Dr.Stone – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Ici, tout va pour le mieux actuellement et ce ne sont pas les personnes me côtoyant qui diront le contraire. J’en profite pour remercier tout ceux passant sur le blog, que vous laissiez ou non des commentaires je reste surprise de voir autant de passage même lorsque j’ai été absente ainsi que le nombre de personnes recevant les notifications d’articles par mails. 523 personnes. Je n’en reviens pas ! Surtout que cette possibilité se trouve au fin fond de la page, ce n’est pas comme si c’était la première chose que l’on voyait. Mais ça fait plaisir, vraiment, que vous soyez des visiteurs de l’ombre ou de la lumière je vous salue et vous remercie !

Où partons-nous aujourd’hui ? Bonne question. Il y a tant de lieux que je souhaite vous faire connaître, d’univers divers et variés, d’aventure en compagnie d’êtres aussi différents les uns que les autres et d’histoire en tout genre. J’ai le choix, mais préparez le mangaportail car nous partons dans un titre des éditions Glénat cette fois. Et oui, nous rejoignons…

« Dr.Stone »

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6€90 – Shônen – 192 pages

Survivre et évoluer !

Taiju, un lycéen tokyoïte, est un jour victime d’un phénomène mystérieux : en une fraction de seconde, l’humanité entière est transformée en pierre ! Des milliers d’années plus tard, à son réveil, il décide de rebâtir la civilisation à partir de zéro avec son ami Senku !! Ne manquez pas le premier opus du meilleur récit de survie et d’aventure S.F. de tous les temps !!

Lorsque le scénariste d’Eyeshield 21 et le dessinateur de Sun-ken Rock, décident de travailler ensemble, le résultat ne peut être qu’exceptionnel. Issu du prestigieux Weekly Shônen Jump, qui a vu éclore Dragon Ball et One Piece, Dr. Stone séduit d’emblée par son propos novateur et ses enjeux colossaux. Quand le renouveau de l’espèce humaine ne tient qu’à deux garçons, quelles solutions peuvent bien s’offrir à la survie de l’humanité ?

Il y a de ça plusieurs mois je me questionnais par rapport à ce titre. Fallait-il que je me lance ? Que je tente ? Dans quoi allais-je me lancer ? Certaines personnes m’avaient répondu sur Twitter et c’est lors d’un vadrouillage avec Maman Neko que je suis retombée dessus, que j’ai pris le temps de lire le résumé et que j’ai fini par craquer… Pour le malheur de cette dernière.

Il faut savoir que je n’ai pas lu Eyeshield 21, je ne le connais que de nom grâce à une personne connue à l’université, et par rapport à BOICHI je n’avais pas beaucoup de titres où il était inscrit. Non… Seul TerraFormars Asimov se trouve dans ma mangathèque, c’est pour dire que je me lançais un peu dans l’inconnu. Mais le résumé m’intriguait… et les avis n’étaient pas mauvais non plus. Bien sûr, comme tous les titres ça passe ou non, mais sans tenter il est difficile de deviner ce qui peut nous plaire.

Ici, je faisais donc la rencontre de deux lycéensTaiju et Senkudans un monde identique au nôtre vu que… C’est le nôtre. Logique me direz-vous. J’ai d’ailleurs bien apprécié le fait de ne pas voir que le Japon lorsque le mal touche cet univers et les modifications qui se produisent au fil du temps. Une fois l’être humain disparubon d’accord, transformé en caillou – les changements se produisant au niveau de la faune et de la flore sont prodigieux. Je me souviens avoir vu il y a déjà pas mal de temps une vidéo où l’on voyait ce qu’il se passerait, probablement, si nous disparaissions soudainement et c’était le jour et la nuit entre ce que nous connaissons et ce qu’il y aurait.

Et dans Dr.Stone j’ai retrouvé cette vision de ce que notre monde serait sans notre présence durant des millénaires. Oui, parce qu’au fond dans le manga nous sommes toujours là d’une manière ou d’une autre et nos deux héros nous le prouverons au fil des pages, des actes et des visions diamétralement opposées pouvant apparaître. Le duo se complète, des choix seront fait pour le meilleur et pour le pire en fonction de ce qu’il se passe. Les points forts, les faiblesses, tout ce qui fait de nous un humain sont également présent même si cela apparaît de manière plus « extrême ». L’intelligence, la force, l’endurance, la robustesse, tant de choses et plus encore qui apparaissent au fil des pages. Bien que poussé à leurs paroxysmes dans certains cas, j’ai fini par apprécier certains des personnages même si ce n’est que le premier volume, celui nous mettant dans le bain et nous permettant de voir dans quoi on se lance.

Parce que oui, ce premier tome est une mise en bouche, celui qui nous expliquera ce qu’il se passe, les modifications de notre monde, ce qui aurait pût alerter les gens aussi et diverses autres informations éparpillées au fil du temps. J’ai d’ailleurs appris quelques petites bricoles durant ma lecture et suite à certaines explications j’avais envie de tenter telle ou telle action ou réalisation. Ma curiosité est parfois vraiment difficile à gérer.

Au niveau des dessins de BOICHI, il m’a fallu le temps de me remettre dans le bainn’ayant lu qu’un seul titre en deux tomes où il était le dessinateuret au final, je m’y suis plutôt bien accrochée. Ayant relu ce premier tome plusieurs fois afin de pouvoir vous en parler, je peux dire sans souci qu’il est assez reconnaissable. Le dessinateur à son propre style qui est assez dynamique lorsqu’il le faut et qui permet de reconnaître sans difficulté les personnages, les objets, les plantes et les animaux.

Par rapport à l’édition en elle-même, Glénat a fait du bon travail. Lorsque j’ai pris le manga en main la première fois, la jaquette me semblait étrangement douce tout en étant brillante, légèrement métallisée à certains endroits j’ai l’impression. On voit dessus l’un des personnages principaux ainsi que le titre, même si pour ce dernier c’est logique. A l’intérieur du manga, les pages ne m’ont pas parue trop fines, ni trop épaisses et je n’ai pas eu de problème avec l’encre qui est restée là où elle devait être. Au niveau des dialogues, après plusieurs lectures je n’ai pas vu de coquilles, tout du moins s’il y en a elles ne sont pas grosses comme des maisons et j’ai réussi à tout comprendre au fil du temps. Oui, je suis fière !

Ce premier tome de Dr.Stone fut donc une agréable surprise, je ne pensais pas être aussi prise dedans lors de ma lecture et le tome 2 est déjà dans ma liste de futurs achats. Allez savoir quand par contre vu tout ce que j’ai à rattraper comme manga… Mais il sera acheté, lu et chroniqué ! Foi de matou ! Parce que oui, j’ai vraiment bien aimé ce premier volume et je suis curieuse d’en savoir plus, de découvrir ce qu’il se passera dans la suite !

Dr.Stone - Tome 1

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Comptez-vous l’essayer ?

 

Site de l’éditeurExtrait

Barakamon – Tome 1

Coucou les matous ! J’espère que vous allez bien. Ce vendredi fut pas mal chargé de mon côté, mais je sais que je peux continuer ma formation à présent. Les tests sont réussit, je suis « admise » comme il est écrit sur le papier. Pour fêter ça, j’ai un peu craqué vu que j’ai été me prendre les 2 tomes de la nouvelle version de Card Captor Sakura (Pika) et les 2 tomes qu’il me manquait des Nuits d’Aksehir (Akata)

Aujourd’hui, nous partons en direction d’une jolie petite île que les éditions Ki-Oon nous ont permit de découvrir en sortant ce titre il y a déjà quelque temps maintenant. La bonne humeur s’y trouve à chaque coin de rue. Vous devinez de quel manga je vous parle ? Et oui, cette fois nous partons dans…

« Barakamon »

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7€65 – Shônen – 200 pages

Seishû Handa, étoile montante de la calligraphie japonaise, collectionne les prix d’excellence pour son travail. Beau et jeune, mais surtout d’une arrogance sans bornes, il met sa carrière en péril le jour où, excédé, il assomme un éminent conservateur de musée qui juge son travail “formaté et sans saveur”… Sanction immédiate pour ce coup de sang : Seishû est puni et contraint d’aller expier son crime sur une petite île, au fin fond de la campagne nippone !

Le jeune citadin, qui espérait au moins pouvoir pratiquer son art dans le calme, ne tarde pas à déchanter : entre les voisins qui débarquent à l’improviste et la bande de gamins qui a choisi son atelier comme terrain de jeu, la partie s’annonce compliquée… Attachants, irritants, farfelus et pleins de vie, les habitants du village vont chambouler son quotidien bien réglé.

 

Barakamon est un titre pour lequel j’avais débuté l’anime et que je souhaitais découvrir sous le format manga. Lors de plusieurs passages, je l’ai vu au magasin d’occasion et la dernière fois j’en ai profité pour repartir avec les 4 tomes qui étaient présents. A 3€15 le tome, il faut dire que j’ai eu du mal à résister jusqu’au dernier passage… D’ailleurs, il m’avait été conseillé même si avec ma mémoire de poisson je ne reviens plus sur la personne l’ayant fait.

Nous y découvrons Seishû Handa, un calligraphe japonais, qui assommera un éminent conservateur de musée qui jugeait son travail « formaté et sans saveur ». La sanction tombera rapidement et Seishû partira sur une petite île pour s’améliorer dans son art ainsi qu’expier sa faute… Mais cette île n’est pas l’endroit le plus calme du monde et Seishû s’en rendra rapidement compte avec les arrivées à l’improviste de différents personnages tous aussi farfelus les uns que les autres. Comment évoluera notre jeune calligraphe au fil du temps et des rencontres ?

Barakamon porte merveilleusement bien son titre, la bonne humeur se ressent à chacune des apparitions des différents protagonistes que nous découvrons au fil des pages et des tomes. Ici, Seishû et Naru sont les primordiaux d’une certaine manière, mais les autres ne tarderont pas et chacun prendra sa place, son importance et sera fidèle à lui-même. La petite Naru est juste adorable et montre très facilement ses émotions, son attachement, il est vraiment difficile de rester de marbre devant cette fillette pleine de vie. Du côté de Seishû, arrogant au début, on le verra s’épanouir à son rythme et se retrouver un peu contre son gré avec une flopée de personnes différentes à ses côtés qui lui permettront de changer.

L’histoire est réellement douce, bon enfant et emplie de bons sentiments qui rendent à coup sûr le sourire au lecteur et lui donne envie d’arpenter l’île en compagnie de cette petite troupe ou de découvrir la calligraphie, même si j’éviterai tout de même d’y aller de la même manière que Seishû ! J’ai vraiment adoré voir les relations se construire au fil des pages et prendre du plaisir à découvrir de nouvelles têtes, des lieux et des activités. On profite de l’instant présent en leur compagnie et cela fait un bien fou.

Du côté des dessins, ils sont vraiment agréables et portent à merveille l’œuvre de Satsuki Yoshino tout en restant également assez détaillés pour nous faire profiter des protagonistes et des lieux. Cela donne envie de s’y rendre, de côtoyer ce beau petit monde et on ne se perd pas parmi eux. Tous sont différents tant physiquement que moralement et ils nous emmènent dans leur quotidien sans aucune difficulté. La nature aperçue, également, au fil des pages restent un véritable régal pour les yeux et nous faitelle aussivoyager au loin.

Par rapport à l’édition du manga en elle-même, je n’ai pas vu de problèmes majeurs. La traduction est réellement bien réalisée et l’on retrouve bien la traduction littérale de Barakamon à savoir « avoir la pêche ». Les dialogues et la manière d’être des personnages le démontrent merveilleusement bien, peu importe l’âge de celui que nous découvrons sur la page. Petits et grands ont leurs manières de parler, parfois de manière fluide et d’autres fois avec un « patois » un peu plus présents. Les mots peuvent se couper, se suivre sans difficultés et donnent un charme à chacun des nos petits amis ! Comme souvent la jaquette peut être retirée et laisse apparaître un petit quelque chose juste en-dessous que je vous laisse découvrir par vous-même si vous êtes curieux quant à l’encre, présente du début à la fin du manga ce qui est logique, elle ne s’étale nulle part et reste bien sagement à sa place.

Et oui, Barakamon fut vraiment une délicieuse découverte qui rentre automatiquement dans mes mangas feel good pouvant rendre le sourire presque tout le temps. Je me demande vraiment pour quelles raisons je ne l’avais pas débuté plus tôt du coup… Ceci restera un mystère jusqu’à la fin des temps.

Barakamon - Tome 1

Et vous les matous, connaissez-vous le titre ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Comptez-vous tenter le manga si vous ne l’avez pas lu ?

ExtraitSite de l’éditeur

Le Chant des Souliers Rouges – Tome 5

Coucou les matous, comment allez-vous ? Bien, j’espère ! Le soleil semble jouer à cache à cache avec les nuages ces derniers jours, c’est dommage… Pourtant il fait tellement de bien avec ses rayons ! J’espère vraiment qu’il finira par percer…

On continue de rattraper les retards comme vous le voyez, d’ailleurs ma PAC se réduit tout doucement afin que je puisse vous livrer de nombreuses découvertes que ce soit des titres croisés au hasard ou des Services Presses. Pour celui-ci, je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce cinquième volume ainsi que pour le petit mot qui l’accompagnait qui m’a réellement fait chaud au cœur

« Le chant des Souliers Rouges »

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8€29 – Seinen – 192 pages

Une ancienne étoile du flamenco. Un garçon qui a tout à prouver. Un défi lancé.

Mme Kawauchi, autrefois partenaire de flamenco de Mme Morino, est convaincue que jamais Kimitaka ne deviendra un véritable danseur !

De son côté, le jeune lycéen déteste cette femme cruelle dont les méthodes impitoyables sont à l’opposé de celles de sa professeure.

Pour faire honneur à Mme Morino et à son enseignement, Kimitaka, Hana et Tsubura sont fermement décidés à lui en mettre plein la vue…

Déjà le tome 5 de ce manga de Mizu Sahara et j’aime toujours autant les couvertures que je trouve réellement belles. Cette fois, c’est madame Morino qui est à l’honneur sur la jaquette avec des teintes mauve (ou prune comme a dit Maman Neko) et nous voyons sans difficulté qu’elle est heureuse. Peut-être danse-t-elle une alegría, ce qui fait partie du flamenco comme nous le découvrons dans ce volume.

 

Un volume où nous en apprenons plus sur les raisons de la blessure de Madame Morino, sur ses relations avec une autre personne et on l’on voit l’évolution de Kimitaka et de ses amis. Nous apercevons, brièvement, la demoiselle avec laquelle l’échange des baskets contre les chaussures de flamenco avait eu lieu lors du tome 1 bien qu’elle ne discute pas avec notre héros et soit en plein match de basket.

Notre héros n’est plus tout à fait le même que celui du début, celui qui se cachait sous sa couette et déprimait seul. A présent, ses amis sont présents et même sa famille voit des changements. Le flamenco le libère, lui permet d’avancer même lorsque les doutes reviennent et tel un personnage de jeu vidéo il monte en niveau en compagnie de ses alliés. Passez outre un boss – un problème si vous préférez – n’est pas impossible dès lors où l’on a de l’aide. Après tout qui n’a jamais fait face à quelque chose qui le dépasse lorsqu’il est seul ? Personne, normalement.

Les relations entre Tsubura, Kimitaka et Hana sont emplies de tendresse. Ils sont amis, s’épaulent lorsqu’ils en ont les capacités même lorsque quelque chose les dépasse, les fait trembler. Comme tous ils ont leurs hauts et leurs bas, leurs points forts et faibles, leurs espoirs. Chacun d’eux a déjà  fait une grande avancée, prit de l’assurance et évoluer même si comme Mme Morino je me suis inquiétée pour eux durant la lecture de ce tome tant ils en font afin de s’améliorer.

Chaque activité fait que l’on peut avoir des séquelles, la majeure partie de celles-ci peuvent disparaître avec le temps alors que d’autres resteront à vie. Le genou de la professeure de notre trio est un bon exemple, mais c’est également le cas pour les pieds lorsqu’on les utilise énormément, les doigts (Ou les ongles) avec certains instruments ou la voix pour les activités vocales. Souvent, après de nombreux efforts nous n’avons pas l’impression d’avoir changé, de nous être amélioré et c’est le regard extérieur qui nous permet de nous en rendre compte. Ici, c’est la même chose pour notre trio grâce à Mme Morino, mais elle ne permettra pas que cela. Non… Sa présence sera importante à différents points de vue pour notre petit groupe.

Par rapport à l’histoire, elle avance en même temps que nos protagonistes. Je suis juste triste de ne pas énormément voir une certaine demoiselle, mais je ne perds pas espoir. Je trouve réellement ce manga touchant et permettant de réaliser pas mal de choses dont l’importance des gens qui nous entourent.

Du côté des dessins, je les apprécie toujours – même si cela dépend encore une fois des goûts – et je ne me lasse pas de revenir sur une scène pour apprécier ce qu’il s’y passe une seconde fois. Les pas du flamenco me donnent envie de les réaliser, d’en regarder et je passe toujours un bon moment au milieu des pages. Pour ce qui est de la traduction de Géraldine Oudin je n’ai vu aucune coquille au fil des dialogues, des mots parfois inconnus et ce que ce soit en français ou en espagnol. Je n’ai d’ailleurs pas du tout résisté à l’envie de prononcer les mots espagnols tout haut – et non pas dans ma tête – sous le regard amusé de Maman Neko. Le papier, de son côté, est assez épais et agréable sous les doigts et je suis ravie de voir l’illustration colorée du début de tome tout en douceur et représentant notre petit trio.

Vous l’aurez comprit, ce cinquième volume est encore une fois une très belle découverte à mes yeux. Le Chant des Souliers Rouges est une perle agréable à découvrir, que je relis volontiers et pour laquelle je me demande quel sera le dénouement qui s’avère être proche. Trop proche… J’aurai tant voulu rester encore plus longtemps avec Kimitaka, Mme Morino, Tsubura, Hana et tous les autres, je suis sûre que lorsque la série sera terminée ils me manqueront tous.

 Le Chant des Souliers Rouges - tome 5

Et de votre côté les matous, comment trouvez-vous le titre ? Y a-t-il un personnage que vous préférez ?

Site de l’éditeur – Extrait

Fûka – Tome 1

Coucou les matous ! Oui, vous aurez eu des articles durant toute la semaine pour le moment… N’est-ce pas miraculeux ? Bon par contre ça risque d’être bien plus calme la semaine prochaine comme vous vous en doutez, mais ce n’est rien vous avez l’habitude maintenant…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un titre découvert il y a peu et acheté durant la Retro MIA. Oui, j’ai fait pas mal d’acquisition sur le coup même si pour une obscure raison j’ai réussi à ne rester que dans deux maisons d’édition. Cela change des mes vagabondages intempestifs en fait… Prêt à rejoindre une certaine demoiselle aux écouteurs vissés sur les oreilles ?

« Fûka »

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6€95 – Shônen – 192 pages

Passion pour la musique & coup de foudre en plein été !

Après le départ de ses parents pour les États-Unis, Yû commence une nouvelle vie à Tokyo avec ses trois sœurs. Le lycéen passe son temps sur un célèbre réseau social avec son smartphone plutôt que de se faire des amis. Sa rencontre avec Fûka, une jeune fille au caractère bien trempé, qui se balade des écouteurs vissés sur les oreilles, parle fort et dit ce qu’elle pense, va bouleverser son quotidien. Alors que tout semble les séparer, Yû se lie d’amitié avec la jeune lycéenne qui a bien du mal à combler le vide qu’elle ressent dans sa vie ! Le jeune homme l’aidera-t-il à prendre son envol et à enfin trouver sa voie ?

Nous partons donc dans un titre sortit aux éditions Pika il y a déjà quelques mois en mars si je ne me trompe paset nous entraînant dans un tranche de vie mêlé à la musique ainsi qu’à la comédie romantique. Ceux connaissant Suzuka ne seront pas dépaysés car Fûka est réalisé par Kouji Seo. Et oui, même mangaka pour les deux œuvres qui possèdent un autre point commun.

Lequel ? Tout simplement le fait que Fûka – nom de la demoiselle que l’on découvrira dans ce volume – est la fille des héros de l’œuvre précédemment cité. De ce fait, il est possible de penser sans difficulté à une sorte de suite à l’œuvre éponyme, mais une suite pouvant être lue sans connaître Suzuka. Et heureusement pour moi car… je ne connaissais pas Suzuka justement ! Comment ça, je donnais l’impression que si ? Bah non, pas du tout, j’en avais juste entendu parler, mais je n’avais jamais sauté le pas.

Pour ce qui est de Fûka, le sujet même ici après tout, c’est grâce à Xander si je l’ai découvert à l’origine et comme je l’ai trouvé sur un stand de mangas d’occasion j’ai profité de l’aubaine. De plus, la couverture m’attirait inexorablement avec ses teintes… Et vous connaissez ma faiblesse face aux couvertures depuis le temps je pense ? Non ? Et bien c’est le cas à présent. Le titre ressortait sans aucune difficulté sur la tignasse bleutée du personnage féminin que nous découvrirons bientôt quant au reste… Les couleurs ressortent toujours sur du blanc après tout et rien que le bleu m’aurait eue… Ce ne fut pas difficile pour ce pauvre tome 1 de finir sur la pile d’achats.

Mais de quoi nous parle le titre justement ? De Yû – de quoi ? Ce n’est pas de Fûka ? – qui commence une nouvelle vie à Tokyo en compagnie de ses sœurs. D’un tempérament taciturne, il est toujours collé à son smartphone et plus précisément à une application que nous connaissons pratiquement tous : Twitter. Jusqu’au jour où il rencontrera… Fûka ! La demoiselle aux écouteurs vissés sur les oreilles fera d’ailleurs une apparition bien remarquée et radicale pour le smartphone ainsi que Yû. Mais cette rencontre ne chamboulera-t-elle pas le quotidien de notre jeune héro ?

Comme vous le voyez, c’est Yû le personnage principal. Un héros pouvant ressembler à pas mal de gens de notre quotidien vu qu’être rivé sur son smartphone est presque devenu habituel. Vivant avec ses trois sœurs suite à la mutation de son père aux Etats-Unis – faisant que sa mère est partie avec – il découvre Tokyo ainsi  qu’un nouveau lycée vu qu’il n’était pas tokyoïte de base. Les découvertes ne s’arrêtent pas là, vu qu’il rencontrera Fûka qui s’avère être une jeune fille relativement explosive et… Ne possédant pas de téléphone portable.

Et oui, notre petite Fûka n’est pas toujours rivée sur son portable vu qu’elle n’en possède pas et n’en veut tout simplement pas. Non, ce qu’elle a toujours avec elle ce sont ses écouteurs et son baladeur pour écouter ses CD. Ce qui me rappelle pas mal de souvenirs d’antan sur le coup… Même si au fond, j’ai très souvent mon casque sur les oreilles également lorsque je vadrouille. Mis à part tout cela, comme vous l’avez déjà lu elle est la fille des héros de Suzuka faisant qu’elle aurait des prédispositions pour l’athlétisme. Le hic ? Elle n’est pas intéressée par ce sport et préfère la musique qu’elle écoute au quotidien.

Aux côtés de notre petit duo, apparaîtront d’autres personnages aussi divers que variés. Des camarades de classe à la famille de Yû, plusieurs sortes de caractères sont déjà dépeint en ce premier volume qui pose les bases sans aucun problème. Des bases qui nous entraînerons, probablement, plus tard dans un monde plus musical que ce que nous découvrons seulement en compagnie des CD de Fûka et du personnage de Koyuki. Après, cela reste un premier volume et qui dit premier tome dit forcément mise en place afin de découvrir les êtres que nous côtoierons durant la lecture ainsi que les différentes idées. Certes, les coïncidences peuvent paraître un peu grosses au fil du temps, mais cela n’empêche pas de rester logique tout en permettant à l’histoire d’avancer.

Mais cela nous permet de voir les lieux, d’apprécier la patte graphique de Kouji Seo et de rencontrer différentes bouilles. Même si je dois avouer avoir du mal avec les sœurs de Yû, mais peut-être cela changera-t-il au fil du temps. Par contre, j’apprécie énormément Mikasa ! Sa manière d’être est vraiment chouette et j’ai hâte de le voir un peu plus… Ce qui devrait être le cas, je pense, vu qu’il s’entend bien avec Fûka et Yû. Certes, il y a de temps en temps du fanservice, mais contrairement à d’autres titres il s’avère bien moindre. De plus, nous voyons déjà une certaine évolution aux niveaux des personnages – tout du moins pour Yû et Fûka – dans ce tome dont je ne parlerai pas trop, mais qui permet tout de même d’avancer.

Pour ce qui est, justement, des dessins je les apprécie énormément. Ils sont relativement doux et expressifs tout en permettant de reconnaître les personnages ou les lieux. N’ayant pas lu d’autres œuvres du mangaka je ne sais pas comparer, peut-être tenterais-je d’emprunter Suzuka à la bibliothèque afin de me faire un avis et voir l’évolution. En tout cas, par rapport à au manga que j’avais en main le character design était agréable aux yeux. Puis Fûka est vraiment toute choupi, même si ses manières peuvent être un peu brutes à certains moments.

Au niveau de l’édition proposée par Pika, la jaquette est… très fine. Cela m’a surprise d’ailleurs car il me semble que c’est la première fois que je vois ce qu’il y a juste en-dessous – donc difficile de ne pas déceler les petites cases en plus que l’on découvre en enlevant la jaquette normalement quant aux pages elles sont normales dira-t-on. On voit à travers de temps en temps, en fonction de la manière dont on lit, mais contrairement à d’autres titres j’ai connu pire. Niveau fautes, je n’ai pas l’impression d’en avoir vue pendant que je lisais, de ce fait je dirais qu’il n’y a pas de coquilles suite à cette première lecture.

Alors oui, c’est un tome introductif – comme pratiquement tous les tomes 1 s’avérant relativement classique, mais du classique qui fonctionne parfaitement. Il ne faut pas, non plus, se baser sur le premier chapitre sinon il serait facile de passer à côté du titre et continuer d’avancer dans la lecture afin de voir les personnages se développer ainsi que leurs vrais tempéraments. Le monde de la musique qui apparaît peu à peu et des personnages prenant leurs places au fil du temps font également que le manga s’avère plaisant à découvrir. Je me demande vraiment pour quelles raisons le titre passe tant inaperçu… Maintenant, il ne me reste plus qu’à me procurer la suite et à découvrir Suzuka (merci la bibliothèque qui les possède) dès que j’aurai l’opportunité de m’y rendre et si je n’oublie pas sur place… Oh ! Avant que je n’oublie, une petite histoire à la fin ravira sûrement ceux ayant lu – justement Suzuka vu qu’on y retrouve les parents de Fûka ainsi qu’une toute jeune Fûka vraiment adorable et ayant le don d’aller voir ses parents quand il ne faut pas.

Et vous les matous connaissez-vous le titre ? Qu’en pensez-vous ? Où en êtes-vous si vous le lisez ? Y a-t-il un personnage que vous préférez ? Comptez-vous l’essayer si ce n’est pas le cas ?

 

Site de l’éditeurExtrait

 

Petit mot de la Neko : Ne vous fiez pas du tout au premier chapitre, cela peut être trompeur sur les tempéraments des personnages ou sur ce qui nous attend durant la lecture. Il existe également un anime, mais ne l’ayant pas vu je ne saurai pas dire ce qu’il vaut.

Le petit journal nekoien #8

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Ame & Yuki – Les enfants loups : Ame et Yuki

Et recoucou les matous ! Comment allez-vous depuis la lecture de l’avis sur le tome 6 de Platinum End ? Toujours en forme ? Et bien, j’en suis ravie ! Comme vous le savez, le lundi c’est la sortie du petit journal nekoien également sur le blog et aujourd’hui il ne vous fera pas faux bond ! Le voici, le voilà ! Prêt à le lire ? Nous y allons !

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« Le soleil se couche, doucement, sur la colline »

« Rendez-vous chez l’allergologue/pneumologue » Ah… Je l’avais totalement oublié ce rendez-vous… Bien entendu un SMS de rappel est bel et bien arrivé pour me le rappeler en bonne et due forme. Je suis donc partie passer mes tests pour vérifier la manière dont évolue mon hyper réactivité bronchique. Résultat ? Elle est enfin contrôlée ! Bon par contre, si je me chope un rhume je tousserai naturellement plus que la moyenne, mais au moins le traitement fait bien son travail et je vous avoue que ça fait du bien de ne pas tousser h24 et tous les jours. Je suis aux anges ♥

« Retro MIA » Depuis vendredi soir avait lieu la Retro MIARetro Made In Asia – à Namur et j’y suis allée hier en compagnie de Maman Neko. Sur place avant l’ouverture à 10h, nous y avons passé la journée – en sortant quelques fois tout de même pour prendre l’air – et ce fut une très, très bonne journée. Les porte-monnaies, par contre, sont bien moins ravit vu qu’ils ont bien souffert et le sac à dos fut de bonne humeur… Tellement remplit que je m’étonne d’avoir réussi à tout rentrer dedans lors du transfert voiture-maison (ou convention-voiture, ça fonctionne aussi). Comme vous vous en doutez, il y avait du monde dans les allées en plus des différents stands, mais pour retrouver quelqu’un ce n’était pas trop difficile encore. Tout du moins lorsque l’on sait où chercher ! (N’est-ce pas Thib’ ? Heureusement qu’on avait un lieu pour se retrouver ahaha) Je suis restée un bon moment au stand Ototo/Ofelbe/Taifu et y suis même retournée plusieurs fois en fait tout comme Maman Neko. Je suis vraiment contente de voir qu’elle a passé une bonne journée et qu’elle en a aussi profité 🙂

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« Levant la tête vers le ciel, le cerf blanc observe le coucher du soleil »

« La sirène aux requins » Mission relecture pour ce texte ! Oui, je l’ai enfin terminé et ma petite Embrun nage tranquillement dans la mer proche du continent Oublié en compagnie des requins tout en sensibilisant les gens par rapport à cette créature marine. Certes, ce n’est pas simple de changer les idées reçues, mais la sirène n’abandonne pas et sait parfaitement qu’elle finira par y arriver un jour. Texte terminé.

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«  Et sur la colline apparaît une petite forme aux longues oreilles »

« Made In Abyss » Alors, alors que dire de Made in Abyss à présent ? Et bien, c’est l’un des anime que j’apprécie énormément. En fait, ce serait même un coup de cœur et je regrette vraiment de ne pas m’être lancée directement même si j’ai pût enchaîner plus facilement les épisodes de ce fait. J’ai été touchée par les personnages, le charadesign certes mignon et assez doux tout en faisant face à des événements s’avérant rudes et oppressant au fil du temps. Tout n’est pas simple dans cet univers et, comme quoi, il ne faut pas toujours se fier au physique des personnages pour se dire que ce sera forcément très, très mignon. Oui, c’est trompeur et Made In Abyss le prouve sans difficulté. J’espère vraiment que l’on aura le manga, un jour, par chez nous ! Vu 13 épisodes.

« Hanazuki » J’avais envie de tester un petit DA ne durant qu’une dizaine de minutes par épisodes et, allez savoir pourquoi, je suis tombée sur Hanazuki au détour d’une vidéo Youtube. Etant donné qu’ils sont plus courts, j’en ai déjà regardé dix et ils comblent parfaitement les creux apparaissant entre quelques épisodes où lorsque j’ai peu de temps. On y suit Hanazuki, une Moonflower, qui vit sur une lune en compagnie des hemkas et doit la « protéger », semble-t-il, d’une certaine chose néfaste grâce aux arbres qu’elle fait pousser à l’aide des trésors apporté par un petit dormeur et réagissant aux émotions ressenties par la fillette. Vu 10 épisodes.

 

« 12-Sai. Chicchana Mune no Tokimeki » Egalement connu sous le nom de 12 ans, c’est un shôjo très, très mièvre en soi. Allez savoir pourquoi, je me suis lancée dans l’aventure… Peut-être une période plus fleur bleue ? Aucune idée… Ce dont je suis sûre c’est qu’il ne touchera pas tous les publics et vu que tout ne tourne qu’autour de l’amour et des couples, ce ne sera vraiment pas la tasse de thé de tous. Je doute, par exemple, le revisionner une fois que j’aurai fini les épisodes de la saison 1 et ne pense pas enchaîner sur la deux… Je verrai bien au fil du temps et mon état d’esprit. Vu 5 épisodes.

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« Un lapin lunaire reprend vie, petit à petit, en même temps qu’apparait la lune »

« Granblue Fantasy » Le jeu auquel je joue pour le moment via l’application Google Chrome. Pour se faire, j’avais suivit un tutoriel et à présent il n’y a pas un jour où je ne suis pas sur le jeu ! J’ai hâte que le nouvel évent prenne place, celui-ci étant basé sur CardCaptor Sakura afin de découvrir l’histoire et réussir à garder le personnage qui nous accompagnera (sûrement Sakura) dans l’équipe. Je me demande vraiment ce qu’il donnera 🙂

 

Et… c’est déjà fini… Et oui, une semaine relativement « calme » si l’on retire les sorties. Je reprendrai Miraculous Ladybug dès demain afin de les enchaîner pour être bien dans l’univers. Comme toujours si vous avez des idées pour améliorer le petit journal, n’hésitez pas les matous ! Je serai ravie de discuter avec vous comme d’habitude ^^

Et votre semaine à vous, comment s’est-elle passée ? Qu’avez-vous fait ? Quelles ont été vos découvertes ?

Les Orphelins de Windrasor – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous en ce dimanche ? Ici, ça récupère petit à petit. Erm… Comment dire que ce n’est pas la fatigue pour une fois, mais un léger problème de santé et de manque d’air. La joie éternelle en soi, mais bon on fera avec !

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un ebook lu il n’y a pas si longtemps et découvert grâce à la plateforme Simplement et à son auteur, Paul Clément, que je remercie grandement. J’avais tellement envie de vous en parler que dès que je récupérais un peu de force je tapais tranquillement mon article, c’est pour dire ! Vous êtes prêt pour une jolie découverte livresque et pour rejoindre l’Enfer de Windrasor les matous ?

« Les Orphelins de Windrasor – Entre les murs »

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0€ (ebook) 8€99(broché) – Fantastique – 200 pages

À Windrasor, l’un des orphelinats les plus prestigieux du duché de Morenvagk, le sort des pensionnaires semble joué d’avance. Une adoption peu probable ou un envoi au front, synonyme de mort certaine au service d’une guerre dont plus personne ne semble se souvenir des raisons, sont leurs seules perspectives d’avenir.
Dans ce monde qui a perdu la tête, prisonniers du plateau imprenable sur lequel s’élève le célèbre orphelinat, Spinello et ses amis ne savent pourtant pas que le destin a prévu bien d’autres choses pour eux.
Toutes les grandes aventures ont un point de départ, parfois perdu au milieu de l’immensité d’une forêt entourant un bien étrange établissement.

La lecture de l’ebook c’est merveilleusement bien déroulée, n’ayant guère vu le temps passer et l’ayant terminé, pour mon plus grand malheur, en une seule matinée. Certes, je lis vite – beaucoup de gens me le disent… – mais cela ne fait pas tout et si je n’accroche pas cela se ressent directement car je bloque sur les passages. Dans le cas présent, tout a été lu de manière fluide tout en permettant à mon imagination d’imaginer les lieux et les personnages sans aucun problème.

Parce que oui, il y en a plusieurs des personnages et nous les suivons chacun leur tour en fonction des situations ce qui nous permet de… Découvrir Windrasor ! Et oui, les matous c’est grâce à chacun des protagonistes que nous visitons l’orphelinat où il fait bon vivre… Enfin… Pas vraiment en réalité, car je dois avouer que je n’aimerais pas du tout m’y trouver. Je pense même que la plupart d’entre vous rêverait de quitter l’orphelinat si cela était possible peu importe la méthode pour prendre la poudre d’escampette.

Non, Windrasor n’est pas un lieu paradisiaque et personne ne voudra y passer ses vacances. Même si cela m’étonnerait que beaucoup de gens choisissent de partir en vacance dans un orphelinat. Ici, nous croisons bien entendu des orphelins – filles et garçons séparés – et bien sûr quelques adultes dont les gardiens, mais le monde extérieur nous semble bien lointain comme si nous étions nous aussi enfermés avec Spinello et d’autres personnages. La liberté que nous connaissons au quotidien est un rêve pour nos camarades de lecture.

Mais Les Orphelins de Windrasor n’est pas qu’une histoire où nous suivons un groupe d’orphelins tout à fait normaux car au fil des pages nous découvrons des éléments un peu plus fantaisistes nous entraînant dans le fantastique. Tout ne semble pas être si habituel et normal dans l’orphelinat, ce faisant nous nous posons des questions. Tout du moins je me pose des questions poussée par ma curiosité sur ce que peuvent être les Ignobles, ce qu’ils veulent aussi mais pas seulement. Oui, je me demande également les raisons ayant menés à la guerre entre les deux empires présents dans l’histoire et si elle prendra fin. De plus, qu’arrivera-t-il si elle arrive à son terme ? Un Empire n’est pas l’autre et tout est fortement possible car nous ne savons pas énormément de choses sur ceux-ci.

Mais je reviens brièvement sur les personnages, chacun possède sa propre personnalité et son physique attitré. Vous ne confondrez ni Spinello, ni Octave, ni Iphis – l’un des personnages féminins –  ni Ophélia tant ils sont différents les uns des autres pour notre plus grand plaisir. Certains se montreront de ce fait plus aventureux, fonceur, bagarreur alors que d’autres préfèreront le calme, la quiétude d’une bibliothèque ou garderont tout simplement espoir. On ne s’ennuie avec aucun d’entre eux, même lorsque nous les côtoyons durant des périodes plus calmes. Certes, l’action n’est jamais loin et les événements s’enchaînent sans problèmes, mais un petit moment tout en douceur nous permettant de nous poser ne fait pas de mal.

En soi, je n’ai pas vu les pages défiler sur mon IPod pendant ma lecture. J’étais entrée dans un autre monde et accompagnait chacun des personnages durant les péripéties qu’ils rencontraient jusqu’au moment où la dernière page est arrivée ainsi que le rude retour à la réalité. Une réalité bien plus douce que celle connue par Spinello et compagnie, mais malgré cela j’avais terriblement envie de me replonger dans l’histoire et de savoir ce qu’il adviendrait de chacun d’entre eux, de découvrir ce qu’il s’était produit à la toute fin de ce premier tome qui donne réellement envie de se lancer à corps perdu sur le tome 2. Je le ferai sûrement d’ailleurs tant ce volume était captivant et prenant, on ne se lasse pas et je n’ai eu aucune envie de baffer l’un ou l’autre des protagonistes ce qui est très bien. Pour ce qui était des lieux, même si je n’avais pas envie d’y être enfermée, j’avais très envie de me les imaginer dans ma petite tête et c’est ce que j’ai fait sans trop de difficulté afin de vagabonder en compagnie d’un de nos nouveaux amis.

Vous l’aurez comprit cette lecture fut une belle surprise que j’ai savourée comme un bonbon. Un bonbon au début tout doux mais qui dévoile un cœur un peu plus acide et pétillant au bout d’un moment donnant ainsi un autre intérêt à la dégustation. Ici, vous l’aurez deviné, ce sont les petits éléments qui apparaissent petit à petit qui sont représentés par ce cœur et qui font que la lecture devient encore plus intéressante, pourtant elle l’était déjà au début.  Si votre hésitation est due aux personnages, elle n’a pas lieue d’être car ils sont assez intéressants malgré le fait qu’ils aient moins de 14ans pour la plupart (si l’on retire les adultes, bien sûr) car je suis certaine qu’il y en aura certains que vous préférerez.

Sur ce, les matous comptez-vous tenter l’aventure et découvrir l’enfer de Windrasor ? Un Enfer où les mystères apparaissent petit à petit. Pour ceux l’ayant déjà lu qu’en avez-vous pensé et y a-t-il un personnage que vous avez préféré ?

 

Site de l’AuteurTome 1 Amazon Kindle

 

Note : De mon côté l’aventure, je la continue sans aucun problème ! Ma curiosité est titillée et je veux en savoir plus. Pour ce qui est du personnage que j’ai préféré… Hm… Iphis me vient naturellement en tête car j’ai réussi à me retrouver en elle dans sa manière d’être, mais Spinello était réellement agréable à suivre grâce à son caractère et aux différents événements se produisant non loin de lui. Je n’en dirai pas plus, mais cela attise réellement mon côté curieux.