Chiisako Garden – One Shot

Hello les matous ! J’espère que vous allez bien tout comme vos proches. Est-ce que vous êtes prêt pour un petit article ? Il ne portera pas sur mes dernières publications Instagram, mais sur un petit titre où la nature à sa place, où les êtres sont de petites tailles et dans lequel les enfants ont plus de chance d’apercevoir ces petites créatures inconnues. Nous sommes en plein cœur du printemps et ce n’est pas parce que le confinement est présent qu’il ne faut pas voir des bouts de nature après tout.

Êtes-vous prêt à vous découvrir un peuple proche de nous, mais devenu invisible à nos yeux dans la majeure partie des cas ? Eh bien, je vous emmène cette fois-ci dans…

« Chiisako Garden »

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7€ – 192 pages

Les chiisakos sont des êtres minuscules qui vivent dans la nature. Pour avoir une chance de les voir, il faut être un enfant ou n’avoir jamais connu l’amour. Pour les personnes concernées, ces rencontres s’avèrent très riches en émotions et peuvent apporter le bonheur. Une petite fille va se rapprocher de sa mère, un responsable éditorial prend conscience de ses sentiments pour une auteure, deux époux osent se parler franchement, un garçon déscolarisé affronte l’extérieur… A travers le temps, il y a toujours des rencontres improbables qui changent les personnes. Néanmoins, il n’est pas évident de côtoyer des chiisakos sans passer pour un rêveur ou un fou…

Cinq histoires courtes parsèment ce manga de Yuki Kodama, un manga nous entraînant tout simplement dans notre monde, celui que nous connaissons, mais avec un petit élément en plus : les chiisako. Avant de débuter la chronique comme il se doit, je tiens à ajouter que « Chiisako Garden » est l’un de mes premiers titres des éditions Vega et qu’il est arrivé en même temps que le tome 1 de « Deep Sea Aquarium Magmel », deux mangas qui m’ont fait découvrir cet éditeur. « Chiisako Garden » m’avait été proposé par Book-Trotter et Sissel pour lesquels je vous met un lien en direction de leurs blogs respectifs.

Les Chiisako sont de petites créatures humanoïdes vivant dans les jardins ou tout simplement en pleine nature. Visibles la majeure partie du temps par les enfants, ils le sont tant que l’être humain ne ressent pas un sentiment que nous connaissons pour la majeure partie : « L’amour ». Une émotion si forte qu’elle fait que notre vision se modifie petit à petit, que notre cœur se lie d’une certaine façon à quelqu’un. Cela peut se passer à tout âge, même si c’est bien plus fréquent que nous ne les apercevions plus durant l’adolescence, mais il arrive tout de même que des adultes aient gardé un cœur « pur ». Façon de parler bien sûr, mais vous aurez compris que dès l’arrivée de ce sentiment nos amis les chiisako disparaissent progressivement de notre vision et ouïe, ils sont toujours présents, mais invisibles faisant que la destruction de leur habitat peut aisément se faire sans que nous ne le réalisions… A moins d’écouter un enfant, une personne pouvant encore les apercevoir, malheureusement beaucoup finiraient par oublier la présence des petits êtres, pourraient finir par « rire » ou demander d’arrêter de faire des « caprices » suite à l’une ou l’autre remarque.

Jusqu’à réaliser, se souvenir de petits moments du passé… Ce que j’ai eu durant la lecture suite à mes différents visionnages des « Minipouces ». Oui, petite je croyais qu’il y avait de petits êtres quelque part dans la maison… Vous vous en doutez sûrement, oui, j’ai vu « Arthur et les Minimoy » ainsi qu’ « Arrietty, le petit monde des chapardeurs » et comme vous le savez probablement je lis « Minuscule » (avis sur le t1). Donc oui… Le monde du « minuscule » m’a naturellement intriguée très tôt et je l’ai apprécié comme vous le voyez.

Les différentes histoires présentes dans ce manga sont réellement douces, montre une évolution des personnages, des réalisations, des choix à effectuer ou tout simplement le fait de se souvenir comme mentionné plus haut. Garder une part de l’enfant que l’on a été, de celui qui voyait des « choses » que les adultes semblent avoir oublié, auxquelles ces derniers ne veulent plus croire. Chacune des petites histoires apporte un élément en plus, touche à sa manière et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. D’ailleurs, les personnages sont variés autant en âge qu’au niveau des métiers, des soucis, des rêves et il n’est pas difficile de les suivre, de trouver certaines scènes mignonnes, de se dire que d’autres font réfléchir.

Au niveau du dessin, il vous sera connu si vous avez déjà lu son œuvre phare « Kids on the Slope », sinon ce sera de la découverte ! Je trouve qu’il va à merveille au titre, lui rajoute un petit quelque chose qui lui est propre, mais je sais également qu’il ne plaira probablement pas à tout le monde car les goûts sont dans la nature, variés et que ce qui me plait, ne plaira peut-être pas à quelqu’un d’autre. C’est logique car totalement subjectif. J’ai bien aimé contempler certaines planches, me laisser envahir par l’atmosphère s’y trouvant, profiter juste durant quelques instants de ce que j’avais sous les yeux grâce à la douceur et à la fluidité des traits avant de tourner à la page suivante et c’est, à mon sens, le plus important !

Du coup, vous l’aurez probablement compris, mais « Chiisako Garden » a été une douce et belle découverte dans laquelle j’ai apprécié me plonger, profiter. Une lecture dans laquelle je me replongerai probablement lors d’un petit coup de mou ou juste l’envie de retrouver des êtres auxquels je me suis tout de même attachée en une seule lecture. Ce One-Shot a été un véritable bonbon du début à la fin et le fait d’avoir plusieurs histoires ne force pas spécialement, à la relecture, à toutes les relire, il est simple de se replonger dans l’une d’elle juste parce qu’elle nous fait envie.

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Et vous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

The Promised Neverland – Tome 2

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Ici, ça va mieux même si mes jambes me disent un joli « Tu ne bouges plus » à présent suite à mon vadrouillage sur la brocante de Temploux où je suis repartie avec 5 mangas pour très peu de frais. Cela augmente ma PAL, ma liste à faire, mais tant pis ! D’ailleurs j’en profite pour vous faire une demande assez spéciale car Milly travaille actuellement avec une équipe bossant sur le développement d’une plateforme dédiée spécialement aux illustrateur-ices qu’ils soient professionnels, étudiants ou amateurs. Pour ce faire, un questionnaire est actuellement en ligne et je me demandais si vous pourriez y répondre afin de l’aider. Cela ne vous prendra que quelques minutes et sera d’une grande aide. Il se trouve à cette adresse :

https://goo.gl/forms/22yignRDnUGXfSkC2

Je vous remercie d’avance pour elle et l’équipe travaillant là-dessus ! Mis à part cela, aujourd’hui – Non vous ne rêvez pas deux articles, deux jours de suite, vu qu’hier vous aviez celui sur Beyond the Clouds – porte sur une suite d’un manga dont on parle souvent actuellement et dont le tome 3 est sorti il y a peu. Je vous parle bien sûr de…

« The Promised Neverland »

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6€79 – 193 pages – Shônen

Sous contrôle

Emma, Norman et Ray décident d’entraîner leurs petits frères et sœurs pour qu’ils soient capables de s’évader avec eux. Mais sœur Krone, l’assistante de Maman, ne cesse de contrarier leur plan et exerce une pression constante sur eux. Pour mener à bien leur projet, l’inséparable trio n’a d’autre choix que de révéler une part de la triste vérité à d’autres camarades… Mais à qui peuvent-ils se fier ?

Le tome 1 était déjà une bien belle découverte en lui-même, mais ce deuxième volume continue de mettre mes neurones à rude épreuve. Il y a tant à découvrir, tant de mystères par rapport à l’univers, tant d’inconnues dans ce qu’il pourrait se passer et dès qu’une information est enregistrée, prête à être exploitée pour commencer à émettre des théories voilà que d’autres renseignements arrivent, naturellement, sans faire le forcing, mais pouvant nous faire changer totalement d’avis. Chacun des personnages prend sa place, possède ses qualités, ses défauts, ses ambitions et on s’attache au moins à l’un d’entre eux sans aucune difficulté.

Dans ce deuxième volume, l’entraînement des frères et sœurs d’Emma, Norman et Ray bat son plein et j’ai été ravie de voir les différentes manières employées par le jeu. Un jeu tout simple, celui auquel ils jouent très souvent et qui change énormément en fonction des règles données, des contraintes et qui m’a donné envie d’y jouer également, d’essayer, tout en sachant parfaitement que je n’aurai aucune chance face à certains des personnages. Les défauts et les qualités de chacun d’eux apparaissent, petit à petit, et c’est une bonne chose de voir qu’un simple élément peut tout chambouler, remettre en question et nous surprendre. Oui, j’ai été surprise durant ma lecture ne serait-ce que par un élément que je ne dirai pas ici.

L’histoire avance, reste remplie de suspense, d’espoir, mais également de crainte. Un rien peut faire échouer la tentative d’évasion, tout pourrait se produire sans que notre trio ne puisse allez à l’encontre des événements et je me suis mise à espérer avec eux, stresser également, me demander ce qu’il se passerait si Maman faisait sa « livraison » en avance, qui seraient ceux vers qui ils se tourneraient et si, au final, ils seraient réellement tous d’accord à 100% pour emmener tout le monde. Certaines réponses tombent, petit à petit, d’autres n’arriveront probablement jamais, mais mon cœur battait à tout rompre au fil des révélations arrivant. Qu’allait-il se passer ? Cela changerait-il quelque chose à la suite ? Pourquoi ? Comment faire ? Tant de questions, tant de réponses possibles.

Revenons vite fait sur les personnages, qu’ils soient enfants ou adultes ils sont très différents les uns des autres. Certains sont plus calmes, d’autres plus virulents, d’autres encore doutent pendant que d’autres vivent pleinement leurs vies. Ils nous font face, avec leurs émotions, leurs désirs, leurs questionnements et on s’attache, comme dit plus haut, à certains de ces personnages. Pour ma part, ma préférence reste sur Emma qui est vraiment ma chouchoute. Elle reste sur ses convictions, est pleine d’énergie et je craque devant sa bouille vraiment adorable montrant pourtant aisément ses émotions. Du côté des adultes, Maman est vraiment un personnage intriguant et Sœur Krone me fait légèrement peur… Oui, elle ne me rassure pas et j’ai presque plus confiance en Maman qu’en elle… C’est pour dire !

Les graphismes, tout mignons tout en pouvant être sombres et sortant pourtant de l’ordinaire, collent également bien à The Promised Neverland et on reconnait aisément les personnages, les lieux et les objets. Les enfants ressemblent à des enfants alors que les adultes ont réellement des têtes d’adultes quant aux autres éléments tous possèdent leurs détails propres nous aidant à nous retrouver dans les salles, à reconnaître certains objets. J’ai bien aimé observer le plan en même temps que les personnages, découvrir un peu mieux certains lieux afin de mieux visualiser leurs emplacements. Je me casse encore la tête par rapport à l’énigme des numéros qu’ils portent au cou par contre… Détective Neko ne lâche pas l’affaire et trouvera la signification !

Parlons vite fait de l’énigme en question, j’apprécie grandement le fait qu’il y en ait une justement ! Dans Assassination Classroom il y en avait de temps en temps et je m’amusais comme une petite folle lorsque j’avais l’opportunité de tenter de les résoudre alors vous imaginez bien qu’ici je suis à nouveau comme une gamine attendant le Père Noël sous le sapin ! Je me creuse les méninges, note les rares pistes que je possède et me dit que je finirai bien par avoir le fin mot de l’histoire.

Par rapport à l’édition du manga en elle-même, je n’ai pas eu de souci dans l’édition que je possédais. Les pages ne sont pas trop fines, même si l’on entraperçoit parfois quelques éléments de l’autre côté, et le manga en lui-même est assez souple (… Moi et ma manie de tout mettre dans mon sac en mode random c’est très, très pratique…) La couverture nous montre Emma, Norman, Ray, Gilda, Don et Phil dans la bibliothèque de Grace Field House, l’un des lieux que j’adorerais arpenter dans cet univers ! Je la trouve jolie, Emma ressortant assez facilement avec sa tignasse flamboyante et ses yeux d’un vert étincelant, mais on voit facilement les autres enfants. La traduction ne m’a pas sembler incohérente non plus et j’ai passé un très bon moment durant ma lecture, malgré mon cœur battant à tout rompre. J’ai hâte de pouvoir me prendre le troisième tome, de découvrir ce que nous réserve la suite…

Pour finir, The Promised Neverland est l’une des séries qui me tient actuellement le plus en haleine et me triture le plus le cerveau. Je m’inquiète pour chacun d’eux, je veux comprendre, je me demande ce que le monde de dehors peut être, ce qui les attend et plus encore. Tout est possible, même l’idée la plus saugrenue et il est difficile de ne pas être happé par cet univers. Un univers sombre malgré les bouilles enfantines que nous côtoyons, un univers où le moindre détail à son importance, la moindre parole également.

The Promised Neverland - t2

Et vous les matous, qu’avez-vous pensé de ce deuxième tome ? L’avez-vous lu ? Êtes vous entré à Grace Field House ? Y a a-t-il un personnage qui vous intéresse ou plait plus que les autres ?

 

Site de l’éditeurMini SiteExtrait tome 1

Adam et Eve – Tome 2

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? De quoi ? Si je n’ai rien oublié cette semaine ? AH heu… Si… mais j’ai eu pas mal à faire ! Ne vous inquiétez pas, le petit journal nekoien sera là lundi sans faute et si ce n’est pas le cas je vous donne le droit de me retirer mes cookies (même s’ils sont aussi pour vous) jusqu’au retour du pauvre article. J’en profite également pour souhaiter un joyeux blog’anniversaire à Omoshiroi Project qui fête ses 2 ans.

D’ailleurs, c’est bien beau tout ça, mais il n’est pas le seul à avoir prit sont temps pour pointer le bout de son museau. Alors aujourd’hui, on se dirige vers un nouveau tome 2 et surtout… une nouvelle fin de série ! Pour celle-ci, je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi m’ayant permit de découvrir ce titre. Si vous désirez d’autres avis Xander et Thiboutsu en ont aussi parlé.

« Adam et Eve »

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8€29 – Seinen – 240 pages

Les yakuzas pris au piège tombent les uns après les autres sous les coups de leurs ennemis invisibles… Seuls Minato, l’expert du toucher, et Smell, le maître de l’odorat, sont encore en état de se battre. Leur affrontement extrasensoriel les mènera aux frontières de la perception !!

Au-delà des morts, l’ennemi reste invisible !

Et nous sommes donc reparti dans le dernier tome de la série Adam et Eve sortit aux éditions Kazé les matous et qui est toujours pour public averti. Comme vous le voyez, cette série ne fait que deux tomes faisant qu’elle est relativement courte  découvrir, mais que nous réservait donc ce second et dernier volume ?

Comme dans le premier tome nous retrouvons Smell, les survivants et les êtres invisibles ayant pénétré dans le club privé où se trouvaient les yakuzas avant de faire, d’une certaine manière, un véritable massacre. Sauf que ce second volume ne nous enfermera pas durant sa totalité dans cet endroit et nous entraînera ailleurs. Adieu l’huis clôt en soi vu que nous verrons autant le club privé au début que la salle d’interrogatoire de la police à la fin.

Smell sera, une nouvelle fois, le personnage que nous suivrons le plus et découvrirons un peu plus également pourtant quelques autres protagonistes sont tout autant présents. Le couple invisible pour débuter, un homme et une femme… Vous voyez où je veux en venir si je vous réécris le titre les matous ? Adam et Eve. Comment ça ce sont des prénoms présents dans la Bible et dans la Genèse ? Certes, certes, mais revenez un peu là où nous sommes à présent même si cela peut vous aider lorsqu’une certaine image apparaît. D’ailleurs, image pouvant nous éclairer à sa manière sur l’identité du duo même si un certain dialogue parlant de mère et de père pouvait également être un très bon indice.

Et… Je dois avouer avoir eu un peu plus de mal avec ce second volume qu’avec le premier, mais peut-être est-ce du au fait que je ne m’intéresse pas du tout à la physique quantiquequi n’était heureusement pas expliquée de manière complexe sinon on m’aurait totalement perdue – ou que j’ai du mal à voir le rapport, justement, entre la physique quantique et l’invisibilité du duo.

Enfin soit, retournons un peu vers notre petit groupe ! Du moins ce qu’il en reste car, si vous vous souvenez, certains sont déjà morts depuis le premier volume. Certains pourront se vanter d’être restés vivant jusqu’au tome final au moins… Tout du moins pas de manière physique vu que le massacre continue dans la joie et la bonne humeur.

Parce que oui, la première partie reprend directement après la fin du premier volume. De ce fait, si vous savez enchaîner les deux tomes faites le sans hésiter afin d’avoir rapidement le fin mot de l’affaire. Mis à part cela, nous retrouvons les derniers « sens » encore lice afin de voir leurs dérives et caractères pour le moins étranges pour certains. Je vous le répète, ce ne sont pas des enfants de cœur alors ne vous attendez pas voir un moment Bisounours, préparez-vous pour tout autre chose.

Hm ? Ah c’est vrai qu’il ne restait plus que le toucher et l’odorat en état de se battre… Quoi que, le sixième sens est également toujours vivant à ce que je sache. Bon, on va dire que monsieur est plus observateur que combattant. D’ailleurs, j’aurai adoré le voir combattre sur le coup ! Parce que bon, même s’il est aveugle, il doit savoir se débrouiller le bougre !

Cette première partie du tome 2 est donc dans la lignée du premier tome et comme le tome 1 je l’ai réellement appréciée, même si je ne comprends toujours pas ce qu’il s’est totalement passé par rapport à Smell. Certes, il y a le côté dépasser la perception que l’on a tous au niveau de chacun des sens, mais… Comment en tant qu’être déjà vivant aurait-il pu y arriver aussi « facilement » ? (et douloureusement) A moins qu’il ne subisse une sorte de « renaissance » comme nous le laisse présager certaines phrases mentionnées lors de la seconde partie… Peut-être est-ce possible par rapport à cela et que la pomme joue un certain rôle…

Pour ce qui est de la seconde partie, nous assistons à l’interrogatoire d’une certaine personne tout en nous montrant qu’une autre à totalement disparu de la circulation. L’incrédulité est présente car, comme à nos yeux, cela parait impossible qu’une personne disparaisse sans laisser de traces dans une pièce fermée et de laquelle il n’est pas parti. Logique. Et c’est là qu’entre la physique quantique et mon côté totalement perdu… Oui, oui… Pourtant on a des explications et tout, mais mon cerveau à du mal à se dire que ça colle réellement avec ce qu’il s’est passé.

C’est là que nous découvrons un peu plus la police sous les traits de deux personnages, mais également le côté plus scientifique avec des jumelles… Tout du moins je présume qu’elles sont jumelles vu leurs ressemblances tant physiques que morales. Chacun à sa manière de voir les choses, mais ne se comprendra pas spécialement. J’ai d’ailleurs bien aimé le fait qu’une certaine grenouille soit prise en exemple par rapport à la transparence étant donné que certains animaux sont capables de le devenir.

Peut-être comprendrais-je mieux en le relisant une seconde fois, à tête bien reposée. Je vous le dirai sûrement dès que l’avis général pointera le bout de son nez, ce sera bien plus simple vu qu’une relecture sera effectuée.

Du côté des dessins, ils sont dans la lignée des précédents et le trait de Ryoichi Ikegami est vraiment réaliste et en met plein les mirettes même si cela s’avère être relativement gore la plupart du temps. Ils sont expressifs, montrent sans difficulté qui est qui et attirent l’œil malgré tout. On ne peut pas dire le contraire, c’est réellement un beau charadesign et des belles illustrations qui nous font face.

Pour ce qui est de l’édition en elle-même, je n’ai vu aucune boulette apparente. L’encre reste sur sa page sans rejoindre nos doigts tout en nous permettant de voir les ombrages, les plis des vêtements. Les dialogues restent présents, chacune des lettres présentes dans les bulles ne s’effaçant pas encore, du moins pour le moment. Pour ce qui est du papier, il n’est ni trop épais, ni trop fin et se tourne facilement et niveau traduction, je n’ai pas aperçu de coquilles aux premiers abords. Comme vous le savez déjà, le manga se plie merveilleusement bien vu qu’il a survécu à un facteur un peu trop radical pour faire entrer l’enveloppe dans la boite aux lettres.

En conclusion, ce deuxième tome fut un peu plus en demi-teinte que le premier bien que toujours aussi prenant par l’action s’y trouvant. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant et c’est réellement la seconde partie qui me pose plus de doute que le reste. Comme dit plus haut, peut-être qu’une bonne relecture me fera voir cela autrement et me fera tout comprendre. Cela reste une série courte relativement passionnante dans son ensemble et que je ne regrette pas d’avoir découverte même si plus d’explications n’auraient pas été de trop. Je vous tiens au courant de l’arrivée – inconnue – de l’avis général mes matous !

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

Site de l’éditeur – Extrait

Les achats du mois d’Octobre

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux ! Pour ma part, je suis un peu – beaucoup – fatiguée ces derniers jours, mais cela finira par aller mieux. Comme tous les débuts de mois, je vous entraîne dans Les achats du mois de… Prêt à découvrir les titres arrivés dans le courant du mois d’octobre, les matous errants ?

Service Presse :

Riku-Do La rage aux poingsTome 5 [Kazé]

Fire PunchTome 3 [Kazé]

Wonder Woman – Warbringer [Bayard]

Des deux services presses lu pour le moment – Wonder Woman étant en court de lecture – je dois avouer ne pas avoir eu de déception. Riku-Do reste un agréable coup de cœur à découvrir au fil du temps, mais Fire Punch est une série à laquelle j’accroche de plus en plus. Je vous parle au plus vite du roman Wonder Woman les matous !

 

Nouveauté :

Les quatre filles du Docteur March [Belgique Loisirs]

L’Hayden – Tome 1 : Le secret d’Eli [Belgique Loisirs – Nouvelles plumes]

Your Name – Roman [Pika]

FûkaTome 1 [Pika]

Les brigades immunitaires – Tome 1 [Pika]

Ikumen AfterTome 1 [Taifu]

Le Cortège des cent démons – Tome 1 à 6 [Doki-Doki] Terminée

 

Un petit loot déjà dévoré en soi ! Trois petits coup de cœur et principalement de belles découvertes dont je vous parlerai dès que possible soit en tome par tome soit… En avis général. Non, non ces derniers n’ont pas disparu, mais comme je rattrapais mes retards pour les mangas précédents j’avais préféré les mettre un peu de côté le temps d’être bien à jour.

 

Suites :

Bungô Stray Dogs – Tomes 3 ; 4 & 5 [Ototo]

The Rising of the Shield Hero – Tome 6 [Doki-Doki] (Offert par Thiboutsu)

DanMachi – Tome 4 [Ofelbe]

 

Toujours un vrai coup de cœur pour The Rising of the Shield Hero, mais j’accroche toujours autant aux deux autres titres. DanMachi avance réellement bien dans sa version Light Novel et cela fait plaisir de s’en rendre compte au fil des pages. Pareil pour Bungô Stray Dogs qui reste un régal à lire. Je vous parlerai des tomes 1 (hormis pour DanMachi vu que c’est déjà fait) et du tome 4 prochainement !

 

DVD :

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Mushishi – Coffret Gold [Black Box]

 

Une seule arrivée niveau DVD, mais un joli coffret que je cherchais depuis un moment alors lorsqu’il est apparu dans mon champ de vision à la Retro MIA j’ai sauté sur l’occasion. Je n’ai pas encore eu l’opportunité de me lancer dans son visionnage, mais j’ai réellement hâte !

 

 

Goodies :

 

Marque-pages – 3 de Sword Art Online aux illustrations différentes ; Spice and Wolf ; Bungô Stray Dogs (inclus avec le manga) [Ototo]

Poster – Fate/Apocrypha [Ototo]

Peluche – Moyen Totoro avec une noireaude [Mon voisin Totoro] ; Pingouin

Charms – Sailor Mercury [Sailor Moon] ; ??? [Naruto] ; Kirby [Kirby]

 

Pas mal de petits goodies se sont ajoutés à la maison et… Et non je ne connais pas le nom du pauvre personnage de Naruto que j’ai eu en charms… Pour une obscure raison j’ai un souci avec les noms des personnages de ce manga. Dès que je l’aurai trouvé je modifierai ces petits points d’interrogation. Mis à part cela, je suis réellement ravie des différents loots réalisés lors de la Retro MIA (Encore et toujours ahah) Bon, il va tout de même falloir que je me trouve vraiment un moyen de ranger mes marque-pages par contre >.< Une pile c’est bien, mais avoir un visuel directement c’est mieux.

 

Autres :

 

Mochis – A la pâte de haricot rouge, à la fraise et à la myrtille.

Sac – Un petit sac rose foncé version fraise lapin.

Bric à brac – Mitaines ; Fer à repasser ; Perles à repasser.

Oui, je déteste le rose de base, mais le petit sac était juste trop mignon… J’avoue c’était un craquage, mais vous savez ma manie de craquer sur ce qui est chou à force TwT Pour le reste, de la nourriture achetée à la Retro MIA, un début de préparation pour l’hiver et du matos pour m’amuser avec les perles à repasser ~ (Oui, le fer à repasser compte dans le matos. Disons que sortir une centrale vapeur un peu trop souvent aurait fini par me rendre folle xD)


Mis à part tout cela, la lecture commune du mois était sur le tome 1 de Yona – Princesse de l’Aube, mais pas seulement vu que La Clé d’Oriane et un Recueil de poèmes et rêveries ont pointé le bout de le nez au niveau des « romans ». Au niveau des mangas le tome 6 de Platinum End a fini par apparaître également et permet une belle remontée du titre ainsi que l’avis sur le tome 1 de Magi.


Futurs achats :

Ils n’ont pas vraiment changé hormis que je compte bien prendre le coffret du Mari de mon frère directement plutôt que d’y aller tome par tome. Un peu comme je l’avais fait avec Orange finalement. Bien entendu, ils ne sont pas tous là sinon la liste serait beaucoup trop longue… Et puis il y a les suites que je dois toujours acquérir également en bonne retardataire que je suis ! Pas mal à faire, en soi 🙂

Et voilà, l’article est déjà terminé pour ce mois. Il ne restera plus qu’a attendre la fin du mois de novembre. Je ne sais pas du tout quels seront les achats sur le coup, mais je verrai bien au fil des jours, des vagabondages possibles et de ce qui arrivera pardi ! Je vous souhaite à tous un très bon mois de novembre, de jolis achats et de belles découvertes 🙂 A bientôt, les matous !

Et vous les matous, quels ont été vos achats ? Y a-t-il eu une de jolies découvertes ? Savez-vous ce que vous allez déjà acheter ?

Lecture commune #4 – Black Butler – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous en ce premier novembre ? Avez-vous fêté Halloween, hier ? Pour ma part c’est à peu près le cas, vu que j’ai regardé La famille Adams dès que Sofia m’a prévenue qu’il était sur 6ter. Pour le reste j’étais encore dans un sale état suite à mon mal des transports (et au temps resté dans un véhicule…) résultat, j’ai passé une nuit en étant totalement dans le chou…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans la lecture commune présente chaque mois avec Allandryll, Thiboutsu et Xander, et cette fois c’était, à nouveau, sur un Shônen. Pour les liens de mes camarades c’est par ici :

Avis d’AllandryllAvis de ThiboutsuAvis de Xander

Vous vous demandez de quel titre nous parlerons cette fois ? Et bien… Si je vous dis qu’un Diable de Majordome est présent, devinez-vous sans difficulté ? Préparez-vous pour un retour dans le temps et un petit voyage car nous sommes en Angleterre en pleine période victorienne !

« Black Butler »

Sebastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d’érudition, d’éducation, d’art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature… Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable…?!

Comme vous l’avez sûrement déjà remarqué si vous me suivez sur Twitter, je me trouve actuellement au tome 24 de la série mais ce n’est pas de ce dernier que je parlerai aujourd’hui. Logique après tout ! Surtout que ça serait ballot que les autres parlent du tome 1 et moi du 24, bien, bien loin lors d’une lecture commune vous ne pensez pas ? Puis je me serais fait taper sur les doigts ce qui est encore moins chouette…

Mais passons ce détail et concentrons-nous sur ce premier tome de cette longue série toujours en cours et présente aux éditions Kana qui peut ou non plaire aux gens. Parce que tout le monde n’a pas les mêmes goûts et cela serait triste si c’était le cas. De quoi ? Le mien de cas ? Je pense que vous avez une brève idée vu l’endroit où je me trouve à présent même si… Ce ne fut pas directement gagné.

Nous découvrons Sebastian et Ciel dans ce premier volume, un majordome pour le premier et l’héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise pour le second. Pourtant, quelque chose cloche et l’on s’en rend rapidement compte au fil des pages, des dialogues. Et si Sebastian n’était pas qu’un simple majordome anglais tout simplement parfait dans tout ce qu’il fait ? Et si l’enfant que nous rencontrons n’était pas qu’un simple noble ? Non, Black Butler ne sera pas un manga tout rose bonbon se déroulant en pleine Angleterre, même si certaines intrigues serontparfois un peu plus calmes au fil du temps.

Ici, nous sommes principalement dans la découverte en compagnie de nos nouveaux camarades de jeux et d’enquêtes. Bien entendu, ils en savent souvent bien plus que nous sinon cela ne serait pas amusant surtout en ce début… Parce que oui, Ciel a déjà un vécu derrière lui que nous ne découvrirons qu’au fil du temps, des apparitions de nouvelles bouilles allant du personnel à d’autres personnes ayant (ou non, en fonction de ce qu’il se passe) des liens avec la famille Phantomhive. Une famille noble pas du tout comme les autres.

Remettons un peu le contexte rapidement… Angleterre, époque victorienne, cela signifie que la Reine Victoria est bel et bien présente tout comme un certain tueur en série que nous ne voyons pas encore en ce début d’aventure. Une époque intéressant plus d’une personne de nos quotidiens, une période remplie d’avancées en tout genre et pouvant en faire rêver certains. Même s’il arrive que quelques éléments ne soient pas du tout raccord avec l’époquece qui peut changer au fil du temps d’ailleurscela ne m’avait pas trop sauté aux yeux lors de la première lecture, mais je m’en suis rendue compte suite aux nombreuses relectures.

Parce que non, ce n’est pas la deuxième fois que je relis le début de Black Butler et je dirais même que je dois être au moins à cinq bonnes relectures depuis que j’ai débuté alors que le tome 1 n’est pas mon préféré. Loin de là même, car à sa manière il ne montre pas réellement tout ce que nous réservera l’histoire. Certes, nous y retrouvons la noirceur présente dans chacun des arcs, l’humour (ou la naïveté) de certaines répliques ou personnages, mais pas la réelle continuité pouvant être retrouvée dans la suite. Ce premier volume est bel et bien là pour nous présenter la petite troupe, pour que l’on puisse mettre un visage sur un nom, un tempérament, un « travail » ou une hiérarchie belle et bien présente tout en découvrant ce qui lie Sebastian à Ciel.

Un lien prenant de l’ampleur au fil des volumes et dont on ne doute pas un seul instant de l’impact radical qu’il aura, plus que probablement, dans le futur. Mais en attendant, au tout début (et lors de certaines scènes plus tardives) Yana Toboso flirte, gentiment en soi, avec le shônen aï pouvant apparaître en Ciel et Sebastian bien que notre jeune noble, comme nombre de personnes de son âge à l’époque, ai déjà une fiancée. Bah oui, cela peut sembler tôt et pourtant c’était assez courant dans le temps.

De quoi ? Les personnages ? Et bien, et bien, le duo principal est Jekyll et Hyde Ciel et Sebastian. Notre comte est relativement jeune au début de l’histoire, d’un tempérament pouvant s’avérer assez moqueur à ses heures perdues tout en étant sûr de lui malgré quelques petites failles que nous découvrirons petit à petit lié à son passé. A ses côtés, Sebastian s’avère être un majordome parfait dans tout ce qu’il fait, réparant les bêtises des domestiques de la maison Phantomhive sans trop de difficultés apparentes même lorsqu’il faut improviser.

Un enfant et un homme somme toute parfait. Une base pouvant déjà donner envie à certains de fuir loin, très loin, alors qu’en réalité nous découvrons au fil des tomes la complexité de tout cela. A leur côté, se trouve les domestiques composé de Bardroy le cuisinier pouvant manier le lance-flamme en guise d’ustensile de cuisine, Finnian le jardinier à la force herculéenne, Mey-Linn/May-Linn (Oui, j’hésite toujours…) la femme de ménage ne voyant pas grand chose avec ses lunettes et Tanaka… Ce dernier étant l’ancien majordome de la famille Phantomhive. Tout quatre nous montre déjà des différences notables dans leurs caractères dès le départ, même si la maladresse est de mise dans leurs métiers hormis pour le dernier cité. Oui, Tanaka était doué, mais à présent vous le verrez avec sa petite tasse de thé.

Bien qu’au début, il est possible de se poser des questions – réelles – sur ce qu’ils font là, la réponse arrive réellement au bout d’un moment. Ils ne sont pas aussi incapables que ce qu’ils peuvent montrer dans des tâches pouvant être vues et considérées comme simples par certains. D’ailleurs, l’un des quatre cités fait partie des personnages que j’apprécie énormément. Pour mes autres chouchous, ils arrivent bien plus tard alors je me tais et ne vous en dit pas plus.

Aux côtés de nos chers camarades, d’autres personnages pointent le bout de leur nez dont Elizabeth que… Je n’aimais pas du tout à ce moment là. Dans ce premier volume, je la trouve réellement directe voire puérile et n’hésitant pas à imposer ses choix même si Ciel ne veut pas du tout… A présent, cela va beaucoup mieux et lors de cette nouvelle lecture j’ai eu le cœur serré en pensant aux raisons la poussant, en réalité, à faire cela. Comme quoi, la première impression n’est pas toujours la bonne. Bien entendu, elle n’est pas la seule à se montrer car Madame Red – nommée également Angelina Dalles – est également là. Sœur de la défunte mère de Ciel, elle tient énormément à son neveu même si tout n’est pas facile pour elle non plus.

Je n’en citerai pas d’autres, ayant déjà cité le plus grand nombre des personnages se montrant tout en évitant certains noms, mais sachez que cela ne s’arrête pas à ces derniers et qu’au fil des volumes le nombre de personnages augmente en fonction de l’arc en cours. Chacun ayant son importance, même fugace, afin de voir l’évolution des protagonistes, l’avancée de l’arc, un personnage plus historique ou tout simplement un être ne se trouvant pas au bon endroit au bon moment. Oui, cela arrive aussi… Il faut également savoir que certains personnages sont inspirés d’autres êtres de papiers ou de chairs tels qu’Elizabeth Midford qui s’inspire d’un personnage très connu : Alice Liddle. Oui, l’un des personnages de Black Butler est basé sur l’héroïne du célèbre Alice au Pays des Merveilles.

Mais Neko, tu n’as toujours pas parlé des dessins ! Ah… C’est vrai. Et je dois avouer que cela me faisait réellement bizarre de revenir aux débuts de Black Butler vu que les traits de la mangaka ont bien évolué avec le temps. Ils sont réellement fins, peuvent être considérés comme étant très féminins à ce moment là et je dois dire que je ne suis pas mécontente de l’avoir vu se modifier, devenir tel qu’il est aujourd’hui. Pas qu’il ne donne pas bien, mais à présent je le trouve très et même trop fin. Une question de goût en soi ! Pourtant il y a bien pire, je le sais parfaitement, c’est juste le retour en arrière très radical sur le coup qui doit me faire cet effet.

D’ailleurs, les couvertures ont également bien changé au fil du temps. Sur ce premier volume – et une partie des suivantson découvre Sebastian en tant que majordome ce qui est logique en soi et, un détail qui m’amusera souvent avec la série, c’est ce qu’il y a en-dessous de la jaquette. Détournement de l’image de base, du titre et changement de résumé ! Et oui, une nouvelle histoire apparaît sous nos yeux un court instant et… Et bah parfois j’aimerais bien lire la dite histoire pouvant être créée à partir de cette idée ! Je précise que je suis réellement ravie que le Sebastian à toute les sauces n’ai plus été aussi présent au fil du temps parce que chacun des personnages a sa place sur la jaquette. (Dommage pour certains par contre qui n’auront pas eu cette chance)

Pour le reste, la qualité de l’édition en elle-même est relativement agréable. Kana faisant, comme souvent, du bon travail et nous laissant avec un papier ni trop fin, ni trop épais pour le bonheur des yeux ne découvrant pas directement ce qu’il se passe par après, mais également celui des doigts ne se coupant pas tout le temps. Au niveau des trames et de l’encre, je n’ai pas non plus eu de souci et ce même après relecture. Tout était encore à sa place, aucune dégoulinure depuis le début et toujours rien sur les doigts. Un bonheur pour tout lecteur tournant les pages et mettant ses mimines sur l’encre ! Il ne me reste plus qu’à parler de la traduction en elle-même pour laquelle je ne me souviens pas de boulettes. Les dialogues collent aux personnages, tous ont leurs propres bulles pleines et je n’arrive pas à avoir en tête une erreur orthographique. Temporelle peut-être, mais là n’est pas le souci en ce moment vu que c’est directement dans le manga en lui-même. (Coucou petit téléphone ne devant pas être réellement présent à ce moment là ~ )

Vous l’aurez donc comprit, je pense, Black Butler est une série que j’apprécie énormément découvrir, mais dont le début ne montre pas réellement toute la réelle avancée qu’il y aura lieu. Cela peut en bloquer certains dès le départ s’ils n’arrivent pas à s’attacher aux loufoqueries présentes malgré le côté sérieux se montrant de plus en plus au fil des volumes. Chacun des personnages voit son background s’étoffer au fil du temps et il ne faut pas, non plus, se baser sur les premières impressions ressenties… Sinon je pense que j’aurais fini par vouloir tuer Elizabeth là où j’en suis. Elle en a de la chance notre petite demoiselle.

Pour le reste, cette saga ne se veut pas historique. Pas du tout même, malgré quelque référence à certains événements, appareils ou certaines personnes ayant réellement existés au fil du temps. Les bases sont là, réutilisées pour prendre place dans l’univers créé par la mangaka et lui permettant de nous faire découvrir certaines choses grâce aux différents arcs. Ce tout premier tome nous permet donc de nous faire une première idée, une idée pas forcément rose par rapport au titre car il est possible de se demander où il va nous mener, si nous ne finirons pas tourner en rond ou à le trouver réellement lourd au possible. Pour le moment, là où j’en suis, ce n’est pas le cas même si ce premier volume n’est – et ne sera sûrement jamais – pas mon préféré. Il nous permet de voir le côté loufoque et sombre, mais difficile d’avoir la réelle ligne de conduite de l’œuvre.

Et vous les matous, lisez-vous la série ? Où en êtes-vous ? Y-a-t-il un arc que vous préféré ou un personnage ? Qu’en avez-vous pensé si vous l’avez essayé ?

 

Site de l’éditeur – Extrait – Trailer vidéo

Le petit journal nekoien #11

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Oiseau – Garden of Words

Coucou les matous comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Comment ? Oh, vous avez un peu froid ? Et bien la cheminée n’est pas loin, suivez-moi et mettons nous un peu au chaud. Pour ceux qui désirent une boisson chaude tels qu’un lait ou un chocolat n’hésitez pas à utiliser les ustensiles présents, je ne sortirai pas les griffes et pour les autres prélassez-vous.

Aujourd’hui, comme vous le savez c’est lundi et c’est armée de mon poncho tout doux et de ma bouteille d’eau (Non, pas de chocolat chaud pour moi ce soir) que je vous laisse avec le petit journal nekoien en espérant qu’il vous plaira toujours autant que d’habitude. Bonne lecture les matous doux ♥

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« Il se tourne sous sa couette, tente désespérément de dormir »

 

« Fin de la gelée et de la compote » De quoi ? Oui, je pensais la dernière fois qu’il n’y en avait plus et devinez quoi…. Maman Neko a retrouvé des pommes comme par magie. Résultat, nous avons préparé à deux de la gelée de Noël (pomme/cannelle/orange/zeste de citron ne se sentant pas au goût) et servant de goûteuse – non professionnelle – c’était franchement bon ! J’ai hâte de voir ce que cela donnera mélangé à d’autres aliments ♥

« Sortie repas » Comme vous vous en doutez, je ne suis pas restée à la maison tout le temps. Ça serait triste quand même et ce malgré le fait que je sois bien peu sortie au fond durant la semaine écoulée. C’est vendredi que ce fut bien plus radical vu que j’ai suivi mes parents chez l’une de leurs amies où nous avons mangé une super bonne bouillabaisse ! Un véritable régal, même si mon estomac était un peu trop plein à la fin… Et que je suis rentrée un peu tard. Niveau boisson j’étais assez soft en soi avec 3 petits verres de champagne et le litre de jus d’orange qui a suivit. Oui, c’est normal pour ce dernier et je ne suis pas malade avec ça, ne vous inquiétez pas… (Ne me demandez pas comment ça se fait, je n’en sais rien… TwT’)

« Début de la formation » La formation en jobcoaching a débuté il n’y a pas si longtemps (d’ailleurs, j’y étais aujourd’hui également) et c’est réellement intéressant je trouve, même s’il y a bien sûr des éléments que je connaissais déjà. Je retouche déjà un peu mon CV suite à quelques informations apparues dernièrement et par après ce sera la lettre de motivation (qui aura une vérification orthographique aussi…). Il faut aussi que je pense à trouver une farde vide pour ranger le syllabus reçu aujourd’hui et que je passe au fluo quelques petites choses. Tout prend forme, à son rythme, mais ça prend forme !

« Perles à repasser » Ahaha, vous vous souvenez des perles que j’avais achetées durant le mois passé ? Et bien ce sont des perles à repasser (Hama ou Ses dans la plupart des cas par chez moi) qui me permettront de faire du « pixel art » avec les dites perles. J’ai juste fait quelques petits essais pour le moment et aucun n’a fini sous le fer à repasser donc à suivre !

« Création de ma bibliothèque sur Bubble » Mais qu’est-ce donc que « Bubble » ? Cela ne doit pas être un jeu si je vous en parle ici, mais cela paraît tout de même étrange. Et bien c’est tout simplement une application mobile vous permettant de gérer les mangas/BD/Comics/LN (oui, oui, ces derniers sont là aussi) présents dans vos collections et de voir le nombre d’albums et de séries que vous possédez tout en découvrant celles… Où il vous manque des volumes. Et je dois avouer qu’elle est hyper pratique ! Je n’ai pas encore tout mit, mais je dépasse déjà les 500 volumes… Rien que pour les mangas et Light Novel, en sachant que tous ne sont pas ajoutés dans ma bibliothèque et que j’ai également des BD et quelques Comics (pas beaucoup, mais tout de même !) je ne suis pas sortie du château… Site de l’application

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« Non loin de son lit, un petit être est en train de l’observer silencieusement »

 

« Un renard adorable » Un petit texte pour une personne comptant beaucoup pour moi à présent ! Je ne savais pas quoi lui offrir pour montrer que c’est une personne adorable sur qui il est possible de compter et finalement… Ce fut un petit One Shot ! J’ai réussi à le finir en un jour, ce qui est assez miraculeux au fond, et il était destiné à Lunare que vous connaissez grâce à Lunare le Voyageur et La Critique vulpine. Comme vous vous en doutez, le texte parle d’un renardeau qui ne sait pas vraiment à quoi s’attendre avec ses amis sur le coup car ceux-ci semblent préparer quelque chose. Quoi ? Il n’en sait rien et il finira par avoir le fin mot de l’histoire au fil des lignes. 3 pages Word ; Texte terminé.

« Le lapin aux yeux rubis » Le petit lapin albinos continue sa petite aventure de mon côté, certes le texte n’est pas encore terminé mais il prend forme. Maman Lapin souffre réellement de voir son lapereau aussi triste, mais un petit événement inattendu aura lieu. Lequel ? Bonne question et je ne le dirai pas tout de suite ! 2 pages Word ; En cours.

tumblr_inline_ne686jzzxi1qbiwtr« Mais l’enfant n’est pas rassuré, loin de là, et pense que c’est le croque-mitaine »

 

« Les Enfants de la Baleine » Je l’ai débuté rapidement hier afin de voir ce qu’il donnerait et je suis bien curieuse de voir comment est retranscrite la suite sur le coup. Vous savez déjà que j’aime énormément cette série si vous avez lu mes différents avis sur ce titre présent aux éditions Glénat et une fois lancée dans l’anime… Wow. Il y a tout plein de couleurs ! D’ailleurs, cela m’a fait bizarre de revoir certains personnages, mais ce qui m’a le plus perturbée au début – avant de m’habituer – c’est la voix de Chakuro. Je ne la voyais pas du tout ainsi ! Bon… Je vais m’avaler les autres épisodes durant la semaine ! Vu 1 épisode.

« Harry Potter à l’école des sorciers » De quoi ? Comment ça il est connu ce film ? Oui et alors ? J’aime bien me refaire de temps en temps les différents Harry Potter que ce soit en film ou en livre, cette fois ce sont les films comme vous le voyez et ça me rend tellement nostalgique de retrouver notre petit sorcier. Moi aussi, je rêvais de recevoir ma lettre pour Poudlard il y a… pfiou pas mal de temps maintenant ! Je sais même à coup sûr dans quelle maison j’aurais pût atterrir (Poufsouffle pour les curieux). Mais revenons en vite fait au film voulez-vous ? Je dois dire que je passe toujours un bon moment lorsque je retrouve l’univers et que le premier film reste mon préféré quoi qu’il arrive dans la saga. Il est tellement magique au fond ♥ Vu 1 film

2e979fb3697a1aac6422361c877eed82-drawing-pictures-artwork-ideas« Il n’ose pas sortir de sous sa couverture et espère, seulement, que la créature s’en ira si c’est réellement l’être en question »

 

« Granblue Fantasy » Même si je n’ai pas sût y jouer autant que la semaine précédent, j’ai tout de même sût finir les quêtes liées à Halloween me permettant d’avoir quelques petites armes en plus. Je suis également partie affronter de grosses bêbêtes qui en ferait trembler plus d’un si elles étaient réelles même si je n’ai pas réussi à le finir. Le prochain événement sera « Forgiveness and Gratitude » et je me demande ce qu’il réservera sur le coup !

« Battle Champs » Un petit jeu sur lequel je suis tombée par hasard et sur lequel j’ai craqué à cause des graphismes. Oui, je suis grave… Mais ils sont tellement adorables ! Je n’ai pas eu de mal à le prendre en main et même si je ne suis qu’au début j’apprécie découvrir les différentes mécaniques entre les attaques, les différents éléments à ajouter sur le vaisseau, l’histoire présente malgré tout. Je vous tiens au courant dans les prochaines semaines ! Site de l’application.

« Animal Crossing : Pocket Camp » Oui, il n’est pas encore présent chez nous… Oui, je joue en ayant comme situation géographique l’Australie et je l’ai trouvé sur QooAp. Mais au moins, je peux le découvrir tranquillement ! Je ne sais plus si je vous l’avais déjà dit, mais j’apprécie la licence Animal Crossing même si je ne sais pas y jouer trop longtemps, ce sont donc de petites sessions parfois espacées durant un bon moment que je réalise. Ayant apprit qu’un jeu devait sortir sur mobile, j’ai laissé parler ma curiosité et je suis tombée dessus avant d’y jouer. Bon, mon téléphone a du mal à le supporter au point que le jeu m’éjecte au bout d’un moment, mais de ce que j’ai réussi à voir il est dans la lignée de ceux que nous connaissons sur console. Même si je comprends l’anglais – grosso modo – j’ai tout de même hâte qu’il apparaisse en français car ce sera encore plus sympa d’y jouer, je pense !

« Digimon World DS » Un jeu DS ? Un jeu Digimon ? Tu vas bien Neko ? Parfaitement ! Et je remercie un petit renard qui se reconnaître de me l’avoir fait découvrir ce jeu franchement sympathique ! Je suis triste qu’il ne soit jamais sortit chez nous, mais l’anglais présent n’est pas trop difficile. La mécanique du jeu s’apprend d’ailleurs très, très rapidement que ce soit pour les combats, les quêtes ou les digivolutions tout s’avère limpide dès que l’on sait comment cela se déroule. La digi-ferme également et… Et… J’ai juste une envie, repartir à l’aventure accompagnée de mes petits Digimon. Après tout j’ai un Black Agumon à vaincre !

« Teacher Story » Et cette fois-ci nous sommes sur navigateur avec Teacher Story, un jeu pouvant ressembler à un tactical RPG en milieu scolaire où nous incarnons un professeur devant… Faire remonter la note de sa classe. La mission peut s’avérer relativement ardue lorsque l’on se prend de fourbes attaques de la part de nos chérubins, mais si l’on s’accroche il est possible de vaincre ! Je ne suis qu’au début, pour le moment, n’ayant pas un niveau très élevé et pourtant il m’arrive de voir ma barre descendre très, très bas. Ah les enfants… Ils peuvent autant être des anges que des démons quand ils s’y mettent. Lien d’invitation.


 

Et… c’est terminé pour la semaine écoulée ! Et oui déjà… le temps passe vite n’est-ce pas ? J’espère que la lecture aura été agréable comme d’habitude et qu’elle vous aura un peu changé les idées. Une nouvelle semaine débute, emplie de découvertes, de rencontres et d’événements divers que j’ai hâte de découvrir. Que réservera cette nouvelle semaine ? Que donnera-t-elle ?

Je vous souhaite une douce et belle semaine que ce soit celle de la reprise ou des vacances en fonction de ce que vous faites. Tout plein de douceur, de joie, de bonheur sur chacun d’entres-vous car vous le méritez que vous soyez des lecteurs fantômes ou des personnes laissant très souvent des commentaires, sachez que je pense à vous et vous souhaite tout plein de bonnes choses pour cette nouvelle semaine ainsi qu’une belle fête d’Halloween pour demain. D’ailleurs, comme à chaque fois, n’hésitez pas à me donner votre avis si vous le désirez dans les commentaires, sur Twitter ou ailleurs. Je serai ravie de vous lire, que ce soit une petite phrase ou un gros paragraphe. Mais, même si vous ne laissez rien, sachez que je suis heureuse que vous soyez déjà venu par ici et que vous ayez lu l’article.

 

Comment s’est déroulé votre semaine ? Que vous réserve celle-ci à votre avis ? Fêterez-vous Halloween ? Que regardez-vous pour le moment ? Y a-t-il une activité dans laquelle vous vous êtes lancé ?

La clé d’Oriane

Et coucou les matous ! Oui, cette semaine est bien plus chargée en article que les autres semble-t-il, mais ne comptez pas sur moi pour faire tout à fait pareil la semaine prochaine. J’espère que vous allez bien et profitez un peu lors de vos pauses si vous êtes en cours ou au travail. Pour ceux qui l’auraient manqué, j’ai parlé pour la première fois d’un yaoï sur le blog hier avec Ikumen After alors n’hésitez pas à aller lire l’avis si cela vous intrigue.

Aujourd’hui, c’est un roman auto-édité qui pointe le bout de son nez dans notre antre. D’une certaine manière cela devient une sorte de petit rendez-vous à certains moments du mois quand j’y pense… Vous vous demandez sûrement dans quel monde je vous entraîne cette fois-ci et bien n’attendons plus ! On rejoint…

« La clé d’Oriane »

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3€99 & 9€99 (broché) – Fantastique – 190 pages

Oriane est une dessinatrice talentueuse. Elle tente de se remettre d’une rupture difficile en s’adonnant à sa passion, les jeux vidéo en ligne. Mais lorsque le héros sort de l’écran, le virtuel se mêle au réel, la fantasy à la science-fiction, et tout est bouleversé…

Bien malgré elle, l’héroïne se trouve entraîné dans une enquête haletante qui fait hurler de rire à chaque page !

Avant de débuter, je remercie Leslie HELIADE et la plateforme Simplement Pro qui m’ont permit de découvrir le titre dont le résumé m’intriguait déjà dès sa lecture lorsque Leslie me l’a proposé. Une belle surprise en soi et j’ai accepté joyeusement la demande avant de me plonger dans les 190 pages constituant l’ebook reçu.

Comme toujours, je l’ai lu sur mon IPOD – oui, il tient le coup le petiot ! – et je n’ai eu aucun souci pour le lire malgré les nombreux bugs dont il commence à souffrir. Bah oui, il fini par me fermer des pages tout seul alors je me méfie à force lorsque je lis… Heureusement pour moi, il ne le fait jamais – pour le moment – et ne l’a pas fait cette fois-ci non plus ! Mais revenons-en à l’article en lui-même mes matous !

De quoi nous parle La clé d’Oriane ? Et bien, d’une jeune dessinatrice talentueuse nommée justement… Oriane ! (Oui, ce n’était pas compliqué, je sais) La demoiselle essaie de se remettre d’une rupture avec un policier, Xavier, en jouant aux jeux vidéo sauf que quelque chose de relativement anormal va se passer. L’un des personnagesnommé Serrurese pointera gentiment dans le monde réel et ne sera vu que d’Oriane. Comment est-il arrivé là où se déroule l’histoire ? Comment ne pas être prit pour une folle lorsque l’on est la seule personne à voir un tel être et à qui se confier ? Une enquête démarrera avec un humour bien présent et de nombreuses références à des univers connus de la plupart des gameurs !

Notre héroïne est une jeune  femme aimant les jeux de rôle et au style gothique. Suite à sa rupture avec Xavier – qui fera un magnifique choc à Oriane – elle se réfugiera chez Chloé, l’une de ses amies, qui lui proposera de jouer à un nouveau jeu afin de se changer les idées. Une méthode approuvée par pas mal de personnes au fond vu que le temps de la partie le joueur est, d’une certaine manière, le personnage qu’il joue. Le hic ? Comme vous l’avez-vu plus haut un dénommé Serrure va se pointer dans notre monde et n’être vu que par Oriane. Oui… N’importe qui dirait qu’elle est folle ou penserait avoir des hallucinations si l’on était à sa place.  Sauf que… Ce n’est pas le cas.

Pour ce qui est de Serrure c’est un voleur d’une trentaine d’année si je ne me trompe pas (moi et les âges de toutes manières…) à l’humour et aux répliques faisant mouche sans difficulté. On se demande ce qu’il fait ici, comment il a fait pour parvenir dans notre monde, pour quelles raisons seule une personne le voit. Après tout, un personnage de jeu vidéo devrait rester dans le monde qu’il connait à l’origine… Ce qui signifie, pour Serrure, un monde plutôt RPG avec des quêtes, des tavernes et tout ce qui fait la joie des jeux de rôle en fait ! Sauf que le jeune homme connaît également pas mal d’autres jeux qui vous rappelleront sûrement des souvenirs. Je suis certaine que certains titres vous diront quelque chose. (D’ailleurs, je suis d’accord avec lui Assassin’s Creed est un monde dangereux si on veut y passer des vacances…)

On rit en compagnie du duo de base, on vit leur quête ainsi que les différentes phases de la pauvre Orianequi est un personnage féminin au topdevant tout de même faire avec un voleur bavard invisible aux yeux de tous. Et oui, Serrure n’est pas du genre à être muet comme une carpe. Les différentes références aux jeux vidéo également sont de la partie vu que nos deux nouveaux amis connaissent chacun à leur manière cet univers. De plus, on voyage également dans Paris ! Comment ça, je ne vous avais pas dit que l’histoire se déroulait en France ? Et bien c’est fait à présent.

Comme vous l’avez lu, l’histoire est une enquêteet pourrait même être considérée comme une quête si l’on se base sur les jeux – nous permettant d’en savoir plus, de découvrir les lieux, de se dire que la pauvre Oriane à tantôt de la chance, tantôt pas du tout… Et surtout de rire, de s’attacher, de réfléchir en leur compagnie. Et puis, des enquêtes pareilles j’en redemande pour ma part ! Surtout que mon imagination me permettait sans problème de voir les lieux et les protagonistes, de visionner sans difficulté ce qu’il se passait.

Et pour ça, la plume de l’auteur fait un travail remarquable. Parce que oui, c’est elle – et donc Leslie – qui permet tout cela à l’aide des descriptions et des répliques. J’avais l’impression d’être en compagnie de ces êtres fait de papier et d’encre. On ne s’ennuie pas, tout s’enchaîne logiquement et toute discussion à son utilité que ce soit pour détendre l’atmosphère, nous en apprendre plus ou « être » avec eux. De plus, la lecture est fluide et rapide au point de ne pas me faire lâcher le pauvre IPOD – vous vous souvenez de cet être surexploité ? – avant la fin de l’ebook. Une fin me donnant envie de rester en compagnie de la troupe, de les retrouver encore et encore…

Mais les bonnes choses ont toujours – à ce qu’il parait – une fin… Et j’ai bien dû éteindre mon acolyte avant d’écrire mon avis et vous le partager. Toutes les émotions retrouvées durant la lecture, les questionnements, l’envie de ne pas finir, les rires et le simple fait que j’apprécie énormément les personnages. Ils m’auront fait passer un bon moment, un merveilleux voyage tout en profitant de toutes les références connues ou inconnues, parce que non je ne connais pas tous les jeux, mais mettant des étoiles dans les yeux malgré tout. Certes, je ne sais pas comment j’aurai réagit dans la vie de tous les jours si un personnage tel que Serrure était apparu comme par magie, mais il faut dire qu’il est réellement agréable à découvrir.

Et vous les matous, connaissez-vous le titre ? L’avez-vous lu ? Si non, compteriez-vous le lire ? Jouez-vous aux jeux vidéo ? Quel est le genre que vous préférez ? Souhaiteriez-vous qu’un personnage apparaisse chez vous et si oui lequel ? Aimeriez-vous découvrir d’autres mondes ?

 

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Voyageuse – Tome 1

Et vous savez qui est en retard les matous avec le stress et tout qui s’était accumulé la semaine passée ? Oui… C’est moi… Vous me direz que c’est habituel, mais tout de même d’habitude j’arrive à tenir mes délais… Comme vous l’avez remarqué, la semaine passée n’avait pas du tout été riche en article – depuis la reprise des examens en fait – et devoir attendre me faisait pas mal stresser. (Et à force vous savez comment je suis à l’arrivée dès que je me sens mal…) J’avais réussi à en sortir quelques uns, mais contrairement à d’autres fois mon rythme était très, très réduit. A présent, cela va mieux et je reprend tous mes petits retards >.<

Je remercie Iman Eyitayo et la plateforme SimPlement pour le service presse et m’excuse pour le retard vu qu’il devait sortir pour le 7 de la semaine passée normalement au plus tard. Le pire dans tout ça ? Il était lu et l’avis était prêt… Mais avec la totale à la maison tout était un peu parti en cacahuète (Heureusement, c’est passé et dans ma tête ça va également bien mieux) faisant que mon cerveau ne suivait plus du tout… Enfin, bref c’est parti pour l’avis les matous ! Après tout, c’est ce que vous attendez tous !

« Voyageuse »

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4€99/11€90 (broché) – Fantastique – 293 pages

À 18 ans, Kanyin vient de terminer son lycée avec brio et ne tient plus en place à l’idée d’entrer enfin à l’université.
Toutefois, lorsque sa mère lui annonce qu’elle doit passer ses vacances au Bénin, auprès de son père, sa bonne humeur s’évapore. Ce dernier étant constamment accaparé par son métier de chirurgien, la jeune fille s’attend à deux mois d’ennui et de solitude.
Elle ne prévoyait certainement pas retrouver un vieil ami d’enfance dans une situation plus qu’inattendue : dans le coma.
Et elle s’attendait encore moins à ce qu’en le touchant, elle se retrouve projetée dans un endroit des plus étranges…

Mais qu’est-ce que « Voyageuse » ? Un roman autoédité où nous suivons Kanyin, une demoiselle de 18 ans venant de finir le lycée et qui s’avère être pressée d’entrer à l’université. Une personne normale en somme. Pourtant, sa mère lui annoncera qu’elle passera ses vacances au Bénin auprès de son père ce qui… Ne rend pas la demoiselle très heureuse… Pourtant, quelque chose d’étrange se déroulera durant ses vacances.

Parce que oui, Kanyin se retrouvera dans un monde fantastique, mais également cruel, où tout comme d’autres personnes elle sera piégée bien malgré elle. Le personnage en lui-même est vraiment agréable à suivre, à découvrir et on la comprend réellement sans difficulté dans ses choix. Le simple fait qu’elle aille aux côtés de son ami d’enfance qui se trouve dans le coma, le soutenant comme lui l’avait soutenue dans le passé, est réellement logique. On la comprend, on la suit et on découvre ce nouveau monde en sa compagnie.

Un monde qui n’est pas très, très féérique au fond. Parce que oui, fantastique ne rime pas forcément avec féérique –même si dans le cas du son final c’est le cas – et Iman Eyitayo c’est réellement bien débrouillée pour nous faire entrer dans ce nouvel univers. Un univers qui apparaissait sans aucune difficulté sous mes yeux lorsque je lisais, que j’aurais réellement aimé découvrir en me baladant moi-même malgré les risques.

Vous le savez à présent, je suis curieuse alors dès qu’un univers me plait ma cervelle fonctionne à du cent à l’heure. Ce faisant, les images se créent et mon subconscient me fait vivre l’aventure aux côtés des personnages tel un fantôme que l’on ne voit pas, un être dont la présence n’est pas détectée. Et sincèrement, entrer dans le monde et ne plus se sentir réellement dans le nôtre c’est réellement chouette ! Bon par contre le retour à la réalité est parfois violent…

Mais revenons-en à l’histoire, parce que je m’égare encore. En plus de Kanyin, nous découvrons également son ami d’enfance nommé Jun. Un garçon plus réservé, en fait il complète parfaitement son amie qui est bien plus impulsive. De plus, comme nous découvrons tout du point de vue de Kanyin nous ne savons pas ce que ressentent les autres personnages, ne savons pas tant d’informations sur eux. Ce faisant, nous gardons le mystère sur ce que ressent Jun durant ce volume, sur ses sentiments.

Certes, ce genre de point de vue peut poser problème à certaines personnes, mais on s’attache à Kanyin, à sa vision. Même si, vu ma curiosité maladive, je voulais en savoir plus sur ceux que l’on découvre et leurs états d’esprit. Curiosité quand tu nous tiens, tu ne nous lâches plus durant un bon moment. Pourtant, garder du mystère sur les autres protagonistes ne m’a pas tant dérangée que cela vu que nous les reconnaissons malgré tout grâce à leurs physiques ou leurs caractères. Ils sont chacun unique, on s’y attache même lorsque l’on galère un peu à retenir leur prénom mais ça, c’est ma mémoire de poisson rouge vu que même IRL cela m’arriveet cela fait plaisir de les découvrir, chacun leur tour.

De plus, c’est la plume de l’auteur en elle-même qui m’a fait entrer dans ce monde à travers les yeux de l’héroïne. Une héroïne forte, possédant ses défauts, que la plume d’Iman Eyitayo fait vivre tout en nous peignant un monde irréel qui devient, pourtant, réel à nos yeux. Et puis, le résumé en lui-même attire pas mal de gens tant il nous donne envie de savoir dans quoi Kanyin va se retrouver, les raisons faisant que Jun se trouve dans le comma et j’en passe. Des questions arrivant dès la lecture et trouvant des réponses en tournant les 293 pages.

J’entends parfois des gens dire que plus de 100 pages c’est long à lire, ce qui n’est pas du tout mon cas vu que j’avale des romans de 500 pages sans trop de difficulté lorsque je ne suis pas épuisée psychologiquement ou malade comme un  chien, pourtant les pages de ce roman se tournent toutes seules. Dès que l’on entre dans l’univers, dès que l’on arrive à suivre Kanyin on ne voit pas le temps passer. Tout du moins, je ne le voyais pas et j’ai été surprise d’arriver à la fin de ce premier volume. Un premier tome donnant terriblement envie de découvrir la suite, de continuer l’aventure, d’en savoir plus… D’être tout simplement avec eux encore un peu plus longtemps.

Je pense que vous l’aurez comprit durant la lecture, mais j’ai réellement bien accroché à l’univers créé par l’auteur et aux personnages même si, comme à chaque fois, je veux en savoir plus et aller encore plus loin dans le monde créé. Les vieilles habitudes ne partent jamais après  tout… Si vous en avez la possibilité, n’hésitez pas à l’essayer et à vous lancer dans sa lecture afin de changer de monde le temps de tourner – virtuellement dans mon cas – les 293 pages constituant ce petit ebook. Un ebook remplit de douces surprises et attirant le regard dès sa couverture que je suis ravie d’avoir découvert. A présent, je suis aux anges de pouvoir vous en parler, même si c’est avec du retard, car cela vous fait découvrir un nouveau titre les matous !

Connaissez-vous le titre ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Désirez-vous le découvrir ?

 

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Lecture commune #2 – Your Name – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux ! Cette semaine il n’y a pas eu de petit journal nekoien suite à un programme un peu plus chargé depuis lundi et au fait que la semaine passée avait été très calme… Ne vous inquiétez pas, il revient la semaine prochaine sans problème – vous aurez pour deux semaines à la place d’une dedans – et je m’excuse de ne pas avoir sût le mettre en ligne.

Aujourd’hui, je vous entraîne dans une lecture commune en compagnie des trois autres larrons que vous connaissez déjà et qui ont déjà mit leurs avis en ligne… Oui, comme toujours je suis à la bourre et la dernière. Ce n’est pas prêt de changer on dirait… En ce mois de septembre, c’était le seinen qui était mit à l’honneur, pour leurs avis cliquez sur les liens ci-dessous :

Avis d’AllandryllAvis de ThiboutsuAvis de Xander

Prêt à découvrir le mien ? On y va les matous !

« Your Name »

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7€50 – Seinen – 180pages

Mitsuha est une jeune lycéenne qui supporte mal la vie maussade de sa campagne… De son côté, Taki mène une vie de citadin tokyoïte. C’est deux-là n’ont rien en commun, et pourtant… Mystérieusement, le temps d’un rêve, chacun prend la place de l’autre…

C’est le début d’une grande histoire.

Dans Your Name nous découvrons Mitsuha et Taki, deux adolescents que tout oppose jusqu’au lieu de vie. Pourtant chacun prendra la place de l’autre à un moment donné, se retrouvant respectivement dans le corps d’un garçon tokyoïte et d’une fille vivant à la campagne ce qui leur permettra de découvrir la vie de l’autre…

Il faut savoir que lors de ma première lecture du manga je n’avais pas encore vu le film d’animation – et que je n’avais pas lu le roman non plus – ce faisant je n’avais aucun point d’ancrage au début contrairement à d’autres. Je me lançais dans un terrain totalement vierge, inconnu et pour lequel je ne savais pas du tout à quoi m’attendre.

Point positif ? Je partais de zéro à l’origine et ne pouvais pas faire de comparaisons durant ma lecture. Soit j’entrais dans l’histoire, soit pas du tout sans pouvoir dire que « Dans le film c’est bien mieux retranscrit » ou d’autres phrases du genre. De plus, niveau adaptation de films d’animation en manga c’est assez fréquent au fond et je vous avais déjà parlé de Les Enfants Loups il y a déjà un petit moment déjà. Mais contrairement à ce dernier où j’avais vu le film avant de lire le manga, j’ai fait le chemin inverse ici… Par contre, c’est justement après l’avoir vu que j’ai ressenti le décalage et comme vous vous en doutez j’ai dût relire le manga pour écrire comme il se doit mon avis.

Mais dans quoi nous dirigeons nous alors ? Bonne question mes matous ! Tout simplement dans un manga Seinen se déroulant comme vous vous en doutez au Japon. (On ne sait jamais après tout, des mangas dans d’autres pays ça existe !) Un Japon qui apparait sous deux apparences différentes : la ville (Tokyo) et la campagne (Itomori). Deux lieux s’opposant peut importe la nation où l’on se trouve et se complétant d’une certaine manière. Là où certaines choses paraissent excessivement coûteuses en ville, cela peut ne pas être le cas à la campagne et vice-versa. Cela dépend réellement de ce qui sera ou non acheté ou des activités.

Bien entendu, nous ne retrouvons pas les mêmes éléments entre les deux endroits et les changements de corps entre Mitsuha et Taki nous le montrent sans trop de difficulté même si… Même si j’aurai voulu en voir plus ! J’avais un sentiment de trop peu, de manque… L’envie d’en voir un peu plus par rapport aux réactions de Taki et Mitsuha dans le corps de l’autre lorsqu’ils découvraient les lieux, les parcouraient. Certes, on sait pour Mitsuha dans le corps de Taki, mais dans le cas inverse j’ai tout de même trouvé ça léger… Le goût du trop peu… (Pourtant quand je découvre des lieux, je l’ai rarement…) On retrouve malgré tout leurs occupations initiales ce qui nous permet de voir le planning plutôt bien remplit de Taki et celui s’avérant étouffant pour Mitsuha, des occupations très différentes et perçues de manières diverses en fonction de la personne se trouvant dans le corps de l’autre.

Le souci, je pense, c’est la rapidité de ce premier volume qui pose certes les bases, mais de manière assez rapide… Comme mentionné plus haut, au début je n’avais pas vu le film et je ressentais déjà cette impression. Oui, il y a un échange de corps, mais comment vont-ils vraiment prendre tout cela en compte ? Par la méthode écrite présente tout le long pour dialoguer entre eux, mais d’eux-mêmes ? La manière de se comporter n’est pas du tout identique entre les deux personnages et l’ont se doute aisément que les personnes les entourant doivent se rendre compte de quelque chose s’il y a un changementà moins de se dire qu’il est devenu plus doux ou sûr de lui en une nuit… – et c’est dommage que l’on ne voie pas du tout le chemin réellement parcouru pour éviter que cela ne se remarque de trop. Même si les tempéraments restent présents, ils doivent tout de même faire un minimum attention. (Et ça doit être relativement compliqué)

Du côté des personnages, je les ai trouvé relativement adorables et aux réactions variées même si celle qu’a Taki dans le corps de Mitsuha est du vu et du revu dans pas mal de manga de changements de corps n’est pas si dérangeante que cela au fond…  Certes, cela ne vaudra pas celles d’autres du même genre, mais pour avoir posé la question à certaines personnes ils réagiraient de manière identique à notre petit Taki. (Oui, avoir des connaissances masculines cela peut être utile parfois… *tousse*) Mais revenons-en vite fait aux personnages en eux-mêmes ! Notre duo de protagonistes principaux est constitué de Mitsuha, demoiselle devant suivre les coutumes familiales et étouffant dans sa campagne. Elle rêve de découvrir Tokyo, de quitter cet endroit où elle a toujours vécu et l’on ressent parfaitement le fait qu’elle a des étoiles dans les yeux lorsqu’elle finit dans cette ville qu’elle découvre seulement. Pour ce qui est de Taki, c’est un lycéen travaillant dans un restaurant et vivant, bien entendu, dans la ville de Tokyo. Il nous permet de nous rendre compte du côté vivant et pressé de la capitale japonaise vu que le jeune homme est très souvent occupé.

A leurs côtés se trouvent d’autres personnages qui apparaissent relativement vite – et certains qui disparaissent pratiquement – que j’aurai bien aimé apprendre à connaître un peu plus. Mais peut-être est-ce ma curiosité naturelle qui parle et me pousse à vouloir en savoir plus sur les personnages secondaires la plupart du temps… Vu qu’ils ont une vie et diverses relations entre eux ou avec certains des personnages principaux cela aurait pût être sympa d’en découvrir un peu plus, mais passons ce détail. L’un de ceux que j’ai bien aimé découvrir est l’une des personnes travaillant avec Taki et qui, justement, prend un peu plus d’importance. Cela doit être pour ça que j’ai eu plus de facilité avec elle qu’avec d’autres… Les amis de Mitsuha semblent également plutôt sympathiques et, comme souvent, j’aurai bien aimé voir un peu plus sa grand-mère…

Pour ma part, au niveau des personnages principaux, je me suis plus facilement retrouvée en Mitsuha. Non pas parce que je suis une fille, loin de là vu qu’il m’arrive aussi de me sentir plus proche de personnages masculins, mais dans le cas du manga j’ai eu plus de facilité à comprendre la demoiselle qu’à comprendre Taki durant ce premier volume. Un premier tome qui est passé bien trop vite malgré tout et pour lequel j’aurai aimé plus…

Du côté des dessins, j’apprécie assez ceux de Ranmaru Kotone qui sont très ressemblant à ceux du film je trouveque j’avais fini par voir tout de même, mais voilà je ne vous en parle pas iciet assez doux. Peut-être moins marquants du fait qu’ils ne soient qu’en noir et blanc contrairement au film d’animation où les couleurs étaient également présentes pour nous mettre dans le bain, mais les premières pages du manga – colorées – étaient relativement jolies aussi.

Par contre j’aurai eu aussi le souci des pages translucides… J’ai même été prendre d’autres mangas de chez Pika pour vérifier que je ne devenais pas folle à cause du soleil en le feuilletant (vu que je lisais en plein soleil), mais que ce soit Yona Princesse de l’Aube ou La Maison du Soleil aucun n’avait ses feuilles aussi fines. Cela me rappelait le papier que j’utilisais pour décalquer lors de certains cours de dessins où nous devions le faire vu que je voyais sans problème l’arrière – et donc la suite – de la dite page. C’est dommage, je trouve, vu qu’au début tout partait bien au niveau de l’édition. Pour ce qui est des coquilles, il y en a quelques unes, mais la traduction en elle-même me semblait adéquate lors de ma première lecture et suite au visionnage du film je reste sur cet avis.

Résultat des courses les matous ? Et bien, et bien… Je dirais que pour ceux ne connaissant pas encore le film – Comme moi à l’origine ou Allan’ si je ne me trompe pasc’est une porte d’entrée qui donnera plus qu’envie de découvrir le format original. Après tout, le manga m’a donné encore plus envie de le découvrir et ce même s’il a fait une jolie chute par la suite ce malheureux manga qui n’avait rien demandé, mais c’est justement parce que je l’avais un minimum apprécié que je me suis lancée dans la version animation. Le pauvre tout de même…

 

Parce que oui, il n’y a pas à dire le film d’animation de Makoto Shinkai est un véritable chef d’œuvre qui en met plein les mirettes ! Si je sais – en fonction de mon budget – je tenterai de me prendre le DVD ou le BluRay lorsqu’il sortira. Par contre, à présent, je suis encore plus curieuse par rapport au roman… Qui sait, peut-être vais-je me lancer dedans dès que je saurai !

Et vous les matous avez-vous lu le manga ou vu le film d’animation ? Avez-vous lu le roman ? Qu’en avez-vous pensé ?

Site de l’éditeurExtrait mangaExtrait roman

Fire Punch – Tome 2

Hey les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Chouette alors ! Parce que le week-end prend petit à petit fin… Mais pas encore les vacances ! Bon pour ceux qui sont en vacance, ce qui n’est plus vraiment mon cas depuis le début des examens de récupération… Je suis également peu présente en ce 27 août, pour la simple et bonne raison que je fête l’anniversaire de ma mère en sa compagnie (et celle de mon paternel, bien sûr… mais disons que ce n’est pas encore la joie avec lui…)

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un monde post-apocalyptique dont je vous avais déjà parlé lors de l’arrivée d’une certaine box presse et… Bien sûr du tome 1 ! Sinon, cela serait ballot que je vous parle à présent du deuxième volume – quoi que je serais capable… – et je remercie une nouvelle fois les éditions Kazé et Anita pour l’envoi vu qu’il était arrivé à destination en compagnie du tome 4 de Riku-Do et cette fois il n’avait pas fait le tour du village ^^ C’est toujours une joie de voir apparaître une petite enveloppe ou un paquet, je suis comme un enfant devant. Prêt à rejoindre un monde extrêmement froid ?

« Fire Punch »

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7€99 – Seinen – 192pages

Agni, qui brûle désormais d’un manteau de flammes inextinguibles, part à la recherche du cruel Doma pour venger le meurtre de sa sœur ! En chemin, il est surpris par un élu qui parvient à le décapiter ! Les soldats de Behemdolg décident de jeter sa tête  à la mer, seul moyen de se débarrasser définitivement de lui. Surgit alors Togata, énigmatique jeune femme dont la passion pour le cinéma n’a d’égal que sa puissance…

Nous  retrouvons Agni en mauvaise posture au début de ce tome – Souvenez-vous de la fin du tome 1 où il était décapité – et un certain personnage nommé Togata se décide à prendre beaucoup, beaucoup plus d’ampleur. Et ironiquement cela fait plaisir ! Mais que nous réserve-t-elle ?

Parce que oui, Togata sera bien plus au centre de ce tome que notre homme de feu immortel sur le coup, prenant carrément le manga en « otage » dans la manière où certaines scènes seront… A sa sauce ! Si vous trouviez des trajets trop longs ou des scènes de combats redondantes, oubliez cela avec cette jeune femme dingue de cinéma !

Du côté d’Agni, j’ai eu un peu plus de facilité avec lui dans ce deuxième volumeParce que bon, je n’ai pas eu trop d’atomes crochus avec notre héros durant le tome 1 – et c’est un soulagement… Bon peut-être suis-je anormale, mais j’ai réussi à apprécier, un peu plus, sa manière d’être, sa volonté dans ce tome-ci… Même s’il n’est toujours pas mon personnage préféré, loin de là, il augmente un peu et ne se trouve plus dans le bas du classement le malheureux.

De plus, d’autres personnages commencent à apparaître de manière un peu plus fréquentes même si… La vie est rude dans ce monde, alors il vaut mieux éviter de s’attacher à quelqu’un trop vite au fond. (Un peu comme dans GoT, oui… M’enfin pour le moment ça va encore…) L’un des nouveaux venus est d’ailleurs relativement troublant et je me pose de nombreuses questions par rapport à celui-ci (ou celle-ci ? Mouahaha, non je n’ai pas envie de donner son sexe !) Et puis, il y a Neneth… Nous la rencontrions dans le tome 1 cette petite demoiselle et je dois avouer l’apprécier – je n’ai pas envie de la voir mourir, c’est un bon point, non ? – même si cela ne doit pas être simple pour elle.

Au fond, chacun des personnages possèdent son propre background, ses raisons, son tempérament, ses problèmes, son espoir également. Ils sont bel et bien distinct les uns des autres faisant que l’on s’attache, ou non, à l’un d’entre eux. Dans mon cas, j’aime énormément Sun et… Et j’ai mal pour lui d’une certaine manière… Et puis Togata parce que c’est Togata. Comment ça ce n’est pas une raison suffisante ? Disons que son caractère m’enchante, cela vous va mieux ?

Tout simplement parce qu’elle nous évite les temps mortspouvant être considérés comme longstout en nous apprenant pas mal de choses sur cet univers où il fait bon vivre froid toute l’année. Par contre une certaine faculté semble bien fréquente parmi les élus, je ne pensais pas la revoir aussi souvent ! Ah et les fans de Comics – et les cinéphiles – ne seront pas dépaysé avec notre petite Togata qui mentionne plus d’une fois des éléments liés à certains superpouvoirs que nous connaissons dans les films – et de ce fait comics par déduction – Marvel (Aucune idée par rapport aux DC Comics, mais je ne pense pas… *néophyte de chez néophyte*)

L’histoire, de son côté, est toujours présente. Et non, elle n’a pas disparu d’un coup de baguette magique et pour notre plaisir elle avance ! Agni et sa quête de vengeance continuent leur route, mais à présent se trouve une énergumène prête à tout pour réaliser un bon film… Oui, oui, on peut dire que le désir de Togata change sur le coup. La fin me donne également envie de voir ce qu’il se passera dans le tome 3, mais je ne vous en dirai pas plus par rapport à celle-ci sous peine de vous spoiler.

Pour ce qui est des illustrations, j’aime énormément la couverturequi représente Togata, oui elle est partout dans ce tome 2 – et j’ai hâte de voir « en vrai » les suivantes. A l’intérieur, on suit sans trop de difficulté les événements tout en reconnaissant nos joyeux personnageset les remarques de Togata, mais ceci n’a rien à voir avec les illustrationsainsi que les lieux ou les scènes prenant place sous nos yeux. Je n’ai pas eu trop de difficulté, pour ma part, à m’y retrouver.

Au niveau de l’édition du manga, la maison d’édition Kazé reste fidèle à elle-même et nous propose un manga souple dont les pages sont opaques empêchant de voir les pages suivantes. L’encre reste gentiment sur ces dernières pour le bonheur de nos doigts parfois meurtris, après tout qui aime finir avec des doigts noirs ? (Quoi que… Quand je fais mumuse dans la gouache j’ai les mains multicolores…) Quant à la traduction, elle est nickel et permet une immersion dans ce monde froid où nous côtoyons les personnages tout en montrant, sans soucis, leurs états d’esprit.

Mis à part tout cela, comme vous le voyez j’ai bien plus accroché à ce tome qu’au précédent. Ce faisant je suis pressée de lire le tome 3, de savoir ce qu’il adviendra des personnages et les mystères. Tant de choses sont encore à découvrir, tant d’éléments présents et… Et avec un peu de chance mon petit Sun se portera mieux… Je m’y suis beaucoup trop attachée à ce petit bout… De plus, de ce que j’ai pût voir – j’ai attendu de finir mon article pour ça – le deuxième tome est bien plus apprécié que le premier alors pour ceux ayant eu du mal avec le tome 1, tentez le deuxième volume au cas où !

Et vous les matous, lisez-vous la série ? Qu’en pensez-vous ? Où en êtes-vous ? Quel personnage appréciez-vous ?

Site de l’éditeurExtraitMinisiteInterview de l’auteur