Le Chant des Souliers Rouges – Tome 4

Coucou les matous, comment allez-vous ? Pour ma part, je vais relativement bien. Aujourd’hui, nous avons préparé le sapin de Noël et ce même si je ne serai pas dans mon coin à ce moment là, mais de l’autre côté du pays. Hormis cela, j’avance également sur les cadeaux car certains sont fait-mains et j’espère qu’ils plairont tout de même aux personnes pour qui ils sont. (Pas pour les parents… Ils me répètent sans cesse que ça ne les intéressent pas le fait-main >.>’)

Aujourd’hui, nous repartons pour le Seinen me touchant énormément ces derniers temps. J’en profite pour remercier Anita et les éditions Kazé pour l’envoi, mais également d’avoir sortit ce titre tout en douceur, poésie et délicatesse. Si vous désirez d’autres avis, Xander, Thiboutsu et Euphox (oui, encore eux, ahah) en ont également parlé chacun à leur manière. Vous êtes prêt les matous ? Nous partons en plein été pour retrouver nos cours de flamenco préférés !

« Le Chant des Souliers Rouges »

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8€29 – Seinen – 224 pages

Une jeune fille éperdument amoureuse. Un prince aussi charmant que cruel. Des cadeaux qui se succèdent.
En dépit des conseils de son entourage, Yuzu persiste à sortir avec un garçon manipulateur qui profite de ses sentiments. Seul Tsubura, lui-même très amoureux de la lycéenne, comprend son abnégation.
Poussé par Hana et Kimitaka, il va tenter de se rapprocher d’elle en se faisant embaucher pour le même job d’été…

Et on continue notre petit rattrapage du moment, rattrapage qui aura été relativement rapide en soi. Nous nous trouvons déjà à deux tomes de la fin de la série… Elle sera passée tellement vite… Mais revenons-en au tome 4, le 5 et le 6 n’étant pas encore présents !

Nous retrouvons, une nouvelle fois, notre cher petit trio. Mais si, vous savez très bien de qui je parle : Kimitaka, Tsubura et Hana. Vous vous souvenez maintenant ? Oui ? Et bien reprenons. A leurs côtés, nous côtoyons toujours les quelques autres membres du cours de flamenco et je fus heureuse de retrouver la grand-mère – et gérante du tableo – d’un des personnages. Elle me manquait, au fond, et la revoir prendre du poil de la bête fait réellement plaisir même si elle doit continuer de faire attention.

Ce quatrième volume met en avant les sentiments de Tsubura envers Yuzu, mais également ceux de Yuzu dont l’histoire d’amour n’est réellement pas simple. Elle en souffre, même, tout en se raccrochant à celui qu’elle aime. Malheureusement, cela joue sur son tempérament et ce n’est pas une demoiselle toute douce que nous découvrirons… Pourtant, cela ne change rien aux sentiments de Tsubura qui est celui la comprenant le mieux en réalité.

Bien qu’aux antipodes du personnage que l’on apprécie habituellement, Yuzu s’avère extrêmement touchante. Certes, son caractère peut énerver certaine personne, mais ses réactions s’avèrent normales lorsque l’on en découvre plus sur elle, ses sentiments, la manière dont elle se voit contrairement à sa jumelle. Tout n’est pas simple et être constamment comparée à sa jumelle ne doit réellement pas être facile.

Du côté, de notre trio fétiche nous voyons Tsubura tenter de se rapprocher de la lycéenne malgré le comportement de cette dernière. Il ne lâchera pas l’affaire, l’écoutera malgré tout ce qu’il pourra entendre et continuera d’être présent. C’est réellement un personnage tout en douceur, à la présence qui n’est pas anecdotique car il n’hésite pas à venir en aide à ceux qui lui tiennent à cœur. Il n’hésitera pas à aller jusqu’à se faire embaucher là où travaille Yuzu durant l’été, s’accrochant à chacune des petites avancées qu’il y aura avec la jeune fille… Même si l’amour de cette dernière pour le garçon qu’elle aime reste bel et bien présent.

Un garçon considéré comme un étant manipulateur par d’autres personnes, un être tout aussi meurtrit et non pas parfait. Un être tout à fait normal, avec ses défauts et ses qualités ainsi que ses envies. Cela se ressent durant la lecture, lorsque nous le rencontrons et ce même si ses réactions peuvent sembler radicales dans certains cas. Mais Tsubura sera malgré tout également présent, bien que moins qu’avec Yuzu, ce qui permettra également au jeune homme de réaliser certaines choses.

Par rapport à Hana et Kimitaka, ils continuent également d’évoluer à leurs rythmes tout en encourageant Tsubura. Leur amitié se développe au fil des volumes et on voit bel et bien qu’ils se dépassent petit à petit. Eux aussi prennent leur envol, à leur rythme et en découvrant de plus en plus de choses par rapport au flamenco.

Car oui, la danse est belle et bien présente tout en nous procurant de nouvelles informations. N’y connaissant rien avant de découvrir le manga, je découvre toujours quelque chose en plus, un élément nouveau par rapport au flamenco, aux tableos. C’est réellement passionnant et la douceur du titre mêlée à cette danse permettant aux gens de s’exprimer par ce biais forme un très beau duo à mes yeux.

Parce qu’au fond, elle n’est pas anecdotique. Elle a sa place par rapport aux différents personnages, chacun ayant quelque chose sur le cœur, des soucis, des rêves. Tout comme Takara s’est épanouie dans le basketmême si la voir un peu plus serait vraiment chouette c’est au tour de Kimitaka de prendre son envol. Un envol qui prend forme, de plus en plus, alors que nous approchons de la fin. Et l’amitié permet également cela, tout du moins quand elle est véritable.

D’ailleurs, les personnages un peu plus secondaires apparaissent également le temps d’un instant ce qui nous permet de nous rendre un peu plus compte des relations pouvant exister entre eux. Des personnages côtoyant Kimitaka ou un autre personnage, des êtres ayant également une famille. Que ce soit la petite sœur de notre héros ou les camarades du club de basket de Takara, nous les revoyons pour le plaisir des yeux, mais également pour réellement voir une différence entre deux personnages. Yuzu et sa sœur. Jumelles et différentes, toutes deux suivant des voies pouvant sembler éloignées et pourtant restant également proches, à leurs manières.

Pour ce qui est de l’histoire, elle reste très calme et posée. Tout en douceur, en délicatesse et poésie nous voyons nos personnages prendre des décisions, être poussé par leurs amis et grandir ou s’épanouir. Ils prennent place dans nos cœurs, continuent de nous toucher et ce quatrième volume ne fera pas exception à la règle. Même si Yuzu a un caractère plus explosif, elle ne dénote pas dans l’histoire que nous conte Mizu Sahara et nous apprend également pas mal de choses.

Amour, amitié, dépassement de soi, découvertes, rencontres. Tant d’éléments étant présent dans Le Chant des Souliers Rouges et ayant une place parfois minime et souvent moins. Les émotions permettent tant de choses, les rencontres aussi et c’est tout en douceur que nous assistons à la reconstruction même de Kimitaka. Il n’est déjà plus celui que nous rencontrions lors du premier volume, le jeune homme meurtrit qu’il était semble s’éloigner de plus en plus et je suis réellement curieuse de voir jusqu’où ira son évolution. Mais pas seulement la sienne, celle des autres aussi car je me suis attachée à chacun d’eux, à leurs bouilles, à leurs faiblesses et, même si nous n’en sommes qu’au tome 4, je suis déjà triste de me dire que dans deux tomes tout sera terminé.

Pour ce qui est des dessins, mon avis n’aura pas changé. Je reste sur mes positions en me disant qu’ils collent merveilleusement à l’histoire, que le style graphique est bien plus poétique ainsi. Je dois avouer avoir du mal à m’imaginer le titre avec un design totalement différent, plus habituel et j’aime énormément la patte de Mizu Sahara qui me touche également. Bien sûr, ce ne sera – comme toujours  – pas au goût de tous, mais il ne faut pas se braquer sur les illustrations sinon on passe à côté d’un merveilleux titre. Pour ce qui est de la couverture, elle est encore une fois tout en douceur et magnifique. Il est difficile de réellement résister face aux illustrations couleurs des jaquettes du titre qui colle merveilleusement bien à l’atmosphère présente à l’intérieur du manga.

Du côté de l’édition, aucun souci n’ont été aperçus au cours de la lecture. Les caractères sont toujours aussi bien respecté lors de la traduction, les phrases restent également facilement en tête et certaines peuvent avoir bien plus d’impact que d’autres. Elles font parties intégrantes de l’œuvre et sont réellement touchantes. Pour ce qui est du papier, il est comme d’habitude et aura gentiment gardé – une nouvelle fois – son encre sans faire en sorte que j’en ai sur les doigts.

Pour conclure ce doux article emprunt de sentiments en tout genre, le tome 4 du manga Le Chant des Souliers Rouges reste une douceur à découvrir. Il est terriblement touchant dans sa manière de présenter les événements, de les enchaîner et il m’aura, comme ses prédécesseurs, réellement touchée. Lorsque la série sera complète je n’hésiterai pas une seconde à relire le titre même s’il n’y aura plus le côté découverte. Non, il y aura toujours ses moments marquants, touchants et qui m’auront accompagné, fait revenir dans le passé ou réfléchir. Ces moments seront toujours présents quoi qu’il arrive et je dois avouer que j’aurai du mal à laisser Kimitaka de toute manière.

Et vous les matous, comment trouvez-vous le titre ? Vous touche-t-il ? Y a-t-il un personnage qui vous marque plus qu’un autre ou duquel vous vous sentez plus proche ? Serez-vous triste lorsque la fin arrivera ?

 

Site de l’éditeur – Extrait

Le Chant des Souliers Rouges – Tome 3

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ma part je suis de très bonne humeur vu qu’il y a eu de la neige ! Oui, oui, de la poudreuse bien blanche et qui faisait un son bien agréable pour les oreilles. Malheureusement, elle a déjà disparu… Reviendra-t-elle ? Je l’espère en tout cas…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un Seinen dont on a déjà parlé sur le blog avec le troisième volume d’une série poétique et terriblement touchante… Prêt à reprendre les cours de flamenco les matous ? Pour ceux désirant d’autres avis Xander, Thiboutsu et Euphox en ont également parlé. (Oui, je suis à la ramasse comme souvent ~)

« Le Chant des Souliers rouges »

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8€29 – Seinen – 192 pages

Deux lycéens mal dans leur peau.
L’un gêné par son embonpoint et sa timidité, l’autre, par sa voix rauque.
Tsubura, souffre-douleur de la classe et Hana, le grand taciturne que tout indiffère, forment désormais une petite bande avec Kimitaka. Mais leur lien d’amitié naissant reste fragile…
En partageant les cours de flamenco de leur ami, ils trouveront peut-être, aux aussi, le moyen de s’épanouir…

Déjà la moitié pour la série Le Chant des Souliers Rouges avec ce troisième tome, un tome qui m’aura réellement touchée et même plus que les précédents. Difficile de ne pas l’être avec cette série après tout, car Mizu Sahara est juste dans ses propos et ses personnages si touchants.

Nous retrouvons Kimitaka, Tsubura et Hana dans ce tome trois. Le petit trio à l’amitié naissante, mais également à la fragilité présente en fonction de chacun. Chacun d’eux possèdent ses problèmes et peut-être que ce sera le cours de flamenco qui les sauvera tous en s’épanouissant. Ici, nous allons en savoir bien plus sur Tsubura et Hana tout en mettant légèrement de côté la danse. Parce que oui, ce qui nous importera ici ce sera d’en découvrir plus sur les deux nouveaux amis de Kimitaka, les raisons faisant qu’ils ont peu confiance en eux, mais également leurs points forts. De plus, Tsubura et Kimitaka devront trouver un chanteur… Vous devinez aisément qu’ils penseront de suite à Hana, bien qu’il ne sera pas simple de le convaincre.

Les raisons de ce choix sont rapidement expliquées dans ce troisième tome, mais également le souci d’Hana pouvant légèrement poser problème lorsqu’il est le centre de l’attention. Ce souci dont certains camarades de classe tenteront de profiter en le poussant à bout, mais heureusement pour Hana, Tsubura sera toujours là pour le protéger et ce même s’il sera la cible juste après des brimades. On se demande aisément s’ils arriveront à dépasser tout ce qu’il se passe, à prendre confiance en eux.

Et réussir à prendre confiance en soi n’est jamais simple… j’en sais quelque chose en soi, vu que je ne suis pas la plus confiante en mes propres capacités. Alors, oui, je comprends parfaitement ce que cela peut faire et ce même si je ne me trouve pas à la place des personnages. Des personnages réellement touchants et auxquels il n’est pas difficile de se comparer dans certains cas. 

Des personnages que l’on voit petit à petit évoluer, souffrir également par rapport à certains événements tout en essayant d’avancer. Ce n’est pas simple et pourtant, au fil du temps, ils y arrivent et prennent sur eux en tentant de se dépasser. Chacun devant faire face à ses faiblesses tout en prenant conscience de ses forces. Des forces pas toujours faciles à deviner lorsque l’on n’a pas confiance en soi comme ce petit trio relativement complémentaire. Tsubura et Hana prennent de l’ampleur dans ce troisième volume, on s’attache à eux, à leurs passifs et à leurs désirs suite à ce que nous apprenons. Deux personnages aussi touchant l’un que l’autre ♥

Le seul personnage s’avérant très peu présent au final s’avère être la demoiselle que nous rencontrions lors du premier volume. C’est dommage qu’on la voie si peu, même si cela reste compréhensible malgré tout… Après tout, c’est l’évolution de Kimitaka que nous suivons, même si dans ce troisième tome il était plus en retrait, et non pas celle de la basketteuse qui semble avoir déjà reprit goût à la vie. J’espère tout de même qu’elle réapparaîtra un peu plus au fil du temps, sachant que c’est une courte série malgré tout.

Cela ne m’empêche pas de m’immerger complètement dans l’histoire et ce troisième volume n’est pas différent des deux précédents. De ce fait, ce tome me touchait bien plus encore que ceux l’ayant précédé… Certes, je suis très émotive par rapport à tout ça – j’arrive même à pleurer devant Magical Dorémi, c’est pour dire – mais cela n’empêche que c’est réellement un très beau manga, avec un message fort et touchant.

De plus, l’histoire ne stagne pas. Elle avance, à son rythme et suite aux différents événements ou aux divers choix à réaliser. Elle prend place, touche à sa manière le lecteur et le renvoie, dans certain cas, à son propre passé, à ses propres peurs ou au fait que lui non plus n’a pas confiance en lui. Ce n’est pas toujours simple, lors de la lecture, de mettre de côté tout ce qui peut venir en tête, nous toucher et le troisième tome du Chant des Souliers Rouges fait que, justement, on se retrouve prit dans la réflexion.

Une réflexion par rapport aux personnages, mais également sur nous même. Leurs choix, leurs vécus, leurs avancées, leurs doutes, tout cela entre, en quelque sorte, en résonance avec ce que nous connaissons également. Le manga est juste dans sa manière d’aborder tout cela, de nous toucher, de nous donner envie de continuer de le découvrir tout en faisant en sorte qu’une part de nous se dise, parfois, que cela risque d’être rude malgré tout.

En soi, la série se bonifie au fil du temps et continue d’être réellement agréable à découvrir malgré cette légère « douleur » pouvant toucher certaine personne. Oui, il arrivera probablement que quelques lecteurs versent une larme en le lisant, alors que pour d’autres ce ne sera pas le cas, mais à mes yeux je trouve cela normal vu que Mizu Sahara fait en sorte qu’une part de nous soit touchée à sa manière.

Les dessins de la mangaka restent poétiques, mais également très doux. Ils montrent aisément les expressions, les sentiments de nos protagonistes et des autres sans que l’on ne soit perdu. Les lieux se reconnaissent, tout comme les personnages et, pour ma part, je me plais à observer chacune des planches du manga, d’en profiter et ce même si les dessins peuvent sembler étranges pour certains. Depuis le début, je n’ai eu aucun mal avec ceux-ci et cela continue au point que je les apprécie de plus en plus au fil de mes lectures et relectures. Il ne touchera d’ailleurs pas tout le monde de la même manière ou aura, toujours, du mal à passer chez certain mais cela dépend de la perception de chacun et de nos goûts. Je reste subjuguée par les couvertures également, toutes aussi jolies les unes que les autres.

Du côté de l’édition, Kazé fait encore une fois du bon travail par rapport à l’œuvre. La traduction est fluide et sans accrocs apparents faisant que les dialogues se lisent sans aucune difficulté tout en collant aux différents personnages. On les reconnaît aisément dans leurs manières de discuter et c’est réellement agréable. Les métaphores présentent sonnent également joliment et sont aisément compréhensibles. Pour ce qui est du papier en lui-même, il garde gentiment son encre qui n’aura pas finit en flaque informe sur certaines pages tout en laissant apparaître le texte sans que celui-ci ne s’efface. Au niveau du manga, il reste assez souple – il est beaucoup moins rigide que le manga Le loup de Hinata par exemple – et facile à transporter.

Alors, alors… Que dire pour terminer cet article avant d’enchaîner sur le tome 4 ? Comme vous le savez, cette série est un véritable régal à chacun des tomes pour ma part. Une belle surprise me touchant à chaque fois et me renvoyant sans difficulté à d’autres moments vécus auparavant. Certes, ce n’est pas toujours simple durant la lecture, mais cette série s’avère être un très beau coup de cœur pour cette année. J’ai toujours hâte de découvrir la suite, de voir comment ils vont avancer et ce qui nous attendra. De plus, le simple fait d’être plutôt en compagnie des amis de Kimitaka qu’avec ce dernier était vraiment intéressant et nous permettait d’en découvrir bien plus sur eux.

Et vous les matous, comment trouvez-vous ce manga ? Où en êtes-vous ? Le lisez-vous ?

 

Site de l’éditeur – Extrait

Adam et Eve – Tome 2

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? De quoi ? Si je n’ai rien oublié cette semaine ? AH heu… Si… mais j’ai eu pas mal à faire ! Ne vous inquiétez pas, le petit journal nekoien sera là lundi sans faute et si ce n’est pas le cas je vous donne le droit de me retirer mes cookies (même s’ils sont aussi pour vous) jusqu’au retour du pauvre article. J’en profite également pour souhaiter un joyeux blog’anniversaire à Omoshiroi Project qui fête ses 2 ans.

D’ailleurs, c’est bien beau tout ça, mais il n’est pas le seul à avoir prit sont temps pour pointer le bout de son museau. Alors aujourd’hui, on se dirige vers un nouveau tome 2 et surtout… une nouvelle fin de série ! Pour celle-ci, je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi m’ayant permit de découvrir ce titre. Si vous désirez d’autres avis Xander et Thiboutsu en ont aussi parlé.

« Adam et Eve »

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8€29 – Seinen – 240 pages

Les yakuzas pris au piège tombent les uns après les autres sous les coups de leurs ennemis invisibles… Seuls Minato, l’expert du toucher, et Smell, le maître de l’odorat, sont encore en état de se battre. Leur affrontement extrasensoriel les mènera aux frontières de la perception !!

Au-delà des morts, l’ennemi reste invisible !

Et nous sommes donc reparti dans le dernier tome de la série Adam et Eve sortit aux éditions Kazé les matous et qui est toujours pour public averti. Comme vous le voyez, cette série ne fait que deux tomes faisant qu’elle est relativement courte  découvrir, mais que nous réservait donc ce second et dernier volume ?

Comme dans le premier tome nous retrouvons Smell, les survivants et les êtres invisibles ayant pénétré dans le club privé où se trouvaient les yakuzas avant de faire, d’une certaine manière, un véritable massacre. Sauf que ce second volume ne nous enfermera pas durant sa totalité dans cet endroit et nous entraînera ailleurs. Adieu l’huis clôt en soi vu que nous verrons autant le club privé au début que la salle d’interrogatoire de la police à la fin.

Smell sera, une nouvelle fois, le personnage que nous suivrons le plus et découvrirons un peu plus également pourtant quelques autres protagonistes sont tout autant présents. Le couple invisible pour débuter, un homme et une femme… Vous voyez où je veux en venir si je vous réécris le titre les matous ? Adam et Eve. Comment ça ce sont des prénoms présents dans la Bible et dans la Genèse ? Certes, certes, mais revenez un peu là où nous sommes à présent même si cela peut vous aider lorsqu’une certaine image apparaît. D’ailleurs, image pouvant nous éclairer à sa manière sur l’identité du duo même si un certain dialogue parlant de mère et de père pouvait également être un très bon indice.

Et… Je dois avouer avoir eu un peu plus de mal avec ce second volume qu’avec le premier, mais peut-être est-ce du au fait que je ne m’intéresse pas du tout à la physique quantiquequi n’était heureusement pas expliquée de manière complexe sinon on m’aurait totalement perdue – ou que j’ai du mal à voir le rapport, justement, entre la physique quantique et l’invisibilité du duo.

Enfin soit, retournons un peu vers notre petit groupe ! Du moins ce qu’il en reste car, si vous vous souvenez, certains sont déjà morts depuis le premier volume. Certains pourront se vanter d’être restés vivant jusqu’au tome final au moins… Tout du moins pas de manière physique vu que le massacre continue dans la joie et la bonne humeur.

Parce que oui, la première partie reprend directement après la fin du premier volume. De ce fait, si vous savez enchaîner les deux tomes faites le sans hésiter afin d’avoir rapidement le fin mot de l’affaire. Mis à part cela, nous retrouvons les derniers « sens » encore lice afin de voir leurs dérives et caractères pour le moins étranges pour certains. Je vous le répète, ce ne sont pas des enfants de cœur alors ne vous attendez pas voir un moment Bisounours, préparez-vous pour tout autre chose.

Hm ? Ah c’est vrai qu’il ne restait plus que le toucher et l’odorat en état de se battre… Quoi que, le sixième sens est également toujours vivant à ce que je sache. Bon, on va dire que monsieur est plus observateur que combattant. D’ailleurs, j’aurai adoré le voir combattre sur le coup ! Parce que bon, même s’il est aveugle, il doit savoir se débrouiller le bougre !

Cette première partie du tome 2 est donc dans la lignée du premier tome et comme le tome 1 je l’ai réellement appréciée, même si je ne comprends toujours pas ce qu’il s’est totalement passé par rapport à Smell. Certes, il y a le côté dépasser la perception que l’on a tous au niveau de chacun des sens, mais… Comment en tant qu’être déjà vivant aurait-il pu y arriver aussi « facilement » ? (et douloureusement) A moins qu’il ne subisse une sorte de « renaissance » comme nous le laisse présager certaines phrases mentionnées lors de la seconde partie… Peut-être est-ce possible par rapport à cela et que la pomme joue un certain rôle…

Pour ce qui est de la seconde partie, nous assistons à l’interrogatoire d’une certaine personne tout en nous montrant qu’une autre à totalement disparu de la circulation. L’incrédulité est présente car, comme à nos yeux, cela parait impossible qu’une personne disparaisse sans laisser de traces dans une pièce fermée et de laquelle il n’est pas parti. Logique. Et c’est là qu’entre la physique quantique et mon côté totalement perdu… Oui, oui… Pourtant on a des explications et tout, mais mon cerveau à du mal à se dire que ça colle réellement avec ce qu’il s’est passé.

C’est là que nous découvrons un peu plus la police sous les traits de deux personnages, mais également le côté plus scientifique avec des jumelles… Tout du moins je présume qu’elles sont jumelles vu leurs ressemblances tant physiques que morales. Chacun à sa manière de voir les choses, mais ne se comprendra pas spécialement. J’ai d’ailleurs bien aimé le fait qu’une certaine grenouille soit prise en exemple par rapport à la transparence étant donné que certains animaux sont capables de le devenir.

Peut-être comprendrais-je mieux en le relisant une seconde fois, à tête bien reposée. Je vous le dirai sûrement dès que l’avis général pointera le bout de son nez, ce sera bien plus simple vu qu’une relecture sera effectuée.

Du côté des dessins, ils sont dans la lignée des précédents et le trait de Ryoichi Ikegami est vraiment réaliste et en met plein les mirettes même si cela s’avère être relativement gore la plupart du temps. Ils sont expressifs, montrent sans difficulté qui est qui et attirent l’œil malgré tout. On ne peut pas dire le contraire, c’est réellement un beau charadesign et des belles illustrations qui nous font face.

Pour ce qui est de l’édition en elle-même, je n’ai vu aucune boulette apparente. L’encre reste sur sa page sans rejoindre nos doigts tout en nous permettant de voir les ombrages, les plis des vêtements. Les dialogues restent présents, chacune des lettres présentes dans les bulles ne s’effaçant pas encore, du moins pour le moment. Pour ce qui est du papier, il n’est ni trop épais, ni trop fin et se tourne facilement et niveau traduction, je n’ai pas aperçu de coquilles aux premiers abords. Comme vous le savez déjà, le manga se plie merveilleusement bien vu qu’il a survécu à un facteur un peu trop radical pour faire entrer l’enveloppe dans la boite aux lettres.

En conclusion, ce deuxième tome fut un peu plus en demi-teinte que le premier bien que toujours aussi prenant par l’action s’y trouvant. Je ne me suis pas ennuyée un seul instant et c’est réellement la seconde partie qui me pose plus de doute que le reste. Comme dit plus haut, peut-être qu’une bonne relecture me fera voir cela autrement et me fera tout comprendre. Cela reste une série courte relativement passionnante dans son ensemble et que je ne regrette pas d’avoir découverte même si plus d’explications n’auraient pas été de trop. Je vous tiens au courant de l’arrivée – inconnue – de l’avis général mes matous !

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

Site de l’éditeur – Extrait

Dresseuses de Monstres – Tome 2

Coucou les matous, j’espère que vous allez bien ? Pour ma part c’est le cas et le week-end approche gentiment alors j’ai hâte ! Comme vous le savez si vous me suivez sur Twitter, plusieurs articles étaient en cours d’écriture et voici le premier…

Premier à sortir et premier à finir une série parmi le groupe d’avis qui paraîtront prochainement. Je ne vous en dis pas plus, mais sachez que si tout va bien 3 séries sur 4 devraient se terminer au niveau avis. Sur les quatre, il y en avait deux qui étaient des mangas en deux tomes, un est en quatre et le dernier est toujours en cours pour le moment. Mais je ne vous en dis pas plus, après tout si vous êtes là c’est pour le tome 2 de Dresseuses de Monstres. Prêt à retrouver le chemin de l’école pour filles de Tatara et nos monstres de toutes tailles ?

« Dresseuses de monstres »

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7€90 – Seinen – 192 pages

Le quotidien suit son cours au club d’élevage de l’école pour filles de Tatara. Sora fait tout d’abord ses retrouvailles avec un monstre qui lui a sauvé la vie étant petite, et en apprendra plus sur les raisons de la froideur de son comportement actuel.

Peu après, un immense Kaiju apparu des profondeurs de la terre menace de détruire l’école tout entière ! Ces tracas sont toujours résolus grâce à la joie et la candeur de nos deux héroïnes, Ion et Sora, et de leurs amies

Le deuxième et dernier tome de la série. Oui, j’aurai pu directement faire un avis général vu que c’était une série courte, mais je n’en avais pas envie. C’est la même chose pour Adam et Eve au fond, résultat j’avance à mon rythme et vous fait, parfois, des petits rappels tout gentillets par rapport à l’un ou l’autre titre. Pour cette fin de mois, je me suis mise en tête de bien me remettre à jour avant de me lancer dans les chroniques de nouvelles séries. C’est faisable tout du moins pour certains titres.

Alors aujourd’hui, nous retournons dans cette douce école où des jeunes demoiselles apprennent à s’occuper de Kaiju dans un club d’élevage. Une école aux cursus différents dont l’un d’entre eux se rapproche de celui que nous connaissant alors que l’autre est lié à ces créatures fascinantes et surprenantes. Une école que Komikku nous a permit de découvrir en sortant les deux tomes de Dresseuses de monstres il y a déjà plusieurs mois. Je vous avais déjà parlé du tome 1, il y a quelque temps, alors n’hésitez pas à aller le lire si vous ne connaissez pas du tout le titre.

Nous retrouvons donc Ion et Sora, notre petit duo d’héroïne se complétant merveilleusement bien, mais pas seulement car les autres personnages féminins ayant prit de l’importance dans le premier tome sont belles et bien de retour pour notre plus grand plaisir. Du côté des Kaiju, notre mascotte préférée est également là, mais elle ne sera pas seule car de nouvelles bouilles apparaîtront dont une liée au passé de Sora.

Parce que oui, ici chacun des êtres humains s’est retrouvé d’une manière ou d’une autre proche d’un Kaiju. Que ce soit lors d’affrontements, de sauvetages ou, tout simplement, par hasard. Ne dites pas que le hasard fait bien les choses vu la frousse qu’ils procurent aux pauvres humains se retrouvant face à eux. Pourtant, ces rencontres peuvent changer le destin de certaines personnes…

Comme vous vous en doutez c’est le cas de certains des personnages que nous connaissons, même si dans certains cas c’est moindre. Ion et Sora ont toute deux été marquée par la présence d’un Kaiju dans leur vie, bien que pour une ce soit la peur qui ait prit le pas alors que l’autre ce sera l’espoir de le revoir, de le remercier.

Et oui, les Kaiju ne sont pas si méchants après tout ! Mais l’espèce humaine est ainsi, si quelque chose de nouveau, d’étrange et pouvant faire d’innombrables dégâts apparaît il sera bien plus simple de tenter de l’abattre afin d’éviter les risques et ce, même, si la créature ne s’avère pas aussi dangereuse que ce que l’on pense aux premiers abords. Les apparences peuvent être trompeuses et l’on s’en rend bien compte dans Dresseuses de Monstres avec certains des Kaiju. Il est même possible qu’un élément semblant anodin à première vue soit bien plus dangereux qu’une grosse créature.

Et le point fort de l’œuvre ressort dans son deuxième et dernier volume également. Ne pas se fier aux apparences, ne pas vouloir forcément utiliser la méthode Terminator et tenter de voir par-delà ce qui nous fait face. Même si cela peut être une créature de la taille d’un immeuble, même si elle n’est pas forcément mignonne ou possède des crocs bien plus puissants que la norme. Est-ce réellement dangereux ?

Bon, d’accord, il se peut que certains soient des dangers publics doublés de maladroits… Mais même dans le règne animal cela arrive que ce soit parmi les prédateurs ou les proies. D’ailleurs, bien que les Kaiju me fassent penser à des animaux, je les vois également bien plus comme l’une des créatures disparues. Des créatures débutant par un D… Comment ça Denver ? Non !!! Enfin si… Mais ce n’est pas le nom réel ! Ce sont les dinosaures qui me viennent à l’esprit même si pas mal d’éléments nous restent inconnus.

Sont-ils réellement morts lorsqu’ils sont sous la forme de pierres ou sont-ils seulement endormit ? Serait-ce plutôt une sorte de protection ? Un moyen comme un autre permettant d’évoluer ? Au vu de certains chapitres, nous pouvons déjà être certains d’une chose : un Kaiju peut changer de forme s’il sort de cet état. Nous savons également, d’après une histoire racontée dans le tome 1, que si un Kaiju meurttout du moins normalement il se transforme en pierre d’où l’appellation « Cimetière de Kaiju » pour un certain lieu.

Les petites histoires présentes dans cette série continuent d’apparaître gentiment sous nos yeux et nous permettent d’en savoir plus sur le passé de certaines des demoiselles ou sur ce qu’il y a eu comme gros événement auparavant. De quoi ? Oui, ce fut violent avant que les pauvres bestioles ne se retrouvent parquées quelque part lorsqu’elles étaient trouvées afin de voir leur dangerosité. Il faut dire qu’elles n’auront pas vraiment eu la chance de montrer dès le départ leur douceur envers l’humanité, vu que les Kaiju ont été malmenés. Vous connaissez beaucoup de créatures qui apprécieraient se prendre des balles ou de l’armement militaire à la figure ? Pas moi en tout cas et non, les Kaiju ne sont pas masos.

D’ailleurs, nous découvrons à la toute fin ce que nos petites héroïnes sont devenues une fois adultes ainsi que la nouvelle génération présente au club d’élevage. Je trouvais l’idée réellement sympathique, même si j’aurais bien aimé passer plus de temps en leur compagnie durant leurs études. Mais au moins la fin en est réellement une et l’on se rend compte que des changements sont encore prêt à apparaître par rapport aux Kaiju grâce à nos petites et adorables héroïnes. La manière de percevoir les « monstres » change, changera et je trouve la morale réellement agréable.

Oui, Dresseuses de Monstres est un manga tout en douceur dans lequel nous ne verrons pas de grands combats digne de Dragon Ball car c’est un tout autre registre. Un registre où le mignon côtoie des créatures très peu connues, un monde proche du nôtre et possédant ses différences suites à l’apparition des Kaiju. De plus jeunes lecteurs pourraient sans souci le lire bien que le message présent, à l’intérieur de l’œuvre, touchera petit et grand. Ne faudrait-il pas apprendre à cohabiter avec toutes les créatures même celles ne nous plaisant pas forcément ? Ne faudrait-il pas voir au-delà des apparences et des ont dit en s’ouvrant à l’inconnu ?

Certes, ce n’est pas simple et encore… Est-ce qu’un enfant mettra forcément ce qui ne lui ressemble pas de côté ? Pas vraiment, en réalité ce sera tout les à côtés qui feront que son image des autres changera, mais à l’origine un enfant est une page blanche prête à toute les découvertes. C’est notre monde, celui des adultes, qui est déjà bien plus fermé au changement et dans Dresseuses de Monstres nous en voyons quelques uns avoir du mal par rapport aux Kaiju, à leurs apparitions ce qui se retrouve dans la génération d’Ion et Sora car la peur de ses créatures restent, malgré tout, présente quelque part et ce même lorsqu’elle est minime. Pourtant, une fois que ses êtres sont vus tels qu’ils sont sans pour autant les mettre sur le haut du podium ou en les considérant tels des créatures inférieures tout se passe bien.

Pour ce qui est des dessins ils restent tout mignons, tout en mettant en avant le côté plus féroce des Kaiju qui peuvent également avoir des côtés adorables. Les différences sont bien présentes du côté des créatures et ce n’est qu’après relecture que je ne me trompe plus entre deux personnages du manga qui possèdent, malheureusement, une coupe de cheveux relativement identique malgré leurs différences d’âge. Hormis ce petit détail, je les apprécie réellement surtout lorsque l’on aperçoit les décors ou, justement, nos chers Kaiju possédant chacun sa manière d’être, de vivre et son tempérament.

La traduction ne m’a posé aucun problème, ayant lu et relu le manga sans aucune difficulté ou mot de vocabulaire incompréhensif. C’était un vrai régal. Du côté de l’édition de Komikku sur le travail de Mujirushi Shimazaki c’était, comme souvent avec cette maison d’édition, un doux plaisir de tourner les pages et de les découvrir. Vraiment, mon seul regret sera la taille de la série bien qu’elle nous permette de voir l’évolution d’Ion et Sora ainsi que celle des autres. En cas de petites périodes plus sombres, ce manga sera un petit rayon de soleil à sa manière et je ne me gênerai pas pour le relire.

Et voilà, nous nous laissons finalement sur la fin de cette courte et douce série qui m’aura tout de même donné le sourire et envie d’entrer dans cette école afin de rejoindre le club d’Ion et Sora. J’ai vraiment apprécié en découvrir toujours un peu plus sur les Kaiju, les personnages, même si j’aurai voulu en savoir plus comme très souvent et je remercie le moment où je retirais la jaquette pour de plus amples informations apparaissant en-dessous. Une jolie et douce surprise sur laquelle je reviendrai sûrement une dernière fois plus tard lors de l’avis général.

Et vous les matous, avez-vous lu ce titre ? Aimeriez-vous vivre dans un monde où de grosses créatures peuvent apparaître tranquillement ? Seriez-vous plutôt enclin à tenter de cohabiter ou plutôt pour la destruction massive de ces êtres n’ayant rien demandé ?

 

Site de l’éditeur – Extrait

Le petit journal nekoien #13

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Elias et un oiseau de feu – The Ancient Magus Bride

Coucou les matous ! Comment allez-vous en cette soirée ? Oui, je poste souvent dans la même tranche horaire ces derniers temps, mais cela s’avère également habituel au fond. Après tout c’était déjà ainsi au début du blog, on retrouve nos bonnes vieilles habitudes en soi ! Prêt à découvrir ce que cette semaine m’aura réservé ?

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« La chouette s’envola, hululant dans la nuit et battant des ailes jusqu’au château de l’oubli. »

 

« Formations et préparation » De quoi ? Encore ? Et oui ! Entre celle en jobcoaching et celle en HTML5, j’ai pas mal à faire en soi ce qui fait que je n’ai pas le temps de m’ennuyer. Il fallait aussi que je me prépare pour le test écrit que je passe demain par rapport à ma quête d’un travail… Allez, 60% c’est faisable ! De quoi ? Oui je stresse pour demain !!! C’est plus fort que moi…

« Farfouillage » Les rares fois où je me suis rendue au magasin, j’ai fouillé. Encore et encore avant de repartir avec quelques petites bricoles pour pas cher du tout. Mon stock de perles à repasser a bien augmenté tout comme mes DVD Disney pour mon plus grand plaisir et ce à tout petit prix. Comme toujours je suis rapidement passée à la librairie et ne suis pas repartie avec grand-chose bien que le titre choisi me fera plus que probablement passer un bon moment : les tomes 3 et 4 de Great Teacher Onizuka.

« Réflexion » Sur quoi ? Et bien ce qu’il me reste à faire dans ma chambre… Pas mal de petits trucs par-ci par-là dont de la peinture. Du rangement aussi parce que je vis dans un New York en piles de livres… Tout du moins si j’avais la taille d’un playmobile ce serait New York vu la taille de mes piles rivalisant avec des buildings.

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«  Elle se posa sur le rebord d’une fenêtre et scruta les lieux avant d’y entrer. »

 

« No name » Encore un texte sans titre, ça m’arrive souvent au fond lorsque j’écris… Le titre me viendra probablement plus tard. Ici, nous découvrons un enfant qui désire rejoindre un endroit considéré comme légendaire, malheureusement rien ne se passera comme prévu et il n’aura pas une fin joyeuse. Pourtant, cela permettra la naissance d’un petit être pour le moins surprenant : Un Anifant. Un enfant animal aux ailes en forme de pétale de fleur. En cours ?
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«  Ses ailes la portèrent jusqu’à une porte entrouverte d’où émanait différents sons. »

 

« L’ère des cristaux » Je l’ai enfin continué ! Et bon sang… J’accroche de plus en plus au fil des épisodes tout en m’habituant au style graphique que je trouve de plus en plus fluide également. N’ayant pas lu le manga, je ne sais pas du tout à quoi m’attendre et chaque épisode est une découverte du point de vue de l’histoire et du character design. Vivement la suite !  Vu 6 épisodes ; ADN

 

« Princess Jellyfish » Un anime que beaucoup doivent déjà connaître, mais que je débute seulement. Il existe également sous format manga, mais je ne l’ai pas lu non plus… Le premier épisode est réellement plaisant et je ne me suis pas ennuyée une seule seconde. Je me demande comment j’ai fait pour passer à côté…  Nous y découvrons Tsukimi, une demoiselle fan des méduses depuis qu’elle a visité un aquarium avec sa mère, venue habiter à Tokyo dans la résidence Amamizu. Cette dernière est peuplée de jeunes filles « otaku » comme notre héroïne. Et bien, je me suis bien accrochée à notre petite Tsukimi et j’ai eu un doux sourire face aux différents personnages apparaissant, même face à cette « jeune fille » bien extravagante apparaissant pour lui venir en aide. Hâte de me lancer dans la suite.  Vu 1 épisodes ; ADN

« Recovery of an MMO Junkie » Je continue gentiment cet anime se déroulant dans un MMO et dans la vraie vie car c’est réellement un petit bonbon au quotidien. Je passe un bon moment en suivant les différentes relations apparaissant que ce soit In Game ou dans la vraie vie. Il me redonne également le sourire lorsque j’ai de jolis coups de pompe. Je me demande vraiment jusqu’où nous irons et comment tout cela évoluera suite à certaines « révélations » que nous, nous savions déjà, mais pas pour Moriko ou Sakurai à l’origine. Vu 6 épisodes ; Crunchyroll
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« Et elle fini par apercevoir de nombreux petits lutins, tous en train d’emballer d’innombrables paquets. »

« GranBlue Fantasy » Encore et toujours, parce qu’il est sacrément prenant ce jeu ! Je tente désespérément d’avoir le quatuor d’arc afin d’Uncap celui de l’évent à fond avant de tenter d’acquérir le personnage… Même s’il semble que cela ne soit pas simple du tout. A côté, mes personnages augmentent petit à petit de niveau tout comme mes armes, mais je continue de taper comme une mouche comparé à d’autres personnes. Allez… Cela finira par s’arranger au fil du temps, de la montée de niveau.


Et… ce sera tout pour le petit journal de la semaine s’étant écoulée ! Je suis assez contente malgré tout ce que j’ai fait et de tout ce que j’ai apprit… Même si là, j’ai bien besoin de repos ahah. Cela fera un bien fou de me poser un peu par après. Peut-être faire des perles à repasser ? Cela ne me fera pas de mal je pense !

Comme toujours, n’hésitez pas à donner vos avis par rapport à l’article et à me dire ce que je pourrai ajouter pour l’améliorer si une petite idée vous vient. Tout est possible et je suis preneuse pour tout ce qui vous viendrait à l’esprit. Enfin… Tout en restant raisonnable bien sûr ! Sur ce, passez une belle nouvelle semaine emplie de découvertes, nouveautés, joies, bonheurs et lectures bien entendu !

Et vous les matous, comment s’est déroulée votre semaine ? Y a-t-il eu une activité que vous avez découverte ? Allez-vous bien ? Voulez-vous des cookies tout chaud et remplit d’amour ?

Adam et Eve – Tome 1

Coucou les matous, comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ma part, j’ai un peu plus la forme ! Si vous l’avez lu dans mon petit journal nekoien, j’étais assez fatiguée durant la semaine précédente, mais c’est passé. Pour le moment du moins. Juste le temps de bien m’organiser ce qui s’est fait relativement rapidement au final…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un titre récent des éditions Kazé réceptionné juste avant le week-end pour ma part. Je remercie, d’ailleurs, Kazé et Anita pour l’envoi (et les petits magnets ♥) me permettant de découvrir le titre et de vous en parler assez rapidement. Si vous désirez d’autres avis, Xander et Thiboutsu en ont parlé sur leurs blogs respectifs. Mais assez tergiversé, voulez-vous les matous, parce que nous n’allons pas dans un univers Bisounours. Attention, public averti seulement pour cet univers, veuillez camoufler les yeux des jeunes matous !

« Adam et Eve »

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8€29 – Seinen – 240 pages

Dans un luxueux club privé, sept yakuzas se sont retrouvés en secret. Sept chefs de clan puissants qui ont réussi à dépasser les querelles pour tenter de rénover le monde décadent de la pègre japonaise. Mais leur réunion va être interrompue par deux invités inattendus. Deux êtres invisibles dont seul est perceptible le bruit des pas… et une odeur de violence extrême !

Une invisible soif de sang emplit doucement l’air…

Bah Neko, pourquoi tu ne fais pas un avis général directement ? Tout simplement parce qu’il est aussi en cours d’écriture les matous. Puis vous savez parfaitement que je ne fais rien normalement depuis le temps. D’ailleurs, j’en profite pour remercier tout ceux qui ont répondu au sondage même si une belle égalité est apparue, ahah, peut-être qu’un deuxième round arrivera prochainement avec seulement les deux choix pour voir celui qui sera numéro 1 à vos yeux.

Aujourd’hui, nous sommes au Japon – normal d’une certaine manière – au milieu d’un monde devant être évité par les enfants. Je le répète, ce manga est pour un public averti et sera réellement sanglant alors faite tout de même attention si vous avez du mal avec ce genre de lecture. Pour ceux qui sont encore là, reprenons. Nous nous trouvons précisément dans un club privé en compagnie de sept yakuzas ne se trouvant pas au plus bas de l’échelle. Non, non, ce sont des éléments relativement importants aux capacités pouvant s’avérée hors norme et aux habitudes pouvant s’avérer surprenantes.

Nous nous attarderons bien plus sur Smell, l’un des yakuza présent dans la pièce. Son nom ou surnom – vous donne déjà une indication sur le sens qu’il maîtrise le plus si vous parlez ou comprenez un peu l’anglais. Cela ne sera pas le cas pour d’autres personnages, mais ces derniers peuvent nous diriger vers des arrondissements, des lieux purement japonais ou être relativement commun. Tout du moins si l’on part de l’idée que ce ne sont pas leurs véritables noms. Smell et ses compagnonsainsi que les demoiselles présentessont tous différents sur bien des points…

Le physique d’une part, chacun ayant son propre design et ses caractéristiques propres. Les apparences peuvent être également trompeuses à leurs manières si l’on omet le fait que nous faisons face à des yakuzas… Parce que non, en pleine rue mon cerveau ne me hurlerait pas de me méfier de certains des protagonistes aperçus. Ils se fondraient sans trop de difficulté dans une foule si l’on ne sait pas qui ils sont. Bien sûr, certaines personnes sauraient les reconnaître ce qui est tout à fait logique.

D’autre part, il y a le caractère. Smell et Minato par exemple ne sont pas du tout identique par rapport à cela et c’est pareil pour les autres. Chacun possède également ses manies, ses « lubies » d’une certaine manière et également habitudes. Vous vous doutez que celui ayant la vue parmi ses sens les plus poussé ne réagira pas de la même manière que l’ouïe, l’odorat, le goût ou le toucher. De quoi ? Ils sont 7 et il y a 5 sens ? Certes, certes, mais en êtes-vous certain ? Totalement ? Et bien non. Parce que oui, certaines personnes parlent de bien plus de sens pouvant être présent en un humain, mais certains seraient moins utilisés que d’autres. Vous l’aurez comprit, sept personnes pourraient très bien être en réalité sept sens très différents, mais quel serait le septième ? C’est une très bonne question… Pour le moment, je vais rester à l’homme lambda ne m’étant pas assez renseignée sur tout ça et cela me paraît plus cohérent par rapport à ce que l’on voit de lui.

Nous découvrons donc, dans ce premier volume, le petit groupe et son but initial ainsi que la raison faisant que des femmes s’y trouvent également. Certes, elles ont les yeux bandés mais elles entendent tout ce qui pourrait être un risque conséquent pour de telles personnes. Nous allons d’ailleurs bien rapidement savoir ce qu’il advient de celles ayant osé parler de ce qu’elles ont entendu, voire le sort qu’il leur est réservé. A côté de cela, leur présence n’est pas non plus anodine vu que nos personnages ne sont pas des êtres tout blancs. Ne vous attendez donc pas à de simples personnes se trouvant dans ce club seulement dans le but de combler l’espace, car ce n’est pas le cas. Attouchements, coups et autres joyeusetés peuvent arriver aisément. Mais il n’y a pas que nos camarades et les demoiselles que nous découvrons car deux autres prennent place dès le début. Des êtres… que je pensais n’être que des chaussures au début.

Oui, c’est original… Heureusement, on découvre assez vite – et cela parait logique vu le moyen de locomotion utilisé – qu’ils ne sont pas que des chaussures. Mais que sont-ils alors ? La réponse vous parvient facilement durant la lecture du volume ou la lecture du résumé. Des êtres invisibles. Mais que veulent-ils ? Seulement tuer ? Ces questions se posent aisément vu ce qu’il se passe en huis clôt.

Parce que oui, le lieu où nous nous trouvons est essentiellement le club privé bien que nous découvrions – au tout début – la rue toute proche. Un club que nous voyons autant grâce à la vue du dessus que de la manière traditionnelle ce qui nous permet de visualiser sans difficulté les positions de chacun et, par la suite, de nous faire une idée fiable de leurs physiques et personnalités. Et tout ce que nous découvrirons sera… Dans le club. Adieu la rue et le couloir dans ce premier volume dès que ces endroits seront passés et bonjour la salle où se trouve tout ce joli monde.

Une salle dans laquelle l’ambiance changera aisément au fil des pages, des réactions et des désirs. Elle évolue à sa manière au fil du temps et nous mène vers la fin possible, vers ce qui attend chacun d’eux d’une façon ou d’une autre. La vue du dessus nous permettra, sans difficulté, de voir l’évolution et la disposition de certains personnages dans cette salle où la vie ne tient qu’à un fil. D’ailleurs, cette partie en huis clôt est celle que j’ai préféré durant ma lecture grâce aux diverses découvertes effectuées, aux sensations présentes et au fait que l’on entre réellement sans trop de difficulté dans ce qui nous attends.

Le temps mort ? Pas tout à fait. Certes, il arrive que certaines scènes soient un peu plus calmes, mais nous ne nous ennuyons jamais. D’une part parce que ce « calme » n’est que relatif et permet d’en apprendre plus sur l’un ou l’autre des personnages et d’autre part parce que ce sont aussi des moments plutôt explicatifs par rapport à l’odorat de Smell ou l’un des autres sens exacerbés présent dans la pièce.

Du côté des dessins, ils sont très expressifs et relativement réalistes. Il est très difficile de ne pas comprendre ce qu’il se passe ou s’est passé dans le cas où notre cerveau aurait décidé d’oublier quelques scènes. Oui, oui, cela arrive de temps en temps. Peut importe les scènes nous faisant face, il y aura toujours un élément nous faisant comprendre ce qu’il y a eu. On se retrouve, sans difficulté, immergé au milieu de nos yakuzas et des diverses scènes présentes. Tout du moins, je n’ai eu aucun mal pour ma part de m’y retrouver et tant mieux !

Au niveau de la traduction, je n’ai lu aucune boulette ce qui est relativement appréciable lorsque l’on se trouve immergé dans ce tome en huis clôt. Du côté de l’édition, elle reste fidèle à ce que fait habituellement les éditions Kazé et nous permet de transporter le manga partout avec nous en cas de besoin. Par contre, ne tenter pas de le faire entrer de force dans une boite aux lettres – Oui, le facteur a essayé… alors que la dite boite était déjà remplie – car il aura beaucoup plus de difficulté pour survivre sur le coup. Pas de casse pour ma part, heureusement, même si c’est un réel coup de chance sur le coup vu le pliage exercé. Pour ce qui est du papier, il est dans la lignée des autres mangas de Kazé évitant de découvrir ce qu’il se passe par après tout en gardant gentiment son encre. Non, cette dernière n’a pas fini en marre sur une page ou sur mes doigts tout comme elle n’a pas disparu des bulles.

Vous l’aurez sûrement comprit, ce premier tome nous permet une immersion dans le huis clôt présent sans aucun problème. Certes, il ne faudra pas le remettre à quelqu’un de plus fragile ou de trop jeune suite, justement, à certaines des scènes présentes, mais il reste réellement agréable si l’on passe outre… Et que le sang ne nous met pas mal à l’aise. De préférence, il est à lire en compagnie du tome 2. Ce fut malgré tout une très bonne découverte qui m’aura réellement surprise et que j’ai déjà relu deux fois. 

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ? Y a-t-il un sens que vous préférez naturellement ?

 

Site de l’éditeurExtrait

Les achats du mois d’Octobre

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux ! Pour ma part, je suis un peu – beaucoup – fatiguée ces derniers jours, mais cela finira par aller mieux. Comme tous les débuts de mois, je vous entraîne dans Les achats du mois de… Prêt à découvrir les titres arrivés dans le courant du mois d’octobre, les matous errants ?

Service Presse :

Riku-Do La rage aux poingsTome 5 [Kazé]

Fire PunchTome 3 [Kazé]

Wonder Woman – Warbringer [Bayard]

Des deux services presses lu pour le moment – Wonder Woman étant en court de lecture – je dois avouer ne pas avoir eu de déception. Riku-Do reste un agréable coup de cœur à découvrir au fil du temps, mais Fire Punch est une série à laquelle j’accroche de plus en plus. Je vous parle au plus vite du roman Wonder Woman les matous !

 

Nouveauté :

Les quatre filles du Docteur March [Belgique Loisirs]

L’Hayden – Tome 1 : Le secret d’Eli [Belgique Loisirs – Nouvelles plumes]

Your Name – Roman [Pika]

FûkaTome 1 [Pika]

Les brigades immunitaires – Tome 1 [Pika]

Ikumen AfterTome 1 [Taifu]

Le Cortège des cent démons – Tome 1 à 6 [Doki-Doki] Terminée

 

Un petit loot déjà dévoré en soi ! Trois petits coup de cœur et principalement de belles découvertes dont je vous parlerai dès que possible soit en tome par tome soit… En avis général. Non, non ces derniers n’ont pas disparu, mais comme je rattrapais mes retards pour les mangas précédents j’avais préféré les mettre un peu de côté le temps d’être bien à jour.

 

Suites :

Bungô Stray Dogs – Tomes 3 ; 4 & 5 [Ototo]

The Rising of the Shield Hero – Tome 6 [Doki-Doki] (Offert par Thiboutsu)

DanMachi – Tome 4 [Ofelbe]

 

Toujours un vrai coup de cœur pour The Rising of the Shield Hero, mais j’accroche toujours autant aux deux autres titres. DanMachi avance réellement bien dans sa version Light Novel et cela fait plaisir de s’en rendre compte au fil des pages. Pareil pour Bungô Stray Dogs qui reste un régal à lire. Je vous parlerai des tomes 1 (hormis pour DanMachi vu que c’est déjà fait) et du tome 4 prochainement !

 

DVD :

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Mushishi – Coffret Gold [Black Box]

 

Une seule arrivée niveau DVD, mais un joli coffret que je cherchais depuis un moment alors lorsqu’il est apparu dans mon champ de vision à la Retro MIA j’ai sauté sur l’occasion. Je n’ai pas encore eu l’opportunité de me lancer dans son visionnage, mais j’ai réellement hâte !

 

 

Goodies :

 

Marque-pages – 3 de Sword Art Online aux illustrations différentes ; Spice and Wolf ; Bungô Stray Dogs (inclus avec le manga) [Ototo]

Poster – Fate/Apocrypha [Ototo]

Peluche – Moyen Totoro avec une noireaude [Mon voisin Totoro] ; Pingouin

Charms – Sailor Mercury [Sailor Moon] ; ??? [Naruto] ; Kirby [Kirby]

 

Pas mal de petits goodies se sont ajoutés à la maison et… Et non je ne connais pas le nom du pauvre personnage de Naruto que j’ai eu en charms… Pour une obscure raison j’ai un souci avec les noms des personnages de ce manga. Dès que je l’aurai trouvé je modifierai ces petits points d’interrogation. Mis à part cela, je suis réellement ravie des différents loots réalisés lors de la Retro MIA (Encore et toujours ahah) Bon, il va tout de même falloir que je me trouve vraiment un moyen de ranger mes marque-pages par contre >.< Une pile c’est bien, mais avoir un visuel directement c’est mieux.

 

Autres :

 

Mochis – A la pâte de haricot rouge, à la fraise et à la myrtille.

Sac – Un petit sac rose foncé version fraise lapin.

Bric à brac – Mitaines ; Fer à repasser ; Perles à repasser.

Oui, je déteste le rose de base, mais le petit sac était juste trop mignon… J’avoue c’était un craquage, mais vous savez ma manie de craquer sur ce qui est chou à force TwT Pour le reste, de la nourriture achetée à la Retro MIA, un début de préparation pour l’hiver et du matos pour m’amuser avec les perles à repasser ~ (Oui, le fer à repasser compte dans le matos. Disons que sortir une centrale vapeur un peu trop souvent aurait fini par me rendre folle xD)


Mis à part tout cela, la lecture commune du mois était sur le tome 1 de Yona – Princesse de l’Aube, mais pas seulement vu que La Clé d’Oriane et un Recueil de poèmes et rêveries ont pointé le bout de le nez au niveau des « romans ». Au niveau des mangas le tome 6 de Platinum End a fini par apparaître également et permet une belle remontée du titre ainsi que l’avis sur le tome 1 de Magi.


Futurs achats :

Ils n’ont pas vraiment changé hormis que je compte bien prendre le coffret du Mari de mon frère directement plutôt que d’y aller tome par tome. Un peu comme je l’avais fait avec Orange finalement. Bien entendu, ils ne sont pas tous là sinon la liste serait beaucoup trop longue… Et puis il y a les suites que je dois toujours acquérir également en bonne retardataire que je suis ! Pas mal à faire, en soi 🙂

Et voilà, l’article est déjà terminé pour ce mois. Il ne restera plus qu’a attendre la fin du mois de novembre. Je ne sais pas du tout quels seront les achats sur le coup, mais je verrai bien au fil des jours, des vagabondages possibles et de ce qui arrivera pardi ! Je vous souhaite à tous un très bon mois de novembre, de jolis achats et de belles découvertes 🙂 A bientôt, les matous !

Et vous les matous, quels ont été vos achats ? Y a-t-il eu une de jolies découvertes ? Savez-vous ce que vous allez déjà acheter ?

Fire Punch – Tome 3

Hey les matous ! Comment allez-vous ? Oui, je sais ça fait un moment que je n’ai pas posté cette semaine… En fait, depuis le petit journal nekoien de lundi. Rahlala… Et le pire là dedans ? C’est que le problème majeur fut le clavier cette fois… Ce n’est pas simple d’écrire quand certaines lettres ne répondent plus et il est encore plus difficile de se connecter quelque part quand les chiffres vous envoient aux oubliettes alors qu’on en a bien sûr besoin. Mais c’est, normalement, réglé à présent !

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un titre dont Xander et Thiboutsu ainsi qu’Euphox ont déjà parlé sur leurs blogs respectifs durant ma douce galère. Je remercie joyeusement – et avec un petit feu – les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce troisième volume. N’oubliez pas votre doudoune, vos chaufferettes et tout ce que vous trouverez pour vous tenir chaud durant le voyage et sans tarder je vous entraîne dans cet univers glacial !

« Fire Punch »

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7€99 – Seinen – 192 pages

Fidèle aux instructions de Togata, Agni se dirige vers Behemdolg où il espère enfin retrouver et éliminer Doma. En fait, la réalisatrice l’a entraîné dans un piège qu’elle a orchestré. Elle a réuni un groupe de puissants élus chargés de tuer Agni. Mais dans les sous-sols de la ville, ce dernier bouleverse le scénario de la réalisatrice désaxée !

Et on est reparti dans le froid du monde d’Agni, un froid provenant d’une nouvelle ère glaciaire comme nous l’avions apprit dans le précédent, mais est-ce que la sorcière de glace n’y est réellement pour rien ? La question restera en suspend encore pour un petit moment en tout cas, car ce n’est pas sur la température exceptionnellement froide de cet univers que nous ouvrons le troisième volume, mais pour retrouver Agni dans sa quête de vengeance envers Doma. Le tuera-t-il ? Le retrouvera-t-il une nouvelle fois ? Que se passera-t-il par rapport à ce que nous avions découvert durant le deuxième tome ?

Que de questions les matous… Et bien entendu nous avons au moins quelques réponses durant la lecture de ce volume, certes bien moins « trash » que les précédents, mais toujours emplit de moments bien plus violents. Et je doute de m’être habituée au fil des tomes, me connaissant, cela signifie donc bel et bien qu’il était beaucoup moins rude que les deux précédents. Certes, des combats nous en avons toujours – Et on comprend bel et bien les raisons poussant Sun à voir Agni comme un dieu vu tout ce qu’il supporte -, mais nous retrouvons également quelques séquences émotions liées à un certain personnage que nous connaissions déjà.

Non, ne comptez pas sur moi pour en dire plus. Pas que ce sera un très gros spoil, mais cela vous mettrait un peu trop la puce à l’oreille par rapport à la suite et aux diverses possibilités pouvant apparaître. Qui ne tente pas de deviner ce qu’il se passera par rapport aux éléments laissés dans les volumes précédents ou par rapport aux indices pouvant être disséminés dans les avis après tout ? Je suis certaine de ne pas être la seule tout comme d’autres lisent les avis des tomes sans avoir forcément lu ceux-ci afin de voir comment le titre avance.

Mais revenons-en au tome 3, sinon je vais encore partir dans tous les sens. L’histoire continue son avancée, laisse apparaître de nouvelles pistes sur ce que la suite pourrait donner tout en permettant l’apparition de nouvelles têtes. Chaque élément prend place, petit à petit, tout comme certains liens, certaines envies, la psychologie même des personnages. Après tout on savait déjà que Togata était réellement attirée par le cinéma au point de devenir la réalisatrice de son propre film sans pour autant hésiter de se mouiller les mains. Que ce soit pour venir en aide au héros ou… pour lui mettre des bâtons dans les roues si l’on se fiait à la fin du tome précédent. Chaque acte possède son importance, son impact tout comme les paroles et les désirs.

Et cela se verra merveilleusement bien avec Agni, personnage avec lequel j’avais du mal au début de l’aventure Fire Punch et que je commence enfin à apprécier. Certes, il m’aura fallu trois tomes, mais c’est enfin présent ce petit attachement envers notre héros enflammé sans peur et sans reproche brûlant de vengeance. Cela reste, malgré tout un personnage emplit d’espoir et qui finira par faire ses choix malgré l’opposition pouvant être présente non loin de lui. Parce que tout le monde ne sera pas forcément du même avis pour telle ou telle action, cela serait trop beau. Cela se remarque, par exemple, avec Togata qui voudra tout de même que son film suive le « script » qu’elle avait en tête… Comment dire que l’acteur principal ne sera pas réellement en accord sur le moment.

Bribes du passé, phrases marquant l’esprit malgré tout, cela marque notre grand Agni surtout lorsque cela touche de près ou de loin à sa sœur. Et l’un des personnages apparu précédemment ressemblant énormément à celle-ci, cela peut poser quelques petits soucis dira-t-on même si un tout petit élément arrivant plus tard pourrait chambouler certaines choses. Mais même si le passé est très présent, ne faut-il pas non plus se concentrer sur le présent tout en gardant en mémoire les faits et ce que l’on était ?

Certes, l’univers est rude et réellement sombre, mais tous les hommes doivent-ils réagirent de la même manière ? Doivent-ils tous suivre les instincts les plus sombres de leurs personnalités ou de l’humanité ? Doit-on réellement être ce que les autres veulent que l’on soit ? Oui, ce sont des questions pouvant apparaître dans d’autres univers ou dans notre réalité, mais elles se posent également merveilleusement bien durant la lecture de Fire Punch.

Comme dit, il y a d’autres personnages qui pointent le bout de leurs nez et de leurs doudounes. Comment ça, ils ne portent pas forcément de doudounes ? Et alors ? Ils apparaissent, c’est le plus important. Et c’est justement grâce à l’une des apparitions que je me dis que nous en découvrirons plus sur celle qui aurait plongé le monde dans une ère glaciaire qui seraitfinalement tout à fait naturelle. Le fin mot de cette température glaciale arrivera-t-il un jour ? Sûrement, mais pas tout de suite et nous suivrons la logique scientifique pour le moment : C’est un événement naturel ayant décidé de revenir. Même si un élu ayant un pouvoir lié au froid doit bel et bien exister, même si ce genre de pouvoir doit être plutôt bien puissant, l’est-il réellement pour plonger la planète entière dans cet état ? Peut-être, peut-être pas et pour cela il faudra attendre la suite de l’histoire pour en être totalement certain. Pour ce qui est de l’autre personnage, il semble également relativement importantet légèrement perché… mais ça c’est habituel je croiset pourrait nous réserver pas mal de surprise dans les tomes suivants.

Parce que oui, sciences et faits moins conventionnels coexistent, après tout les élus peuvent utiliser le feu, l’électricité, être immortel et j’en passe (Regroupez une bonne partie des pouvoirs existant dans les différents films et livres… On a du choix) pourtant, on remarquera qu’il y a toujours des éléments présents de nos époques. Les armes à feu par exemple, mais également des éléments liés aux tenues, même à certains métiers pouvant être exploités pour d’autres choses au moment de l’histoire, et j’en passe. Ils savent les utiliser et n’hésitent d’ailleurs pas pour se défendre, se protéger ou que sais-je encore. Nous avons donc des capacités hors du communpour nous du moinset des objets que l’on reconnaîtrait sans trop de difficulté si nous nous y trouvions, voire que l’on serait capable d’employer, de réparer dans certains cas, ce qui n’est pas prêt d’arriver… Tout du moins espérons-le !

 

Du côté des dessins et bien… Ils sont dans la lignée des précédents. Ils n’ont pas énormément changés, mais retranscrivent sans souci certaines émotions, les pouvoirs, les véhicules ou les armes ainsi que les personnages reconnaissables sans trop de difficulté non plus. Je me suis bien attachée à Neneth – et j’apprécie toujours autant le petit Sun… Qui n’a pas de chance quand on y pense – malgré qu’ils apparaissent peu dans ce volume et j’apprécie me perdre dans les étendues enneigées… Comment ça, ce n’est qu’une image ? Oui, mais ça n’empêche !

Bien que ce tome fut moins radical que le secondun certain personnage ayant prit le manga en otage à ce moment làil n’en reste pas moins dans la logique de ceux l’ayant précédés. D’ailleurs, nous ne faisons pas de surplace dans l’histoire vu que celle-ci avance tout comme les personnages et je me demande ce que donnera la suite, la manière dont elle évoluera car l’on se rend facilement compte que les personnages restent fidèles – d’une manière ou d’une autre – à eux-mêmes malgré les épreuves ou finissent par se « retrouver », à redevenir ce qu’ils sont réellement. Coquilles vides ? Non, pas de ça ici car au final même ceux s’étant « perdus » finissent par croire en quelque chose, se rattacher à un élément, être ce qu’ils étaient ou devraient être. Un humain en somme, un être fait de qualités et de défauts, un être pouvant se tromper, faire des erreurs, mais ayant également la possibilité de suivre le chemin qu’il désire et ce même si tous n’auront pas une fin heureuse.

Mais n’est-ce pas ça, être un humain ? Nous pouvons avancer, trébucher, nous tromper, nous relever, croire en quelque chose et ensuite en une autre, faire demi-tour, nous perdre et nous retrouver. Nous pouvons donner notre confiance en un être, la lui retirer, ne pas être tout à fait sûr de qui suivre, de si nous devons écouter notre cœur, nos peurs, notre tête ou nos envies. Il y a tant d’humains, tant d’êtres différents et ces différences apparaissent, finalement, au fil des rencontres que nous faisons avec les personnages. Des personnages pouvant parfois s’avérer surprenant, des personnages aux espoirs pouvant se retrouver ensemble et finir par tenir tête à d’autres personnes malgré les risques.

Enfin, je parlerai rapidement de l’édition qui reste tout à fait identique aux précédentes. La couverture est réellement jolieà mes yeuxdans ses teintes claires et pour une obscure raison j’étais surprise de voir ce personnage sur celle-ci avant de lire ce tome. Une fois lu, la raison est évidente vu la manière dont est présent le personnage ici et je me demande qui sera le prochain à avoir sa place sur le devant de la scène… Et non, je ne suis pas partie voir les suivantes et j’ai une mémoire de poisson rouge alors me connaissant j’oublierai plus que probablement qui sera là dans la suite. C’est ainsi et je fais avec ! Pour ce qui est de la traduction, c’est toujours un régal de lire les dialogues sans tomber sur des erreurs un peu partout et au niveau du papier, il n’est ni trop fin, ni trop épais évitant de voir par-dessous et restant agréable au toucher.

Sur ce, je pense que vous l’aurez comprit que ce troisième tome de Fire Punch fut bien agréable à découvrir et bien moins rude – même si à sa manière il l’était – que ceux l’ayant précédé. Comme vous l’avez lu, j’ai enfin fini par m’attacher à Agni et tant mieux au fond parce que c’est rude lorsque l’on ne tient pas réellement au personnage que l’on suit. C’est enfin chose faite et à présent j’attends avec impatience de découvrir la suite, de voir ce que ce monde glacial et aux mœurs bien plus radicaux que les nôtres nous réserve. Bonnes ou mauvaises surprises ? Nous ne le saurons que… Plus tard !

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Où en êtes-vous dans la série ? Y a-t-il un personnage que vous préférez ou un tome ? Préféreriez-vous être un élu ou un humain lambda tentant de survivre comme il peut ?

 

Site de l’éditeur – Extrait – Minisite – Interview de l’auteur

Riku-Do – La rage aux poings – Tome 5

Coucou les matous, comment allez-vous en ce mercredi ? Bien ? Tant mieux alors ! J’espère que tout se passe bien par chez vous et vous envoie tout plein de bonnes ondes de joie et de bonne humeur ! Suite à diverses activités non prévues hier, cet article ne sort qu’aujourd’hui, mais ce n’est pas trop grave au fond…

Vous devinez vers quoi je vous entraîne ? Un titre sortant aujourd’hui et dont Thiboutsu et Xander ont parlé hier. Une nouvelle fois, je remercie grandement les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce cinquième volume très sportif. Prêt à retrouver vos gants de boxe ?

« Riku-Do – La rage aux poings »

rikudo

7€99 – Seinen – 192 pages

Sorti vainqueur de son combat contre Tsuwabuki, Riku doit désormais affronter le redoutable Hyôdo. Fils de boxeur professionnel et doté de capacités hors du commun, ce dernier connaît tous les arcanes du monde de la boxe. Face à un adversaire aussi avantagé, Riku parviendra-t-il à surmonter ses faiblesses pour remporter le East Rookie King ?

Mais dans quoi va nous entraîner ce cinquième volume les matous ? Et bien… Droit vers l’affrontement contre Hyôdo pardi !! Il fallait bien que cela arrive un jour et nous retrouvons le jeune homme prêt à affronter Riku. Et cela se remarque bien au fil des pages. Mais avant cela, l’entraînement est de rigueur, comme d’habitude, tout comme les différents dialogues entre personnages. Ce serait triste s’ils restaient tous dans leurs coins quand même…

D’un côté nous avons Riku, le garçon continuant de s’entraîner inlassablement à la boxe depuis que Tokorozawa le lui à apprit. De l’autre, Hyôdo fils de boxeur et baignant dans le milieu depuis son enfance. Deux êtres d’une même génération, deux êtres pouvant pourtant être à des opposés par rapport à leur niveau dans ce sport l’un se faisant découvrir alors que l’autre est déjà reconnu par ses pairs. Mais tout deux attirent l’attention, à leur manière, et s’intéressent à l’autre. Bonne ou mauvaise chose ? Attirer l’attention de son rival n’est pas toujours quelque chose à prendre à la légère.

Surtout quand ce rival est l’un des personnages me mettant étrangement mal à l’aise… Oui, Hyôdo ne me rassure pas et alors ? Cela ne vous arrive jamais, vous, de vous dire qu’il y a un truc louche par rapport à un personnage ? Et bien pour moi c’est tombé sur ce malheureux… Pas si malheureux au fond. Même si une certaine scène m’aura mise mal à l’aise… Mais c’est juste une simple petite action de rien du tout pour laquelle j’ai du mal, déjà, IRL alors sur papier… C’était pareil.

Bref ! Revenons à notre duo et non pas à leurs actes – même si ceux-ci comptent malgré tout – sinon je vais encore partir dans tous les sens. Riku continue d’avancer, sous nos yeux, tout en prenant des coups, en faisant des erreurs et en réfléchissant sur certaines de ses actions quant à Hyôdo… On le découvre réellement dans ce volume avec sa manière d’être en compagnie d’autrui, ses désirs et son niveau. Bien entendu, ils ne sont pas les seuls à continuer d’être présent vu que Tokorozawa l’est également tel que le coach de Riku ou les divers personnages que nous rencontrions ultérieurement. Pas tous, certes, sinon cela serait énorme, mais une bonne majorité.

Chacun ayant une importance dans la vie de notre héros – Riku pour ceux s’étant perdus en lui permettant d’avancer, de se rendre compte de ses erreurs, de comprendre certaines choses également. La vie normale en soi, même si nous ne boxons fort heureusement pas tous et ne vivons pas la même vie que Riku. Une vie pleine de combats… Mis à part cela, nous en découvrons toujours plus par rapport à certains personnages – Tokorazawa par exemple – au point de voir quelques pans d’événements se déroulant à des endroits où ne se trouvent pas directement Riku. Et non, il ne peut pas être partout. Ce qui nous permet, sans trop de difficulté, de nous rendre compte de l’attachement de certains personnages pour lui.

Des attachements relativement différents en soi vu que chacun d’entre eux le voient de manières différentes. Mais, d’une certaine manière, c’est cela aussi qui permet d’avancer et de voir où on s’est planté tout comme Riku s’en rend compte en fonction de ses réactions ou de celles d’autruis. Même si certaines réactions restent très, très surprenantes et pas seulement pour le lecteur (Hyôdo est un professionnelle des réactions pouvant surprendre…)

Pour ce qui est de l’histoire, elle continue son avancée au rythme des rencontres et des combats. Des choix effectués au fil des tomes également, ceux-ci ayant un impact non négligeable sur certaines relations entre les personnages. Tout est bien respecté et l’histoire de Riku progresse sans nous laisser de trop longs temps morts. Elle est prenante, rude, captivante à sa manière et je n’ai absolument pas lâché le tome jusqu’à la fin. Vous savez, depuis le temps, que j’aime énormément la série et ce tome 5 ne dément pas à la règle…

Du côté des dessins, ils restent également dans la lignée des tomes précédents. L’action est merveilleusement bien retranscrite, on sait sans trop de difficulté ce qu’il se passe tout en reconnaissant les personnages, leurs émotions. Ces mêmes émotions présentent tout le long pour bien montrer quels changements se sont déjà un peu opérés en RikuOu les autres personnages bien sûr –  depuis le début. Les lieux et les protagonistes restent bien sympathiques à découvrir également de part et d’autres du manga grâce à leurs différences et à l’atmosphère présente.

Au niveau de l’édition, elle reste réellement agréable en main. Le manga en lui-même reste souple, lui permettant d’être – comme toujours – rangé dans un sac parfois un peu trop encombré. Le papier, pas trop translucide, permet de suivre l’aventure sans se faire spoil ce qu’il se passera par la suite pour mon plus grand bonheur quant à l’encre… Et bien en gentille encre noire elle reste à sa place, sur sa page, ses ombrages, ses trames et j’en passe sans venir rejoindre les doigts. Une très, très bonne chose quand on n’aime pas cela ! Par rapport à la traduction, elle est, quant à elle, au poil ! Je n’ai pas vu de coquilles ou d’erreurs durant la lecture et n’ai pas eu besoin de revenir en arrière pour comprendre quelque chose.

Vous l’aurez donc comprit, je pense, que j’apprécie toujours autant la série et que je passe toujours un bon moment à la découvrir, à voir les combats arriver et voir l’évolution de Riku. C’est un personnage auquel je me suis attachée au fil du temps et je me demande vraiment comment tout cela évoluera pour lui. Une bien belle découverte que cette série qui garde son côté sombre tout en permettant aux personnages de grandir.

Et vous les matous, lisez-vous la série ? Qu’en pensez-vous ? Y a-t-il un personnage que vous appréciez ? Un que vous aimez moins ?

Site de l’éditeur – Extrait du tome 1

Les achats du mois de… Septembre

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ceux étant enrhumé ou malade, courage cela finira par passer 🙂 Pour ma part, j’ai récupéré des nuits un peu plus difficiles et je suis en pleine forme maintenant. Juste un peu à la ramasse, comme toujours, mais cela ne change pas au fil du temps.

Comme nous sommes le premier octobre, je vous entraîne dans les achats et arrivée ayant eu lieu en septembre. Déjà un mois de passé, cela a été tellement rapide… Prêt ? Go !

Service Presse :

Beyblade BurstTome 1 [Kazé]

Pochi&KuroTome 3 [Kazé]

Kuroko’s Basket Replace PlusTome 3 [Kazé]

Platinum End – Tome 6 [Kazé]

La Clé d’Oriane

Recueil de poèmes et rêveries

Presque tous les Services presses auront été chroniqués ce mois-ci ce qui est… rare quand j’y pense o_o D’une certaine manière tant mieux me direz-vous ! Je vous parle des titres non chroniqués bientôt alors soyez patient, les matous !

Nouveautés :

Tizombi – Tome 1 [Bamboo Edition]

Saint Seiya Saintia Shô – Tome 1 [Kurokawa]

Fate/Apocrypha – Tome 1 [Ototo]

Great Teacher Onizuka – Tomes 1 & 2 [Pika Edition]

J’avais découvert Tizombi sur le blog d’Euphox et son avis m’avait donné très, très envie de découvrir le titre. Résultat, lorsque je suis tombée dessus au Carrefour j’ai sauté sur l’occasion et je ne le regrette absolument pas ! C’était vraiment une bonne lecture et un très bon moment de passé. Pour ce qui était de Saint Seiya Saintia Shô, c’était l’avis de Xander qui m’avait donné l’eau à la bouche et dès que je l’ai vu en occasion je l’ai embarqué. J’en parlerai sûrement sur le blog, si je n’oublie pas comme une bonne Neko tête en l’air que je suis. Pour les deux autres titres, Maman Neko avait profité de l’opération anniversaire pour GTO le faisant apparaître à la maison car elle savait que je ne l’avais pas lu et j’ai suivi mon envie de découvrir Fate/Apocrypha sous sa forme manga (En plus de l’anime que je regarde)

Suites :

Les Légendaires Origines – Tome 2 [Delcourt]

To Your Eternity – Tome 3 [Pika Edition]

Food Wars – Tome 19 [Delcourt/Tonkam]

The Rising of the Shield Hero – Tomes 4 & 5 [Doki Doki]

Black Butler – Tome 24 [Kana]

Ayant trouvé au magasin d’occasion la suite de Les Légendaires Origines, j’en ai profité pour prendre la BD (qui était vraiment peu chère) et je ne le regrette absolument pas vu que j’ai vraiment bien aimé Jadina. Moi qui avait du mal avec elle dans la série initiale, cela m’a surprise sur le coup. Pour les autres, je reste à jour dans trois séries (j’accroche toujours autant à To Your Eternity ♥) et continue mon rattrapage dans The Rising of the Shield Hero. Une fois rattrapé, je m’attaquerai à d’autres mangas un peu à la bourre… 

Goodies :

Marque-page – Le Chant des Souliers Rouges

Posters – Cœur de Hérisson ; Platinum End ; Beyblade Burst

Ex Libris – Platinum End ; Pochi&Kuro

??? – Platinum End ; Kuroko’s Basket ; Let’s Get Married

Durant quelques virées en ville, j’avais mit la main sur quelques bricoles que j’avais ramené dans la joie et la bonne humeur. Bon, par contre les carrés avec une illustration (les ??? dans la liste, oui, oui xD) je ne sais pas du tout le nom qu’ils ont de base. Pourtant, ils doivent bien en avoir… Je continuerai de farfouiller !

Autres :

1 Carte SD

Des perles à repasser [Hama]

Plaques pour perles à repasser (Une ronde et une carrée)

Quelques petits achats en plus, vu que j’avais besoin d’une nouvelle carte SD pour mon téléphone et que j’ai eu envie – à la fin du mois, oui, oui – de tenter les perles à repasser. Vive le côté touche à tout ! Je verrai si j’arrive à faire quelques petites bricoles, mais j’ai hâte de tester ! Hormis cela, il y a aussi eu des mochi trouvé par hasard en faisant les courses avec Maman Neko et je suis repartie avec. Ils étaient au chocolat – non, il n’y en avait pas à la pâte de haricot rouge – et ils étaient tout de même très bon avec de la mousse au chocolat à l’intérieur. Une douce surprise.


Mis à part toutes ces joyeuses arrivées et certains avis liés à celles-ci, vous avez vu apparaître la lecture commune du mois – Le tome 1 de Your Name – ainsi que d’autres avis. Par exemple, au niveau des ebooks vous avez vu mon avis sur le tome 1 de Voyageuse et celui sur Mon Cousin l’avait prédit. Par rapport aux mangas, c’est celui sur le tome 1 de Dresseuses de Monstres qui a pointé le bout de son nez et ce sera tout sur le coup quand j’y pense, je n’aurai pas été très productive en fait… J’essayerai de vous parler du deuxième tome dès que possible.


Futurs achats :

Cela n’a pas beaucoup changé depuis le mois passé vu que… Je n’ai pas acheté les titres présents dans la catégorie. Juste un qui s’est ajouté pour le moment et vu tout ce qui sort je sens que je risque de craquer plus que prévu. Comme d’habitude au fond. Il y a tant de titres intéressants ♥

Et voilà déjà la fin de l’article avant qu’il ne revienne le mois prochain. J’ai hâte d’être la semaine prochaine pour voir les loots possibles lors de la Retro MIA et je suis curieuse de voir mes futurs achats également, comme je ne suis jamais mes idées de base ou ne trouvent pas directement ce que je cherche. Quelle sera la nouvelle découverte ? Que continuerais-je ? De bonnes questions pour lesquelles je n’ai pas encore de réponse au fond. Sur ce, passez un bon mois d’Octobre !

J’espère que votre mois de septembre ce sera bien passé et aura été remplit de découverte ! Y-a-t-il eu plus ou moins d’achats que d’habitude chez vous ? Quels titres avez-vous essayé ou continué ? Quels titres vous tentent ?