objet d’une publication inédite au Japon dans le prestigieux hebdomadaire Morning puis chez l’éditeur tokyoïte Kodansha, sous forme de manga.

Le Goût d’Emma nous fait suivre Emma alors qu’elle entre au guide Michelin et sillonnera les routes de France pour visiter des hôtels et des restaurants où elle goûtera différents plats. Emma se rendra rapidement compte du machisme présent dans le milieu, au début, et sera guidée par sa passion pour la cuisine et son indépendance afin de faire de jolies découvertes.

Ce roman graphique – Même si certains le classent dans les mangas, oui, oui est inspirée de l’histoire d’une des toute première femmes inspectrice au Guide Michelin, ce guide de renom permettant à des restaurants et hôtels d’avoir leurs étoiles. Et je dois avouer que je suis passée seulement trois fois devant avant de craquer tant ce titre m’intriguait et me donnait envie… Je dois dire que je ne connais pas énormément de choses sur le Guide Michelin, à l’origine, et que ce fut une découverte radicale. Parce que oui, je ne pensais pas qu’il était essentiellement masculin au départ. Cela peut sembler naïf, mais j’ai toujours cru qu’il y avait quelques femmes dans les personnes sillonnant les routes et lors de ma lecture je me suis rendue compte que ce n’était pas le cas. Emma brise d’une certaine manière les codes et montrera qu’elle est tout aussi capable qu’eux.

Pour ceux qui douterait de la véracité des faits présentés, il faut savoir qu’Emmanuelle Maisonneuve – l’une des co-auteures de Le Goût d’Emma avec Julia Pavlowitch – est la dénommée Emma de l’œuvre. Comme sa représentation du roman graphique, elle a travaillé auprès de Michel Bras et Alain Ducasse – deux chefs cuisiniers – tout en rencontrant également Alain Passard. Ces rencontres seront déterminantes pour la jeune femme, tout comme pour notre héroïne et lui permettront de forger son palais… Ce palais qui sera son atout lors de ses voyages pour le Guide Michelin et sa plus grande force. Et j’ai été ravie de la découvrir à travers l’héroïne !

Une héroïne qui sait ce qu’elle veut malgré les difficultés, qui avance et ne se laisse pas marcher sur les pieds. Les différentes rencontre qu’Emma fera, au fil des pages, des jours et des mois lui permettront d’évoluer, de voir vers quel goût va sa préférence. Un certain voyage vers le pays du soleil levant l’aidera en ce sens, lui faisant réaliser ce qui est réellement important dans les plats. Est-ce tout ce qui est en plus ou l’aliment lui-même ? Peut-être le savez-vous déjà, sinon vous le découvrirez en tournant les pages de ce roman graphique.

Pour ce qui est de l’histoire réalisée par Emmanuelle Maisonneuve et Julia Pavlowitch, elle est logique et je voyais sans difficulté que les deux femmes savaient de quoi elles parlaient. L’une étant la source même du roman biographique et l’autre utilisant son bagage de journalise gastronomique pour écrire Le Goût d’Emma, le roman biographique savait jusqu’où il irait, ce qu’il allait raconter et jusqu’à quel point. Voir l’évolution d’Emma a été un ravissement et voir la manière dont elle se comporte donne envie de la rencontrer, de discuter avec elle.

Les illustrations de l’œuvre sont réalisées par Kan Takahama et j’ai été fascinée par celles-ci, par les détails, les couleurs et chaque chapitre fut un véritable régal, un moment de bonheur. Les plats étaient peut-être un peu trop lisses, mais reconnaissables entre mille malgré tout et donnaient réellement envie de les goûter, de les savourer. Chacun des personnages rencontrés avait son propre style, son faciès et ses traits faisant que je ne me suis jamais demandée qui était qui. Lors du voyage d’Emma, j’avais l’impression d’être avec elle et notre héroïne m’a encore plus donné envie de me rendre dans ce pays lointain. Un jour j’irai… Même si ce sera dans très longtemps. Je suis également curieuse de découvrir ses autres œuvres dont L’envol du papillon qui m’intriguait déjà depuis un moment.

Ce trio se marie merveilleusement bien pour donner naissance à l’œuvre que j’avais dans les mains, ce roman graphique que je ne désirais pas quitter et les Arènes BD ont fait du bon travail par rapport à l’édition de ce One Shot qui nous entraîne dans ce monde peut-être pas si connu que ça au final. Le papier était épais, le roman graphique en lui-même avait également un certain poids et sa taille le rendait repérable sans difficulté parmi les différents ouvrages présents sur ma table de nuit. La jaquette nous montre Emma avec un plat devant elle ce qui nous indique ce que nous aurons durant notre lecture. Notre héroïne, de la cuisine, des découvertes. Que demander de plus ?

Je pense que vous aurez comprit que j’ai passé un très bon moment dans ce roman graphique où le plaisir de la table apparaît, donne envie de se plonger dans quelque chose qui fera vibrer nos papillesdu moins les miennes – et je ne regrette pas l’acquisition de Le Goût d’Emma que je relirai à coup sûr prochainement afin de m’y replonger. On réfléchit sur la nature même des plats, sur ce que l’on recherche lorsque l’on mange quelque chose… Faut-il que ce soit complexe ou ressentir le vrai goût des aliments est-il suffisant ? Cela varie en fonction de chacun, de nos palais, de nos envies du moment. Un rien peut modifier nos perceptions et j’apprécie ce que Le Goût d’Emma m’a apprit par rapport à tout ça ainsi que sur les éléments importants pour le Guide Michelin. Un guide qui m’aura surprise tout le long et ouvert les yeux également. Sortir des sentiers battus n’est pas toujours un mal en soi et peut réserver de très belles surprises !

Et vous les matous, connaissez-vous ce titre ? L’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ? Comptez-vous le lire ?

Barakamon – Tome 1

Coucou les matous ! J’espère que vous allez bien. Ce vendredi fut pas mal chargé de mon côté, mais je sais que je peux continuer ma formation à présent. Les tests sont réussit, je suis « admise » comme il est écrit sur le papier. Pour fêter ça, j’ai un peu craqué vu que j’ai été me prendre les 2 tomes de la nouvelle version de Card Captor Sakura (Pika) et les 2 tomes qu’il me manquait des Nuits d’Aksehir (Akata)

Aujourd’hui, nous partons en direction d’une jolie petite île que les éditions Ki-Oon nous ont permit de découvrir en sortant ce titre il y a déjà quelque temps maintenant. La bonne humeur s’y trouve à chaque coin de rue. Vous devinez de quel manga je vous parle ? Et oui, cette fois nous partons dans…

« Barakamon »

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7€65 – Shônen – 200 pages

Seishû Handa, étoile montante de la calligraphie japonaise, collectionne les prix d’excellence pour son travail. Beau et jeune, mais surtout d’une arrogance sans bornes, il met sa carrière en péril le jour où, excédé, il assomme un éminent conservateur de musée qui juge son travail “formaté et sans saveur”… Sanction immédiate pour ce coup de sang : Seishû est puni et contraint d’aller expier son crime sur une petite île, au fin fond de la campagne nippone !

Le jeune citadin, qui espérait au moins pouvoir pratiquer son art dans le calme, ne tarde pas à déchanter : entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, la partie s’annonce compliquée… Attachants, irritants, farfelus et pleins de vie, les habitants du village vont chambouler son quotidien bien réglé.

 

Barakamon est un titre pour lequel j’avais débuté l’anime et que je souhaitais découvrir sous le format manga. Lors de plusieurs passages, je l’ai vu au magasin d’occasion et la dernière fois j’en ai profité pour repartir avec les 4 tomes qui étaient présents. A 3€15 le tome, il faut dire que j’ai eu du mal à résister jusqu’au dernier passage… D’ailleurs, il m’avait été conseillé même si avec ma mémoire de poisson je ne reviens plus sur la personne l’ayant fait.

Nous y découvrons Seishû Handa, un calligraphe japonais, qui assommera un éminent conservateur de musée qui jugeait son travail « formaté et sans saveur ». La sanction tombera rapidement et Seishû partira sur une petite île pour s’améliorer dans son art ainsi qu’expier sa faute… Mais cette île n’est pas l’endroit le plus calme du monde et Seishû s’en rendra rapidement compte avec les arrivées à l’improviste de différents personnages tous aussi farfelus les uns que les autres. Comment évoluera notre jeune calligraphe au fil du temps et des rencontres ?

Barakamon porte merveilleusement bien son titre, la bonne humeur se ressent à chacune des apparitions des différents protagonistes que nous découvrons au fil des pages et des tomes. Ici, Seishû et Naru sont les primordiaux d’une certaine manière, mais les autres ne tarderont pas et chacun prendra sa place, son importance et sera fidèle à lui-même. La petite Naru est juste adorable et montre très facilement ses émotions, son attachement, il est vraiment difficile de rester de marbre devant cette fillette pleine de vie. Du côté de Seishû, arrogant au début, on le verra s’épanouir à son rythme et se retrouver un peu contre son gré avec une flopée de personnes différentes à ses côtés qui lui permettront de changer.

L’histoire est réellement douce, bon enfant et emplie de bons sentiments qui rendent à coup sûr le sourire au lecteur et lui donne envie d’arpenter l’île en compagnie de cette petite troupe ou de découvrir la calligraphie, même si j’éviterai tout de même d’y aller de la même manière que Seishû ! J’ai vraiment adoré voir les relations se construire au fil des pages et prendre du plaisir à découvrir de nouvelles têtes, des lieux et des activités. On profite de l’instant présent en leur compagnie et cela fait un bien fou.

Du côté des dessins, ils sont vraiment agréables et portent à merveille l’œuvre de Satsuki Yoshino tout en restant également assez détaillés pour nous faire profiter des protagonistes et des lieux. Cela donne envie de s’y rendre, de côtoyer ce beau petit monde et on ne se perd pas parmi eux. Tous sont différents tant physiquement que moralement et ils nous emmènent dans leur quotidien sans aucune difficulté. La nature aperçue, également, au fil des pages restent un véritable régal pour les yeux et nous faitelle aussivoyager au loin.

Par rapport à l’édition du manga en elle-même, je n’ai pas vu de problèmes majeurs. La traduction est réellement bien réalisée et l’on retrouve bien la traduction littérale de Barakamon à savoir « avoir la pêche ». Les dialogues et la manière d’être des personnages le démontrent merveilleusement bien, peu importe l’âge de celui que nous découvrons sur la page. Petits et grands ont leurs manières de parler, parfois de manière fluide et d’autres fois avec un « patois » un peu plus présents. Les mots peuvent se couper, se suivre sans difficultés et donnent un charme à chacun des nos petits amis ! Comme souvent la jaquette peut être retirée et laisse apparaître un petit quelque chose juste en-dessous que je vous laisse découvrir par vous-même si vous êtes curieux quant à l’encre, présente du début à la fin du manga ce qui est logique, elle ne s’étale nulle part et reste bien sagement à sa place.

Et oui, Barakamon fut vraiment une délicieuse découverte qui rentre automatiquement dans mes mangas feel good pouvant rendre le sourire presque tout le temps. Je me demande vraiment pour quelles raisons je ne l’avais pas débuté plus tôt du coup… Ceci restera un mystère jusqu’à la fin des temps.

Barakamon - Tome 1

Et vous les matous, connaissez-vous le titre ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Comptez-vous tenter le manga si vous ne l’avez pas lu ?

ExtraitSite de l’éditeur

The Promised Neverland – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous aujourd’hui ? J’espère que vous êtes en forme ! Il fait chaud aujourd’hui, très chaud, mais n’hésitez pas à profiter de cette météo estivale pour passer du temps à l’extérieur, cela ne fait jamais de mal !

Reçu en même temps que le kit presse – voir l’unboxing – il s’avère que ce premier tome est l’épreuve non corrigée. Je remercie, d’ailleurs, les éditions Kazé et Anita pour l’envoi m’ayant permit de rencontrer « Maman » et de déjà rester sur mes gardes. Vous êtes prêt les matous, on entre à Grace Field House !

« The Promised Neverland »

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6€79 – Seinen – 192 pages

Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de “Maman”, qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !

The Promised Neverland est l’un des titres attendu par la majeure partie des gens cette année et qui sortira en ce mois d’avril – plus précisément le 25 – ce faisant on en entend énormément parler. Une soirée spéciale avait d’ailleurs eu lieu, mais suite à pas mal de choses je n’ai pas sût m’y rendre par contre j’espère que tout ceux qui étaient invités et qui s’y sont rendus ont passé un bon moment ! Mais tournons nous donc vers le manga, tout du moins sur l’épreuve non corrigée, afin de savoir de quoi ce dernier nous parle et de découvrir les secrets de ce titre qui en est remplit !

Nous découvrons Emma et les différents pensionnaires de l’orphelinat géré par « Maman », une adulte s’occupant d’eux depuis qu’ils sont bébés et leur faisant passer différents tests au fil des jours, semaines, mois et années. L’ambiance est chaleureuse, gaie, bon enfant et tous semblent vivre paisiblement. Seule une question subsiste :

« Pourquoi ne peuvent-ils pas sortir de l’orphelinat et découvrir le monde extérieur ? »

La réponse viendra au fil du tome, une réponse pouvant surprendre vu qu’à première vue on ne s’attend pas à voir ce genre de chose. Les émotions se succèdent au fil des pages, nous faisant passer du bonheur à l’angoisse en réalisant que ce que nous apercevons n’est peut-être pas vrai. Que ressent réellement Maman, pourquoi fait-elle cela, qu’est-ce qu’il se passe réellement dans le monde ? L’histoire avance, nous révèle ses secrets et nous fait mettre les pieds dans un orphelinat que l’on ne quittera sûrement jamais réellement. Le piège se referme autour des personnages, de nous et l’on se met aisément à espérer en leur compagnie, être en accord avec l’un ou l’autre.

Du trio de base composé d’Emma, Norman et Ray ma préférence va vers la rouquine qui est certes intelligente, mais qui est bien plus athlétique que les autres. Ses sentiments se lisent facilement, c’est un livre ouvert et elle prendra énormément sur elle pour ne pas être repérée tout en prenant soin des autres. Norman et Ray possède également leurs points forts et points faibles, le trio se complétant sans difficulté et le rendant redoutable quand on y pense. Leurs personnalités, charismes et forces réunies leurs permettront sûrement d’avancer par delà les épreuves qui les attendent.

Durant un bon moment on ne voit qu’un seul personnage adulte, ce dernier étant « Maman ». Ce faisant, je me demandais jusqu’à un certain moment si la majeure partie des adultes avaient disparu, un peu comme dans d’autres licences, et j’aurai eu ma réponse dans ce tome. Je n’en dirai pas plus afin de ne pas vous spoil lorsque vous découvrirez le titre.

Par rapport aux différents protagonistes présents, ils ont tous des caractères différents. Les plus jeunes se montrent bien plus enfantins que les plus grands, certains sont plus sérieux que d’autres et leurs physiques montrent des ethnies diverses et variées. Etant donné qu’ils vivent dans l’orphelinat, ils se considèrent tous comme des frères et sœurs mêlant ainsi rivalité, amusement et complicité entre eux. De plus, si l’on y regarde de plus près, tous possède un numéro tatoué sur le cou qui possède une signification précise que l’on découvre au fil des pages.

Chaque détail possède son importance tant au niveau des personnages que des décors voire même les informations données car tout cela fait avancer l’histoire. Même si l’atmosphère était bon enfant au début, elle prend des allures plus oppressante au fil du temps, des découvertes et il est possible de rater un petit élément lorsqu’on n’y prête pas attention. Après tout, il est facile de cacher quelque chose lorsque ce dernier paraît normal. Ouvrez les yeux, chers matous, parce que je suis certaine que Grace Field House recèle de secrets et ce à chaque coin de couloirs !

Le dessin est agréable à l’œil et permet de reconnaître les lieux, les êtres et les éléments sans aucune difficulté. Lors de ma première lecture je ne m’étais pas attardée sur chacun des décors présents, ce que j’ai fait durant la seconde afin de découvrir des changements ou tout simplement me rendre compte que certains personnages ont leurs manières de se comporter qui  changent. Comme si l’inquiétude gagnait petit à petit ce paradis qui n’en est pas réellement un, comme si le titre nous entraînait lui aussi dans ses mystères. Je me suis mise à me demander ce que je ferais dans une  telle situation, si je savais ce qu’Emma et Norman ont découvert, si j’en aurais le courage… Ces questions me trottent toujours dans la tête depuis que j’ai refermé le volume.

Pour ce qui est de l’édition, j’aurai du mal à réellement en parler cette fois vu que c’était l’épreuve non corrigée. Bien que ce ne soit pas le tome final, les pages étaient assez épaisseset pas trop coupantes… Je suis pas douée dernièrement permettant d’éviter de voir la suite des événements. Les trames et l’encre restaient également à leurs places, nous faisant apparaître les êtres sans difficultés quant à la traduction, mon cerveau n’a pas retenu d’erreurs majeures ce qui signifie qu’elles ne devaient pas être aussi grosses qu’un immeuble de dix étages.

The Promised Neverland fut réellement une belle surprise que je n’attendais pas. Le titre signifiant « Le pays imaginaire promis » (si je ne me trompe pas avec mon anglais à deux centimes) nous montre sans difficulté que quelque chose cloche par rapport à ce  monde composé presque essentiellement d’enfants tout en me rappelant le Pays Imaginaire présent dans Peter Pan. Un univers aux apparences trompeuses et qui devient de plus en plus oppressant au fil du temps. J’ai eu du mal à quitter ce premier tome et j’aurais bien aimé directement enchaîner avec la suite…

The Promised Neverland - Tome 1

Et vous les matous, comptez-vous tenter le titre ? Comptez-vous vous lancer directement ou attendre un peu ? Le connaissiez-vous ?

Site de l’éditeurExtrait Mini site

La clé d’Oriane

Et coucou les matous ! Oui, cette semaine est bien plus chargée en article que les autres semble-t-il, mais ne comptez pas sur moi pour faire tout à fait pareil la semaine prochaine. J’espère que vous allez bien et profitez un peu lors de vos pauses si vous êtes en cours ou au travail. Pour ceux qui l’auraient manqué, j’ai parlé pour la première fois d’un yaoï sur le blog hier avec Ikumen After alors n’hésitez pas à aller lire l’avis si cela vous intrigue.

Aujourd’hui, c’est un roman auto-édité qui pointe le bout de son nez dans notre antre. D’une certaine manière cela devient une sorte de petit rendez-vous à certains moments du mois quand j’y pense… Vous vous demandez sûrement dans quel monde je vous entraîne cette fois-ci et bien n’attendons plus ! On rejoint…

« La clé d’Oriane »

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3€99 & 9€99 (broché) – Fantastique – 190 pages

Oriane est une dessinatrice talentueuse. Elle tente de se remettre d’une rupture difficile en s’adonnant à sa passion, les jeux vidéo en ligne. Mais lorsque le héros sort de l’écran, le virtuel se mêle au réel, la fantasy à la science-fiction, et tout est bouleversé…

Bien malgré elle, l’héroïne se trouve entraîné dans une enquête haletante qui fait hurler de rire à chaque page !

Avant de débuter, je remercie Leslie HELIADE et la plateforme Simplement Pro qui m’ont permit de découvrir le titre dont le résumé m’intriguait déjà dès sa lecture lorsque Leslie me l’a proposé. Une belle surprise en soi et j’ai accepté joyeusement la demande avant de me plonger dans les 190 pages constituant l’ebook reçu.

Comme toujours, je l’ai lu sur mon IPOD – oui, il tient le coup le petiot ! – et je n’ai eu aucun souci pour le lire malgré les nombreux bugs dont il commence à souffrir. Bah oui, il fini par me fermer des pages tout seul alors je me méfie à force lorsque je lis… Heureusement pour moi, il ne le fait jamais – pour le moment – et ne l’a pas fait cette fois-ci non plus ! Mais revenons-en à l’article en lui-même mes matous !

De quoi nous parle La clé d’Oriane ? Et bien, d’une jeune dessinatrice talentueuse nommée justement… Oriane ! (Oui, ce n’était pas compliqué, je sais) La demoiselle essaie de se remettre d’une rupture avec un policier, Xavier, en jouant aux jeux vidéo sauf que quelque chose de relativement anormal va se passer. L’un des personnagesnommé Serrurese pointera gentiment dans le monde réel et ne sera vu que d’Oriane. Comment est-il arrivé là où se déroule l’histoire ? Comment ne pas être prit pour une folle lorsque l’on est la seule personne à voir un tel être et à qui se confier ? Une enquête démarrera avec un humour bien présent et de nombreuses références à des univers connus de la plupart des gameurs !

Notre héroïne est une jeune  femme aimant les jeux de rôle et au style gothique. Suite à sa rupture avec Xavier – qui fera un magnifique choc à Oriane – elle se réfugiera chez Chloé, l’une de ses amies, qui lui proposera de jouer à un nouveau jeu afin de se changer les idées. Une méthode approuvée par pas mal de personnes au fond vu que le temps de la partie le joueur est, d’une certaine manière, le personnage qu’il joue. Le hic ? Comme vous l’avez-vu plus haut un dénommé Serrure va se pointer dans notre monde et n’être vu que par Oriane. Oui… N’importe qui dirait qu’elle est folle ou penserait avoir des hallucinations si l’on était à sa place.  Sauf que… Ce n’est pas le cas.

Pour ce qui est de Serrure c’est un voleur d’une trentaine d’année si je ne me trompe pas (moi et les âges de toutes manières…) à l’humour et aux répliques faisant mouche sans difficulté. On se demande ce qu’il fait ici, comment il a fait pour parvenir dans notre monde, pour quelles raisons seule une personne le voit. Après tout, un personnage de jeu vidéo devrait rester dans le monde qu’il connait à l’origine… Ce qui signifie, pour Serrure, un monde plutôt RPG avec des quêtes, des tavernes et tout ce qui fait la joie des jeux de rôle en fait ! Sauf que le jeune homme connaît également pas mal d’autres jeux qui vous rappelleront sûrement des souvenirs. Je suis certaine que certains titres vous diront quelque chose. (D’ailleurs, je suis d’accord avec lui Assassin’s Creed est un monde dangereux si on veut y passer des vacances…)

On rit en compagnie du duo de base, on vit leur quête ainsi que les différentes phases de la pauvre Orianequi est un personnage féminin au topdevant tout de même faire avec un voleur bavard invisible aux yeux de tous. Et oui, Serrure n’est pas du genre à être muet comme une carpe. Les différentes références aux jeux vidéo également sont de la partie vu que nos deux nouveaux amis connaissent chacun à leur manière cet univers. De plus, on voyage également dans Paris ! Comment ça, je ne vous avais pas dit que l’histoire se déroulait en France ? Et bien c’est fait à présent.

Comme vous l’avez lu, l’histoire est une enquêteet pourrait même être considérée comme une quête si l’on se base sur les jeux – nous permettant d’en savoir plus, de découvrir les lieux, de se dire que la pauvre Oriane à tantôt de la chance, tantôt pas du tout… Et surtout de rire, de s’attacher, de réfléchir en leur compagnie. Et puis, des enquêtes pareilles j’en redemande pour ma part ! Surtout que mon imagination me permettait sans problème de voir les lieux et les protagonistes, de visionner sans difficulté ce qu’il se passait.

Et pour ça, la plume de l’auteur fait un travail remarquable. Parce que oui, c’est elle – et donc Leslie – qui permet tout cela à l’aide des descriptions et des répliques. J’avais l’impression d’être en compagnie de ces êtres fait de papier et d’encre. On ne s’ennuie pas, tout s’enchaîne logiquement et toute discussion à son utilité que ce soit pour détendre l’atmosphère, nous en apprendre plus ou « être » avec eux. De plus, la lecture est fluide et rapide au point de ne pas me faire lâcher le pauvre IPOD – vous vous souvenez de cet être surexploité ? – avant la fin de l’ebook. Une fin me donnant envie de rester en compagnie de la troupe, de les retrouver encore et encore…

Mais les bonnes choses ont toujours – à ce qu’il parait – une fin… Et j’ai bien dû éteindre mon acolyte avant d’écrire mon avis et vous le partager. Toutes les émotions retrouvées durant la lecture, les questionnements, l’envie de ne pas finir, les rires et le simple fait que j’apprécie énormément les personnages. Ils m’auront fait passer un bon moment, un merveilleux voyage tout en profitant de toutes les références connues ou inconnues, parce que non je ne connais pas tous les jeux, mais mettant des étoiles dans les yeux malgré tout. Certes, je ne sais pas comment j’aurai réagit dans la vie de tous les jours si un personnage tel que Serrure était apparu comme par magie, mais il faut dire qu’il est réellement agréable à découvrir.

Et vous les matous, connaissez-vous le titre ? L’avez-vous lu ? Si non, compteriez-vous le lire ? Jouez-vous aux jeux vidéo ? Quel est le genre que vous préférez ? Souhaiteriez-vous qu’un personnage apparaisse chez vous et si oui lequel ? Aimeriez-vous découvrir d’autres mondes ?

 

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Library Wars – Love and War – Tome 1

Hello les matous ! Comment allez-vous en cette journée ensoleillée ? Pour ma part, je continue de fondre mais il y a de l’amélioration… Pourquoi ? Et bien il y a une légère brise cette fois-ci alors cela fait du bien pardi !

Mais cela ne m’empêche pas d’avancer dans mes avis – même si c’est relativement lentement – et cette fois je vous entraîne dans un shôjo offert par ma mère il y a déjà quelques années tout de même. Après les seinen, il faut bien changer un peu, mais ne vous attendez pas à du cul-cul la praline ! Prêt ? Go !

« Library Wars – Love and War »

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6€90 – Shôjo – 192 pages

A une époque où la loi d’Amélioration des Médias a instauré une chasse aux livres, les bibliothèques se sont dotées d’un corps militaire afin de les défendre. Par admiration pour un des membres de ce corps des Bibliothécaires (dont elle ne se rappelle pas le visage) qui l’a sauvée autrefois, Iku Kasahara intègre cette organisation. Mais au lieu du prince charmant de ses rêves, c’est un terrible instructeur qui l’attend… Le célèbre roman enfin adapté en manga !

Mais pourquoi Library Wars a donc prit le pas sur d’autres articles ? La question est adéquate vu que vous ne m’avez sûrement que peu vu en parler sur Twitter, mais c’est lors d’une discussion par commentaires avec bbunnyhero que je l’ai mentionné. Et… Et bien voici l’avis sur le premier tome sorti aux éditions Glénat. Il faut savoir que ce manga est une adaptation d’un Light Novelcomme d’autres titreset que ce dernier est trouvable également, même si pour le moment je n’ai pas encore eu la chance de mettre la main dessus.

Mais Library Wars cela raconte quoi ? Tout simplement une époque où les livres ne possèdent plus la même place qu’à la nôtre, une époque où ils sont « chassés » un peu comme lors de la célèbre chasse aux sorcières. Sauf qu’ici à la place de personnes envoyées au bûcher ce sont nos amis de papier qui subissent ce mauvais sort et vous vous doutez qu’ils ne peuvent pas prendre leurs jambes à leur cou pour se sauver. De ce fait, un corps militaire nommé le corps des Bibliothécaires est né afin de les défendre et c’est dans cette organisation que nous mettons les pieds en compagnie d’Iku, l’héroïne de ce shôjo.

La demoiselle – qui ne sera pas la seule que nous rencontrerons – à un caractère très, très enjoué. Elle est la bonne humeur incarnée même lors de ses prises de tête avec son instructeur – que nous pouvons plaindre tout de même… – et s’avère également… naïve ? D’une certaine manière c’est le cas, même si cela peut s’avérer moins grave que d’autres héroïnes de shôjo. Et encore, Iku n’est pas que cela et elle le prouvera au fil des pages et des tomes tout en prenant sur elle, avançant, faisant des erreurs et surtout en se battant. Son tempérament peut également être considéré comme étant à la garçonne, parce que oui madame n’est pas non plus une fille nunuche. Elle a ses soucis – comme tout le monde – mais ne se laissera pas forcément marcher sur les pieds. De plus, même physiquement Iku sort des sentiers battus avec ses cheveux courts – à la garçonne en fait… – et sa grande taille. Oui, ça change de d’habitude vu que beaucoup de personnages féminins ont des cheveux longs – ou mi-longs, ‘fin bref vous avez comprit – et puis, même si elle ne s’en rend pas compte, elle est vraiment adorable.

De quoi ? Oui, vous avez bien lu les mots « en se battant » et ce n’est pas une erreur. Elle n’est pas entrée dans le corps des Bibliothécaires pour se la couler douce et chercher son prince charmant. Bon, remettre la main dessus serait une option, mais le but premier est de protéger les livres et cela Iku le fait très bien. Alors oui, lorsque son métier est mit en avant – même si elle a ses défautsnous nous rendons bien compte que notre grande héroïne n’hésitera pas à se défendre, se battre et ce ne sera pas à coup de magie type magical girl ou de poudre de perlimpimpin voire de dialogues. Une guerre cela se gagne de quelle manière à votre avis ? Oui, en parlementant cela peut aider sauf quand les opposants sont bouchés… Ah, je vois que le matou couché sur une marche à comprit ! Ce sont les armes voire le combat à main nue. Bah oui, foncer dans le tas ça fonctionne toujours d’une certaine manière même si parfois c’est dangereux. Et ne pensez pas que ce sera le premier garçon venu qui ne réfléchira pas…

Comment ça « Qui alors » ? La réponse est très simple pourtant… Utilisez votre tête chers petits chats.

Aux côtés d’Iku évolueront, bien entendu, d’autres personnages dont le terrible instructeur qui possède un nom. Il ne vous restera pas inconnu bien longtemps et vu les énergumènes avec lesquels il travaille, nous pouvons réellement le plaindre. Comme tous les personnages de ce manga – et du Light Novel par déductionil possède son caractère qui n’est pas simple à vivre tous les jours, tout du moins pour Iku, mais reste juste. Bon, on se doute qu’il n’est pas là pour prendre un thé en compagnie de ses acolytes et à parler chiffons.

Mais vous vous doutez qu’ils ne seront pas les seuls et pas mal de gens finiront par apparaître, réapparaître même et graviter autours de cette brigade. De plus, la Bibliothèque en elle-même existe toujours – bien que n’étant pas le meilleur lieu venu par rapport à cette loi – et est tenue par des personnes ayant également des attributions. Et bien sûr nous découvrirons au moins un personnage se trouvant à cet endroit dont je ne vous dis pas non plus le nom, mais que j’apprécie énormément. La seule information que je vous donne est son sexe : féminin. A vous de trouver ensuite !

Bien sûr, tous n’apparaîtrons pas dès le premier volume et vous en découvrirez de plus en plus au fil des tomes. Chacun possèdera son background, son caractère, son physique, ses doutes, ses rêves, tout ce qui rend un personnage attachant ou détestable et nous en voyons évoluer, changer au contact des gens, mais je n’en dirai pas plus maintenant après tout nous n’en somme qu’au premier volume ! (Même si IRL je suis au tome 11 sur les 15… La série est terminée, je suis proche du but et du dénouement, mais je n’ai pas envie de les quitter…)

De plus, même si l’histoire d’amour est présente – représentée sous la forme du prince charmant dont tout le monde rêve mais qui n’existe pas dans la  tête d’Iku et la nôtre au fond – elle ne prend pas le pas sur le reste. Oui, elle est là, mais reste dans le fond et nous ne voyons pas les personnages se tourner autour en mode « je t’aime, moi non plus ». L’action et l’humour ont une place bien plus importante ainsi que l’amour des livres… Parce que oui, c’est cet amour qui est bien le plus présent, le plus ardent et comment ne pas le comprendre lorsque la lecture fait partie du quotidien, des activités qui nous rendent le sourire et nous permettent de nous évader ?

Du côté des dessins, ils sont expressifs et me semblent assez doux également. Logiquement, ils ressemblent à ceux présents quotidiennement dans la majeure partie des shôjos et le seul petit souci que pourraient avoir certaines personnes est avec les personnages masculins. Même si ce n’est pas le cas de tout le monde, j’en connais qui ont eu un peu de mal à savoir qui était là ou à les reconnaître, ce ne fut pas mon cas, mais au cas où je préférais tout de même le mentionner.

Pour ce qui est de l’édition et bien elle est agréable en main ! Nani ? Le manga bien sûr ! N’allez pas essayer d’attraper la maison d’édition ou de retirer les pages ! Glénat avait déjà fait du bon travail dessus et la traduction était réellement bonne. Chacun des protagonistes possédant sa manière de parler, souvent liée à son caractère, je n’avais pas trop de mal à savoir qui discutait. De plus, Iku est facilement identifiable que ce soit en dessin ou dans ses paroles… Elle m’a réellement mise de bonne humeur de nombreuses fois.

Alors oui, parmi les shôjos Library Wars – Love and War a une place importante dans mon cœur et est celui dont le synopsis m’intriguait le plus il y a… Déjà 7 ans ? Si je ne me trompe pas il était sorti en 2010. L’adaptation réalisée par Kiiro Yumi est prenante et m’a permit de découvrir l’œuvre d’Hiro Arikawaqu’il va falloir que je trouve en LN… Courage Neko tu y arriveras un jour – sans aucun souci. C’était une belle découverte à l’époque et j’ai déjà relu de nombreuse fois le début étant donné que je traine à finir la série, non pas parce que je n’accroche plus, mais juste parce que je ne veux pas les quitter… Cela peut sembler stupide, mais j’ai du mal à me séparer de ses êtres de papier que j’ai côtoyé d’aussi longues années.

Connaissez-vous le titre les matous ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Y a-t-il un personnage ou un tome que vous préférez ? Pour ceux ne le connaissant pas, comptez-vous l’essayer, lui laisser une chance de vous toucher à sa manière ?

 

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Takane et Hana – Tome 6

Coucou les matous ! Comment allez-vous en ce 14 mai ? Est-ce que vous avez offert quelque chose à votre maman pour sa fête ? La mienne m’a récupérée, mais a également reçu un photophore en forme de petit chaudron violet translucide. Pratique pour les bougies surtout vu notre coin…

Mis à part cela, je ne vous ai plus rien posté depuis quatre jours… Cela commençait à être long tout de même alors que j’ai lu. C’est le comble ça… Nous allons donc retourner dans un titre pour lequel j’ai déjà parlé de cinq tomes et dont le sixième est sortit le même jour que Le Chant des Souliers Rouges. Je remercie une nouvelle fois les éditions Kazé et Anita pour leur confiance en m’envoyant le titre me permettant de vous en parler assez vite. Prêt ?

« Takane et Hana »

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6€79 – Shôjo – 192pages

Hana croyait devoir passer Noël seule lorsqu’apparaît le « Père Takane » ! Tout de luxe vêtu, ce dernier est venu la surprendre pour lui offrir une soirée magique, sous le signe de l’excès. Et, même si elle refuse de l’admettre, Hana prend conscience de ses sentiments…
Malheureusement, une nouvelle épreuve attend le duo. Le président Takane, dans sa grande sagesse, a décidé de confisquer la totalité des biens de son petit fils pour lui apprendre la vie…
Difficile de tenir le coup, quand on se retrouve sans le sou !

Ah la période de Noël, un moment que beaucoup attend afin de recevoir des cadeaux et dans Takane&Hana cette période ne fait pas exception. Elle était déjà présente dans le tome précédent et prendra fin sous nos yeux avant de nous laisser face à de nouveaux événements assez nombreux cette fois-ci touchant autant Takane que Mizuki, oui les amies d’Hana continuent d’avoir leur petit moment de gloire et l’on se rend compte des sentiments évoluant de chacun. Après tout, il n’y a pas qu’Hana parmi les lycéennes qui possèdent des sentiments et de ce fait risquant des problèmes de cœur. Ce tome nous le prouve parfaitement avec ma petite Mizuki.

L’histoire avance et ne retombe pas dans les mêmes travers que les tomes 3 et 4 où j’avais cette impression de répétition. Il m’a même énormément amusée, même si j’étais peinée pour mes deux personnages préférés. Rien n’est simple au fond, que ce soit pour Takane, Hana, Luciano, etc… et pour certains, leur situation semble même empirer. Il est assez intéressant de voir la manière dont cela évoluera, ce que les différents personnages feront après la perte des biens du pauvre Takane (No spoil, c’est dans le résumé TT’). Je dois avouer que je ne m’attendais pas à cette situation, mais elle ouvre pas mal de possibilité !

Et des possibilités, nous en voyons également parmi les personnages. Hana et Takane toujours sur le devant de la scène laissent apparaître des membres de leurs familles, leurs amis ou d’autres personnages ce qui nous permet de nous rendre compte de la manière dont ils sont perçus par certaines personnes. Ces personnes qui montrent une nouvelle fois leurs importances tant dans des choix effectués que par leurs comportements et j’étais contente d’en revoir, même si le papy à Takane est assez radical dans sa manière de faire.

D’ailleurs, depuis le premier tome, les différents personnages ont tout de même évolués ce qui est réellement agréable je trouve. Même si Hana continue de chercher Takane, nous nous rendons compte depuis peu que ses sentiments ne sont plus les mêmes qu’au début et c’est pareil pour les autres. Leurs caractères initiaux sont certes toujours présents, mais nous découvrons de nouvelles facettes d’eux et ce volume est riche en découvertes d’ailleurs ce qui fut un vrai régal à la lecture. Je dois avouer apprécier les voir se développer de plus en plus faisant que l’on ne reste pas sur notre première idée du « gosse de riche sûr de lui », de la « lycéenne ayant de la répartie », du « séducteur » et ainsi de suite, ils deviennent plus complexes et agréables au fil des volumes.

Dans ce sixième volume vous trouverez, d’ailleurs, un concours alors n’hésitez pas à remplir et renvoyer le papier que vous croiserez au fil de votre lecture afin d’espérer gagner quelque chose. Après tout, tout est possible ! De plus, si vous avez de la chance vous trouverez la carte postale accompagnant ce tome où vous découvrirez les personnages principaux sous une autre forme. Cela change, on ne peut pas dire le contraire !

Pour ce qui est des dessins, je les trouve tout aussi agréables que ceux des tomes précédents et ils nous permettent sans problème de suivre les gags ou les diverses situations présentes au fil de la lecture. Humour et sérieux sont retranscrits sans difficulté sur les planches que nous lisons et nous pouvons le savoir directement lorsqu’un personnage n’est pas dans son assiette. Mon petit cœur c’est légèrement serré tout de même…

Le manga en lui-même est également dans la lignée de ceux l’ayant précédé et il ne fait pas pâle figure à côté des cinq volumes le précédant. Sa couverture montrant principalement Hana et tout plein de Takabas est tout à fait logique avec ce qu’il se déroule dans l’histoire, mais également avec le thème de l’ensevelissement toujours présent pour les jaquettes. Pour ce qui est de l’édition en elle-même, Kazé continue de faire du bon travail que ce soit dans la traduction ou pour tout le reste : Le manga est assez souple pour ne pas finir en brique dans le sac tout en étant résistant ce qui lui évite d’être un accordéon. La traduction est fidèle aux personnages, aux émotions présentes et nous fait passer un agréable moment, quant au papier il est assez épais pour ne pas devenir une feuille de cigarette ou translucide ce qui nous permet d’avoir la surprise des pages suivants celle que nous lisons.

Et oui les matous, ce sixième tome me fait encore une fois passer un très bon moment en compagnie des personnages. C’est agréable de retrouver chacun d’entre eux, de découvrir ce qu’il va se passer et  les réactions de chacun tout en découvrant de nouvelles têtes. Difficile de dire l’importance de chacun des nouveaux protagonistes sur lesquels il est possible de mettre au minimum un nom de famille, mais ce qui est certain c’est que je me méfie d’eux… Allez savoir pourquoi. J’ai hâte de découvrir la suite, de voir ce que va nous réservez le tome 7 surtout vu le tempérament d’Hana et l’état dans lequel est notre cher Takane.

Et vous les matous, qu’avez-vous pensés de ce tome 6 ? Que pensez-vous qu’il se produira plus tard ? Quels sont (ou quel est) votre personnage préféré ? Si vous ne l’avez toujours pas tenté, comptez-vous essayer ce titre un jour ?

 

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Takane et Hana – Tome 5

Coucou les matous ! Comment allez-vous en ce vendredi ? Pas trop mal ? Tant mieux, parce que vous allez avoir droit à de la lecture ! Comment ça, comme d’habitude ? Mais ! Bon d’accord, ce n’est pas faux mais tout de même…

Nous reprenons là où je vous ai laissé la dernière fois, je suis certaine que vous devinez aisément ce dont je parle 🙂 Pour indice, pour ceux n’ayant pas lu le titre de l’article, c’est un shôjo manga sortit aux éditions Kazé dont je vous parle déjà depuis pas mal de jours et d’articles. Je remercie d’ailleurs une nouvelle fois Kazé et Anita pour l’envoi des cinq volumes (et du sixième arrivé aujourd’hui) Vous avez devinez ? Bien sûr, c’est…

« Takane et Hana »

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6€79 – Shôjo – 192pages

Noël approche à grands pas et Hana découvre que chaque membre de sa famille a déjà un programme de prévu. Takane en profite alors pour l’inviter à passer le Réveillon en tête à tête !

Hana s’en réjouit, mais voilà que Rino, une amie du jeune homme, débarque et se jette au cou de ce dernier qui ne la repousse pas ! En plus d’être belle et intelligente, cette ancienne camarade semble partager une relation particulière avec Takane…

En période de Noël, les cœurs se révèlent !

Le tome 5 nous apparait avec une couverture remplie de Daruma, montrant de ce fait que le thème de l’ensevelissement est toujours présent pour les jaquettes. Mis à part cela la couleur d’écriture s’avère être le turquoise ! Ouip, nous continuons notre tour des couleurs pour les jaquettes et c’est pas plus mal ! La petite fleur contenant le numéro du tome est rose pour sa part et suit parfaitement la logique colorée se trouvant non loin de celle-ci.

Mais ouvrons le manga, voulez-vous ? J’ai d’ailleurs bien rit en voyant Takane version Tamagotchi, oui il m’en faut peu. Le début reprend là où nous étions arrivé à la fin du tome 4, c’est-à-dire lors de la fête de l’école, ce qui nous permet de revoir les personnages dans le milieu scolaire que ce soit nos chers adolescents (Bah oui, y a Okamon quand même. Il ne compte pas pour du beurre) ou les adultes que nous avons déjà rencontré.  Bien entendu nous ne resterons pas qu’à cet endroit car d’autres apparaîtront au fil des pages en compagnie de nouveaux personnages.

Et oui, deux personnages s’ajoutent à ceux que nous connaissons déjà. Un petit bout adorable *tousse* et une connaissance de Takane nommée Rino – ceci ne vous spoil pas, c’est écrit dans le résumé – qui fait que nous nous demandons, justement, quelle est sa relation avec l’adulte. Au fil des pages, nous découvrirons même un nouveau thème abordé à l’aide d’un des personnages par Yuki Shiwasu et qui fut une agréable surprise pour ma part.

Un autre détail, c’est que nous nous attardons un peu plus sur Mizuki, l’une des amies d’Hana, durant ce volume et ce fut plutôt sympathique de la voir prendre également de l’ampleur. Il se peut que plus tard ce sera au tour d’Hikaruko d’avoir son heure de gloire également, vu qu’elle fait partie du trio, mais pour le moment j’étais ravie de voir la petite Mizuki sur le devant de la scène – sans pour autant faire disparaitre totalement Hana – et ses diverses réactions. Non, mais à moins d’être totalement myope on se rend compte de quelque chose ! (Que je ne dirai pas)

Bien entendu, les autres sont toujours de la partie. Ainsi la rencontre arrangée continue son bonhomme de chemin entre Takane et Hana tout en nous permettant de voir que leurs sentiments évoluent de plus en plus. Jusqu’à quel point ? Bonne question, mais tout est possible ! Je reste toujours aussi attirée (J’ai pas trouvé d’autres mots, navrée ~) par notre cher Italien également et me retrouve ravie de le voir dès qu’il apparait. C’est grave vous pensez ? Okamon, de son coté, fait également de petites apparitions de plus en plus fréquentes ce qui nous permet de le cerner un peu plus à chaque fois !

L’histoire avance, lentement certes, mais elle avance et c’est ce qui est le plus important. Nous voyons parfaitement l’évolution au niveau des relations, nous comprenons le passé de certains personnages et en apprenons plus sur d’autres. Bien que centrée sur Takane et Hana, l’histoire se développe même du côté des personnages secondaires ce qui ne les laisse pas sur le banc de touche et fait que l’on s’attache petit à petit à chacun d’eux. D’ailleurs, il n’y pas eu de sentiment de répétition cette fois-ci, même pas un tout petit, et je me suis régalée même au moment de la relecture.

Et il n’y a pas que l’histoire ou les relations sentimentales qui évoluent car cela se ressent également dans le dessin. Parce que oui, il se modifie petit à petit au fil des tomes et déjà fort sympathique à ses débuts s’améliore encore pour notre grand plaisir. Tout du moins le miens, cela dépend de vous et de vos goûts après tout. Du côté de la traduction, elle reste vraiment de qualité continuant de coller aux personnages, à leurs manières d’être et à leurs personnalités. C’est un régal de lire les dialogues et les petites explications parsemant le tome.

Rahlala, que j’ai pu aimer ce tome cinq et je peux le classer sans problème en Coup de cœur pour le moment. L’ennui n’est absolument pas venu, la thématique apparue était plutôt bien menée également à l’aide d’un personnage et voir tout ce beau monde s’épanouir, avancer, vivre tout simplement sans rester forcément concentré sur Hana et Takane s’est avéré un régal. Et non, cela ne me dérange pas lorsque l’on se concentre un peu plus sur un personnage secondaire tant que les principaux ne jouent pas à Fantomas pendant dix ans.

Et de vos côtés les matous, qu’en avez-vous pensés de ce cinquième volume ? Pour ceux n’ayant pas encore débuté la série, comptez-vous la tenter dans un jour futur ou proche (en fonction des bourses) ? Comment pensez-vous que cela aboutira ? Est-ce que tout se terminera bien ?

 

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Takane et Hana – Tome 3

Yop’lait les matous ! Oui, oui, on a du lait en ce moment alors autant en profiter pour en boire goulument ~ Pour ceux qui préfèrent le lait fruité ou le lait chocolaté, il y en a aussi quelque part dans le frigo. D’ailleurs je profite d’avoir une connexion internet en mode « Je pagaie dans le vide » pour écrire alors que je voulais voir le quatrième épisode de Boruto… Bon bah ça sera plus tard !

Nous continuons notre avancée dans le shôjo manga dont je vous ai déjà parlé auparavant en attendant que je retrouve un réseau stable et attaquons le tome 3 cette fois ! Plus que deux… Le temps passe vite. Une nouvelle fois, je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi m’ayant permit de faire cette belle découverte ♥

« Takane et Hana »

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6€79 – Shôjo – 192 pages

Hana n’a pas le temps de souffler ! Sa mission de médiatrice auprès de Takane et Nicola à peine terminée, elle doit se recentrer sur ses études. Les résultats de ses derniers examens viennent de tomber et ils sont… désastreux ! Alors qu’elle travaille à fond pour ne pas qu’on l’accuse d’être distraite par Takane, voilà que ce dernier s’incruste en professeur à domicile !!

Les neurones vont chauffer, et la fièvre monter !

Troisième tome sous le signe des tomates ! Des vertes, des rouges, des oranges, tout pleins de tomates tout partout sur la jaquette ainsi qu’Hana, Takane – qui n’est pas aux anges, ahaha – et Nicola (ou Luciano, comme vous préférez) ! Je suis contente de le voir à l’arrière ❤ (Oui, votre Neko est heureuse avec un rien)

Nous découvrons le fin mot de l’histoire s’étant déroulé quelques années auparavant entre Luciano et Takane pour notre plus grand plaisir, ce qui nous permet de voir que la fierté n’est pas toujours la meilleure chose du monde. Nous nous rendons compte, de ce fait, d’une autre partie de la personnalité de Takane – que je ne citerai pas – et je n’ai pas pût retenir de sourire en me disant que c’était bien de voir un autre adulte être autant à l’aise avec notre cher Takane !

Leur relation continue d’avancer tout doucement et nous continuons d’en découvrir un peu plus sur les personnages. La vie au lycée reprend son cours pour Hana également et nous voyons ses difficultés, son club – que nous connaissions déjà – et la vision des autres par rapport à sa relation avec Takane. Certes, c’est peu fréquent mais tout de même légèrement présent. Nous allons même voir notre protagoniste masculin principal dans un état plus faiblard, ce qui est assez rare pour le souligner et je trouvais la manière d’être d’Hana assez mignonne.

Et oui, en plus de la maison d’Hana et des restaurants aussi divers que variés – que l’on ne voit pas en entier, heureusement – nous découvrons d’autres endroits dans ce troisième volume vu qu’ils partiront en vacance. Et qui dit vacance dit… Comment ça repos ? Mais non !! Rahlala, y a un endroit où la plupart des lycéens se rendent et je suis certaine que vous le devinez. Sinon… Hm… il y a du sable et de l’eau, ça vous donne assez d’indices je pense !  C’est assez agréable de les voir en-dehors de la ville que l’on connait petit à petit, même si au fond certaines situations paraissent un peu répétitives. Pourtant, on continue de rire en compagnie de la bande qui s’agrandit de plus en plus pour notre plus grand bonheur.

Pour ce qui est des dessins, ils soulignent parfaitement les traits spécifiques à chacun des personnages qu’ils soient habillés ou en maillots de bain. (C’est bon, vous avez devinez où ils se trouvent ? Le premier qui me dit non, je le noie !) Promis, je ne me suis pas rincée l’œil quand on voyait Luciano torse nu *regarde ailleurs* Plus sérieusement, ils sont vraiment agréables et collent merveilleusement bien à l’esprit du shôjo humoristique que nous avons sous les yeux tant lorsque les personnes sont sous forme normale que sous forme de chibi.

L’histoire, de son côté, continue d’avancer bien que comme mentionné un peu plus tôt nous ressentons de temps en temps un côté légèrement répétitif. Ce n’est pas fréquent, heureusement, et voir l’évolution au niveau des différentes relations est plutôt agréable. Parce que oui, comme d’autres personnages s’incrustent cela rajoute des liens entre chacun d’entre eux que ce soit ami d’enfance, camarades de classe, partenaire potentiel, amies, rencontres, etc. Cela nous permet de nous retrouver un peu plus facilement en certains personnages, de nous attacher à d’autres. Personnellement, caractériellement je me rapprocherais plutôt de Mizuki par exemple.

Au niveau de la couverture j’adore le mélange d’orange et de vert utilisé pour le texte *-* Le thème de l’ensevelissement est d’ailleurs toujours d’actualité avec les tomates pour notre plus grand plaisir – et moins celui d’un personnage qui doit être traumatisé – au point de m’avoir donné faim. Heureusement… J’avais des tomates sous la main (no fake… J’en ai vraiment mangé sur le coup TT’) Du côté de la traduction, c’était encore une fois un vrai régal de lire les répliques et les diverses manières de parler grâce au vocabulaire de chacun. Un très bon travail je trouve

Je continue de beaucoup aimer cette saga qui est un vrai baume au cœur remontant le moral à la moindre des occasions et ce, même s’il y a eu quelques petites répétitions. Après tout cela arrive et ne pose pas trop de problèmes vu que l’histoire continue son avancée. J’ai la légère impression qu’un triangle amoureux se prépare par contre… Mais peut-être n’est-ce qu’une idée. Seul les tomes suivant peuvent nous donner une idée et… Et comme dit dans l’article précédent je ne spoil pas. Cela serait tout à fait stupide et risquerait de ne plus donner envie de découvrir le titre (J’en connais qui hurlerait derrière leurs écrans aussi…)

Takane&Hana de Yuki Shiwasu reste donc une très, très bonne surprise que je dévore tel un bonbon doucement sucré et acidulé. Les tomes donnent le sourire et du peps lorsque l’on est plat ou quelque chose ne va pas, ils sont également un régal quand tout vas bien et nous donnent du baume au cœur.

Je parlerai des tomes suivants, bien entendu, et cela risque d’être demain si tout va bien. Bien sûr il n’y aura pas que ça et j’ai d’autres titres en stocks dont je dois vous parler. D’autres articles à fignoler également. Alors restez à l’écoute de votre Neko retardataire préférée !

Qu’avez-vous pensé de ce troisième tome ? Vers quoi pensez-vous que nous nous dirigeons ? Y a-t-il un personnage que vous préférez ? Vous êtes-vous rincé l’œil ? Qu’appréciez-vous dans la série pour le moment ?

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