Bakemonogatari – Tome 1

Coucou les matous ! Prêt pour un nouvel article ? Comme vous l’avez vu, on arrive à tenir le rythme d’un article par lundi pour le moment ! J’espère que vous faites toujours des découvertes ou tout simplement que vous pouvez voir l’avis que je me fais de tel ou tel titre.

Sur ce, on y va !

 

« Bakemonogatari »

9782811655266-001-t

184 pages – 7€20

Koyomi Araragi est un lycéen un peu particulier : mordu par une vampire âgée de 500 ans, il doit composer avec des capacités hors du commun qui le rendent, malgré lui, sensible aux phénomènes surnaturels… Un jour, il rattrape Hitagi, une de ses camarades de classe, alors qu’elle chutait dans les escaliers. Quelle n’est pas sa surprise quand il découvre qu’elle ne pèse pratiquement rien ! Très vite, Koyomi réalise qu’une entité chimérique a pris possession de la jeune fille et qu’il va devoir lui venir en aide…

C’est lors de l’opération « tome 1+2 » des éditions Pika que je suis repartie avec les deux premiers tomes de la série ainsi que « Don’t Call Me Magical Girl, I’m OOXX ». J’étais plutôt intriguée vu que j’en entendais parler depuis sa sortie et que les retours étaient relativement positifs. Même si, vous l’avez sûrement vu sur Twitter j’ai eu un petit souci suite à une information écrite sur l’une des jaquettes : cela parlait de jaquette réversible et… J’ai eu la surprise de voir que l’arrière était d’un blanc immaculé. On m’a donné la réponse sur Twitter, me disant que ce n’était que sur les premières éditions sorties, mais que du coup cela n’avait pas été retiré.

Par rapport aux dessins, j’ai énormément apprécié les jaquettes. C’est ce qui m’avait attiré l’œil au départ, quant aux dessins se trouvant dans le manga en lui-même ils permettaient aisément de savoir à qui on avait affaire, où on était, quels étaient les éléments importants présents. Je n’ai pas eu de mal à m’immerger dans l’œuvre. Ils restent pourtant assez « typiques », ne sortant pas réellement de ce que l’on connait au niveau des traits… Du moins à mes yeux. Cela ne dépaysera donc pas les gens se plongeant dans l’univers. Je ne me suis pas perdue dans les cases, les scènes et ce peu importe ce qu’il se passait de plus les personnages possèdent leurs particularités physiques qui font qu’on ne les confond pas, que nous ne nous perdons pas. Parce que oui, c’est rageant de ne pas savoir où on en est quand on lit…

Au niveau de l’histoire, on découvre dans le premier tome les éléments importants, quelques personnages également vu qu’ils nous sont présentés au fil des pages afin que l’on sache dans quoi nous nous lançons, les êtres que l’on va suivre. On se rend petit à petit compte d’éléments touchant aux légendes, aux mythes du Japon ce qui est relativement plaisant ainsi que de l’importance des liens entre les gens, du poids qu’il est possible de porter sur ses épaules… Pour ce qui est de l’édition en elle-même, hormis la mention d’une jaquette réversible qui ne l’était pas, je n’ai pas vu de souci à première vue, mais il se peut que je sois tout simplement passé à côté.  On réalise que chaque petit élément peut avoir une conséquence, cette dernière pouvant s’avérer plus importante… Il ne faut d’ailleurs pas s’attendre à de la douceur durant la lecture, même si des moments plus « doux » peuvent arriver, certains événements sont relativement sombres.

J’ai bien apprécié ma lecture, ce qu’il y avait comme éléments, même s’il y a eu quelques moments de fanservice qui pourraient en rebuter certains. J’ai lu le tome 2 presque directement, enchaînant les deux alors qu’il était dans ma pile à lire, lorsque je me suis rendue chez Inu-chan car je voulais déjà savoir la suite, comprendre ce qu’il se passait, voir comment cela évoluerait. Curieuse de voir ce que les suivants réserveront, donneront, mais j’apprécie déjà les jaquettes que j’ai aperçue, qui me donnent envie de savoir ce qu’elles cachent. Et si vous souhaitez une approche un peu plus psychologique sur Hitagi Senjôgahara n’hésitez pas à aller lire cet article.

Et vous l’avez-vous lu ?

Maison d’édition – Extrait –  Soutien

Goblin Slayer – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous aujourd’hui ? Bien ? Tant mieux alors ! Et pour ceux qui sont à plat, prenez soin de vous, c’est réellement très important. Parce que la santé passe avant tout le reste. J’en profite pour vous souhaiter une bonne Saint-Valentin tout en espérant que vous passerez une belle journée !

Cette fois, je vous entraîne dans un Light Novel sorti aux éditions Kurokawa dans la collection KuroPop que Maman Neko m’avait offert. Un titre que vous connaissez peut-être ou que vous découvrirez en ma compagnie. De quoi ? Le rapport avec la fête du jour ? Il n’y en a aucun. D’ailleurs, pourquoi faudrait-il spécialement parler d’amour en ce jour ? Sur ce, je vous laisse avec l’article. Bonne lecture les matous !

« Goblin Slayer »

9782368525913

9€90 – Dark Fantasy – 320 pages

« Il ne confie son sort à aucun jet de dés. »

Une jeune prêtresse entreprend sa première quête, mais elle et ses compagnons d’aventure, inconscients du danger, se retrouvent presque aussitôt en fâcheuse posture. Un inconnu se porte à leur secours : Goblin Slayer, qui a voué son existence à exterminer les gobelins par tous les moyens. C’est une tâche dangereuse, sordide et ingrate, mais il la mène à bien mieux que quiconque. La rumeur des exploits du crève-gobelins se propage, et des aventuriers hors du commun pourraient bien solliciter son aide…

Autant débuter comme d’habitude en vous parlant de Goblin Slayer qui existe sous différent format. Celui dont je vais vous parler aujourd’hui est le Light Novel, c’est-à-dire la version roman, mais il est possible de trouver le manga et un anime. Je ne me suis pas plongée dans l’anime et n’ai pas testé le second format, de ce fait je ne pourrai pas faire de rapprochement entre les différents supports. D’ailleurs, je le précise d’avance mais je ne compte pas tester le manga et préfère rester sur la série dans sa version romanisée. Voilà, voilà, après toute ces petites précisions plongeons nous dans le cœur du sujet…

L’histoire que nous découvrons dans ce Light Novel de Kumo Kagyu est celle, au départ, d’une jeune prêtresse découvrant les « joies » des quêtes. Se mettant en groupe avec d’autres personnes, ils partent affronter une créature somme toute banale à nos yeux : des gobelins. Petits, pas vraiment futés, nous en avons tous combattus dans nos chers jeux de rôles et pourtant… La prêtresse et ses camarades feront face à un coup du sort, une épreuve qui les mets dans une posture bien délicate. Survivront-ils à cela ? La réponse est dans l’ouvrage, mais sachez que les jets de dés menant à un échec critique ne sont pas loin…

A première vue, c’est de la dark fantasy teinté de jeux de rôle comme ceux auxquels il est possible de jouer lorsque nous sommes avec des amis. Avec une feuille, des dés, du papier. Comment ça ? Vous vous demandez où ils se trouvent en réalité ? Dans certains interludes, tout simplement. Pourtant le monde créé est tout sauf des plus cléments pour les personnages que nous suivons, s’avère bien plus dangereux que ce que l’on pourrait penser à première vue et une mission peut vite virer au fiasco si les personnes la réalisant ne sont pas assez préparées ou se sentent supérieures aux êtres qu’ils affronteront. Oui, le danger est partout. Autant autour des protagonistes que dans leurs cœurs. La mort n’est jamais loin, le monstre le plus faible – à première vue – peut être bien plus dangereux que ce que l’on pense et anéantir nombre d’aventuriers. L’histoire est sombre, parle de sujet pouvant en rebuter plus d’un le viol par exemple et arrive à garder une touche lumineuse malgré tout.

Non, ce n’est pas la joie à chaque page et il est possible de déglutir lors de certaines situations, de se demander pourquoi on a mis les pieds là-dedans. Je l’avoue m’étant moi-même posé la question à plusieurs reprises, pourtant j’ai continué… Parce que je suis curieuse, parce que je voulais savoir ce qu’il adviendrait de ces êtres ne possédant pas de véritables noms, mais auprès de qui l’histoire avançait, prenait des détours et pouvait surprendre. Je n’aurai jamais pensé à tant de méthodes d’extermination pour un simple Gobelin par exemple, ne me serait jamais dit que cet être de la taille d’un enfant pourrait être une véritable menace et pourtant… Pourtant ma vision de cette petite créature à belle et bien changé, faisant que je n’aimerais pas leur faire face, devoir les affronter sans un bon équipement ou par une manière détournée.

Oui, tout tourne autours des Gobelins dans Goblin Slayer et l’on comprend très vite pourquoi, les raisons poussant l’un des personnages à les affronter avec autant de détermination. Certaines personnes pourraient réclamer des dragons, des hydres ou des chimères, mais dans ce Light Novel ce ne seront pas les créatures qui porteront le titre. Non. Oh, rien ne dit qu’il n’y en aura pas plus loin, que d’autres êtres du bestiaire fantastiques n’apparaitront pas, mais ne vous apprêtez pas à en voir à toutes les pages. De plus il vous faudra vous habituer à autre chose que des gobelins par milliers.

Les personnages. Pourquoi ? Tout simplement car ils n’ont pas de nom. Prêtresse, Crève-Gobelin, Lancier, vous verrez en réalité leurs « jobs », ce dans quoi ils se trouvent voire dans certaines circonstances leurs peuples. Humains, Nains, Naga, Elfes, Rhéa seront ceux que l’on croisera en tournant les pages, ce qui m’aura fait découvrir le dernier peuple. Oui, je connaissais déjà les Naga, mais les Rhéa absolument pas. Pour moi, ce n’était qu’un être mythologique, une titanide plus précisément alors que dans Goblin Slayer ce sont des êtres de petites tailles. Pour ce qui est des classes présentes, vous vous doutez qu’il y a le lancier vu que je l’ai mentionné plus haut, mais ne vous arrêtez pas seulement aux plus classiques même si ce sont celles que nous verrons le plus. J’ai d’ailleurs été ravie de voir la classe Shaman… Surtout chez un certain type de personnage dont je ne dirai pas le peuple pour éviter de vous spoiler. Mais il n’y a pas que les aventuriers dans l’histoire, ce ne serait pas amusant, et autours de ces êtres nous retrouvons des personnages tout à fait normaux, des êtres vivants leurs vies pendant que les aventuriers partent au combat. Des fermes, une guilde, il y en a comme dans la plupart des univers de ce genre et ce même si aucun des personnages n’aura son propre nom bien à lui.

Pour en revenir à ceux que nous côtoyons le plus dans ce premier volume, nous pouvons avoir l’impression que l’un d’eux est froid, distant contrairement à l’autre qui doit se remettre de ses émotions. Deux êtres que tout oppose, même au niveau du niveau, mais qui apprendront l’un avec l’autre même si cela se fait doucement. Pas de précipitation ici, mais une évolution par petits pas où même le plus aguerrit des guerriers peut avoir des problèmes, où le passé peut totalement modifier le futur de quelqu’un et où chaque action doit être un peu plus réfléchie, posée qu’un simple « Fonçons dans le tas !!! ». Sinon ? Game Over. La mort ou un sort bien pire pour la gente féminine… Cela ne m’empêche pas d’avoir fini par m’attacher à eux, à espérer qu’ils restent en vie et ce même si je dois les appeler « Prêtresse » ou autres joyeusetés du genre à tout va ! Bon, d’accord, cela les déshumanise légèrement… Mais cela n’empêche qu’ils existent dans ce monde où tout est possible.

Il me reste à vous parler des illustrations réalisées par Noboru Kannatuki, elles reflètent bien l’univers, nous montrent les personnages et nous permet de nous faire une idée encore plus précise de ce qu’ils sont réellement. Pas juste des êtres avec un nom de classe, mais des créatures possédant un physique, un caractère et des aptitudes. Elles m’ont permis de bien mieux visualiser qui était qui une fois celles-ci apparue et de m’attacher encore plus à eux. En sachant qu’il est rare que je ne m’attache pas à l’un ou l’autre des protagonistes cela aurait été surprenant que cela arrive, mais je me devais de l’écrire. Bien entendu, il arrive que l’une ou l’autre des illustrations soit… Plutôt dans un style où les personnages ne portent pas beaucoup de vêtements. Étrangement, ce sont souvent les personnages féminins que l’on retrouve dans ce genre de situation… Mais soit, elles ne sont heureusement pas fréquentes et ne plombent pas du tout l’ambiance lorsque l’une d’elle doit arriver.

Je pense avoir tout dit, tout ce qui me venait naturellement en tête en tout cas et qui ne se rend pas dans le second tome que je lis actuellement. C’est un Light Novel avec une atmosphère réellement sombre, même si de l’humour pointe à de très rares occasions son nez, et il ne plaira donc pas à tout le monde. De plus le fait que les personnages n’aient pas de vrais noms peut également en rebuter plus d’un, pourtant j’ai bien fini par m’attacher à eux alors pourquoi pas vous ?

Et vous les matous, connaissez-vous Goblin Slayer ? Si oui, qu’en avez-vous pensé ? Si non, comptez-vous essayer ou n’est-ce pas du tout votre style de lecture ?

 

Site de l’éditeurExtrait du manga

Il n’existe pas d’extrait pour le Light Novel, c’est pour cette raison que j’ai mis celui du manga pour ceux qui voudraient découvrir l’oeuvre d’une manière ou d’une autre.

The Promised Neverland – Tome 4

Coucou les matous ! Comment allez-vous aujourd’hui ? Pour ma part, ça va. Un peu froid lorsque je mets le nez dehors, mais je pense que c’est comme tout le monde vu que l’hiver est bel et bien présent pour moment.

Cette fois, nous nous retrouvons non pas pour un avis général comme la dernière fois, mais pour une suite de manga. Parce que oui, avec la mort de l’ancien PC des articles ont disparu dans le néant – non je n’avais pas tout enregistré – et donc je les refais au fil du temps. Pour m’y retrouver, j’ai noté tous les titres dont je veux vous parler dans l’application Task de mon téléphone et je coche une fois que c’est fait ! J’en profite pour remercier les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce tome, me permettant de vous en parler à présent. (Vous vous doutez que le tome 5 suivra par la suite, juste le temps de réécrire le malheureux perdu dans le néant informatique)

« The Promised Neverland »

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6€89 – Shônen – 192 pages

Le compte à rebours est enclenché pour Norman : Maman va le livrer aux démons ! Emma et Ray n’ont que très peu de temps devant eux pour tenter de contrecarrer l’implacable Isabella. Une seule solution, mettre à exécution leur plan d’évasion au plus vite ! Parviendront-ils à sauver leur ami ?

Quatrième tome de la franchise The Promised Neverland, nous nous trouvons encore à Grace Field House en compagnie de notre petit trio. Emma, Ray et Norman nous font face alors que le compte à rebours par rapport à la livraison de ce dernier aux Démons s’est enclenché. Y a-t-il un moyen de sauver Norman ? De mettre en place le plan d’évasion encore plus rapidement ? Est-ce que sauver tout le monde sera réellement possible ou faudra-t-il en laisser derrière ? Tant de questions apparaissent, même si nous savons l’avis de chacun d’eux par rapport à la dernière.

Et ce tome m’aura brisé le cœur. Même si je gardais une once d’espoir, même si je ne voulais pas y croire. Voir chacun des personnages souffrir à sa manière, être autant empli d’émotions m’aura marquée au fil des pages, des révélations, de ce qu’il se passe et je me dis que certains d’eux arrivent aisément à nous mener par le bout du nez, arrivent à nous cacher des éléments à nous petit lecteurafin de nous surprendre à un moment donné. Espoir, désespoir, joie, crainte, sentiment d’abandon, tout cela est apparu au fil des pages. Surtout lors d’un certain événement qui fait que le manga avance réellement. J’apprécie toujours autant Emma, elle est celle dont je me sens la plus proche et elle m’aura réellement surprise dans ce quatrième volume. D’ailleurs, il n’y a pas que le trio qui est mit en avant car, au fond, on se rend compte que chaque enfant à sa place dans cet univers.

J’ai bien aimé en découvrir plus par rapport à la sécurité des lieux, aux autres enfants, sur Maman et pourtant il reste encore tant de part d’ombres, d’énigmes à résoudre qu’il est difficile de ne pas être happé, d’une manière ou d’une autre par l’univers hormis si l’on n’apprécie pas les œuvres plus sombres. Parce que oui, tout le monde n’accrochera pas et c’est tout à fait normal. Dès le départ nous comprenons bien que les enfants sont considérés comme du bétail par les Démons, que peu possèdent une chance de survie et que les rares le possédant sont des personnes de sexe féminin – du moins d’après ce qu’on en sait actuellement – mais qu’elles doivent également avoir de « bons résultats » aux tests pour cela. Ce n’est pas rien, cela limite grandement le nombre de possibilité et rajoute également un côté plus dramatique aux Mamans des différents sites. Mais cela j’en parlerai lors de l’avis du tome 5 qui arrivera prochainement.

Parce que oui, The Promised Neverland est dramatique tout en jouant sur notre curiosité, notre envie d’en savoir plus, de voir les enfants s’en sortir. Tout est possible et face à Maman, les enfants jouent d’une certaine manièreune véritable partie d’échec où seul l’un des deux camps pourra probablement l’emporter. Lequel ? Il est difficile de le savoir en avance, hormis que tout s’accélère et que l’on pourrait très bien avoir des surprises. D’ailleurs, chaque action effectuée, chaque mot peut avoir son importance, son impact et même lorsqu’ils ont eu lieu dans le passé. Tout n’est pas forcément sût dès le départ, des pièces s’ajoutent au puzzle des mystères que nous connaissons et certains événements peuvent nous faire douter, nous faire nous remettre en question.

J’apprécie énormément cela, voir l’évolution, être surprise durant ma lecture et ne pas m’ennuyer – comme beaucoup – faisant qu’actuellement The Promised Neverland se débrouille réellement bien, m’accroche, me garde dans sa sombre toile. Mais je souhaite toujours en savoir plus, découvrir ce monde qui semble si proche du nôtre et en même temps si différent, voir toutes les possibilités offertes par le récit, ce qu’il nous sera réservé. Kaiu Shirai et Posuka Demizu nous en mettent plein les mirettes, les détails foisonnent tant au niveau visuel que dans la lecture au point que je me demande si certaines des phrases lues auparavant n’auraient, en réalité, pas un autre sens caché. Je m’immerge facilement dans cet univers, en ressort un peu plus retournée à chaque tome et me demande au-dessus de qui se trouvera l’épée de Damoclès dans la suite, s’ils en ressortiront indemnes ce qui me semble peu probable… Actuellement, ce tome 4 est celui qui m’aura le plus touché, marqué et est mon préféré jusqu’à présent des 5 sortit, même si le cinquième tome ne m’aura pas non plus laissée de marbre.

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? Lisez-vous ce manga ? Comptez-vous regarder l’anime ?

Site de l’éditeurExtrait Mini site

Note de Neko : Actuellement, les petites images de fin permettant un résumé global de l’article seront absentes car il faut que je les refasse. Elles finiront probablement par réapparaître au bout d’un moment, ne vous inquiétez pas ! Pour ceux qui seraient curieux, j’ai écrit l’article en écoutant cette musique.

The Promised Neverland – Tome 3

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Je vous envoie tout plein de bonnes ondes remplies de bonne humeur et de joie dans tous les cas ♥

On continue dans notre lancée au niveau des avis et j’en profite pour remercier les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce troisième volume de…

« The Promised Neverland »

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6€79 – Shônen – 200 pages

Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible !

Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !

Troisième tome de The Promised Neverland et tome se déroulant toujours à Grace Field House. Vous savez, l’établissement – type orphelinat – où vivent Emma, Norman et Ray avec leurs petits frères et sœurs ainsi que Maman et Sœur Krone. Vous avez retrouvé le tableau ? Chouette, nous allons pouvoir nous y remettre alors !

Dans le tome précédent, deux autres personnages étaient mis au courant de ce qu’il se tramait lorsque les enfants étaient « adoptés » sans, pour autant, en savoir les aboutissants. La curiosité restant présente, vous vous doutez bien qu’ils ne sont pas rester les bras croisés et ont décidé de s’assurer que cela était vrai. Durant ce début de tome, la confiance est mise à rude épreuve et je peux parfaitement comprendre Don et Gilda par rapport à tout cela. C’est difficile à croire, difficile de se dire que l’on est trompé par une personne qui compte réellement pour nous et encore plus difficile de réaliser certaines choses.

Même si Don est plus impulsif que Gilda ou Emma, voire que Ray ou Norman, j’ai tout de même apprécié chacun des plus grands. De plus, j’étais ravie d’en apprendre plus par rapport au fonctionnement des « fermes » ou sur la manière de devenir « Maman » dans ce volume, même si l’échappée continue de se préparer, je me demande si elle ne se rapproche pas vu la fin de ce tome 3. D’ailleurs, si l’on se base sur chacun des événements il est possible de se dire que la fuite doit être de plus en plus proche…

J’ai de plus en plus hâte de voir le monde extérieur, de découvrir ce qu’il réserve, ses mystères car comme les enfants de Grace Field House nous n’en savons rien finalement hormis que certains éléments proviennent de là-bas et ce que l’on apprend dans ce volume. Cela reste vague, très vague, et de nombreux mystères restent à découvrir, comprendre et ma curiosité est réellement touchée actuellement. Je désire savoir… Je veux voir si les enfants s’en sortiront, si « Maman » gagnera, comment est le monde extérieur, les voir évoluer voire grandir si cela est possible. Je me demande vraiment ce que donnera la suite et j’ai hâte de pouvoir la découvrir.

Les personnages restent fidèles à eux-mêmes et j’ai été ravie de voir qu’ils font également des erreurs, comme n’importe qui. Ils ne sont pas parfaits et cela fait du bien de le voir, de s’en rendre compte, au point de faire des erreurs que n’importe qui, ou presque, ferait. Ma préférence reste sur Emma et vu ce qu’elle subit, je me demande ce que donnera la suite… Mais chacun d’eux possède son caractère, un trait de personnalité qui le fera apprécier de tout à chacun et ce même si certains des personnages s’avèrent être encore un peu « flous », laissés sur le côté. Peut-être en saura-t-on plus sur eux prochainement.

Au niveau de l’histoire, elle avance lentement vers la fuite menant, probablement, vers le monde extérieur. Pourtant, j’ai réussi à être surprise malgré moi lors de certaines scènes et j’attends avec impatience le tome 4 tel un enfant attendant le Père Noël. J’ai hâte de voir ce qu’il va se passer, surtout par rapport à la dernière page… Et je reste pressée d’en savoir plus sur le monde extérieur aux fermes.

Pour ce qui est du manga en lui-même, je n’ai pas eu de souci avec la traduction qui collait à chacun des personnages tant dans leurs manières de parler que leurs mots. Les pages n’étaient ni trop fines, ni trop épaisses – à mes yeux – et je n’ai pas aperçu ce qu’il se tramait de l’autre côté pour mon plus grand bonheur. Pour ce qui est de la souplesse du manga, il se pliait facilement et entrait sans difficulté dans un sac. L’encre, pour sa part, restait tranquillement sur les pages sans faire de flaques et ne se retrouvaient pas, non plus, sur les doigts pour mon plus grand bonheur.

Ce troisième tome reste dans la lignée des deux précédents, même si j’apprécie le fait que deux personnages ce soient rajouter au trio par rapport à la fuite et que les mystères par rapport à Grace Field House restent présents. J’ai tout de même hâte de voir le moment où ils fuiront, quittant ainsi les préparatifs, et ce que cela donnera !

The Promised Neverland - Tome 3

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Pensez-vous que l’échappée de Grace Field House est pour bientôt ?

 

Site de l’éditeurMini SiteExtrait tome 1

Adam et Eve – Tome 1

Coucou les matous, comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ma part, j’ai un peu plus la forme ! Si vous l’avez lu dans mon petit journal nekoien, j’étais assez fatiguée durant la semaine précédente, mais c’est passé. Pour le moment du moins. Juste le temps de bien m’organiser ce qui s’est fait relativement rapidement au final…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un titre récent des éditions Kazé réceptionné juste avant le week-end pour ma part. Je remercie, d’ailleurs, Kazé et Anita pour l’envoi (et les petits magnets ♥) me permettant de découvrir le titre et de vous en parler assez rapidement. Si vous désirez d’autres avis, Xander et Thiboutsu en ont parlé sur leurs blogs respectifs. Mais assez tergiversé, voulez-vous les matous, parce que nous n’allons pas dans un univers Bisounours. Attention, public averti seulement pour cet univers, veuillez camoufler les yeux des jeunes matous !

« Adam et Eve »

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8€29 – Seinen – 240 pages

Dans un luxueux club privé, sept yakuzas se sont retrouvés en secret. Sept chefs de clan puissants qui ont réussi à dépasser les querelles pour tenter de rénover le monde décadent de la pègre japonaise. Mais leur réunion va être interrompue par deux invités inattendus. Deux êtres invisibles dont seul est perceptible le bruit des pas… et une odeur de violence extrême !

Une invisible soif de sang emplit doucement l’air…

Bah Neko, pourquoi tu ne fais pas un avis général directement ? Tout simplement parce qu’il est aussi en cours d’écriture les matous. Puis vous savez parfaitement que je ne fais rien normalement depuis le temps. D’ailleurs, j’en profite pour remercier tout ceux qui ont répondu au sondage même si une belle égalité est apparue, ahah, peut-être qu’un deuxième round arrivera prochainement avec seulement les deux choix pour voir celui qui sera numéro 1 à vos yeux.

Aujourd’hui, nous sommes au Japon – normal d’une certaine manière – au milieu d’un monde devant être évité par les enfants. Je le répète, ce manga est pour un public averti et sera réellement sanglant alors faite tout de même attention si vous avez du mal avec ce genre de lecture. Pour ceux qui sont encore là, reprenons. Nous nous trouvons précisément dans un club privé en compagnie de sept yakuzas ne se trouvant pas au plus bas de l’échelle. Non, non, ce sont des éléments relativement importants aux capacités pouvant s’avérée hors norme et aux habitudes pouvant s’avérer surprenantes.

Nous nous attarderons bien plus sur Smell, l’un des yakuza présent dans la pièce. Son nom ou surnom – vous donne déjà une indication sur le sens qu’il maîtrise le plus si vous parlez ou comprenez un peu l’anglais. Cela ne sera pas le cas pour d’autres personnages, mais ces derniers peuvent nous diriger vers des arrondissements, des lieux purement japonais ou être relativement commun. Tout du moins si l’on part de l’idée que ce ne sont pas leurs véritables noms. Smell et ses compagnonsainsi que les demoiselles présentessont tous différents sur bien des points…

Le physique d’une part, chacun ayant son propre design et ses caractéristiques propres. Les apparences peuvent être également trompeuses à leurs manières si l’on omet le fait que nous faisons face à des yakuzas… Parce que non, en pleine rue mon cerveau ne me hurlerait pas de me méfier de certains des protagonistes aperçus. Ils se fondraient sans trop de difficulté dans une foule si l’on ne sait pas qui ils sont. Bien sûr, certaines personnes sauraient les reconnaître ce qui est tout à fait logique.

D’autre part, il y a le caractère. Smell et Minato par exemple ne sont pas du tout identique par rapport à cela et c’est pareil pour les autres. Chacun possède également ses manies, ses « lubies » d’une certaine manière et également habitudes. Vous vous doutez que celui ayant la vue parmi ses sens les plus poussé ne réagira pas de la même manière que l’ouïe, l’odorat, le goût ou le toucher. De quoi ? Ils sont 7 et il y a 5 sens ? Certes, certes, mais en êtes-vous certain ? Totalement ? Et bien non. Parce que oui, certaines personnes parlent de bien plus de sens pouvant être présent en un humain, mais certains seraient moins utilisés que d’autres. Vous l’aurez comprit, sept personnes pourraient très bien être en réalité sept sens très différents, mais quel serait le septième ? C’est une très bonne question… Pour le moment, je vais rester à l’homme lambda ne m’étant pas assez renseignée sur tout ça et cela me paraît plus cohérent par rapport à ce que l’on voit de lui.

Nous découvrons donc, dans ce premier volume, le petit groupe et son but initial ainsi que la raison faisant que des femmes s’y trouvent également. Certes, elles ont les yeux bandés mais elles entendent tout ce qui pourrait être un risque conséquent pour de telles personnes. Nous allons d’ailleurs bien rapidement savoir ce qu’il advient de celles ayant osé parler de ce qu’elles ont entendu, voire le sort qu’il leur est réservé. A côté de cela, leur présence n’est pas non plus anodine vu que nos personnages ne sont pas des êtres tout blancs. Ne vous attendez donc pas à de simples personnes se trouvant dans ce club seulement dans le but de combler l’espace, car ce n’est pas le cas. Attouchements, coups et autres joyeusetés peuvent arriver aisément. Mais il n’y a pas que nos camarades et les demoiselles que nous découvrons car deux autres prennent place dès le début. Des êtres… que je pensais n’être que des chaussures au début.

Oui, c’est original… Heureusement, on découvre assez vite – et cela parait logique vu le moyen de locomotion utilisé – qu’ils ne sont pas que des chaussures. Mais que sont-ils alors ? La réponse vous parvient facilement durant la lecture du volume ou la lecture du résumé. Des êtres invisibles. Mais que veulent-ils ? Seulement tuer ? Ces questions se posent aisément vu ce qu’il se passe en huis clôt.

Parce que oui, le lieu où nous nous trouvons est essentiellement le club privé bien que nous découvrions – au tout début – la rue toute proche. Un club que nous voyons autant grâce à la vue du dessus que de la manière traditionnelle ce qui nous permet de visualiser sans difficulté les positions de chacun et, par la suite, de nous faire une idée fiable de leurs physiques et personnalités. Et tout ce que nous découvrirons sera… Dans le club. Adieu la rue et le couloir dans ce premier volume dès que ces endroits seront passés et bonjour la salle où se trouve tout ce joli monde.

Une salle dans laquelle l’ambiance changera aisément au fil des pages, des réactions et des désirs. Elle évolue à sa manière au fil du temps et nous mène vers la fin possible, vers ce qui attend chacun d’eux d’une façon ou d’une autre. La vue du dessus nous permettra, sans difficulté, de voir l’évolution et la disposition de certains personnages dans cette salle où la vie ne tient qu’à un fil. D’ailleurs, cette partie en huis clôt est celle que j’ai préféré durant ma lecture grâce aux diverses découvertes effectuées, aux sensations présentes et au fait que l’on entre réellement sans trop de difficulté dans ce qui nous attends.

Le temps mort ? Pas tout à fait. Certes, il arrive que certaines scènes soient un peu plus calmes, mais nous ne nous ennuyons jamais. D’une part parce que ce « calme » n’est que relatif et permet d’en apprendre plus sur l’un ou l’autre des personnages et d’autre part parce que ce sont aussi des moments plutôt explicatifs par rapport à l’odorat de Smell ou l’un des autres sens exacerbés présent dans la pièce.

Du côté des dessins, ils sont très expressifs et relativement réalistes. Il est très difficile de ne pas comprendre ce qu’il se passe ou s’est passé dans le cas où notre cerveau aurait décidé d’oublier quelques scènes. Oui, oui, cela arrive de temps en temps. Peut importe les scènes nous faisant face, il y aura toujours un élément nous faisant comprendre ce qu’il y a eu. On se retrouve, sans difficulté, immergé au milieu de nos yakuzas et des diverses scènes présentes. Tout du moins, je n’ai eu aucun mal pour ma part de m’y retrouver et tant mieux !

Au niveau de la traduction, je n’ai lu aucune boulette ce qui est relativement appréciable lorsque l’on se trouve immergé dans ce tome en huis clôt. Du côté de l’édition, elle reste fidèle à ce que fait habituellement les éditions Kazé et nous permet de transporter le manga partout avec nous en cas de besoin. Par contre, ne tenter pas de le faire entrer de force dans une boite aux lettres – Oui, le facteur a essayé… alors que la dite boite était déjà remplie – car il aura beaucoup plus de difficulté pour survivre sur le coup. Pas de casse pour ma part, heureusement, même si c’est un réel coup de chance sur le coup vu le pliage exercé. Pour ce qui est du papier, il est dans la lignée des autres mangas de Kazé évitant de découvrir ce qu’il se passe par après tout en gardant gentiment son encre. Non, cette dernière n’a pas fini en marre sur une page ou sur mes doigts tout comme elle n’a pas disparu des bulles.

Vous l’aurez sûrement comprit, ce premier tome nous permet une immersion dans le huis clôt présent sans aucun problème. Certes, il ne faudra pas le remettre à quelqu’un de plus fragile ou de trop jeune suite, justement, à certaines des scènes présentes, mais il reste réellement agréable si l’on passe outre… Et que le sang ne nous met pas mal à l’aise. De préférence, il est à lire en compagnie du tome 2. Ce fut malgré tout une très bonne découverte qui m’aura réellement surprise et que j’ai déjà relu deux fois. 

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Y a-t-il un sens que vous préférez naturellement ?

 

Site de l’éditeurExtrait

Lecture commune #4 – Black Butler – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous en ce premier novembre ? Avez-vous fêté Halloween, hier ? Pour ma part c’est à peu près le cas, vu que j’ai regardé La famille Adams dès que Sofia m’a prévenue qu’il était sur 6ter. Pour le reste j’étais encore dans un sale état suite à mon mal des transports (et au temps resté dans un véhicule…) résultat, j’ai passé une nuit en étant totalement dans le chou…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans la lecture commune présente chaque mois avec Allandryll, Thiboutsu et Xander, et cette fois c’était, à nouveau, sur un Shônen. Pour les liens de mes camarades c’est par ici :

Avis d’AllandryllAvis de ThiboutsuAvis de Xander

Vous vous demandez de quel titre nous parlerons cette fois ? Et bien… Si je vous dis qu’un Diable de Majordome est présent, devinez-vous sans difficulté ? Préparez-vous pour un retour dans le temps et un petit voyage car nous sommes en Angleterre en pleine période victorienne !

« Black Butler »

Sebastian est majordome au service de Ciel Phantomhive, héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise. En matière d’érudition, d’éducation, d’art culinaire, rien à redire, il est parfait. Mais ne vous fiez pas à sa distinction, si vous vous en prenez à son jeune maître, vous découvrirez sa vraie nature… Ciel aurait-il signé un pacte avec le Diable…?!

Comme vous l’avez sûrement déjà remarqué si vous me suivez sur Twitter, je me trouve actuellement au tome 24 de la série mais ce n’est pas de ce dernier que je parlerai aujourd’hui. Logique après tout ! Surtout que ça serait ballot que les autres parlent du tome 1 et moi du 24, bien, bien loin lors d’une lecture commune vous ne pensez pas ? Puis je me serais fait taper sur les doigts ce qui est encore moins chouette…

Mais passons ce détail et concentrons-nous sur ce premier tome de cette longue série toujours en cours et présente aux éditions Kana qui peut ou non plaire aux gens. Parce que tout le monde n’a pas les mêmes goûts et cela serait triste si c’était le cas. De quoi ? Le mien de cas ? Je pense que vous avez une brève idée vu l’endroit où je me trouve à présent même si… Ce ne fut pas directement gagné.

Nous découvrons Sebastian et Ciel dans ce premier volume, un majordome pour le premier et l’héritier d’une grande famille de la noblesse anglaise pour le second. Pourtant, quelque chose cloche et l’on s’en rend rapidement compte au fil des pages, des dialogues. Et si Sebastian n’était pas qu’un simple majordome anglais tout simplement parfait dans tout ce qu’il fait ? Et si l’enfant que nous rencontrons n’était pas qu’un simple noble ? Non, Black Butler ne sera pas un manga tout rose bonbon se déroulant en pleine Angleterre, même si certaines intrigues serontparfois un peu plus calmes au fil du temps.

Ici, nous sommes principalement dans la découverte en compagnie de nos nouveaux camarades de jeux et d’enquêtes. Bien entendu, ils en savent souvent bien plus que nous sinon cela ne serait pas amusant surtout en ce début… Parce que oui, Ciel a déjà un vécu derrière lui que nous ne découvrirons qu’au fil du temps, des apparitions de nouvelles bouilles allant du personnel à d’autres personnes ayant (ou non, en fonction de ce qu’il se passe) des liens avec la famille Phantomhive. Une famille noble pas du tout comme les autres.

Remettons un peu le contexte rapidement… Angleterre, époque victorienne, cela signifie que la Reine Victoria est bel et bien présente tout comme un certain tueur en série que nous ne voyons pas encore en ce début d’aventure. Une époque intéressant plus d’une personne de nos quotidiens, une période remplie d’avancées en tout genre et pouvant en faire rêver certains. Même s’il arrive que quelques éléments ne soient pas du tout raccord avec l’époquece qui peut changer au fil du temps d’ailleurscela ne m’avait pas trop sauté aux yeux lors de la première lecture, mais je m’en suis rendue compte suite aux nombreuses relectures.

Parce que non, ce n’est pas la deuxième fois que je relis le début de Black Butler et je dirais même que je dois être au moins à cinq bonnes relectures depuis que j’ai débuté alors que le tome 1 n’est pas mon préféré. Loin de là même, car à sa manière il ne montre pas réellement tout ce que nous réservera l’histoire. Certes, nous y retrouvons la noirceur présente dans chacun des arcs, l’humour (ou la naïveté) de certaines répliques ou personnages, mais pas la réelle continuité pouvant être retrouvée dans la suite. Ce premier volume est bel et bien là pour nous présenter la petite troupe, pour que l’on puisse mettre un visage sur un nom, un tempérament, un « travail » ou une hiérarchie belle et bien présente tout en découvrant ce qui lie Sebastian à Ciel.

Un lien prenant de l’ampleur au fil des volumes et dont on ne doute pas un seul instant de l’impact radical qu’il aura, plus que probablement, dans le futur. Mais en attendant, au tout début (et lors de certaines scènes plus tardives) Yana Toboso flirte, gentiment en soi, avec le shônen aï pouvant apparaître en Ciel et Sebastian bien que notre jeune noble, comme nombre de personnes de son âge à l’époque, ai déjà une fiancée. Bah oui, cela peut sembler tôt et pourtant c’était assez courant dans le temps.

De quoi ? Les personnages ? Et bien, et bien, le duo principal est Jekyll et Hyde Ciel et Sebastian. Notre comte est relativement jeune au début de l’histoire, d’un tempérament pouvant s’avérer assez moqueur à ses heures perdues tout en étant sûr de lui malgré quelques petites failles que nous découvrirons petit à petit lié à son passé. A ses côtés, Sebastian s’avère être un majordome parfait dans tout ce qu’il fait, réparant les bêtises des domestiques de la maison Phantomhive sans trop de difficultés apparentes même lorsqu’il faut improviser.

Un enfant et un homme somme toute parfait. Une base pouvant déjà donner envie à certains de fuir loin, très loin, alors qu’en réalité nous découvrons au fil des tomes la complexité de tout cela. A leur côté, se trouve les domestiques composé de Bardroy le cuisinier pouvant manier le lance-flamme en guise d’ustensile de cuisine, Finnian le jardinier à la force herculéenne, Mey-Linn/May-Linn (Oui, j’hésite toujours…) la femme de ménage ne voyant pas grand chose avec ses lunettes et Tanaka… Ce dernier étant l’ancien majordome de la famille Phantomhive. Tout quatre nous montre déjà des différences notables dans leurs caractères dès le départ, même si la maladresse est de mise dans leurs métiers hormis pour le dernier cité. Oui, Tanaka était doué, mais à présent vous le verrez avec sa petite tasse de thé.

Bien qu’au début, il est possible de se poser des questions – réelles – sur ce qu’ils font là, la réponse arrive réellement au bout d’un moment. Ils ne sont pas aussi incapables que ce qu’ils peuvent montrer dans des tâches pouvant être vues et considérées comme simples par certains. D’ailleurs, l’un des quatre cités fait partie des personnages que j’apprécie énormément. Pour mes autres chouchous, ils arrivent bien plus tard alors je me tais et ne vous en dit pas plus.

Aux côtés de nos chers camarades, d’autres personnages pointent le bout de leur nez dont Elizabeth que… Je n’aimais pas du tout à ce moment là. Dans ce premier volume, je la trouve réellement directe voire puérile et n’hésitant pas à imposer ses choix même si Ciel ne veut pas du tout… A présent, cela va beaucoup mieux et lors de cette nouvelle lecture j’ai eu le cœur serré en pensant aux raisons la poussant, en réalité, à faire cela. Comme quoi, la première impression n’est pas toujours la bonne. Bien entendu, elle n’est pas la seule à se montrer car Madame Red – nommée également Angelina Dalles – est également là. Sœur de la défunte mère de Ciel, elle tient énormément à son neveu même si tout n’est pas facile pour elle non plus.

Je n’en citerai pas d’autres, ayant déjà cité le plus grand nombre des personnages se montrant tout en évitant certains noms, mais sachez que cela ne s’arrête pas à ces derniers et qu’au fil des volumes le nombre de personnages augmente en fonction de l’arc en cours. Chacun ayant son importance, même fugace, afin de voir l’évolution des protagonistes, l’avancée de l’arc, un personnage plus historique ou tout simplement un être ne se trouvant pas au bon endroit au bon moment. Oui, cela arrive aussi… Il faut également savoir que certains personnages sont inspirés d’autres êtres de papiers ou de chairs tels qu’Elizabeth Midford qui s’inspire d’un personnage très connu : Alice Liddle. Oui, l’un des personnages de Black Butler est basé sur l’héroïne du célèbre Alice au Pays des Merveilles.

Mais Neko, tu n’as toujours pas parlé des dessins ! Ah… C’est vrai. Et je dois avouer que cela me faisait réellement bizarre de revenir aux débuts de Black Butler vu que les traits de la mangaka ont bien évolué avec le temps. Ils sont réellement fins, peuvent être considérés comme étant très féminins à ce moment là et je dois dire que je ne suis pas mécontente de l’avoir vu se modifier, devenir tel qu’il est aujourd’hui. Pas qu’il ne donne pas bien, mais à présent je le trouve très et même trop fin. Une question de goût en soi ! Pourtant il y a bien pire, je le sais parfaitement, c’est juste le retour en arrière très radical sur le coup qui doit me faire cet effet.

D’ailleurs, les couvertures ont également bien changé au fil du temps. Sur ce premier volume – et une partie des suivantson découvre Sebastian en tant que majordome ce qui est logique en soi et, un détail qui m’amusera souvent avec la série, c’est ce qu’il y a en-dessous de la jaquette. Détournement de l’image de base, du titre et changement de résumé ! Et oui, une nouvelle histoire apparaît sous nos yeux un court instant et… Et bah parfois j’aimerais bien lire la dite histoire pouvant être créée à partir de cette idée ! Je précise que je suis réellement ravie que le Sebastian à toute les sauces n’ai plus été aussi présent au fil du temps parce que chacun des personnages a sa place sur la jaquette. (Dommage pour certains par contre qui n’auront pas eu cette chance)

Pour le reste, la qualité de l’édition en elle-même est relativement agréable. Kana faisant, comme souvent, du bon travail et nous laissant avec un papier ni trop fin, ni trop épais pour le bonheur des yeux ne découvrant pas directement ce qu’il se passe par après, mais également celui des doigts ne se coupant pas tout le temps. Au niveau des trames et de l’encre, je n’ai pas non plus eu de souci et ce même après relecture. Tout était encore à sa place, aucune dégoulinure depuis le début et toujours rien sur les doigts. Un bonheur pour tout lecteur tournant les pages et mettant ses mimines sur l’encre ! Il ne me reste plus qu’à parler de la traduction en elle-même pour laquelle je ne me souviens pas de boulettes. Les dialogues collent aux personnages, tous ont leurs propres bulles pleines et je n’arrive pas à avoir en tête une erreur orthographique. Temporelle peut-être, mais là n’est pas le souci en ce moment vu que c’est directement dans le manga en lui-même. (Coucou petit téléphone ne devant pas être réellement présent à ce moment là ~ )

Vous l’aurez donc comprit, je pense, Black Butler est une série que j’apprécie énormément découvrir, mais dont le début ne montre pas réellement toute la réelle avancée qu’il y aura lieu. Cela peut en bloquer certains dès le départ s’ils n’arrivent pas à s’attacher aux loufoqueries présentes malgré le côté sérieux se montrant de plus en plus au fil des volumes. Chacun des personnages voit son background s’étoffer au fil du temps et il ne faut pas, non plus, se baser sur les premières impressions ressenties… Sinon je pense que j’aurais fini par vouloir tuer Elizabeth là où j’en suis. Elle en a de la chance notre petite demoiselle.

Pour le reste, cette saga ne se veut pas historique. Pas du tout même, malgré quelque référence à certains événements, appareils ou certaines personnes ayant réellement existés au fil du temps. Les bases sont là, réutilisées pour prendre place dans l’univers créé par la mangaka et lui permettant de nous faire découvrir certaines choses grâce aux différents arcs. Ce tout premier tome nous permet donc de nous faire une première idée, une idée pas forcément rose par rapport au titre car il est possible de se demander où il va nous mener, si nous ne finirons pas tourner en rond ou à le trouver réellement lourd au possible. Pour le moment, là où j’en suis, ce n’est pas le cas même si ce premier volume n’est – et ne sera sûrement jamais – pas mon préféré. Il nous permet de voir le côté loufoque et sombre, mais difficile d’avoir la réelle ligne de conduite de l’œuvre.

Et vous les matous, lisez-vous la série ? Où en êtes-vous ? Y-a-t-il un arc que vous préféré ou un personnage ? Qu’en avez-vous pensé si vous l’avez essayé ?

 

Site de l’éditeur – Extrait – Trailer vidéo

Le petit journal nekoien #8

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Ame & Yuki – Les enfants loups : Ame et Yuki

Et recoucou les matous ! Comment allez-vous depuis la lecture de l’avis sur le tome 6 de Platinum End ? Toujours en forme ? Et bien, j’en suis ravie ! Comme vous le savez, le lundi c’est la sortie du petit journal nekoien également sur le blog et aujourd’hui il ne vous fera pas faux bond ! Le voici, le voilà ! Prêt à le lire ? Nous y allons !

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« Le soleil se couche, doucement, sur la colline »

« Rendez-vous chez l’allergologue/pneumologue » Ah… Je l’avais totalement oublié ce rendez-vous… Bien entendu un SMS de rappel est bel et bien arrivé pour me le rappeler en bonne et due forme. Je suis donc partie passer mes tests pour vérifier la manière dont évolue mon hyper réactivité bronchique. Résultat ? Elle est enfin contrôlée ! Bon par contre, si je me chope un rhume je tousserai naturellement plus que la moyenne, mais au moins le traitement fait bien son travail et je vous avoue que ça fait du bien de ne pas tousser h24 et tous les jours. Je suis aux anges ♥

« Retro MIA » Depuis vendredi soir avait lieu la Retro MIARetro Made In Asia – à Namur et j’y suis allée hier en compagnie de Maman Neko. Sur place avant l’ouverture à 10h, nous y avons passé la journée – en sortant quelques fois tout de même pour prendre l’air – et ce fut une très, très bonne journée. Les porte-monnaies, par contre, sont bien moins ravit vu qu’ils ont bien souffert et le sac à dos fut de bonne humeur… Tellement remplit que je m’étonne d’avoir réussi à tout rentrer dedans lors du transfert voiture-maison (ou convention-voiture, ça fonctionne aussi). Comme vous vous en doutez, il y avait du monde dans les allées en plus des différents stands, mais pour retrouver quelqu’un ce n’était pas trop difficile encore. Tout du moins lorsque l’on sait où chercher ! (N’est-ce pas Thib’ ? Heureusement qu’on avait un lieu pour se retrouver ahaha) Je suis restée un bon moment au stand Ototo/Ofelbe/Taifu et y suis même retournée plusieurs fois en fait tout comme Maman Neko. Je suis vraiment contente de voir qu’elle a passé une bonne journée et qu’elle en a aussi profité 🙂

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« Levant la tête vers le ciel, le cerf blanc observe le coucher du soleil »

« La sirène aux requins » Mission relecture pour ce texte ! Oui, je l’ai enfin terminé et ma petite Embrun nage tranquillement dans la mer proche du continent Oublié en compagnie des requins tout en sensibilisant les gens par rapport à cette créature marine. Certes, ce n’est pas simple de changer les idées reçues, mais la sirène n’abandonne pas et sait parfaitement qu’elle finira par y arriver un jour. Texte terminé.

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«  Et sur la colline apparaît une petite forme aux longues oreilles »

« Made In Abyss » Alors, alors que dire de Made in Abyss à présent ? Et bien, c’est l’un des anime que j’apprécie énormément. En fait, ce serait même un coup de cœur et je regrette vraiment de ne pas m’être lancée directement même si j’ai pût enchaîner plus facilement les épisodes de ce fait. J’ai été touchée par les personnages, le charadesign certes mignon et assez doux tout en faisant face à des événements s’avérant rudes et oppressant au fil du temps. Tout n’est pas simple dans cet univers et, comme quoi, il ne faut pas toujours se fier au physique des personnages pour se dire que ce sera forcément très, très mignon. Oui, c’est trompeur et Made In Abyss le prouve sans difficulté. J’espère vraiment que l’on aura le manga, un jour, par chez nous ! Vu 13 épisodes.

« Hanazuki » J’avais envie de tester un petit DA ne durant qu’une dizaine de minutes par épisodes et, allez savoir pourquoi, je suis tombée sur Hanazuki au détour d’une vidéo Youtube. Etant donné qu’ils sont plus courts, j’en ai déjà regardé dix et ils comblent parfaitement les creux apparaissant entre quelques épisodes où lorsque j’ai peu de temps. On y suit Hanazuki, une Moonflower, qui vit sur une lune en compagnie des hemkas et doit la « protéger », semble-t-il, d’une certaine chose néfaste grâce aux arbres qu’elle fait pousser à l’aide des trésors apporté par un petit dormeur et réagissant aux émotions ressenties par la fillette. Vu 10 épisodes.

 

« 12-Sai. Chicchana Mune no Tokimeki » Egalement connu sous le nom de 12 ans, c’est un shôjo très, très mièvre en soi. Allez savoir pourquoi, je me suis lancée dans l’aventure… Peut-être une période plus fleur bleue ? Aucune idée… Ce dont je suis sûre c’est qu’il ne touchera pas tous les publics et vu que tout ne tourne qu’autour de l’amour et des couples, ce ne sera vraiment pas la tasse de thé de tous. Je doute, par exemple, le revisionner une fois que j’aurai fini les épisodes de la saison 1 et ne pense pas enchaîner sur la deux… Je verrai bien au fil du temps et mon état d’esprit. Vu 5 épisodes.

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« Un lapin lunaire reprend vie, petit à petit, en même temps qu’apparait la lune »

« Granblue Fantasy » Le jeu auquel je joue pour le moment via l’application Google Chrome. Pour se faire, j’avais suivit un tutoriel et à présent il n’y a pas un jour où je ne suis pas sur le jeu ! J’ai hâte que le nouvel évent prenne place, celui-ci étant basé sur CardCaptor Sakura afin de découvrir l’histoire et réussir à garder le personnage qui nous accompagnera (sûrement Sakura) dans l’équipe. Je me demande vraiment ce qu’il donnera 🙂

 

Et… c’est déjà fini… Et oui, une semaine relativement « calme » si l’on retire les sorties. Je reprendrai Miraculous Ladybug dès demain afin de les enchaîner pour être bien dans l’univers. Comme toujours si vous avez des idées pour améliorer le petit journal, n’hésitez pas les matous ! Je serai ravie de discuter avec vous comme d’habitude ^^

Et votre semaine à vous, comment s’est-elle passée ? Qu’avez-vous fait ? Quelles ont été vos découvertes ?

Le petit journal nekoien #6

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Coucou les matous ! Et oui, deux articles publiés – dont un avis – dans la journée sur le blog… C’est rare !  J’espère que vous allez toujours aussi bien que ce midi et que vous avez bien mangé. Je me doute que vous savez vers quel article nous allons cette fois. Comme tous les lundis depuis le mois passé, le petit journal nekoien pointe le bout de son nez. Prêt à le lire ? Go !

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« Elle affronta le vent, avançant en direction de l’être comptant le plus à ses yeux. »

« Premier entretien » La semaine passée j’ai eu mon tout premier entretien – vu que je suis actuellement en recherche d’un emploi – et finalement, ils recherchaient quelqu’un ayant déjà de l’expérience ce que je n’ai pas. Mais ce n’est rien, je finirai par trouver ! En attendant, entre les recherches j’écris et rattrape autant que je peux tous les retards accumulés. Bientôt, je n’en aurai plus !

« Le monde sauvage d’Aywaille » Samedi, c’était sortie au zoo… Une sortie non prévue comme d’habitude, mais qui faisait un bien fou vu que la météo était vraiment clémente. Je me suis retrouvée à observer tranquillement les animaux, mais également nez à nez avec un zèbre vu qu’ils étaient en semi-liberté dans une partie du parc. Résultat, il avait passé la tête par la fenêtre de la voiture. C’était une chouette expérience ! Mis à part ça, ma carte SD à fini la journée pleine vu que j’ai fait plus de 500 photos sans que je ne m’en rende compte.

« Fin de la cueillette des pommes et des poires » Ah… ça… Je suis contente que ce soit fini ! Je pensais qu’il n’y avait que trois caisses de pommes et finalement, non, il y en a quatre ainsi qu’une de poires. Il y a du stock, ça c’est certain et je n’ai strictement aucune idée de ce que l’on va faire avec tout ça. Heureusement que la plupart des autres arbres et plants ne donnent pas tant sinon ce serait réellement rude chaque année.

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« Mais celui-ci semblait disparaître comme s’il n’avait jamais existé… »

« La sirène aux requins » L’un des textes faisant partie du « Continent oublié » comme « L’oiseau bleu » dont je vous avais déjà parlé. Il avance, à son rythme, passant du format mémo de l’IPOD au format Word et la sirène n’hésite pas à nager à contre-courant des idées reçues. Pour le moment, je n’en suis qu’à une page Word, mais il commence à prendre de plus en plus forme et je suis contente par rapport à ça ! En cours.

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« Le cœur de la jeune fille se serra, pourtant elle gardait espoir malgré la crainte de le perdre à jamais. »

« Made In Abyss » Je continue mon rattrapage et j’accroche de plus en plus à cet anime au design tout mignon, mais derrière lequel se cache plus de noirceurs que ce que l’on pense. J’ai hâte d’en voir encore plus par rapport à l’Abyss, sur ce qui attend Rico ainsi que Legu et je regarderai les prochains épisodes dès que possible sur Wakanim. Une très bonne surprise en tout cas que je ne regrette pas du tout d’avoir débutée après avoir demandé sur Twitter si je me lançais ou non. (J’hésitais au début… Il faut que j’arrête d’hésiter…Vu 6 épisodes.

 

« Miraculous Ladybug » Débuté dans le courant de la semaine, il me semble que j’avais découvert ce Dessin Animé grâce à Angel – son blog – lorsqu’elle le mentionnait sur Twitter. A ce moment là, je n’avais pas le temps de me lancer, mais à présent c’est chose faite ! Et je me dis que j’aurais mieux fait de le faire avant vu que j’accroche réellement à l’histoire. La saison 2 ne devrait plus tarder et j’aurai peu de temps à attendre avant de me lancer dedans normalement. Vu 10 épisodes.

 

« Deadman Wonderland » Alors, j’ai testé Deadman Wonderland que je continuerai sûrement en vostfr car je l’avais lancé en vf vu que Maman Neko voulait également faire un essai. Résultat, la majeure partie des voix allaient sauf celle du héros qui ne me plaisait pas vraiment… Mais les goûts et les couleurs par rapport à ça. Je verrai lorsque j’aurai vu l’épisode 2 si oui ou non je le continue. La licence n’est malheureusement pas disponible dans ma région sur Crunchyroll, mais je trouverai bien un moyen de la regarder entièrement. Vu 1 épisode.

« Prison School » Comment dire que je l’ai débuté au hasard ? Oui, oui… Je ne cherchais rien de particulier et j’ai cliqué sur l’épisode 1 lorsque j’étais sur le site de Crunchyroll. Bien entendu j’ai déjà entendu parler du manga, mais je ne l’ai pas lu alors tout était un peu nouveau sur le coup et… Bah j’en suis à présent à l’épisode 3 car il est le dernier test de la semaine. C’est totalement WTF, ça change bien les idées en tout cas et… J’ai très envie de continuer… Donc oui, j’irai regarder l’épisode 4 dès que j’en aurai l’opportunité.  Vu 3 épisodes.

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« Sous ses yeux, l’être perdait en substance, et la demoiselle tendit la main dans sa direction espérant le toucher… »

« Politicat » Un jeu sur téléphone mobile avec des chats ! C’était à prévoir d’une certaine manière, mais je passe un agréable moment dans ce petit jeu où il suffit juste de toucher son écran. On suit une « campagne politique » en compagnie du petit félin que nous choisissons au début en lui ajoutant des accessoires, rajoutant des personnes à ses côtés, etc. Le design est plutôt chou également. A voir sur le long terme si cela devient lassant, mais après deux jours ça va à coup sûr !

Et oui, comme toujours il est déjà terminé et comme d’habitude si vous avez des idées pour l’améliorer je suis preneuse ! Certaines me viendront sûrement en tête au fil du temps, même si ce n’est pas tout de suite. N’hésitez pas non plus à laisser des commentaires, je ne mords pas et serai même ravie de discuter. Parfois, il me faut un peu plus de temps pour répondre, mais je tente de faire mon maximum pour que cela soit rapide. Sur ce, passez une belle journée et belle semaine les matous !

Et vous les matous, à quoi ressemblait la semaine qui vient de s’écouler ? Avez-vous des projets pour celle qui débute aujourd’hui ?

Fire Punch – Tome 2

Hey les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Chouette alors ! Parce que le week-end prend petit à petit fin… Mais pas encore les vacances ! Bon pour ceux qui sont en vacance, ce qui n’est plus vraiment mon cas depuis le début des examens de récupération… Je suis également peu présente en ce 27 août, pour la simple et bonne raison que je fête l’anniversaire de ma mère en sa compagnie (et celle de mon paternel, bien sûr… mais disons que ce n’est pas encore la joie avec lui…)

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un monde post-apocalyptique dont je vous avais déjà parlé lors de l’arrivée d’une certaine box presse et… Bien sûr du tome 1 ! Sinon, cela serait ballot que je vous parle à présent du deuxième volume – quoi que je serais capable… – et je remercie une nouvelle fois les éditions Kazé et Anita pour l’envoi vu qu’il était arrivé à destination en compagnie du tome 4 de Riku-Do et cette fois il n’avait pas fait le tour du village ^^ C’est toujours une joie de voir apparaître une petite enveloppe ou un paquet, je suis comme un enfant devant. Prêt à rejoindre un monde extrêmement froid ?

« Fire Punch »

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7€99 – Seinen – 192pages

Agni, qui brûle désormais d’un manteau de flammes inextinguibles, part à la recherche du cruel Doma pour venger le meurtre de sa sœur ! En chemin, il est surpris par un élu qui parvient à le décapiter ! Les soldats de Behemdolg décident de jeter sa tête  à la mer, seul moyen de se débarrasser définitivement de lui. Surgit alors Togata, énigmatique jeune femme dont la passion pour le cinéma n’a d’égal que sa puissance…

Nous  retrouvons Agni en mauvaise posture au début de ce tome – Souvenez-vous de la fin du tome 1 où il était décapité – et un certain personnage nommé Togata se décide à prendre beaucoup, beaucoup plus d’ampleur. Et ironiquement cela fait plaisir ! Mais que nous réserve-t-elle ?

Parce que oui, Togata sera bien plus au centre de ce tome que notre homme de feu immortel sur le coup, prenant carrément le manga en « otage » dans la manière où certaines scènes seront… A sa sauce ! Si vous trouviez des trajets trop longs ou des scènes de combats redondantes, oubliez cela avec cette jeune femme dingue de cinéma !

Du côté d’Agni, j’ai eu un peu plus de facilité avec lui dans ce deuxième volumeParce que bon, je n’ai pas eu trop d’atomes crochus avec notre héros durant le tome 1 – et c’est un soulagement… Bon peut-être suis-je anormale, mais j’ai réussi à apprécier, un peu plus, sa manière d’être, sa volonté dans ce tome-ci… Même s’il n’est toujours pas mon personnage préféré, loin de là, il augmente un peu et ne se trouve plus dans le bas du classement le malheureux.

De plus, d’autres personnages commencent à apparaître de manière un peu plus fréquentes même si… La vie est rude dans ce monde, alors il vaut mieux éviter de s’attacher à quelqu’un trop vite au fond. (Un peu comme dans GoT, oui… M’enfin pour le moment ça va encore…) L’un des nouveaux venus est d’ailleurs relativement troublant et je me pose de nombreuses questions par rapport à celui-ci (ou celle-ci ? Mouahaha, non je n’ai pas envie de donner son sexe !) Et puis, il y a Neneth… Nous la rencontrions dans le tome 1 cette petite demoiselle et je dois avouer l’apprécier – je n’ai pas envie de la voir mourir, c’est un bon point, non ? – même si cela ne doit pas être simple pour elle.

Au fond, chacun des personnages possèdent son propre background, ses raisons, son tempérament, ses problèmes, son espoir également. Ils sont bel et bien distinct les uns des autres faisant que l’on s’attache, ou non, à l’un d’entre eux. Dans mon cas, j’aime énormément Sun et… Et j’ai mal pour lui d’une certaine manière… Et puis Togata parce que c’est Togata. Comment ça ce n’est pas une raison suffisante ? Disons que son caractère m’enchante, cela vous va mieux ?

Tout simplement parce qu’elle nous évite les temps mortspouvant être considérés comme longstout en nous apprenant pas mal de choses sur cet univers où il fait bon vivre froid toute l’année. Par contre une certaine faculté semble bien fréquente parmi les élus, je ne pensais pas la revoir aussi souvent ! Ah et les fans de Comics – et les cinéphiles – ne seront pas dépaysé avec notre petite Togata qui mentionne plus d’une fois des éléments liés à certains superpouvoirs que nous connaissons dans les films – et de ce fait comics par déduction – Marvel (Aucune idée par rapport aux DC Comics, mais je ne pense pas… *néophyte de chez néophyte*)

L’histoire, de son côté, est toujours présente. Et non, elle n’a pas disparu d’un coup de baguette magique et pour notre plaisir elle avance ! Agni et sa quête de vengeance continuent leur route, mais à présent se trouve une énergumène prête à tout pour réaliser un bon film… Oui, oui, on peut dire que le désir de Togata change sur le coup. La fin me donne également envie de voir ce qu’il se passera dans le tome 3, mais je ne vous en dirai pas plus par rapport à celle-ci sous peine de vous spoiler.

Pour ce qui est des illustrations, j’aime énormément la couverturequi représente Togata, oui elle est partout dans ce tome 2 – et j’ai hâte de voir « en vrai » les suivantes. A l’intérieur, on suit sans trop de difficulté les événements tout en reconnaissant nos joyeux personnageset les remarques de Togata, mais ceci n’a rien à voir avec les illustrationsainsi que les lieux ou les scènes prenant place sous nos yeux. Je n’ai pas eu trop de difficulté, pour ma part, à m’y retrouver.

Au niveau de l’édition du manga, la maison d’édition Kazé reste fidèle à elle-même et nous propose un manga souple dont les pages sont opaques empêchant de voir les pages suivantes. L’encre reste gentiment sur ces dernières pour le bonheur de nos doigts parfois meurtris, après tout qui aime finir avec des doigts noirs ? (Quoi que… Quand je fais mumuse dans la gouache j’ai les mains multicolores…) Quant à la traduction, elle est nickel et permet une immersion dans ce monde froid où nous côtoyons les personnages tout en montrant, sans soucis, leurs états d’esprit.

Mis à part tout cela, comme vous le voyez j’ai bien plus accroché à ce tome qu’au précédent. Ce faisant je suis pressée de lire le tome 3, de savoir ce qu’il adviendra des personnages et les mystères. Tant de choses sont encore à découvrir, tant d’éléments présents et… Et avec un peu de chance mon petit Sun se portera mieux… Je m’y suis beaucoup trop attachée à ce petit bout… De plus, de ce que j’ai pût voir – j’ai attendu de finir mon article pour ça – le deuxième tome est bien plus apprécié que le premier alors pour ceux ayant eu du mal avec le tome 1, tentez le deuxième volume au cas où !

Et vous les matous, lisez-vous la série ? Qu’en pensez-vous ? Où en êtes-vous ? Quel personnage appréciez-vous ?

Site de l’éditeurExtraitMinisiteInterview de l’auteur

Riku-Do – La Rage aux poings – Tome 4

Coucou les matous ! Comment vous portez-vous ? Le week-end est là et j’espère que vous pourrez en profiter un peu !

Aujourd’hui, je vous entraîne une nouvelle fois dans le monde de la boxe grâce aux éditions Kazé et Anita qui m’ont permit de recevoir le tome 4 de la licence. Je les remercie grandement pour cela 🙂 Pour ceux ne connaissant pas le titre, voici mon avis sur le tome 1 et pour les autres… Êtes-vous prêt, les matous boxeurs, à retrouver vos gants et à vous battre ?

« Riku-Do – La rage aux poings »

rikudo

7€99 – Seinen – 192pages

Dans ce premier tour du East Japan Rookie King, Riku affronte Tsuwabuki, un ancien kick-boxer que Tokorozawa a secrètement entraîné. Pour la première fois de sa jeune carrière, Riku est en sérieuse difficulté et même envoyé au tapis !
Parviendra-t-il à trouver la faille et faire plier cet adversaire aussi endurci physiquement que mentalement ?

Nous retrouvons Riku alors qu’il va affronter son nouvel adversaire – que nous avions rencontré dans le tome 3 – dans un match bien plus compliqué que les autres pour notre jeune boxeur car, comme vous le voyez dans le résumé, Tsuwabaki a été secrètement entraîné par Tokorozawa. Comment ce match se finira-t-il ?

Les personnages reprennent place sous nos yeux dans ce quatrième tome et nous ne les découvrons pas que « vainqueur ». Certains auront plus de difficultés qu’auparavant, d’autres prendront leur courage à deux mains et nous les voyons évoluer, faire leurs choix et ce peut importe le résultat. De plus, de nouvelles têtes – en plus des anciennes – apparaissent tout en laissant les anciennes garder leurs présences voire… S’imposer un peu plus ! Et pour ça, c’est réellement un bien par rapport à une certaine demoiselle que j’ai été ravie de voir un peu plus et surtout d’en apprendre plus sur elle grâce aux désormais célèbres flash-back. Des flash-back utiles et qui rajoutent pas mal d’éléments au personnage.

Les relations entre personnages évoluent également, après tout personne n’était myope par rapport à l’amourette existante et c’est une bonne chose de voir tout cela avancer. Il n’y a pas que cela, d’ailleurs, qui continue d’avancer – à son rythme bien sûr – mais également tout ce qui touche à la boxe, à ce milieu et aux relations entre les différents sportifs. Nous en voyons de plus en plus au fil des tomes, chacun ayant son style, son passé, son design, mais également son caractère et je me demande comment tout cela évoluera par rapport à certains d’entre eux. Riku aurait-il une chance des les battre ? Je n’en sais rien, en doute même légèrement, mais après tout rien n’est impossible et notre petit héros aux cheveux blancs reste réellement concentré sur sa discipline sportive. Est-ce un bien ou un mal ? Seul le futur nous le dira.

D’ailleurs, la psychologie de Riku reste vraiment intéressante… Tout du moins à mes yeux et comme il m’arrive d’avoir des goûts étranges peut-être n’est-ce pas le cas de tout le monde. Il est réellement tourné vers la boxe et ce malgré tout ce qui l’entour alors que d’autres personnages évoluent différemment et lui font remarquer certaines choses. Est-il réellement fait pour ce sport ? Si l’on se base sur ce qu’il se passe depuis le début, c’est le cas, mais au niveau psychologique ne devrait-il pas s’endurcir encore plus ? De plus, ne devrait-il pas tenter d’aller un peu plus vers les autres malgré ce que l’on dit de lui et s’ouvrir malgré tout ? Difficile à dire, mais ce qui est certain c’est qu’au moins un personnage – et d’autres, bien entendu – l’apprécie tout de même pour la personne qu’il est et ne se base pas sur son passé pour être ou non proche de lui.

L’histoire, de son côté, continue d’avancer pour notre plus grand plaisir et, comme dit plus haut, il n’y a pas que les combats qui sont mit en avant. Le relationnel également, tout comme l’observation. Après tout, on ne fonce pas lors d’un match de boxe tel un tank. Certes, il faut réagir rapidement, mais il faut également tenter de comprendre le jeu adverse, la manière de faire et prendre en compte nos points forts ainsi que nos points faibles. Même si ces derniers peuvent parfois nous être tout simplement inconnus, il faudra pourtant les dépasser. Et l’on se doute que dans un manga où un sport est présent, le dépassement de soi apparaîtra forcément à un moment, mais ne touchera-t-il que le milieu sportif ou également le social pour notre petit Riku ? Nous le voyons grandir, s’épanouir d’une certaine manière, mais il risque de faire des erreurs comme n’importe qui. Après tout, cela reste un humain, un être d’émotions et de sentiments, un être qui avance en mettant un pied devant l’autre et qui se trompera sûrement ou ne se rendra pas compte que certains de ses choix peuvent blesser.

Et ce côté humain mit en avant est l’une des forces de Riku-Do tout en ne nous mettant pas de la joie version bisounours à chaque page. Non, ici c’est un monde – toujours le nôtre, nous ne nous sommes pas téléporté au Pays des Merveilles – où rien n’est simple, où les dangers rôdent et où les gens n’hésitent pas à parler entre eux. Les êtres humains sont capables de blesser par des actes, des paroles, et même insuffler le doute pourtant il y a toujours une petite lueur d’espoir liée à une activité ou un rêve. Mais cette lueur reste fragile malgré tout…

Les dessins, de leurs côtés, nous permettent une immersion totale dans le manga et nous permet de faire face aux actions présentes, aux sentiments, aux personnages en toute circonstance. Douleurs, doutes, espoir nous le ressentons malgré nous et observons, sans pouvoir réagir, ce qu’il se passe. Il est facile d’entrer dans ce manga dont on ressort, d’une manière ou d’une autre, chamboulé par contre il n’est pas à mettre entre toutes les mains non plus. Les plus fragiles ne risquent pas d’en sortir indemnes.

Pour ce qui est de l’édition de ce manga Seinen sortit aux éditions Kazé, elle est toujours propre et souple. Transportable sans souci et ne risquant pas de finir plié façon origami au fond du sac, vous devriez pouvoir le lire lors de vos voyages sans trop de problème à moins de réussir à le bloquer d’une mauvaise manière entre deux plus gros romans qui seraient de véritables poids lourds à côté. La traduction est toujours un régal, les personnages ont toujours leurs manières de parlerfranche pour certainset il n’est pas difficile de les reconnaître dans les bulles de dialogues. Tout est compréhensible, sans erreur et nous permet de suivre les protagonistes sans difficultés. Les pages, de leurs côtés, sont opaques et évitent le risque de spoil lié aux pages arrières lorsque la page est plus translucide, de plus l’encre reste gentiment à sa place pour nous permettre d’apprécier les traits présents.

Vous le savez sûrement, mais depuis le tome 1 Riku-Do – La Rage aux Poings est un manga que j’apprécie énormément. Ce tome 4 reste un véritable régal, une belle découverte et suite qui me permet d’entrer un peu plus dans l’univers, d’en apprendre plus sur certains personnages voire de souffrir avec eux. J’ai réellement hâte de découvrir le tome 5, de voir ce qu’il se passera par la suite malgré la rudesse présente dans l’œuvre.

Et vous les matous, où en êtes-vous dans cette série ? Y a-t-il un personnage que vous appréciez ? Pratiquez-vous un sport de combat ?

Site de l’éditeurExtrait du tome 1