Les achats du mois de… Juin

Coucou les matous, comment allez-vous ? Qui dit début de mois, dit présentation des différentes arrivées du mois passé ! Ce fut relativement plus calme que d’autres mois étant donné que j’étais en examen, mais n’hésitez pas à dire si l’un ou l’autre titre vous intéresse pour un avis ou si vous en avez lu l’un d’entre eux ! Sur ce, je vous laisse avec l’article 🙂

Service Presse :

 

Pochi&Kuro – Tome 1 & 2 [Kazé]

Black Clover – Tome 7 [Kazé]

Le chant des souliers rouges – Tome 2 [Kazé]

Kuroko’s Basket Replace Plus – Tome 2 [Kazé]

 Les avis arrivent dans les prochains jours sans fautes ! L’article sera donc mit à jour, comme souvent, afin que vous puissiez cliquer sur le numéro du tome pour vous retrouver sur l’article correspondant. J’ai mis la couverture japonaise du tome 2 de Pochi&Kuro vu que je n’arrivais pas à mettre la main sur la vf, je ferai le changement dès que possible 🙂

Nouveautés :

 

Fire Force – Tome 1 [Kana]

Un Coin de Ciel BleuTome 1 [Nobi Nobi] Série en 3 tomesRemporté grâce au concours sur Facebook

Soul Eater – Triple tome (1 – 2 – 3) [Kurokawa]

To Your Eternity – Tome 1 [Pika]

Kingdom Hearts – Intégrale 1 [Nobi Nobi]

Our Summer HolidayOS [Delcourt/Tonkam]

 Et oui, deux manga d’un même auteur sur le coup, vu que Soul Eater sort à nouveau je me suis lancée dans sa lecture ! Pour ce qui est de la première intégrale de Kingdom Hearts, c’est le côté fan du jeu vidéo qui a parlé également… Oui, je suis faible.

Suites :

My Hero Academia – Tome 8 [Ki-Oon]

Im – Great Priest Imhotep – Tome 2 [Ki-Oon]

Wizard’s Soul – Tome 2 ; 3 ; 4 [Doki Doki] ♦ Série complétée

Je continue de rattraper mes légers retards dans certaines séries, d’ailleurs début de ce mois de juillet je me suis également acheté quelque chose en rapport avec My Hero Academia. Prochaines suites ? Heu… Je verrai bien ce sur quoi je tomberai ! Ce qui est sûr c’est que Yu-Gi-Oh risque bien de réapparaitre dans les prochains mois. Je suis tout de même contente d’avoir complété une série 🙂

Emprunts :

 

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Aucun emprunt pour ce mois de juin… En même temps, j’ai passé plus de temps dans mes cours que dans mes lectures de ce fait j’ai évité de m’en ajouter… Pourtant, il y avait pas mal de mangas qui me tentaient à la bibliothèque !

DVD :

 

Les Animaux Fantastiques [BluRay]

My Little Pony – Friendship is Magic [Coffret 2 DVDs]

J’en vois déjà derrière leur écran se dire qu’il doit y avoir un problème… Oui, oui, j’ai bien acquis Les Animaux Fantastiques et My Little Pony et ce même si cela peut paraître étrange aux yeux de certains. Le premier a été payé plein prix quant au second, et bien j’ai profité de le voir à un prix dérisoire pour me le prendre.

Goodies :

 

Figurines FunkoPop – Végéta & Piccolo [DragonBall] ; Rush [Mégaman]

Cartes – Yokai Watch ; Black Clover [Accompagnant le tome 7]

Tsum Tsum Mystery Pack – Baymax Armor avec support (Pas de chance pour moi c’est un double ToT)

Marque-page – Le chant des souliers rouges [Accompagnant le tome 2]

Comme toujours quelque petits goodies se sont ajoutés et ma collection de Pop augmente. Parmi les DragonBall, il ne me manque plus que Cell parmi mes recherches (peut-être Beerus… Je verrai bien) et dans la collection Mégaman il m’en manque 3. Je ne les paie pas toutes vu que ma mère en profite également, ce qui me permet de faire quelques légères économies…


Le mois passé je n’ai pas sût vous parler de grand-chose, résultat vous n’avez eu que quelques articles. En plus des deux avis portant sur Our Summer Holiday et Un Coin de Ciel Bleu vous avez également eu droit à mon avis sur la première partie du tome 2 d’Exilium et sur le tome 1 du LN d’Overlord. Soit deux mangas, un ebook et un light novel. Comme vous le voyez, pourtant, il y a eu de l’arrivage… Ce début de mois de juillet sera principalement pour vous parler des Services Presses pour le moment – autant ebook que manga, vu que j’ai légèrement prit du retard avec le mois de juin – et par après ce sera tout autre chose. Je ne vous en dis pas plus, mais certains titres cités plus haut auront leurs avis tout comme d’autres qui n’y ont pas encore eu droit.

Et vous les matous quels ont été vos achats du mois de juin ? Le mois passé c’est-il bien déroulé ? J’espère que vous passerez tous de bonnes et agréables vacances pleines de jolies découvertes en tout genre.

Riku-Do La Rage aux poings – Tome 3

Coucou les matous ! Vous allez bien ? Il fait chaud ces derniers temps, je sais… Ici, cela s’avère irrespirable à certains moments. Vivement qu’il pleuve cela fera du bien parce que vu les températures c’est réellement rude. Je n’arrive pas du tout à me concentrer c’est pour dire TT

Aujourd’hui, je vous entraîne sur le ring pour le troisième round d’un manga parlant de boxe. Je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi du titre qui reste un véritable régal à découvrir Vous êtes prêt pour remettre vos gants et repartir affronter tous vos adversaires malgré la souffrance endurée lors des combats ?

« Riku-Do – La Rage aux Poings »

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7€99 – Seinen – 192pages

Pour son deuxième combat chez les pro, Riku affronte Misehaya, son camarade de classe ! Ce dernier est convaincu de sa supériorité et n’éprouve que du dédain pour Riku, contraint par son entraîneur à changer son style de boxe. Pour ces deux challengers que tout oppose, quelle sera la vérité du ring ?

Nous continuons notre avancée dans le monde de la boxe en compagnie de Riku, un monde pas si simple au fond et dans lequel la souffrance semble être assez présente. Il affrontera dans ce troisième tome l’un de ses camarades de classe ce qui nous permettra de voir la manière dont il est perçu par les autres, même à l’extérieur de l’environnement scolaire.

Une perception qui n’est pas celle que voudrait la plupart des gens. Qui apprécierait d’être considéré de la même manière que Riku suite à un événement passé, un événement où notre propre survie ne tenait qu’à un fil ? Si vous avez lu le tome 1, vous savez parfaitement ce qu’il a vécu et sa manière d’être à présent.

Dans ce troisième tome – qui est la suite logique du tome 2 – nous le verrons continuer son ascension dans le monde de la boxe professionnelle tout en gardant son caractère. Nous savons également ce qui lui permettait de deviner – à peu près – où le coup risquait de tomber, mais également la manière dont il gérera ce changement de style. Après  tout ce n’est pas simple de devoir modifier sa manière de faire et Riku nous le prouvera.

Les personnages changent également, continuent d’évoluer. C’est par exemple le cas de Naeshiro qui est de plus en plus présente et dont le regard semble se modifier envers Riku et elle ne sera pas la seule dans ce cas de figure. Bonne ou mauvaise chose ? Cette question trouvera sa réponse au fil des pages. Mais est-il toujours bénéfique de voir une personne autrement ? Bien entendu, les camarades de classe de Riku ne sont pas en reste, leur vision semblant malheureusement peu changer envers notre héros quant au jeune homme, il n’a toujours pas de vrais amis. D’autres personnages finissent par apparaître petit à petit que ce soit dans l’entourage de Riku, sur le ring, du côté de Naeshiro ou même là où se trouve Kyosuke. Les sentiments retranscrits dans ce volume sont réellement prenant également et l’on voit bel et bien les répercussions que peuvent avoir eues les discussions des tomes précédents.

Parce que oui, les dialogues et les rencontres possèdent un impact non négligeable. Et par impact, cela peut autant être moralement que physiquement. Moralement de part la manière de voir les gens, dont on ressent les regards, dont le passé peut nous hanter d’une manière ou d’une autre et physiquement par les coups, les réactions imprévues d’autrui ou les entrainements. Cela se passe réellement dans notre monde, peut être comprit sans difficulté car ce sont souvent nos rencontres ou nos discussions avec autrui qui peuvent ou non nous donner du courage, nous donner envie de nous relever ou – au pire – faire en sorte que l’on s’effondre.

Les combats, présents dans cet univers, sont réellement prenants et très, très bien retranscrit par les dessins. Des combats où un déclic, un élément peut tout modifier et ce sera le cas ici. Mais est-ce que cela sera positif pour Riku ou pour son adversaire ? Adversaires qui possèdent un véritable background appréciable afin qu’ils ne soient pas que des faire-valoir ou des personnes se trouvant là seulement pour le combat. Ils ont leurs vies, leurs familles, leurs passés et leurs rêves, mais également leurs caractères et il se peut que vous ayez, vous aussi, l’envie de boxer l’un d’entre eux.

Pour en revenir aux dessins, ils sont réellement agréables et nous plongent dans la rudesse des combats, de la vie, de notre monde. Ils nous permettent de nous rendre compte au premier coup d’œil des sentiments des personnages, de ce qu’ils font ou comptent faire. Chacun des personnages possède son chara design, ses traits caractéristiques et que ce soit en habits « normaux » ou sur le ring nous les reconnaissons sans problème. Les lieux également sont reconnaissables entre mille que ce soit la rue, le foyer, la salle où s’entraîne Riku, le ring ou n’importe quel autre endroit nous ne nous perdons pas et c’est un plaisir pour moi qui me perd en ligne droite. (Le matou au fond à droite, on ne rigole pas ! Ce n’est pas marrant de se perdre aussi facilement et de se baser seulement sur ce qui nous entours ;_; )

Ce tome trois a été une nouvelle fois un régal à lire et à découvrir. On ne s’ennuie pas un seul instant en suivant Riku ou n’importe quel autre personnage tant c’est prenant malgré l’ambiance relativement sombre du titre. Personnellement j’en redemande encore et je me demande réellement ce que nous réservera le prochain match vu ce qu’il se passe dans ce volume. J’ai été ravie de revoir certains personnages, de voir l’évolution présente et retrouver le sang-froid de Riku même si je n’aimerais pas du tout être à sa place. Ce manga reste une très belle découverte qui me permet de découvrir ce sport qu’est la boxe au passage.

Et vous les matous que pensez-vous de ce manga ? Avez-vous déjà lu les tomes sortis ? Où en êtes-vous ? Si vous ne l’avez pas encore débuté comptez-vous vous lancer ?

Site de l’éditeurExtrait du tome 1

Riku-Do – La Rage aux Poings – Tome 2

Bouh les matous ! Comment allez-vous ? Ici, tout va bien même s’il fait chaud. Oui, je préfère la fraicheur… Pourtant la chaleur peut avoir ses points positifs même si dans le cas présent je ne vois que les négatifs… M’enfin, elle finira par partir je l’espère pour nous redonner des températures à peu près normales.

Aujourd’hui, je vous entraîne dans le monde de la boxe afin d’entamer le second round de l’aventure de Riku. Vous êtes prêt ? Les gants sont à vos poings et la bouteille d’eau n’est pas loin ? On est repartit !

« Riku-do – La rage aux poings »

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7€99 – Seinen – 192pages

Riku, désormais boxeur professionnel, s’apprête à livrer le premier combat officiel de sa carrière. De l’autre côté du ring se tient Kikuchi, un ancien poids welter qui souhaite rendre fier son fils venu l’encourager. Mais face à cet amour filial qui lui a cruellement fait défaut, difficile de garder son sang-froid ! D’autant que ce n’est pas un seul adversaire qu’il doit affronter, mais bien une famille…

Avant de vous parler du tome 3 autant vous parler du deux. Comment ça il est sorti il y a un moment ? Mais non, mais non ! Vous vous souvenez que j’avais vraiment bien aimé le tome 1 ? Et bien le tome 2 était également un régal ! Bon, vous allez me dire que c’est simple à dire comme ça alors suivez votre matou guide pour son petit avis habituel. Pour les matous affamés, une boite de cookies est ouverte sur la table et pour les assoiffés de l’eau bien fraiche est à disposition. Pour les autres, nous repartons directement dans notre monde en compagnie de Riku.

Notre cher petit Riku n’est plus du tout l’enfant que nous avions connu au début du premier volume, à présent il est devenu un boxeur professionnel réalisant son aspiration première. Mais qui dit boxeur professionnel, dit combat tout aussi professionnel et le tout premier sera contre Kikuchi. L’homme veut rendre fier son fils venu l’encourager, ce faisant Riku n’affrontera pas qu’un homme seul.

Pourquoi dis-je cela ? Ah bah, c’est une bonne question dont vous avez la réponse dans le résumé. En fait, c’est assez simple lorsqu’on y réfléchit. Quand quelqu’un vient nous encourager, on souhaite de tout notre cœur le rendre fier ce qui est le cas de Kikuchi et de ce fait nous nous dépassons. Certes, cela peut autant être bénéfique que problématique, mais cela n’empêchera pas que le personnage en question ne restera pas concentré sur lui-même. Kikuchi ne sera, justement, pas seul sur le ring et ce même si les personnes ne se trouvent pas réellement près de lui. Mais avant ce match nous voyons notre jeune protégé s’entraîner, un entraînement qui ne sera pas des plus simples surtout avec Baba, son entraîneur ne faisant absolument pas dans la dentelle. Peu de personnes seraient capables de supporter un tel entraînement…

Les combats présents au fil de ce deuxième tome tourné plus action que le premier sont réellement prenant et il est difficile de se détacher de la scène se jouant sous nos yeux. Des scènes passant de l’entraînement aux combats tant professionnel qu’avec un camarade. Parce que oui, dans ce tome nous découvrons d’autres boxeurs dont un qui jouera des poings « gentiment » (c’est possible ça ?) avec Riku. Ce qui nous amène sans problème en direction des personnages présents, des personnages qui continuent également de grandir, de vivre leurs vies et sur lesquels nous nous attardons un peu plus même si… Pourquoi on voit si peu Kyosuke ?! Enfin, c’est logique en soi, mais voilà j’aurais bien aimé le voir un peu plus. Nous voyons un peu plus Naeshiro que dans le tome 1, la découvrons et la voyons prendre de l’importance. Elle a sa place aux côtés de Riku et découvre le monde de la boxe tout comme certains lecteursCe qui est mon cas, donc oui j’ai plus de facilité à me mettre à la place de Naeshiro que d’un autre personnagetout en nous permettant d’en découvrir un peu plus sur la vie au lycée de Riku et cie.

Les dessins continuent d’être un véritable régal pour les yeux, même si les cous des personnages lors de certaines scènes peuvent paraître légèrement plus longs que la norme. Enfin, cela ne me choque pas plus que cela c’est juste ma camarade lecture – aka maman – qui l’a remarqué et me l’a dit résultat je m’en suis aperçue. Mis à part ce détail de physionomie qui ne dérangera pas tout le monde, nous retrouvons le côté réel des combats grâce au sang apparaissant ou aux diverses blessures liées aux coups reçus. Les émotions restent parfaitement retranscrite, je trouve, nous permettant sans détours de savoir ce que ressentent les personnages. J’apprécie toujours autant d’observer en détail une page, de regarder les petits détails présents ou d’essayer de savoir les sentiments de chacun. Je suis de base observatrice alors devant un manga cela reste un vrai plaisir.

D’ailleurs je n’ai pas mentionné l’histoire qui avance petit à petit, nous mène vers les combats avec sa rudesse particulière propre à l’œuvre créée par Toshimitsu Matsubara tout en nous donnant envie de continuer notre lecture peu importe ce qu’il se passe devant nous. Oui, la lecture se déroule relativement rapidement et on en redemande juste après lorsque nous découvrons la fin. Heureusement pour moi, j’avais le tome 3 sous la main et me suis lancée directement dans ma lecture.

Je pense que vous l’aurez comprit Riku-Do – La Rage aux poings reste un manga que je dévore et apprécie découvrir. Les pages se tournent sans arrêts et une fois la fin apparaissant seul l’envie d’attraper le tome suivant subsiste. J’apprécie également en découvrir un peu plus sur la boxe au fil du temps, même si l’entraînement que subit Riku n’est vraiment pas simple et surtout voir de nouveaux personnages apparaître tous différents et présents à leurs manières. De plus, l’édition proposée par Kazé est réellement agréable en main et je n’y ai pas vu de coquilles durant ma lecture. Un vrai délice, même si une lecture un peu plus douce ne peut pas faire de mal après avoir enchainé les tomes à la suite.

Et vous les matous que pensez-vous de ce deuxième tome ? Accrochez-vous toujours autant ? Si vous ne l’avez pas encore essayé comptez-vous vous lancer ?

Site de l’éditeurExtrait du tome 1

Le Chant des Souliers Rouges – Tome 1

Et coucou les matous ! Vous allez bien ? Oui ? Tant mieux, personnellement je suis à moitié morte après les Olympiades d’hier et un souci majeur lié à la SNCB. Heureusement, j’ai survécu et je suis toujours là pour vous embêter à coup d’articles. Non, vous n’aurez pas ma peau par rapport à ça même si je suis retardataire professionnelle.

Nous allons parler d’un manga sortant en ce dix mai pour notre plus grand plaisir et que j’avais reçu en avance. Ayant été pas mal prise, l’article ne peut être mit en ligne qu’aujourd’hui mais je suis dans les temps 🙂 Une nouvelle fois je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi et la confiance ! C’est parti pour…

« Le Chant des Souliers Rouges »

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8€29 – Seinen – 192pages

Kimitaka rêve de devenir basketteur et Takara danseuse de Flamenco. Malheureusement, l’un comme l’autre manque de talent pour exceller dans sa passion. Un jour, ils se retrouvent par hasard sur le toit du collège alors que Kimitaka est sur le point de jeter ses baskets rouges et Takara ses souliers rouges de Flamenco. Bien qu’ils ne se connaissent pas vraiment, la conversation s’engage. Chacun dévoile son envie de changer de vie et, comme pour symboliser cette volonté, ils échangent leurs souliers et décident d’embrasser la passion de l’autre. Une nouvelle vie s’offre désormais à eux…

 

Kimitaka est un jeune homme passionné de basket doutant énormément depuis qu’il a été mit de côté par ses coéquipiers. Un jour, il rencontrera par hasard Takana sur le toit du collège et il échangera ses baskets avec les chaussures de la demoiselle, cette dernière voulant également se débarrasser de ce qui lui rappelait un autre sport : Le flamenco.

Kimitaka est assez désabusé et sans aucune passion au début du manga, c’est un garçon qui se mble avoir perdu le goût à tout. Pas d’amis, pas de passion, une société l’ayant rejeté, mais une famille présente malgré tout. Parce que oui, dès le début nous voyons son grand-père être là pour lui pourtant notre héros  reste l’ombre de ce qu’il était longtemps auparavant. Va-t-il réussir à retrouver une passion et surtout le goût de vivre ?

L’histoire en elle-même est assez touchante, bien que pouvant déstabiliser certaines personnes lors de la lecture. Après tout, ce qu’il s’est déroulé dans le passé menant au choix de se débarrasser des baskets se déroule avant ce que nous découvrons au début. Ce faisant, le manga alterne entre présent et flashback ce qui, dans mon cas, ne m’a pas perdue du tout et me permettait de comprendre un peu mieux les raisons des différents choix de Kimitaka. Des choix lourds de conséquences pour lui.

Nous voyons, de ce fait, le pauvre Kimitaka dans un piteux état au fond alors qu’il rentre au lycée, mais un certain événement lui permettra de réfléchir à un élément se trouvant dans le pitch : sa rencontre avec Takara. Nous verrons le jeune homme avancer petit à petit, se reconstruire comme un être normal et tout comme un autre personnage. Ses faiblesses, tout à fait humaines et communes à certains d’entre nous, sont présentes et pourtant cela le rapproche de nous, de notre quotidien, de certaines personnes que l’on connait.

Tout cela se fait progressivement, en douceur et en harmonie avec le protagoniste que l’on suit principalement durant le volume. Je suis certaine que les différentes rencontres qu’il aura déjà faite dans ce premier tome reviendront ou auront une importance dans la suite afin de permettre à notre lycéen de continuer sa reconstruction personnelle et de se retrouver lui-même. D’ailleurs, les liens entre les différents personnages apparaissent au fil du temps, certains se défont alors que d’autres se créent comme ceux existant dans les amitiés traditionnelles ou les rencontres que l’on fait par hasard.

Les dessins, de leurs côtés, sont également assez doux et bien que les oreilles puissent faire penser à des elfes ou que les pieds et les mains peuvent sembler « horribles » personnellement il ne m’a pas déplu. De toute manière, j’ai des goûts bizarres à certains moments alors ça ne m’étonne pas d’aller à contrecourant d’autres personnes par rapport à ces derniers et ce même durant des discussions bien animées. Ils étaient dans le ton, donnant une impression mélancolique à certains moments et nostalgique à d’autre tout en permettant de reconnaître tel ou tel personnage ou lieu. Leur douceur fonctionnait parfaitement avec la poésie de ce manga, avec sa manière de fonctionner au fil des pages et de nos découvertes.

La narration de l’histoire, une fois entrée dedans, est réellement bien réalisée et nous permet d’en savoir plus au fil du temps sans avoir trop d’informations en une fois. L’édition de Kazé, de son côté, est plutôt bien agréable je trouve et l’on retrouve la douceur de l’œuvre sur la couverture. Un tome se tenant merveilleusement bien en main également et transportable sans problème dans un sac !

Pour finir ce doux petit article et vous laissez en paix en ce mercredi, je dirai tout simplement que c’est un très beau titre pour lequel je suis curieuse de découvrir la suite et dont les thèmes présents m’ont assez touchée. Je me demande comment ce manga évoluera et ce que cela donnera au final.

 

Et vous les matous, comptez-vous tenter le titre ? Qu’en avez-vous pensé si vous l’avez lu ?

 

Site de l’éditeurExtrait

En Scène ! – Tome 1

Yop les matous ! Comment allez-vous aujourd’hui ? Pas trop mal ? Tant mieux alors parce que les vacances continuent et avec elles les articles qui se suivent autant que possible. Non, ce n’est pas fou ! D’ailleurs, je commence à aller mieux pour ceux qui se posaient la question (J’étais épuisée et vraiment pas en forme durant un moment…)

Mais bon, si vous êtes là ce n’est pas pour m’entendre parler sommeil et santé ou vacance, mais pour lire un article et c’est ce que vous allez faire chers chats ! En ce jour, je vais vous parler de danse grâce à un manga sur le sujet. Manga qui m’aura encore plus intrigué et donné envie d’être lu après avoir lu l’avis d’Amai sur ce titre, ce qui m’étonne c’est qu’on en parle si peu par contre… C’est bien dommage vu son potentiel.

« En Scène ! »

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7€65 – Shôjo – 208pages

La vie de la petite Kanade Ariya bascule le jour où elle assiste au spectacle de danse de sa voisine Lisa. Fascinée par la grâce de la jeune fille, Kanade n’a plus qu’un rêve en tête : devenir ballerine ! Mais la danse est une école difficile, surtout quand on n’a pas de prédispositions particulières. Cependant, malgré les obstacles et les déceptions, Kanade s’accroche. Et elle découvre vite que même les plus douées sont confrontées à l’échec…

Bon avant de me lancer, je dirai juste que la danse et moi ça a toujours fait deux. Je n’aime pas cela et elle me le rend bien la plupart du temps. Le truc, c’est que je suis très – trop – curieuse et les rares avis que j’ai lu sur ce manga me donnaient envie d’essayer quelque chose de neuf, pour moi, résultat… bah résultat mon porte-monnaie pleure encore plus qu’avant…

Comme vous l’avez lu dans le résumé, nous suivons Kanade Ariya durant notre lecture. Une fillette comme on en croiserait assez souvent et qui sera fascinée lors du spectacle de danse de sa voisine. A qui cela n’est-il jamais arrivé d’être captivé par la prestation d’une amie ou connaissance après tout ? Hm ? Pourquoi faut-il toujours que quelqu’un lève la main et dise « Moi Neko !!! » ça casse tout !

Ici pas de super-pouvoirs ou de pré requis existant depuis longtemps dans la discipline, mais une demoiselle qui veut se dépasser et réaliser ses rêves. Une personne somme toute normale qui connaîtra des joies et des déboires dans le monde qu’elle a décidé de rejoindre. Parce que oui, la danse peut être considéré comme un monde à part (Nan, je n’ai pas demandé à une amie pour être certaine de ce que je disais… Bon d’accord, c’est le cas T_T) En même temps que Kanade, j’ai découvert de nouvelles choses durant ce premier tome. Bon, par contre il faudra que je le relise pour être sûre d’avoir bien enregistré les quelques mots qui m’étaient inconnus…

Il faut également savoir que En Scène n’est pas catégorisé Shojô, de base, mais Shônen. Bon cela ne change pas grand-chose mis à part le magazine de prépublication, mais cela montre bien que ce n’est pas parce que c’est un sport majoritairement féminin que la danse ne peut pas se ranger dans cette catégorie. C’est un sport avec ses règles, ses enjeux, ses rivalités et il a tout autant sa place dans la catégorie que d’autres mangas de sport je trouve.  Kurokawa, de son côté, a fait le choix de le catégoriser Shojô ce qui, au fond, ne change pas grand-chose à la donne (et je l’ai vu catégorisé Seinen ailleurs sur le net également) et le plus important est de l’essayer afin de voir vers quoi on le rangerait volontiers, même si on mélange les catégories ! Perso’, ce sera un mix Shôjo/Shônen na ! xD

Ce premier volume était surtout une introduction nous permettant de nous rendre compte de la manière dont se comporte Kanade, de ce qui l’a poussée à se lancer dans ce milieu, on découvre également ses rêves et les efforts pour les réaliser. Nous la voyons même grandir durant ce tome, rencontrer diverses autres personnes qui auront sûrement une importance dans la suite et les différents liens avec celles-ci.

Les dessins sont vraiment agréables à voir, ils montrent les différents mouvements effectués et les émotions avec facilité ce qui nous permet de nous rendre compte de la difficulté de telle action ou des sentiments ressentis par un personnage (et notre petite héroïne est très expressive) Je me suis régalée à chaque page et une amie, assez compliquée avec les dessins présents dans les mangas, a également été enchantée. Ce qui peut s’avérer assez compliqué parfois… (Quand je vous dis que je squatte les gens que je connais pour savoir ce qu’ils pensent *tousse*)

Pour clarifier la situation de ce manga sur la danse créé par CUVIE et édité par Kurokawa, ce fut une découverte assez surprenante pour laquelle je suis prête à me lancer sur le tome 2 lorsque j’en aurai l’occasion (et que portemonnaie-chan sera de meilleure humeur). Aussi curieux que cela puisse paraître, je me suis laissée emportée par Kanade que l’on découvrait durant ce premier volume et son engouement pour ce sport né grâce à une connaissance. J’y ai retrouvé l’émerveillement que l’on ressent de temps en temps lorsque l’on observe quelqu’un durant l’une de ses activités (ce fut l’équitation pour moi, rien à voir avec la danse sur le coup). Il n’est pas trop difficile de s’attacher à la demoiselle, à son tempérament et c’est une très bonne chose surtout lorsque l’on arrive – de temps en temps – à s’identifier à elle. Le point positif c’est que grâce à ce manga j’ai réussi à comprendre le charabia d’une petite que j’ai eu en stage et qui faisait de la danse. Un bonheur. ♥

Et vous les matous ? L’avez-vous lu ? Comptez-vous l’essayer ? Où en êtes-vous si vous l’avez lu ? Avez-vous fait du sport ? (Oui, cette question compte !)

 

Site de l’Editeur – Extrait

Note : Et l’excuse du « Neko, j’aime pas la danse… C’pas pour moi » ou  « Mais Neko, je suis un garçon pourquoi tu voudrais que je lise ça ? » elles ne passent pas >.> La preuve, ce n’est pas mon dada du tout et j’ai beaucoup aimé le titre alors même si vous n’aimez pas ce sport laissez-lui au moins sa chance. Pour ceux qui utiliseraient l’option « je suis un garçon », j’irai vous trouver des garçons qui l’ont lu et apprécié s’il le faut >.< *Ne peut pas changer de sexe*

Les achats du mois de… Février

Coucou les matous ! Comment allez-vous en ce premier mars ? Comme chaque début de mois vous avez droit à la liste des achats du mois passé – avec lien lorsqu’il y a un avis dessus – n’hésitez pas à dire si vous désirez avoir un avis sur l’un des titres cités ♥ Il faut savoir que comme souvent, je suis à la bourre pour l’écriture de mes avis alors ne soyez pas surpris qu’il y en ai, au fil des jours, datant encore de mes achats des mois précédents.

Service presse :

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Yo-Kai Watch – Tome 3 [Kazé]

La suite de Yo-Kai Watch était arrivée le mois passé en compagnie de cartes, comme à chaque fois je vous en ai parlé sur le blog même si le public habituel n’est pas très attiré par les kodomo 🙂 En tout cas, je remarque que pas mal de gens sont curieux vu le nombre de personnes allant lire l’avis sur celui-ci (et sur les précédents) ^^

Nouveautés :

Bungô Stray Dogs – Tomes 1 & 2 [Ototo]

Somali et l’esprit de la forêt – Tomes 1 & 2 [Komikku]

Orange – Coffret (5 tomes) [Akata][Terminée]

 

Suites :

Kuroko’s Basket Extra Game – Tome 2 [Kazé] [Terminée]

Black Butler – Tome 23 [Kana]

Black Clover – Tome 2 [Kazé]

L’Attaque des Titans – Double tome 15 & 16 [Pika ; Belgique Loisirs]

Les enfants de la Baleine – Tome 6 [Glénat]

Deux volumes se sont ajoutés, une nouvelle fois grâce à ma mère, car à la fin il ne me restait plus grand chose niveau sous. L’Attaque des Titans fut le premier arrivé (en compagnie d’un roman, présent juste en-dessous) et j’ai également eu la surprise de apparaître le tome 6 de Les Enfants de la Baleine pour mon plus grand plaisir !

Light Novel & Roman :

DanMachi – Tome 3 [Ofelbe]

Miss Peregrine et les enfants particuliers – Tome 2 [Belgique Loisirs]

Et oui, cette fois j’ajoute la partie roman vu que l’on m’en a offert un ♥ Je suis ravie de pouvoir me replonger dans cette histoire grâce à ma mère 🙂

 

Goodies :

Poster – Overlord [Ototo]

Cartes – Animal Crossing ; Force of Will

 

Et je n’ai pas sût avoir les marques pages Bungô Stray Dogs malheureusement ;_ ;

 

Goodies arrivés dans ma boîte aux lettres :

 

Cartes – Yo-Kai Watch [Avec le tome 3][Photo]

Straps – Black Butler Book of the Atlantic [Envoyé par Acchan][Photo]

Serviette – Black Butler Book of the Atlantic [Envoyée par Acchan][Photo]

Funko Pop – Meeko & Pocahantas [Disney][Photo]

 

Emprunts :

 

Hyokoi – Tomes 1 ; 2 & 3 [Panini]

Dodoma – Tome 1 [Komikku]

Chihayafuru – Tome 1 ; 2 ; 3 ; 4 ; 5 ; 6 ; 7 [Pika]

 

Quelques emprunts en ce mois de février, enfin… Quelques… Façon de parler parce que j’ai tout de même lu 11 tomes venant de la bibliothèque, même si je me dis que j’ai bien envie d’en avoir certains dans ma mangathèque.


Les mangas que je compte terminer dans les mois qui suivent ?

Library Wars – Love And War [Manque 5 tomes] [Glénat]

Chobits [Manque 3 tomes] [Pika]

Alice au royaume de Joker [Manque 4 tomes] [Ki-Oon]

 

Les mangas que je compte débuter ?

Citrus [Taifu]

Given [Taifu]

Links [Taifu]

Yukimura sensei to Kei kun [Taifu]

L’ère des cristaux [Glénat]

Le mari de mon frère [Akata]

La Photographe [Komikku]

Magical Girl Boy [Akata]

En Scène ! [Kurokawa]

Pas beaucoup de changement à ce niveau là 🙂 Mais je me connais, je risque de partir vers tout autre chose dès que je serai devant le rayonnage. C’est habituel *tousse*


Par rapport au blog, un lexique apparaitra lorsqu’il sera terminé. On m’en avait déjà parlé et j’avais fini par me poser la question, question à laquelle j’ai eu des réponses positives au fil des jours par des personnes suivant le blog, mais n’étant pas habituées au vocabulaire utilisé. Pour le reste, n’hésitez pas à proposer des titres, à laisser des commentaires, à venir m’ennuyer sur Twitter ou sur la page FB (même si j’y suis moins) car je ne vous mordrai pas !

Et de votre côté comment c’est passé votre mois de février ? De belles découvertes ?

Riku-do La rage aux poings – Tome 1

Hey les matous ! Vous allez bien ? J’espère en tout cas. De mon côté, un peu – beaucoup – fatiguée, mais cela finira par passer ! Une bonne longue nuit de sommeil et tout rentrera dans l’ordre normalement, même si je me lèverai sûrement tôt malgré tout.

Aujourd’hui, je vous vous mener vers un titre reçu grâce à Anita et Kazé que je remercie grandement ! Un titre se déroulant dans notre monde et parlant d’un sport spécifique. Pas de basket pour cette fois (d’ailleurs vous aurez mon avis sur le tome 2 de KnB Extra Game au fil des semaines qui viennent), ni de volley même si au fond je ne vous en ai pas tant parlé que cela pour le moment. Non. Le sport en question est la boxe ! Je préviens d’avance, Riku-Do – La rage aux poings n’est pas à mettre entre toutes les mains donc ne laissez pas le petit bout de 6ans vous l’emprunter, il ne sortira pas indemne de sa lecture.

 

« Riku-Do – La rage aux poings »

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8€29 – Seinen – 192 pages

Pour se venger des coups qu’il a reçus, Riku boxe le corps de son père qui vient de se pendre. Il veut vivre avec sa mère, mais il découvre avec horreur qu’elle est dépendante d’un dealer brutal et sadique. Empli de rage face à toutes ces tragédies, Riku demande à un ancien boxeur devenu yakuza de lui apprendre à se battre pour défendre ceux qu’il aime. L’ex-champion refuse mais l’envoie chez son ancien entraîneur de boxe. Le jeune garçon trouvera-t-il sa voie dans ce sport âpre et violent ?

 

Dans ce manga seinen de Toshimitsu MATSUBARA nous  suivons Riku, un garçon qui n’a pas eu énormément de chance dans sa vie entre un père violent qui s’est pendu et une mère vivant avec un dealer, l’amour familial n’est pas ce qu’il a le plus connu. Suite à certains événements et à l’envie de protéger ceux qu’il aime, il se mettra à la boxe.

L’histoire en elle-même se déroule dans notre monde, un monde dur et assez sombre qui montre parfaitement que la vie n’a rien de facile ou de rose. Il ne faut pas se dire que l’on va lire une histoire où tout le monde est gentil lorsque l’on ouvre Riku-do parce que c’est tout le contraire, les âmes beaucoup trop sensibles doivent s’abstenir. (Pour avoir vu la réaction maternelle, je peux le dire sans problème, ahaha)

Riku, le personnage que nous rencontrons enfant, est vraiment prenant. Ce qu’il vit pourrait être considéré comme inhumain par pas mal de gens, mais c’est sa vie qui lui permettra de s’élever petit à petit dans la boxe. Il sait naturellement viser les points vitaux, même s’il ne s’en rendait pas compte au début, et n’était pas du genre à rendre les coups lorsqu’il était jeune. Il se les prenait, ne savait pas comment réellement se battre. Un peu comme chacun de nous. Sans entraînement dans l’un des sports de combat, il est difficile de s’en rendre compte et ici c’est la boxe qui sauvera Riku. Sauver dans le premier sens du terme vu qu’un jab bien placé lui évitera probablement un triste destin. L’envie de devenir plus fort pour protéger les autres, principalement ceux qu’il aime, peut paraître assez simple car récurrente dans les mangas, pourtant c’est un désir qui peut apparaître chez n’importe qui en fonction de son passé ou de ce qu’il vit sur le moment.

A ses côtés, nous découvrons différents personnages. Son père, sa mère, celui avec qui vit celle-ci (Je pourrais dire « le dealer » tout simplement en fait…), les enfants du foyer, une éducatrice, mais également Kyôsuke et Baba. Ces deux derniers permettant à Riku de découvrir et de s’améliorer dans ce sport. Chacun des personnages, bien que certains ne possèdent qu’une brève apparition, aura son importance que ce soit dans la psychologie du jeune homme – parce qu’il ne reste pas enfant durant tout ce premier tome – que sur sa manière d’être.

La boxe peut être un défouloir pour certaines personnes, mais pour Riku c’est sa vie, ce qui lui permet d’avancer et de devenir plus fort. Aux yeux de notre héros, c’est ce qui l’a sauvé. Mais il n’y a pas que ce sport qui a son importance dans Riku-do la rage aux poings car nous y retrouvons les traumatismes – ceux vécus par Riku, mais l’on se rend compte que d’autres personnages en auront – et la violence. Violence physique principalement, les coups volent dans ce premier tome et le corps de l’enfant – et plus tard adolescent – sera réellement meurtrit tout comme ceux d’autres protagonistes. Mais il y a également quelques lueurs d’espoir, des touches plus enjouées bien que la noirceur retrouve rapidement sa place. Le foyer, la pratique du sport, les véritables liens noués entre certains personnages dont de la confiance. Bien qu’il soit possible de perdre certaines choses d’une seconde à l’autre, elles restent présentes et ce malgré le regard des autres.

La douleur. La rage. L’espoir. Le désespoir. La peur. La confiance. La désillusion. La ténacité. La mort. La vie.

Des mots, énumérés comme cela à première vue, mais pouvant coller d’une manière où d’une autre à ce qu’a vécu Riku.

La douleur des coups reçus. La rage de vivre. L’espoir d’une vie meilleure. Le désespoir face à certaines situations. La peur lorsque l’on sait que l’on risque de perdre la vie. La confiance envers certaines personnes. La désillusion avec d’autres alors que l’on espérait pouvoir vivre avec, que tout irait bien. La ténacité dans la pratique du sport. La mort de personnes proches. La vie… La vie que l’on a sauvée grâce à un coup de chance, grâce à un simple mouvement.

Les dessins, de leur côté, nous mettent directement dans l’ambiance. Sombres, ils sont également extrêmement détaillés ce qui nous permet d’apprécier les mouvements liés à la boxe, les différentes actions, les personnages et les lieux. Les émotions également car nous les lisons sans problèmes sur les visages de ceux que l’on croise au fil des pages. Des émotions pouvant passer de la joie à la douleur en une fraction de seconde. Pour ce qui est de la traduction effectuée par Arnaud DELAGE, elle nous met également dans le ton du manga, mais colle à chacun des personnages. Après tout, un dealer ne parle pas comme un enfant ou un ancien boxeur yakuza comme une éducatrice. C’était vraiment agréable de voir grâce à ça les différences d’âge entre les personnages, leurs connaissances et leurs manières de parler tout simplement pouvant montrer leurs visions du monde.

Ce manga est vraiment fort, percutant, malgré sa noirceur pouvant heurter la sensibilité de certains – comme c’est écrit sur la quatrième de couverture dans le coin supérieur gauche – et l’on se demande comment grandira Riku, quelles seront ses relations avec les autres. Nous savons déjà ce dont il est capable pour le moment, mais peut-il devenir encore plus dangereux avec ses poings ? On ne sait pas non plus ce qui arrivera dans le futur, étant donné qu’il a déjà vécu de nombreux événements pouvant être considérés comme dramatiques ou perturbants – pour certaines personnes – durant son enfance. Tout est possible, mais les lueurs d’espoir le sont également et la boxe reste ce qui lui permet de garder la tête hors de l’eau, de s’épanouir.

Curieuse de voir ce que donnera le tome 2, de voir ce qui attend Riku et de découvrir les personnages qui apparaîtront dans celui-ci. Curieuse de voir comment tout cela évoluera, ce qu’il adviendra de chacun des personnages que l’on a déjà croisé. Alors oui, vivement le tome 2 afin d’en savoir plus et de repartir dans le monde de la boxe.

Et vous, comptez-vous le lire ? Qu’en pensez-vous ?

 

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C’est lundi, que lisez-vous ? #9

Pfiou, rude journée aujourd’hui les matous TT’ Mais, elle est finie à présent et j’en profite pour avoir un peu de repos. Que cela va faire du bien !

Un petit rappel, qui sera présent chaque semaine : Ce rendez-vous a été créé par Mallou et reprit par Galleane ^^ Vous pouvez vous y rendre facilement en cliquant sur les pseudos.

Les lectures finies zuste avant la sieste :

J’ai relu les tomes 3 et 4 du manga « Les Enfants de la Baleine » afin d’écrire mes chroniques 🙂 Toujours un vrai plaisir ce manga ^^

Les lectures du moment dans le panier :

Un bon gros roman qui avance lentement, un livre de poche que je trimballe souvent et un manga pour la soirée.

Les futures lectures qui attendent sur la chaise :

Beaucoup de futures relectures afin d’écrire les chroniques sur les tomes en question. Bon cela risque de prendre du temps, mais c’est faisable si je reste concentrée.

Et vous, qu’avez-vous lu ?

Kuroko’s Basket Extra Game – Tome 1

Coucou les matous, comment allez-vous ? Pas trop fatigués en cette période de l’année bien plus fraiche et sombre que les autres ? Vous vous demandez dans quoi nous allons nous lancer aujourd’hui ? Hm… Ah, mais la réponse est simple ! D’ailleurs, si je peux vous en faire la chronique aujourd’hui c’est grâce aux éditions Kazé et à Anita qui m’ont fait confiance pour en parler en me l’envoyant et que je remercie vraiment En librairie, le manga était sorti le 9 novembre 2016 (en même temps que le tome 30) et c’est toujours Tadatoshi Fujimaki qui s’en occupe.

« Kuroko’s Basket Extra Game »

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6€79 – Shônen – 192pages

À l’occasion d’un match amical universitaire de street basket, le Japon accueille la redoutable équipe américaine des Jabberwock. Mais à l’issue de la rencontre, les insultes du victorieux capitaine américain font sortir le père de Riko de ses gonds. Après un défi jeté en bonne et due forme, Kagetora réunit Kuroko et Kagami ainsi que les membres de la mythique Génération Miracle ! Plus motivée que jamais, notre dream team ne dispose que d’une semaine pour se préparer à l’affrontement !

Nous retrouvons Kuroko et les différents personnages de « Kuroko’s Basket » dans cette 1ère mi-temps (c’est-à-dire dans ce tome 1) et découvrons une équipe américaine : Les Jabberwock. Oui, comme le Jabberwocky d’Alice au Pays des Merveilles qui fût vaincu par la Vorpal Sword. D’ailleurs, ce deuxième nom est celui de l’équipe composée des membres de la Génération des Miracles, Kagami et trois autres personnages dont je vous laisse la surprise. [Moi je fais la danse de la joie d’avoir revu mes trois chouchous en très peu de temps] L’équipe japonaise devra donc affronter l’américaine pour leur rabattre le caquet.

Les personnages restent fidèles à eux-mêmes, ainsi vous pouvez être certain de retrouver l’objet porte-bonheur de Midorima ou le côté fantomatique de Kuroko lors de certains passages (Mais sérieux Tetsu’, t’es timbré !). Leurs tempéraments et caractères, leurs légères animosités, mais également leur envie de jouer au basket. Ce sport qui nous a déjà fait vibrer durant les tomes de « Kuroko’s Basket » est de retour, mais sous une forme légèrement différente. J’ai bien aimé les voir travailler ensemble alors que cela ne devait vraiment pas être simple vu leurs caractères.

Dans les 30 volumes précédant celui-ci nous avions droit au basket-ball classique si l’on retire certaines techniques et bien, à présent, nous avons droit au street basket. Yep, celui qui se joue en rue ou sur les terrains se trouvant principalement en extérieur. Celui qui était également pratiqué, dans son enfance, par Aomine et bien entendu par certains joueurs nous venant d’Amérique tel que Kagami ou Himuro. Vous vous doutez qu’il ne se joue pas totalement comme le basket traditionnel et l’on s’en rend compte lors de certaines scènes se déroulant durant les matchs. Et je dois avouer que j’avais envie d’hurler sur l’équipe de Jabberwock à cause de certains de leurs comportements !

Les dessins sont dans la lignée du dernier tome et j’apprécie assez l’apparence des nouveaux personnages ainsi que celle des principaux. J’ai juste un souci avec les coupes de cheveux de Midorima et de Murasakibara que je trouvais assez plates par moment, comme s’ils avaient eu un pot de laque sur la chevelure… M’enfin, ce n’est pas si gênant que ça au fond et l’on s’habitue assez vite à leurs coupes. On voit la belle évolution depuis le tout début de « Kuroko’s Basket » et encore plus dans ce volume où les actions sont, comme auparavant, très bien réalisées et nous font ressentir la vitesse du jeu.

L’histoire en elle-même reste excessivement prenante et en arrivant à la dernière page de cette première mi-temps j’avais déjà envie d’entamer la seconde ! J’ai également bien ris avec les bêtisiers, toujours aussi amusants et nous montrant une scène légèrement modifiée. D’ailleurs, j’ai bien apprécié la partie « Après la Winter Cup » où l’on a droit à quelques scènes se déroulant après le match final de « Kuroko’s Basket » et où l’on peut découvrir les différentes équipes avec de légères différences. Après tout, certains des joueurs essayaient d’entrer dans l’une ou l’autre université étant donné qu’ils se trouvaient en dernière année de lycée alors que d’autres arrivaient seulement vu qu’ils ont quitté l’un des nombreux collèges japonais.

Pour ceux ayant déjà apprécié la première partie, « Kuroko’s Basket Extra Game » les ravira plus que probablement. Les personnages ayant grandit, ils ont également un peu mûrit – oui, seulement un peu – et sont eux-mêmes malgré tout. Leurs caractères n’ont pas tant changé que cela, si l’on retire certains détails et si l’on appréciait déjà un personnage auparavant cela sera toujours le cas à présent. Le manga en lui-même est de bonne qualité, le papier est assez épais et blanc. Je n’ai vu aucune coquille durant ma lecture et toutes les cases étaient lisibles (Aucune n’était allez se perdre dans un coin illisible) quant à l’encre elle n’a pas du tout fini sur les doigts, ce qui est une bonne chose !

Hâte de lire et de voir ce que nous réservera le tome 2 durant ce match où personne ne veut perdre !

Et vous qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Comptez-vous le lire ? Comment auriez-vous réagit en voyant le comportement des membres de Jabberwock ?

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Blabla en plus : Si vous devez apprendre l’anglais, ne le faite surtout pas avec Aomine et Kise 🙂 Préférez vous diriger vers d’autres personnages tel qu’Akashi ou Kuroko ^o^

Kuroko’s Basket – Avis Général

Hey les p’tits matous ! Envie de bouger aujourd’hui ? Super ! Alors partons sur le terrain de basket le plus proche en compagnie de Kuroko et des membres de la Génération des Miracles. Vous voyez sur quoi portera cet avis général ? Yeah, c’est bien sur…

 

« Kuroko’s Basket »

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6€79 – Shônen – 192 pages

 

Le club de basket du collège Teikô, possédait une équipe incroyablement forte, avec plus de cent membres et vainqueur de trois championnats. Parmi leur brillants joueurs, un groupe de cinq prodiges était connu sous le nom de « Génération des Miracles« . Cependant, il y avait une étrange rumeur concernant la génération des miracles. Bien qu’inconnu et en dehors des archives, il y avait un joueur supplémentaire reconnu par les cinq prodiges. Un sixième joueur fantôme…

C’est la rentrée au club de basket-ball du lycée Seirin et cette année, deux recrues se démarquent… D’un côté, l’impulsif Kagami Taiga, revenu des États-Unis où il a appris le basket . De l’autre, le chétif et très effacé Kuroko Tetsuya dont on dit qu’il aurait fait partie de l’équipe de basket du collège Teikô, la légendaire “Génération Miracle” ! Et si ces deux joueurs que tout oppose étaient amenés à se compléter à merveille sur le terrain ?

« […] Une ombre devient plus sombre si la lumière est plus forte. Et ça met le blanc de la lumière en valeur. » Kuroko Tetsuya

Présent aux éditions Kazé, il comptabilise 30 tomes et c’est terminé cette année. Ce Shônen manga est également appelé « Kuroko no Basket » ou, par certaines personnes, « Le basket de Kuroko ». Autant tout mettre, sinon j’en connais qui vont ronchonner. Vu le titre et mon entrée en la matière vous vous doutez certainement du sujet principal de ce manga qui est… Le basket ! (J’allais dire les corbeilles de fruits pour vous ennuyer…) Il est écrit et dessiné par Tadatoshi Fujimaki. Une suite existe sous le nom de « Kuroko Extra Game », mais ce n’est pas encore le moment d’en parler.

page02-03L’histoire se centre sur Kuroko Tetsuya – alias Tetsu – ancien membre de la célèbre Génération des Miracles – La Kiseki no Sedai pour ceux qui préfèrent – et passeur fantôme ayant la capacité de se faire oublier en moins d’une seconde. A ses côtés évoluera Kagami Taïga, ce dernier venant des États-Unis et désirant pratiquer le sport qu’il préfère au Japon. Tout les oppose et pourtant, ils finiront par sympathiser au point de former une paire d’exception.

Autours de ces deux personnages se trouve également l’équipe de Seirin, celle qui permettra à nos deux héros de devenir plus fort, d’apprendre de leurs échecs, de se relever et… Bah de repartir sur le terrain pour réussir à vaincre l’équipe les ayant mit au tapis. Face à eux, la Génération des Miracles qui c’est séparée et se trouve dans des clubs – et donc des lycées – différents. Chacun d’entre eux possède son point fort, sa « capacité ».

« Le seul qui peut me battre, c’est moi-même » Aomine Daiki

Car oui, si vous vous attendiez à du basket classique passez votre chemin et tournez-vous plutôt vers Slam Dunk dans ce cas là. Kuroko’s Basket permet à ses personnages d’avoir des capacités utiles sur un terrain tels que les passes de Tetsu’, la technique de copie de Kise ou la Zone ainsi que plein d’autres, mais toutes les énoncés risque d’être compliqué. Ces techniques permettent de donner un plus aux matchs, les rendant plus intenses, plus incertains – car non Seirin ne l’emporte pas tout le temps… Certes, parfois on se pose la question « Mais comment ont-ils fait ?! » – et surtout intéressants lorsque l’on veut savoir qui sait faire quoi. Je ne suis pas la seule tout de même ?

En plus des matchs, nous avons droits aux camps d’entraînement et aux entraînements en eux-mêmes ainsi qu’à certaines scènes en extérieur ou se déroulant durant les cours. Parce que oui, ils vont en cours et ne passent pas leurs journées à courir un ballon rebondissant devant eux. On découvre ainsi quelques personnages cohabitant avec eux, leurs vies de tous les jours et leurs comportements en cours. Les examens sont également de la partie avec un petit enjeu pour ceux les échouant… Parce que même si on est doué en sport, il faut quand même avoir – au minimum – la moyenne !

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Je dois avouer que j’avais déjà vu l’anime qui me donnait franchement envie de jouer au basket, je connaissais donc déjà l’histoire avant de débuter le manga. Par contre, j’ai été ravie de retrouver les différents personnages même si j’avais du mal avec les dessins au début (A contrario, j’ai eu beaucoup plus facile avec ceux d’Haikyû !! Les as du volley) mais au fil des tomes j’ai prit l’habitude. Juste le temps d’adaptation, je pense. Ce qui est certain, c’est que les personnages ont tous une tête différente – fort heureusement – et que les actions sont reconnaissables sans problème. D’ailleurs, les dessins s’améliorent au fil du temps ce qui est plutôt sympathique ! Bien sûr, ils ne plairont pas à tout le monde.

C’est l’une des premières séries manga basée sur un sport que je termine et j’étais déjà très contente de l’avoir entre les mains au fil du temps. Y a pas à dire, 30 tomes ça prend de la place dans la bibliothèque. Comme toujours, j’ai eu un pincement au cœur une fois arrivée au dernier volume et je suis ravie de savoir que les deux tomes de Kuroko Extra Game sortent également ! Hâte de les lire. Je ne me suis pas ennuyée une seconde en compagnie de Tetsu’ et Kagami, d’ailleurs j’appréciais même le fait que le passeur fantôme soit aussi « effacé » la plupart du temps. Cela change des héros très… Dynamiques ? Pour ça, Kagami rentrait parfaitement dans la catégorie avec son caractère. Le fait qu’on oublie facilement Kuroko s’avère parfois très utile.

Pour finir, je dirai simplement que j’ai passé un très bon moment avec les personnages. Je ne pouvais pas m’empêcher de rire lors de certaines situations, de râler à d’autres moments (… J’ai arrêté de compter le nombre de « Mais Ao’, retourne t’entraîner !!! » que j’ai dit tout haut) et je n’ai pas pût m’empêcher d’avoir envie de les serrer dans mes bras lorsque l’on a découvert les raisons pour lesquelles certains sont devenus ce qu’ils sont aujourd’hui. Au fil des volumes, nous les voyons également changer petit à petit car ils ne restent pas figés sur ce qu’ils étaient au tout début de l’histoire.

Mes chouchous ? Hm…  Aomine (Sans blague…), Takao, Kise et bien sûr Tetsu’ ! La p’tite bouboule de poils aussi, mais j’adore naturellement les animaux alors ce n’est pas difficile. Parmi les filles, j’ai une préférence pour Alex bien que j’adore Riko également !

Et vous, l’avez-vous lu ou vu ? Qu’en avez-vous pensé ? Quel personnage ou quelle scène avez-vous préféré ?

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Blabla en plus : Pour ceux ne l’ayant pas vu sur Twitter, je compte également chroniquer les tomes au fil du temps. Ceci sera fait pour tous les mangas n’ayant qu’un avis général pour le moment, mais se fera petit à petit au fil des jours, semaines ou mois.