We Never Learn – Tome 2

Coucou les matous, comment allez-vous en ce mercredi ? Pour ma part, je jongle entre recherche de stage – attente de réponses comprises, sinon ce n’est pas drôle -, travaux qui avancent petit à petit, articles en rattrapage – d’ailleurs les prochaines chroniques seront sur La fille du temple aux chats et le Light Novel Goblin Slayer – et RP sur un forum Harry Potter. Je passe ma vie dans Word actuellement en réalité.

Aujourd’hui, comme je vous l’avais dit dernièrement, nous partons dans un school life des éditions Kazé. J’en profite pour les remercier ainsi qu’Anita pour l’envoi du second tome de cette série. Les rattrapages avancent, doucement, mais sûrement et Inu-chan ainsi que Maman Neko m’épaulent, m’encouragent et n’oublient pas de me secouer lorsque je force de trop. Mais passons ce genre d’informations, vous n’êtes pas là pour cela. Prêt pour la lecture les matous ? Go !

« We Never Learn »

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6€79 – Shônen – 193 pages

Le tutorat de Nariyuki auprès de ses trois élèves se passe bien et Uruka a même réussi son dernier test d’anglais ! Cependant, le proviseur et Mlle Kirisu, la CPE du lycée, doutent que le jeune homme parvienne à aider Rizu et Fumino à progresser. Ils lui lancent alors un ultimatum : si elles n’obtiennent pas la moyenne aux prochains examens… il devra renoncer à sa mission auprès d’elles !

Nous retournons sur les bancs de l’école en compagnie de Nariyuki, Uruka, Rizu et Fumino qui continuent d’évoluer sous nos yeux, d’apprendre dans les matières qui leurs sont plus difficiles et d’avancer. A présent, Mademoiselle Kirisu fait savoir à notre jeune héros que s’il n’arrive pas à faire en sorte que les trois demoiselles réussissent leurs prochains examens en ayant la moyenne, il devra renoncer à cette mission si importante à ses yeux. Non pas parce qu’il est amoureux de l’une d’entre elle, la romance a beau être présente – même s’il est simple d’en faire abstraction si l’on omet certaines scènes – ce n’est pas ce qui pousse notre Nariyuki à aider ces génies. Non… Si vous vous souvenez du tome 1, c’est plutôt l’idée d’une bourse – au départ – qui l’intéresse plus que le reste.

Dans ce second tome, nous nous rapprochons un peu plus des personnages, continuons de les découvrir, d’en apprendre sur eux, de voir leurs forces, leurs faiblesses et parfois les êtres les côtoyant, proches d’eux d’une manière ou d’une autre voire ceux qui veulent attirer leur attention sans pour autant y arriver. Les relations entre chacun d’eux existent, évoluent, peuvent mener à des quiproquos ou être difficiles, des relations comme on en retrouve souvent lorsqu’un groupe est présent, lorsque l’on se retrouve dans de la vie scolaire, mais qui continue de marcher malgré les quelques stéréotypes que l’on peut voir. Il est simple d’avoir une préférence pour l’un ou l’autre des protagonistes que nous côtoyons au fil des pages, des tomes. Pour ma part, la génie des sciences est celle qui reste loin devant des autres tant je la trouve adorable.

Du point de vue de l’histoire, elle avance petit à petit tout en nous rappelant que nos rêves peuvent être en diapason avec nos capacités actuelles, qu’il arrive également que l’on tombe lorsque nous tentons d’avancer et que des personnes tenteront toujours de nous dire ce qui est le mieux pour nous sans pour autant se mettre à notre place. Oui, être un génie en littérature – par exemple – nous prédispose pour tout ce qui est lié aux lettres, mais faut-il absolument se diriger dans ce domaine ? N’est-il pas possible de s’améliorer dans les autres même s’ils sont plus difficiles pour nous permettre de réaliser notre rêve ? Va-t-on obligatoirement se casser les dents lorsqu’on tentera des études ou filières différentes de notre point fort ? Il arrive également qu’une personne extérieure, un être faisant naturellement des efforts pour arriver à avoir de bons résultats finissent par faire réaliser à autrui que tout ne tombe pas du ciel, que les essais à erreurs sont également importants et qu’avancer avec un but est bien plus important que de le faire sans aucune envie, aucun espoir.

Pour ce qui est de la romance, il serait possible de dire qu’elle évolue dans ce second tome même si cela s’avère assez maladroit ou stéréotypé dans certains cas, cette romance reste présente en toile de fond et n’apparait qu’à certains moments dans l’esprit de quelques personnages, suite à des événements non souhaités au départ. Événements souvent vus et revus si nous lisons des histoires d’amour depuis un moment, mais continuant de fonctionner quoi qu’il arrive. Certes, nous pouvons avoir la sensation de « déjà vu » liée à d’autres titres tels que Ichigo 100% ou Hatsukoi Limitedvoire d’autres bien sûr, je n’ai cité que les deux me venant en tête directement – mais étant donné qu’elle reste seulement en toile de fond, actuellement, elle n’est pas dérangeante.

Cette fois, chacun des chapitres nous permet de faire face à l’une des protagonistes féminines, d’en apprendre plus sur elle et de la voir avancer à son rythme. Cela évite d’avoir trop souvent le groupe complet sous les yeux, bien que chacune possède son tempérament, porte le manga à sa manière et puisse avoir certains traits de caractères se rapprochant de nous. Bien entendu, il arrive encore qu’elles soient regroupées ce qui est logique vu que Yuga est leur tuteur, tente de les faire avancer lors de séances de révision. Notre héro est, d’ailleurs, un très bon tuteur qui n’hésite pas à se creuser la tête pour trouver une solution utile, viable sur le long terme, pour ses protégées ce qui est réellement un plus. L’humour reste également bien présent, faisant sourire tout du long et du bien au lecteur qui, au final, ne se prend pas la tête et évolue également en compagnie de toute la petite bande, de leurs déboires, leurs avancées, leurs tentatives. C’est, réellement, l’un des points forts du titre à mes yeux.

Malheureusement, contrairement au premier tome et bien que je sois habituée – il faut dire qu’en lisant Food Wars c’est le genre de scène que l’on a l’habitude de voir – l’ecchi était un peu plus présent, plus voyant que dans le tome 1. L’œuvre n’en a pourtant pas besoin, pouvant l’éviter sans que cela ne fasse tâche, mais il aura fini par apparaître par touches par-ci, par-là. Fort heureusement, il n’est pas encore omniprésent, mais je trouve cela dommage car Taishi Tsutsui commençait réellement bien avec son premier tome. Après, peut-être que ce ne seront que des touches disséminées et non pas omniprésentes tout le long du récit, mais… Mais elles marquent malgré tout. Même si ce sont les premiers émois amoureux, que les remarques peuvent fuser de temps en temps, que l’on se cherche durant cette période, je me demande si l’utilisation du ecchi était réellement propice, s’il n’y avait pas d’autres solutions… D’ailleurs, j’ai bien apprécié lesdites remarques pour ça, car elles collent parfaitement aux discussions que peuvent avoir les adolescent(e)s entre eux, les taquineries, les tentatives de faire comprendre à l’autre que ça se voit comme le nez au milieu de la figure pour ses sentiments.

Ma lecture m’aura donc fait passer un bon moment, même si l’apparition d’un certain sous-genre m’aura légèrement embêtée. Pourtant, il a sa place malgré tout dans ce genre d’œuvre, mais je reste sur mon avis que We Never Learn n’en avait pas réellement besoin… Cela ne m’empêchera pas d’avoir sourit à de nombreuses reprises, fait apprécier un peu plus certains des personnages et que j’ai hâte de voir ce que réservera le tome 3, curieuse comme je suis.

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Y a-t-il l’une des demoiselles que vous préféré ?

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We Never Learn – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ma part, c’est la forme, même si j’étais tout de même un peu claquée hier, et je suis contente de vous retrouver dans la joie et la bonne humeur !

Petite surprise dans la boite aux lettres avec l’arrivée d’un des nouveaux titres des éditions Kazé. Je remercie la maison d’édition et Anita pour l’envoi du premier tome de cette série qui s’annonce déjà assez amusante à découvrir. De laquelle est-ce que je parle ? Et bien de…

« We Never Learn »

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6€79 – Shônen – 192 pages

Nariyuki est un élève de terminale aussi brillant que pauvre qui rêve d’obtenir une bourse pour poursuivre ses études dans l’université de son choix. La chance lui sourit lorsque le proviseur lui propose de la lui accorder… mais à une condition ! Devenir le tuteur des deux génies du lycée, Rizu et Fumino. La tâche aurait dû être des plus faciles, mais les belles demoiselles lui réservent une surprise de taille !

Génies mais pas trop !

Je dois être l’une des rares personnes à ne jamais avoir lu ou vu Nisekoi, pas que le titre ne m’intéressait pas, mais… Je n’avais jamais sauté le pas. Ce faisant, je ne saurai pas faire de parallèles avec la série manga de Naoshi Komi parce que… Cela ne servirait à rien vu que je ne la connais pas. Logique. Mais comme n’importe qui, j’ai déjà lu des Shônen school life plutôt comédies et romances alors je ne me retrouve pas en terrain inconnu.

Ici, nous suivons Nariyuki, un élève plutôt brillant dans les études, mais qui souhaite obtenir une bourse afin de se rendre à l’université de son choix car sa famille est pauvre. Famille que l’on découvre au fil des pages de ce premier volume et j’ai sourit face aux jumeaux – faux jumeaux plutôt, mais… passons – tout en voyant apparaître les autres personnages. Principalement deux génies, celle de la littérature nommée Fumino et celle des sciences nommée Rizu, que notre héros aura sous sa tutelle afin de les aider à entrer dans l’université de leurs choix. Facile ? Détrompez-vous… Et Nariyuki s’en rendra rapidement compte. Un troisième personnage, que l’on découvre sur la jaquette, fera également son apparition et je dois avouer avoir bien apprécié son entrain.

Mais revenons à nos moutons. Chaque personnage possède ses qualités, ses défauts et être un génie quelque part ne signifie pas l’être partout comme nous le prouve Fumino et Rizu. J’ai adoré les surnoms donnés à nos trois demoiselles – oui, je ne parle que de deux jeunes filles ici… mais plus haut vous en avez eu une troisième, voui ça compte ! qui rappellent les contes d’enfants et montre l’un des traits physiques, d’aptitudes ou de caractères du personnage l’ayant. Je ne m’attendais pas à voir apparaître « Poucelina » par exemple. Chacune des trois demoiselles possède son tempérament allant de celle s’endormant facilement, à celle pleine d’entrain ou encore celle possédant, naturellement, plus de réserves. La douce, la froide, l’énergique… Un trio pour le moins habituel me direz-vous, mais qui fonctionne toujours à merveille et qui me rappelait également certaines des demoiselles d’Ichigo 100%. Pour ce qui est de Nariyuki, il est « normal » et s’avère plutôt remplit de bonté quand on y regarde de plus près, que nous le découvrons au fil des pages. J’ai bien aimé les explications données, les phrases qu’il prononce de temps en temps, même si au début j’avais envie de le secouer lorsqu’il pensait « Maudit génie » … Parce que oui, cela m’agaçait…

Pour ce qui est de l’histoire de Taishi Tsutsui, elle nous est principalement racontée en suivant Nariyuki, mais lors de quelques petits passages nous nous trouvons en compagnie de l’une ou l’autre des demoiselles. Bien que rares, cela change de notre héros masculin. Pour le moment, je n’ai pas eu la surprise du « mais quelle surprise réservent-elles à Nariyuki ? » ayant réussit à facilement le deviner au début… Suite à une simple pensée. J’ai hâte de voir comment cela évoluera pour chacune d’elles, si elles réussiront leurs objectifs et leurs rêves. J’ai principalement préféré certaines phrases en réalité telle que :

« J’en ai assez qu’on décide de ma vie à ma place… sous prétexte que je suis hyper douée dans une matière ! » Rizu Ogata

Ou

« (…) lorsque l’on part perdant… il est impossible de comprendre même en s’acharnant… et on en souffre d’autant plus. » Nariyuki Yuiga

Ainsi que d’autres parsemant, de ci, de là, ce premier volume… Mais c’est principalement la première, celle prononcée par Rizu qui m’aura le plus marqué malgré tout. Je la comprends sans difficulté et même si ce sont des génies, elles devraient avoir le droit de tenter ce qu’elles rêvent de faire comme n’importe qui, comme chacun d’entre nous. Tomber, se relever, continuer de se battre pour ses rêves cela devrait être possible pour n’importe qui.

Dans la vraie vie, je serais plutôt Team Littérature car c’est ce que je préfère tout simplement. Mais durant ma lecture, j’allais plutôt vers notre petite génie des Sciences et j’ai hâte de voir un peu plus notre sportive de service. Elles se complètent, s’opposent et c’est agréable à voir. Même si certains clichés du genre ressortent.

Du côté des dessins, je n’ai pas eu de mal à m’y accrocher. Ils sont plus communs que ceux trouvés dans Spiritual Princess ou Le Chant des Souliers Rouges (Oui, ce ne sont pas des shônen, mais ils montrent aisément ce que je veux dire !), mais possèdent également leurs charmes lors de certaines scènes. L’une m’ayant particulièrement marquée touche aux étoiles, mais je n’en dirai pas plus ici afin de ne pas spoiler. Je n’ai pas eu de souci pour reconnaître les personnages ou voir leurs caractères dans leurs actions et j’ai bien aimé me plonger dans certains décors lorsque ceux-ci étaient un peu plus présents.

Pour ce qui est de l’édition, j’aime beaucoup la jaquette toute colorée où l’on voit le trio féminin. Chacune ressort à sa manière et les couleurs sont bien « peps », ce qui me plait tout particulièrement. Par rapport au papier, je n’ai pas vu de souci en tournant les pages quant aux dialogues traduit par Ilan Brunelli, je n’ai pas vu de coquilles aux premiers abords. Peut-être lors d’une relecture en verrais-je ? Cela reste du bon travail de la part de l’équipe se chargeant de cette série.

Ce qui ressort de cette lecture est un moment de bonheur, j’ai ris lors de certaines scènes et ait eu les larmes aux yeux à d’autres moments lorsque cela résonnait avec mon propre passé d’une manière ou d’une autre. Je me demande ce que réserveront les prochains tomes et ce que notre pauvre héros devra encore subir !

We Never Learn - Tome 1

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ? Quelle serait votre team, plutôt Littéraire, Sciences ou Sport ?

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Qualia Under The Snow – OS

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Après l’avis sur le tome 2 d’Ikumen After et le vote effectué, voici celui sur Qualia Under The Snow qui aura eu 60% des votes (contre 40 pour Le Bonheur c’est simple comme un bento de Yuzu). Cette semaine sera bien remplie quand j’y réfléchis, mais j’espère que cela vous permettra de faire des découvertes.

Avant de débuter l’article, je remercie le stand Ototo/Ofelbe/Taifu présent à la Made In Asia pour les explications données sur le titre et l’envie donnée de le découvrir encore plus présente ainsi qu’Hebi réapparue comme par magie quand je regardais le manga en question ♥

« Qualia Under The Snow »

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8€99 – Yaoï – 200 pages

Akio Kobayashi et Umi Oohashi sont deux étudiants aux caractères diamétralement opposés. Le premier est passionné par les plantes et préfère leur compagnie à celle des personnes. Le second est gay et aime enchaîner les relations d’un soir. Tous deux vivent dans le même dortoir et étudient dans la même université. Ces moments passés ensemble vont leur permettre d’apprendre à mieux se connaître et se comprendre. Ainsi, au fur et à mesure que le temps passe, leur relation évolue.

Pour ceux qui ne le sauraient pas, je ne possède pas une grosse quantité de Yaoï dans ma bibliothèque – c’est plutôt le domaine d’Hebi – mais au fil du temps cela augmente. Lors de l’achat du tome 2 d’Ikumen After, je me suis penchée sur Qualia Under the Snow qui est un One Shot et s’avère être une belle découverte où l’on voit la relation entre nos deux protagonistes principaux évoluer.

Nous suivons deux personnages dans ce manga de Kii Kanna dont la relation évoluera petit à petit au fil des pages et de l’hiver qui nous mène inexorablement vers le printemps. Nous découvrons le passé de nos protagonistes, ce qu’ils ont vécus et les raisons les ayant poussés à être tels qu’ils sont. Les relations avec autrui, les membres de nos familles, tout cela nous marque à sa manière et fait de nous qui nous sommes.

Akio et Umi sont deux personnages ne se ressemblant pas du tout et qui, pourtant, se  trouveront des points communs tout en s’entendant bien. Après tout, nous pouvons être amis avec des êtres aux tempéraments et passions bien différents des nôtres. Certains sujets apparaissant au fil des pages avec eux peuvent sembler difficiles aux yeux de certains, mais ce sont ces derniers qui ont fait d’Akio et d’Umi ce qu’ils sont dans les pages que nous tournons.

L’absence parentale, le fait de cacher son identité et de n’avoir que des histoires d’un soir, du choix de commencer ou d’arrêter de fumer, la vie à deux, l’incertitude et le doute. Tout cela apparaît au fil du temps, mais pas seulement car les tranches de vie de nos deux étudiants s’étalent devant nous, nous font sourire ou nous donnent envie de réagir, de leur tendre la main. Je trouvais ce duo réellement adorable tout le long de ma découverte de ce titre et j’appréciais tout autant les moments où ils côtoyaient d’autres personnes.

Je me sentais proche d’eux, de leurs tourments, de leurs  choix, de leurs peines et de leurs joies. Les événements se suivent, sont logiques et gardent leurs douceurs tout en pouvant rappeler des souvenirs, dans certains cas, au lecteur. L’hiver de leur rencontre, du froid présent au début, fera place au printemps et à la chaleur présente entre eux. Une évolution tout en délicatesse et avançant à son rythme au fil des deux saisons où nos deux personnages font apparaître un jardin qui leur est propre dans leurs cœurs bien qu’il n’y ait pas que là. La nature est présente sur certaines pages, dans certains livres lu ou se trouvant face à Akio et bien sûr avec certaines fleurs.

Du côté des illustrations, j’aime énormément la douceur présente dans les traits des personnages et leurs oppositions présentes également dans leurs physiques. Je trouvais également cette douceur dans les trames, les paysages tout en voyant l’opposition belle et bien présente au niveau des protagonistes, des petites boules de poils que l’on voit apparaître. Pour ceux qui se poseraient la question, c’est la jaquette qui m’a attirée en premier lieu et qui nous permet de découvrir l’hiver, ce qui est raccord avec le début de notre « aventure ». Quant à la partie nous présentant le résumé, elle rappelle sans difficulté le printemps et donc la fin de l’histoire. J’ai beaucoup aimé ces rappels, même si lorsque l’on découvre le titre pour la première fois on n’y pense pas forcément.

Le manga en lui-même est relativement épais, au point d’être un peu plus rigide que ceux bien plus « sveltes » que lui. Cela m’a même légèrement surprise au début – il faut dire que je passais de Black Butler à Qualia Under The Snow – mais malgré sa rigidité il gardait une légère souplesse malgré tout. Certes, elle est moins voyante que pour d’autres titres, mais elle était présente. Pour ce qui est de la traduction d’Isabelle Eloy, malgré ma fatigue je n’ai pas l’impression d’avoir vu de coquilles – ou alors elles sont très peu nombreuses – et les différentes manières de parler, d’expliquer, collaient bien aux personnages. Quant à l’encre, il n’y a eu aucun souci vu que cette dernière restait sagement sur ses pages ou ses emplacements sans camoufler un élément important ou venir sur les doigts.

Vous l’aurez sûrement comprit les matous, mais Qualia Under The Snow fut une découverte réellement agréable, un petit flocon se transformant en printemps à la fin de l’histoire et un bon moment de passé en compagnie d’Akio et Umi qui m’auront, petit à petit, touchée à leurs manières. La fin de l’histoire est ouverte pour notre adorable petit duo qui découvrira, sûrement, encore pas mal de choses, mais cela ne me dérange pas de les laisser là sans en savoir plus car cela laisse le champ des possibles dans notre imagination. Ils ont le futur devant eux.

Qualia Under The Snow

Et vous les matous, avez-vous lu le titre ? Qu’en avez-vous pensé ?

ExtraitSite de l’éditeur

Ikumen After – Tome 2

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? La météo est assez changeante en ce moment et les allergènes trainent gentiment dans l’air, pourtant dès qu’un petit rayon de soleil se montre je ne peux m’empêcher d’observer l’extérieur. Hm ? Ah oui vous avez droit à deux articles aujourd’hui

J’avais découvert le titre lors de la Retro MIA et, de ce fait, j’avais hâte de continuer l’aventure en compagnie de ce petit duo (ou quatuor si on prend les petits bouts en compte). C’est chose faite depuis la MIA étant partie avec dès le début de la convention ainsi qu’avec Qualia Under The Snow et No Game No Life. Je suis réellement ravie d’avoir écouté les conseils du stand et d’avoir lu entièrement ce petit titre. Prêt ? On y va !

« Ikumen After »

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8€99 – Yaoi – 164 pages

Trois jours se sont écoulés depuis le baiser de Kentarô et monsieur Asakura. Ils continuent à se voir, mais tandis que Kentarô voudrait bien sûr aller plus loin, monsieur Asakura ne se remet toujours pas du trouble provoqué par l’incident. C’est alors qu’un incendie ravage la maison de Kentarô. Monsieur Asakura décide donc de l’aider en lui proposant de venir vivre chez lui pour un temps.

Je vous avais déjà parlé du tome 1 il y a quelque temps de cela et à présent, ayant enfin lu le deuxième volume, je peux vous parler du tome final de cette courte série qui… Aura une suite ! Et oui, Kazuma Kodaka réalise Ikumen After +A qui sera donc la suite de ce que nous avions déjà connu avec Ikumen After. Plus qu’à espérer voir cette suite arriver dans nos contrées !

Nous retrouvons Kentarô et monsieur Asakura pour la suite de leur aventure en compagnie des deux bouts de chou totalement adorables et remplit de choupitude (Je sais, ce mot n’existe pas, enfin je crois). Cette fois, un incendie fera en sorte que Kentarô et son fils perdent leur maison et doivent trouver un nouveau lieu de vie ce qui permettra à Monsieur Asakura de leur venir en aide. Pourtant tout ne sera pas simple, même s’ils vivent sous le même toit…

Dans ce dernier volume, nous en apprenons plus sur le passé et l’un des boulots effectués par Kentarô dans le dit passé. De plus, la relation entre nos deux personnages avance tout en gardant cette délicatesse présente dans le premier volume, mais en ajoutant d’autres sentiments. La jalousie, par exemple, pointe le bout de son nez lors d’un certain événement tout comme l’entraide. J’ai vraiment apprécié voir l’évolution entre eux, les doutes, mais également l’attachement qui est également présent entre les enfants. Haru reste de bon conseil pour Kentarô et est celui qui observe le plus les deux parents (et les parents tout court en fait) On voit bien que celui s’occupant de la maternelle tient aux enfants et bien entendu à ses amis.

Pour ce qui est de l’histoire en elle-même, elle ne fait pas de surplace et avance vers sa finalité première. Bien sûr, nous nous doutons de la fin, mais la voir prendre forme et découvrir les petites embûches font énormément je trouve tout en rajoutant du réalisme. Je ne me suis pas ennuyée durant la lecture et j’étais ravie lorsque la fin est apparue dans toute sa délicatesse. Les enfants me rendaient souvent le sourire également et je me sentais mal, tout comme l’un d’eux, à un moment donné. La romance présente dans ce manga est réellement belle, bien écrite et avance à son rythme bien que ce dernier puisse sembler classique aux adeptes de lecture purement romantique.

Les émotions sont réellement bien retranscrites tout le long que ce soit dans les dialogues ou les réactions voire même sur les traits des visages. Les dessins font réellement un bon travail par rapport à cela tout en gardant leur douceur (j’utilise beaucoup ce mot dis donc oo) et leur propre cachet. La traduction de Nicolas Pujol également nous donne le ton, nous fait ressentir les sentiments présents et nous donne envie de continuer, de savourer chaque instant de bonheur présent au fil des pages.

Du côté de l’édition en elle-même, je n’ai eu aucun souci. Comme dit plus haut la traduction était réellement dans le ton de l’œuvre et donnait envie de savoir la suite en savourant le manga tel un petit bonbon. Pour le reste, le manga en lui-même était assez souple – plus que Qualia Under The Snow même si c’est logique au fond, mais ça vous le verrez dans l’avis sur le titre – et prenant au point de ne pas voir le temps passer. L’encre est sagement restée sur le papier sans baver sur le reste de la page tout en gardant les trames présentes qui ajoutaient également à la douceur du titre.

Et oui, vous l’aurez comprit j’ai hâte de découvrir Ikumen After +A afin de savoir ce que nous réservera cette suite, quant au titre initial dont je vous ai parlé aujourd’hui ainsi qu’auparavant il m’aura réellement attendrie tout le long, fait du bien et passer un très bon moment en compagnie des personnages, de ceux que l’on rencontre. Une douce et belle surprise que ce diptyque que je recommande sans aucune difficulté !

Ikumen After - Tome 2

Et vous les matous, avez-vous lu ce titre ? Qu’en avez-vous pensé ? Avez-vous hâte qu’Ikumen After +A sorte ?

Site de l’éditeur

Rafnas – Tome 1

Coucou les matous, comment allez vous ? Bon, finalement ce ne sera pas le « Monstre et cuisine/gastronomie » mentionné hier car je n’ai pas ma clef USB avec le document sous la patte (Je l’ai rangée dans un autre sac… pas douée comme je suis). Mais cela ne m’empêche pas de tout de même vous mettre quelque chose aujourd’hui et, au lieu d’un titre découvert en librairie, ce sera du Service Presse. L’autre article arrivera, de ce fait, dans le courant de la semaine

Nous allons donc nous aventurer, cette fois, dans un diptyque qui nous fera découvrir une nouvelle planète possédant une gravité bien différente de chez nous. Je remercie également les éditions Komikku pour l’envoi et Babelio pour la découverte de ce titre J’en profite pour m’excuser du retard lié à l’état de santé dans lequel j’étais. Comme mentionné ici, je ne désire pas en parler. Prêt pour le voyage, les matous ?

« Rafnas »

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16€ – Seinen – 224 pages

Il y a bien longtemps, les hommes ont colonisé la planète Rafnas qui n’est pas soumise à la gravité. Au contact de son atmosphère, ils ont évolué et peuvent aujourd’hui flotter dans les airs. C’est dans cet univers unique que deux êtres vont se rencontrer : la phénoménale Lima qui surveille les courants rocheux aériens et qui est dotée d’un champ de force inouï et Ragi, un des rares humains originels dépourvus de l’antigravité. Tout les oppose, mais ensemble, ils vont essayer de sauver les humains d’un futur cataclysme engendré par l’un de ces courants rocheux devenu incontrôlable. Parviendront-ils à surmonter les lois de la nature malgré leurs différences ?

Une véritable œuvre de science-fiction au souffle épique ! Une épopée SF incroyable sur une planète apocalyptique qui n’est pas sans rappeler MAD MAX ou encore DUNE.

Prix spécial du jury au Japan Media Arts Festival – 2015
Série en 2 tomes !!

Rafnas est un manga présent dans la collection Horizon de Komikku, là où l’on retrouve également La Photographe dont j’ai déjà parlé sur le blog, faisant que la taille du manga est plus grande que de coutume. L’ayant sous les yeux avec le tome 27 de Magi posé dessus, cela se voit réellement sans difficulté. Mais de quoi ce manga en deux tomes – dont je ne parlerai que du tome 1 actuellement – de Yumiko Shirai nous parle ? Bon, je sais, vous avez sûrement lu le résumé plus haut, mais ce n’est pas une raison pour que je n’en refasse pas un comme à mon habitude n’est-ce pas ?

Alors, alors… Nous nous trouvons sur une autre planète colonisée, il y a déjà de nombreuses années, par les humains. Ce lieu très différent de la Terre a fait en sorte qu’ils ont évolué et peuvent à présent flotter dans les airs même si une petite partie de la population n’est pas touchée par cela. Ces derniers sont les « Originels », des êtres comme vous et moi,  et ceux-ci doivent vivre dans un espace s’avérant être une bulle protectrice ou munit de masques qu’ils doivent obligatoirement entretenir. Ragi est l’un de ces « Originels » et il rencontrera Lima, une personne ayant un prodigieux champ de force malgré la gemme l’aidant à canaliser celui-ci. Malheureusement, un cataclysme semble approcher à cause de courants rocheux – eux aussi flottant tranquillement dans l’air – devenant incontrôlable. Que va-t-il se passer pour nos personnages ?

Comme vous le voyez, nous nous trouvons dans un univers assez différent de la Terre et dans lequel nous retrouvons, pourtant, certains éléments grâce aux Originels. Rafnas est un lieu où il ne ferait pas bon vivre pour nous si nous ne possédions pas de masque comme Ragi ou si nous ne nous trouvions pas dans la « bulle ». Dans mon cas, je pense que je me serais penchée sur le masque car j’aurais bien aimé vagabonder un peu, être en dehors de cet endroit bien trop sécurisé et ce malgré les dangers présents à l’extérieur. Ce monde, je l’ai trouvé magnifique personnellement avec ce côté futuriste, mais également naturel par rapport aux courants rocheux.

Ces courants rocheux s’avèrent extrêmement dangereux pour les personnes se retrouvant prises à l’intérieur. Dans la majeure partie des cas, le malheureux n’y survit pas à moins de posséder un puissant champ protecteur – tel que Lima – et de savoir comment se déplacer à l’intérieur ou ce qu’il faut faire. Certaines personnes doivent d’ailleurs veiller par rapport à cela, vérifier s’il n’y a aucun danger et ces êtres sont les Vigies. Vous l’aurez comprit, là où Ragi est un Originel, Lima est quant à elle une Vigie.

Les explications par rapport à tout cela arrivent au fil des pages et nous découvrons cette nouvelle société, ses mœurs et ses différences. Je me demande juste les raisons faisant qu’une partie du peuple Rafnien (… Non, je ne suis pas sûre qu’ils s’appellent comme ça…) n’a pas évolué et est resté tel les Terriens d’antan. Peut-être ai-je raté l’explication ou peut-être vient-elle dans le tome suivant, c’est bien possible !

Du côté des personnages, ils étaient relativement traditionnels en soi au niveau des caractères bien que dans certains cas cela soit expliqué par rapport à leur passé, leurs vécus. Ils sont différents les uns des autres, prennent des décisions à leurs manières et possèdent leurs propres blessures. Des blessures ayant, souvent, laissés des traces même si elles ne sont pas visibles à l’œil nu. Comme nous tous, en réalité, car nous avons tous nos propres cicatrices, nos peines, nos douleurs et nos peurs. Malheureusement, je ne me suis pas très attachée à eux durant ma lecture…

Les dessins sont assez doux, je trouve, même s’ils ne plairont probablement pas à tout le mondeCe n’était pas le cas de Maman Neko par exemple – mais ils trouveront à coup sûr leur public. Pour ma part, j’ai comme à mon habitude chercher les petits détails, les éléments me faisant voyager à leur manière lors la découverte du titre. Ce fut un franc succès malgré tout et je n’ai pas hésité à revenir sur l’une ou l’autre page pour observer un peu plus. Et puis, il était réellement dynamique lorsqu’il le fallait.

Pour ce qui est de l’édition en elle-même, j’ai été surprise du sens de lecture au début, mais j’ai vite reprit mes esprits pour me lancer dans le récit malgré l’impression de ne pas être dans le bon sens. Oui, cela m’arrive parfois. Pour le reste, les pages me semblaient assez épaisses pour ne pas ressembler à du papier à cigarette ou pour que je ne voie de l’autre côté quant à l’encre, elle est restée à sa place sur les trames et ce sans aller dans les bulles de dialogues ou en faisant de grosses traces. L’ayant relu, je n’ai pas vu de coquilles dans la traduction réalisée par Ryoko Akiyama.

La lecture ne fut pas un coup de cœur, mais je n’ai pas passé un moment désagréable non plus à découvrir ce titre. Ma curiosité me pousse tout de même à découvrir le deuxième volume afin de savoir comment cela se terminera, ce qu’il adviendra des habitants de Rafnas et pour retrouver le coup de crayon ainsi que l’univers de Yumiko Shirai que j’apprécie réellement.

Rafnas - Tome 1

Et vous les matous, l’avez-vous lu ? Comment avez-vous trouvé ce titre ?

Note nekoïenne : Il se peut que d’autres modifications apparaissent dans les futurs articles, je ne suis pas encore certaine à 100% de la manière de faire. J’ai noté les différentes idées dans mon petit carnet alors ne soyez pas surprit si, plus tard, vous voyez des différences avec les précédents 🙂 Après tout, autant tenter !

Pochi & Kuro – Tome 4

Coucou les matous, comment allez-vous ? Pas trop mal ? Ah, je sais ces derniers jours il y a quelques articles qui se suivent sans trop de difficulté. Je suis contente de rattraper tout cela, surtout que j’ai encore pas mal de titres dont je souhaite vous parler en bonne retardataire que je suis.

Cette fois, nous repartons vers une série qui se termine et je vous écris l’avis en écoutant en boucle les openings de Shingeki no Kyojin… Pourtant, il n’y a aucun rapport entre les deux, mais ne cherchez pas, niveau musique et texte il faut souvent ne pas chercher avec moi. Je remercie également les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce festin en quatre volumes que j’apprécie énormément découvrir ! Vous avez deviné les matous ? Et oui, on est parti chez…

« Pochi & Kuro »

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6€79 – Shônen – 205 pages

Pochi finira-t-elle par atterrir chez les humains ou… au fond d’un estomac ?!

Dans un état grave suite à un combat acharné, Kuro n’est pas parvenu à sauver Pochi des griffes d’Isshar. En route vers Sunkust, ce dernier est bien décidé à passer à table pour accéder au trône ! Face aux redoutables adversaires qui en veulent à sa dulcinée, Kuro n’aura d’autre choix que de révéler sa vraie nature…

Un délicieux mélange d’action, d’humour et de romance dans ce dernier volume !

Dernier tome de la série, nous en sommes donc au tome… 4 !  Et oui, Pochi & Kuro c’est déjà terminé et nous allons voir ce que vaut ce dernier volume de cette courte série m’ayant rendu le sourire plus d’une fois. Pour ceux désirant d’autres avis Xander et Thiboutsu en ont respectivement parlé sur leurs blogs.

Pour la dernière fois, nous retrouvons donc Pochi, Kuro, Léo et les autres personnages déjà rencontrés auparavant. Pochi a été capturée par Isshar à la fin du tome 3, ce dernier se rendant en direction de Sunkust que nous allons enfin découvrir, après tout nous en entendons parlés depuis quelques tomes. Pour ceux ne se souvenant pas, c’est grâce à ce lieu que Pochi pourra retourner chez elle c’est-à-dire dans notre petit monde. Tout du moins, si elle arrive vivante jusque là-bas et vu que la plupart des gens veulent la croquer ce n’est pas gagné.

Comme vous vous en doutez, Kuro ne restera pas les bras croisés et il ne sera d’ailleurs pas le seul. Chacun de nos camarades sera présent à sa manière et je dois avouer que j’aime énormément l’évolution d’Ishizu. Ah, ce prince démoniaque aura tout de même bien changé en quatre volumes. Le Ishizu que nous rencontrions au début aura bien mûrit à sa manière, mais il ne sera pas le seul à avoir changé grâce à Pochi.

Bien sûr, le premier à venir en tête est Kuro lui-même. Notre démon bagarreur tient réellement à Pochi au point de se dépasser à chaque fois pour elle. On découvre d’ailleurs un élément par rapport à notre enflammé de service dans ce quatrième volume, répondant ainsi à l’une de nos interrogations. C’est que nous en avions certaines depuis le premier tome, mais je reviendrai là-dessus plus tard.

Léo, pour sa part, est un peu moins présent dans ce tome 4, mais sera tout de même important à sa manière. On voit également son attachement pour la petite humaine, mais pas seulement. Après tout, son amitié pour Kuro est réellement visible et quoi qu’il arrive il tente d’épauler son ami, s’inquiète pour lui. C’est une véritable amitié qui s’est tissée entre eux depuis un moment déjà et ils savent parfaitement qu’ils peuvent faire confiance à l’autre… Confiance s’étant également reportée sur Pochi, Léo ayant totalement changé sa vision par rapport à elle.

Quant à Pochi, elle fait son maximum et reste fidèle à elle-même. C’est réellement un personnage féminin que j’apprécie depuis le début et ce même si elle parle très peu durant les quatre volumes. Elle est forte, à sa manière, et reste fidèle à ses convictions. Elle avancera, prendra des risques et croira en certains êtres que nous connaissons à présent. Elle n’abandonnera jamais quelqu’un, également, et Pochi aura été tout de même très courageuse quand on y pense.

De quoi ? Il me manque un personnage du groupe ? Ah, mais oui, Wapple ! Notre petite « pomme » démoniaque préférée que Pochi n’avait pas voulu dévorer dans un des tomes précédents aura également prit de l’ampleur à sa manière. Qui aurait cru qu’un si petit être ressemblant à un fruit de notre monde pourrait devenir ainsi ? Pas moi en tout cas et… Pourquoi on n’a pas de wapple nous ? J’en veux un de ces fruits !!! Même sans modifications de la maman de Léo, ça me va très bien !

Du côté des enfants du roi des démons, en plus d’Ishizu, nous côtoyons toujours autant ses frères et sa sœur. Cette dernière voulant faire de Kuro le futur roi démon, ce qui n’est absolument pas gagné. Bah non, notre petit Kuro n’est pas du tout attiré par la princesse. Après tout, nous savons tous ce qu’il ressent pour Pochi, alors cela ne changera pas d’un coup de baguette magique. Je dois avouer que j’aurai bien aimé la voir un peu plus cette demoiselle qui sait ce qu’elle veut.

Pour les deux frères restant, eux aussi ont leurs rôles à jouer et n’hésiteront pas même si la vie de Pochi est en danger. Après tout, c’est une humaine et donc un casse-croute de base… Mais pas n’importe quel casse-croute et ça, ils le savent parfaitement au point de l’utiliser pour arriver d’une manière ou d’une autre à leurs desseins. Y arriveront-ils ? Ce n’est pas à moi de vous le dire ! Ce qui est certain c’est qu’eux aussi ont eu droit à leurs développements bien que plus courts que d’autres étant donné qu’ils sont apparus plus tard et à leurs futurs, je me suis même demandé ce qu’il se serait passé si un certain événement avait eu lieu.

Pour ce qui est de l’histoire, mes questions ont eu leurs réponses que ce soit par rapport aux personnages principaux ou aux derniers venus. Même ce satané serpent aura été bien présent cette fois. Bien qu’elle fût courte, la fin s’avère logique et expliquée ce qui ne m’a pas donné un goût de trop peu… Même si j’aurai voulu en avoir plus comme d’habitude et puis je ne voulais pas quitter la bande. En tant que dernier volume, il est également relativement riche en action suite aux derniers événements et je ne me suis pas ennuyée une seconde en tournant les pages. Non, je voulais toujours en savoir plus, savoir ce qu’il se passerait, de quelle manière cela tournerait.

Pour les dessins, ils collent toujours autant à l’univers et j’aime toujours autant scruter les différents éléments apparaissant, les différences entre les personnages, les peuples pouvant pointer le bout de leur nez ou juste un détail. Oui, oui, c’est habituel et pourtant j’ai souvent l’impression de redécouvrir un élément lorsque je relis un tome de la série. Ce quatrième volume ne fera sûrement pas exception à la règle me connaissant.

Et comme toujours du côté de l’édition, la traduction me semble sans problème. Les dialogues continuent de coller aux personnages – Hormis Pochi pour une raison évidente durant un bon moment – et permettent à l’humour, présente dans l’œuvre, d’apparaître sans aucune difficulté. Bien évidemment, il n’y a pas que cela vu que c’est grâce à ceux-ci que nous découvrons les différents éléments de l’intrigue qui prend fin ici. Le manga est, de son côté, toujours souple même s’il ne faut pas non plus le plier jusqu’à l’impossiblen’essayez pas de faire un origami avec, je vous dis ! quant aux pages, elles gardent gentiment leur encre ce qui me va parfaitement. Pas de flaques noires, pas de dialogues jouant à cache-cache tout est sous contrôle pour le moment.

Ah… Le temps sera passé bien trop vite tout de même pour cette douce série… J’ai naturellement du mal lorsque la fin se profile et comme j’ai réellement apprécié la bande cela me rend d’autant plus triste. Après tout, durant ces quatre tomes ils ont fait partie de « nos vies » à leurs manières en apportant leurs bonnes humeurs, leurs coutumes et leurs moments bien plus tourné action. Pochi & Kuro fut une très belle découverte durant cette année 2017 que je n’attendais pas du tout, je dois l’avouer, et que je ne regrette pas d’avoir découvert au fil des mois depuis la sortie du premier volume.

Ce furent vraiment de beaux moments et une histoire qui m’aura fait du bien lors de périodes plus difficiles, de ce fait je me replongerai sans aucune difficulté dans leurs aventures depuis le début dans quelques temps. Un futur article – loin dans le futur, mais tout de même – reprenant le tout pointera le bout de son nez lorsque ce sera fait pour notre dernier voyage en leur compagnie !

Et vous les matous, comment avez-vous trouvé le titre ? Quel personnage avez-vous préféré ? Lequel auriez-vous voulu voir un peu plus souvent ?

 

Site de l’éditeur – Extrait

La clé d’Oriane

Et coucou les matous ! Oui, cette semaine est bien plus chargée en article que les autres semble-t-il, mais ne comptez pas sur moi pour faire tout à fait pareil la semaine prochaine. J’espère que vous allez bien et profitez un peu lors de vos pauses si vous êtes en cours ou au travail. Pour ceux qui l’auraient manqué, j’ai parlé pour la première fois d’un yaoï sur le blog hier avec Ikumen After alors n’hésitez pas à aller lire l’avis si cela vous intrigue.

Aujourd’hui, c’est un roman auto-édité qui pointe le bout de son nez dans notre antre. D’une certaine manière cela devient une sorte de petit rendez-vous à certains moments du mois quand j’y pense… Vous vous demandez sûrement dans quel monde je vous entraîne cette fois-ci et bien n’attendons plus ! On rejoint…

« La clé d’Oriane »

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3€99 & 9€99 (broché) – Fantastique – 190 pages

Oriane est une dessinatrice talentueuse. Elle tente de se remettre d’une rupture difficile en s’adonnant à sa passion, les jeux vidéo en ligne. Mais lorsque le héros sort de l’écran, le virtuel se mêle au réel, la fantasy à la science-fiction, et tout est bouleversé…

Bien malgré elle, l’héroïne se trouve entraîné dans une enquête haletante qui fait hurler de rire à chaque page !

Avant de débuter, je remercie Leslie HELIADE et la plateforme Simplement Pro qui m’ont permit de découvrir le titre dont le résumé m’intriguait déjà dès sa lecture lorsque Leslie me l’a proposé. Une belle surprise en soi et j’ai accepté joyeusement la demande avant de me plonger dans les 190 pages constituant l’ebook reçu.

Comme toujours, je l’ai lu sur mon IPOD – oui, il tient le coup le petiot ! – et je n’ai eu aucun souci pour le lire malgré les nombreux bugs dont il commence à souffrir. Bah oui, il fini par me fermer des pages tout seul alors je me méfie à force lorsque je lis… Heureusement pour moi, il ne le fait jamais – pour le moment – et ne l’a pas fait cette fois-ci non plus ! Mais revenons-en à l’article en lui-même mes matous !

De quoi nous parle La clé d’Oriane ? Et bien, d’une jeune dessinatrice talentueuse nommée justement… Oriane ! (Oui, ce n’était pas compliqué, je sais) La demoiselle essaie de se remettre d’une rupture avec un policier, Xavier, en jouant aux jeux vidéo sauf que quelque chose de relativement anormal va se passer. L’un des personnagesnommé Serrurese pointera gentiment dans le monde réel et ne sera vu que d’Oriane. Comment est-il arrivé là où se déroule l’histoire ? Comment ne pas être prit pour une folle lorsque l’on est la seule personne à voir un tel être et à qui se confier ? Une enquête démarrera avec un humour bien présent et de nombreuses références à des univers connus de la plupart des gameurs !

Notre héroïne est une jeune  femme aimant les jeux de rôle et au style gothique. Suite à sa rupture avec Xavier – qui fera un magnifique choc à Oriane – elle se réfugiera chez Chloé, l’une de ses amies, qui lui proposera de jouer à un nouveau jeu afin de se changer les idées. Une méthode approuvée par pas mal de personnes au fond vu que le temps de la partie le joueur est, d’une certaine manière, le personnage qu’il joue. Le hic ? Comme vous l’avez-vu plus haut un dénommé Serrure va se pointer dans notre monde et n’être vu que par Oriane. Oui… N’importe qui dirait qu’elle est folle ou penserait avoir des hallucinations si l’on était à sa place.  Sauf que… Ce n’est pas le cas.

Pour ce qui est de Serrure c’est un voleur d’une trentaine d’année si je ne me trompe pas (moi et les âges de toutes manières…) à l’humour et aux répliques faisant mouche sans difficulté. On se demande ce qu’il fait ici, comment il a fait pour parvenir dans notre monde, pour quelles raisons seule une personne le voit. Après tout, un personnage de jeu vidéo devrait rester dans le monde qu’il connait à l’origine… Ce qui signifie, pour Serrure, un monde plutôt RPG avec des quêtes, des tavernes et tout ce qui fait la joie des jeux de rôle en fait ! Sauf que le jeune homme connaît également pas mal d’autres jeux qui vous rappelleront sûrement des souvenirs. Je suis certaine que certains titres vous diront quelque chose. (D’ailleurs, je suis d’accord avec lui Assassin’s Creed est un monde dangereux si on veut y passer des vacances…)

On rit en compagnie du duo de base, on vit leur quête ainsi que les différentes phases de la pauvre Orianequi est un personnage féminin au topdevant tout de même faire avec un voleur bavard invisible aux yeux de tous. Et oui, Serrure n’est pas du genre à être muet comme une carpe. Les différentes références aux jeux vidéo également sont de la partie vu que nos deux nouveaux amis connaissent chacun à leur manière cet univers. De plus, on voyage également dans Paris ! Comment ça, je ne vous avais pas dit que l’histoire se déroulait en France ? Et bien c’est fait à présent.

Comme vous l’avez lu, l’histoire est une enquêteet pourrait même être considérée comme une quête si l’on se base sur les jeux – nous permettant d’en savoir plus, de découvrir les lieux, de se dire que la pauvre Oriane à tantôt de la chance, tantôt pas du tout… Et surtout de rire, de s’attacher, de réfléchir en leur compagnie. Et puis, des enquêtes pareilles j’en redemande pour ma part ! Surtout que mon imagination me permettait sans problème de voir les lieux et les protagonistes, de visionner sans difficulté ce qu’il se passait.

Et pour ça, la plume de l’auteur fait un travail remarquable. Parce que oui, c’est elle – et donc Leslie – qui permet tout cela à l’aide des descriptions et des répliques. J’avais l’impression d’être en compagnie de ces êtres fait de papier et d’encre. On ne s’ennuie pas, tout s’enchaîne logiquement et toute discussion à son utilité que ce soit pour détendre l’atmosphère, nous en apprendre plus ou « être » avec eux. De plus, la lecture est fluide et rapide au point de ne pas me faire lâcher le pauvre IPOD – vous vous souvenez de cet être surexploité ? – avant la fin de l’ebook. Une fin me donnant envie de rester en compagnie de la troupe, de les retrouver encore et encore…

Mais les bonnes choses ont toujours – à ce qu’il parait – une fin… Et j’ai bien dû éteindre mon acolyte avant d’écrire mon avis et vous le partager. Toutes les émotions retrouvées durant la lecture, les questionnements, l’envie de ne pas finir, les rires et le simple fait que j’apprécie énormément les personnages. Ils m’auront fait passer un bon moment, un merveilleux voyage tout en profitant de toutes les références connues ou inconnues, parce que non je ne connais pas tous les jeux, mais mettant des étoiles dans les yeux malgré tout. Certes, je ne sais pas comment j’aurai réagit dans la vie de tous les jours si un personnage tel que Serrure était apparu comme par magie, mais il faut dire qu’il est réellement agréable à découvrir.

Et vous les matous, connaissez-vous le titre ? L’avez-vous lu ? Si non, compteriez-vous le lire ? Jouez-vous aux jeux vidéo ? Quel est le genre que vous préférez ? Souhaiteriez-vous qu’un personnage apparaisse chez vous et si oui lequel ? Aimeriez-vous découvrir d’autres mondes ?

 

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Shirayuki aux cheveux rouges – Tome 1

Yop les matous ! Comment allez-vous ? Pas trop froid ? Il faut avouer que ça c’est refroidit dernièrement, il y a même eu de la neige. Ça change quand même de la pluie… De quoi ? Pourquoi je vous parle de la pluie et du beau temps ? Heu… Bonne question.

Mais reprenons nos sujets principaux voulez-vous ? Oui, c’est moi qui ai tergiversé je sais… Vous vous y connaissez en plantes ? Sur la manière de soigner tel ou tel maux ? Non ? Bon… Est-ce que vous savez vous battre à l’épée alors ? Parce que l’un ou l’autre, ça peut être utile vu que nous allons rejoindre Shirayuki ! Oui, enfin, il en aura prit du temps ce pauvre petit avis.

« Shirayuki aux cheveux rouges »

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6€85 – Shôjo – 208 pages

Rouge est la couleur du destin.

A cause de sa chevelure rouge, Shirayuki attire bien des regards… Dont celui du prince Raji qui veut en faire sa concubine ! Résolue à prendre en main son destin, Shirayuki s’enfuit et fait la connaissance de Zen. Une étrange amitié naît entre la jeune fille et ce prince aux allures de vagabond. Quelles aventures incroyables vont-ils traverser ?

Sorti aux éditions Kana, Shirayuki aux cheveux rouges de Sorata Akiduki nous plonge dans un univers médiéval où se trouvent différents royaumes. Shirayuki, l’héroïne, est une jeune femme ayant une caractéristique assez spéciale. Là où vous croisez fréquemment des personnes aux cheveux blonds, roux, châtains ou bruns, la demoiselle les a rouges comme une pomme. Ceci n’étant pas commun, elle attire l’attention malgré elle au point qu’un prince désire en faire sa concubine.

Je dois avouer avoir apprécié Shirayuki, la demoiselle n’est pas si naïve que ça et sait se débrouiller un minimum. Elle nous le montre bien durant ce premier volume où nous découvrons les différents personnages et là où Yona, l’héroïne de Yona Princesse de l’Aube, m’agaçait au début (ce qui c’est arrangé par la suite *tousse*) pour Shirayuki c’est tout le contraire. J’apprécie assez le personnage au point de ne pas lui hurler dessus pour telle ou telle action. Quant à Zen, il est assez sympathique et l’on devine aisément poindre la romance entre les deux protagonistes. Après tout, nous nous trouvons dans un shôjo et il est rare qu’il n’y ait pas une histoire d’amour dans ce genre.

Dans ce volume, nous découvrons principalement les personnages au fil des chapitres présents. Il nous permet de mettre en place l’histoire, mais également les liens existant déjà entre chacun des protagonistes. Tous semblent avoir un rôle à jouer, même s’il n’est pas obligatoirement clair dès le départ et nous les découvrirons sûrement au fil des tomes qui suivent. Ceux que je n’ai pas encore bien sûr, ahaha. (Bah oui, j’ai un peu commencé plus tard que beaucoup de gens… Comme très souvent…)

Les dessins nous permettent de savoir, sans aucun problème, les émotions ressenties par les personnages mais nous reconnaissons également facilement chacun des protagonistes et c’est pareil pour les lieux. Heureusement me direz-vous vu qu’il y a quand même une forêt, un château et d’autres endroits parcouru par Shirayuki. Ce serait bête qu’ils se ressemblent tous et que nous nous y perdions. (Déjà que j’ai un mauvais sens de l’orientation, on évitera les lieux qui se ressemblent de trop ;_ ; )

A la fin de ce premier tome de Shirayuki aux cheveux rouges, se trouve un One Shot qui s’est avéré assez agréable à lire où le lecteur est plongé dans une période agréable : les vacances d’été. On y fait la rencontre d’Aki, Haru, Natsu et Fuyu – dont ce ne sont pas les vrais noms, mais des surnoms – et ce One Shot s’avère assez surprenant sur certains aspects. Il était également assez mignon et j’ai passé une bon petit moment en le lisant. Il y a également quelques pages Bonus où l’on en apprend un peu plus sur les personnages ainsi qu’une page où l’on voit un cauchemar d’un des antagonistes (on va l’appeler comme ça pour éviter de dire qui c’est…) de ce tome. On se rend compte qu’un certain événement se déroulant dans ce premier volume l’a vraiment marqué.

Shirayuki aux cheveux rouges titille ma curiosité et je me dis que je tenterai bien de trouver le tome 2 afin de le lire et voir vers quoi ce dirige ce shôjo. Sinon, il était assez agréable à découvrir et voir une héroïne pas trop naïve change également de pas mal d’autres titres du genre, c’était assez rafraichissant. Elle sait se débrouiller et n’hésite pas à aller de l’avant par rapport à ce qu’elle désire faire, peu importe les obstacles elle cherchera une solution. Quant à la traduction réalisée par Pascale Simon, elle était vraiment agréable à lire et collait à chaque personnage, chaque situation. Bon bah, je sais ce qu’il me reste à faire : lire le tome 2 lorsque j’en aurai l’opportunité, parce que ma curiosité me pousse à voir ce cela va donner.

Et vous, qu’en avez-vous pensé ? Je sais qu’un anime existe, l’avez-vous vu ? Voulez-vous débuter le manga  (ou l’anime) ?

Site de l’Editeur – Extrait

La maison du soleil – Tome 1

Coucou les matous ! J’ai enfin terminé mes examens et bon sang que ça fait du bien. Une petite semaine de repos avant de reprendre et de préparer mon stage, le bonheur. Et de votre côté, comment ça va ? Pas trop mal j’espère malgré la grippe qui se balade pour le moment. L’article était censé sortir hier, mais suite à une virée boutique imprévue il ne sort qu’aujourd’hui ^^’

Dans quoi allons-nous nous diriger aujourd’hui ? Ah… J’ai tant de mangas sur lesquels je peux vous parler (dont un pour lequel la chronique traine, je sais >.<) et nous nous dirigeons vers l’un des mangas sortit en ce début d’année : « La maison du soleil » Prêt à le découvrir les matous ?

« La maison du soleil »

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6€95 – Shôjo – 200 pages

Petite, Mao passait ses journées dans la famille d’Hiro, son voisin d’en face. La vie y était joyeuse et insouciante et comblait le vide qui était en elle.

Plusieurs années ont passé… Le père de Mao s’est remarié et la jeune fille se sent étrangère sous son propre toit. Hiro, lui, vit seul dans la maison familiale depuis le décès de ses parents. Il propose alors à Mao d’emménager chez lui…

Commençons par le commencement « La maison du soleil » est un shôjo manga sorti aux éditions Pika et créé par TAAMO dont nous n’avions pas encore eu de manga licenciés en Europe (ou alors j’ai réussi à les rater, mais je ne pense pas)

Durant son enfance, Mao passait énormément de temps chez les Nakamura car la joie et l’animation s’y trouvant étaient tout le contraire de chez elle. Là-bas, elle se sentait heureuse malgré son quotidien pour le moins compliqué. L’histoire en elle-même ne révolutionnera pas le genre je pense -mais difficile d’en être certaine après un tome – mais reste assez mignonne et touchante.

Les personnages que l’on découvre dans ce volume sont principalement Mao (Mayo *fuit*) et Hiro, deux amis d’enfance qui finiront, suite à quelques événements, par vivre ensemble. De ce fait, vous comprenez vite que nous nous trouvons plutôt dans la tranche de vie qu’autre chose pour ce shôjo. Tranches de vie que j’ai plutôt appréciées grâce aux changements de point de vue. Après  tout, nous sommes de temps en temps du côté de Mao et à d’autre moment du côté d’Hiro ce qui nous permet de savoir ce qu’il se passe de chaque côté ou de connaître des informations inconnues de l’autre personnage.

Voir le duo, qui n’a tout de même pas eu une vie facile, évoluer au fil des pages et avancer petit à petit au contact de l’autre. Les sentiments, les relations avec d’autres personnes, tout cela nous apparait petit à petit au fil des pages et le quotidien de Mao et Hiro se pare de rayons solaires lorsqu’ils peuvent être ensembles. Eux qui connaissaient la solitude, découvrent ce que cela fait de vivre avec quelqu’un d’autre, d’être réellement en contact avec cet être. A côté de nos deux protagonistes apparaissent, petit à petit, d’autres personnages, des camarades de classe ou des collègues. Eux aussi se rapprochent d’Hiro et Mao ou semblent montrer une certaine distance avec les personnages principaux. De ce fait, nous nous demandons tout de même comment évoluera la suite et si les diverses relations existant déjà changeront.

Les dessins sont assez doux, je dois juste avouer qu’au début j’avais un peu de mal avec les yeux de Mao mais au fil des pages et du temps on s’y habitue finalement assez rapidement. Ils sont vraiment dans le ton du manga et nous transportent également dans le quotidien de Mao et Hiro. J’aime beaucoup les teintes de la couverture, elles attirent l’œil et restent, pourtant, assez douces. Pour ce qui est de la traduction réalisée par Claire Olivier, elle colle parfaitement aux différents personnages, à leurs caractères et rien qu’à leur façon de parler il est facile de reconnaître qui est en train de discuter. Les dialogues étaient vraiment agréables à lire et à découvrir au fil des pages

Pour ce premier tome, La maison du soleil nous fait découvrir le quotidien de Mao et Hiro de manière assez douce et ce malgré tout ce qu’ils ont pu vivre auparavant. Un quotidien assez simple en soi étant donné que Mao est lycéenne et qu’Hiro travaille, mais le fait est que les voir apprécier de petites choses pouvant être considérées comme banales par beaucoup de gens fait un bien fou. Qui ne s’est jamais dit que manger en compagnie de quelqu’un était bien mieux que d’être seul dans un coin ? D’ailleurs, je suis bien d’accord avec la petite phrase présente au-dessus du résumé – et de la petite maison – se trouvant sur la quatrième de couverture qui est : « Une romance poétique où l’optimisme apaise les blessures de l’âme » parce que c’est réellement le cas. L’optimisme peut changer tellement de choses dans une vie et souvent par petites touches au début. La maison du soleil le prouve assez bien et je me demande ce que nous réservera la suite de cette série en 13 tomes. Ce qui est certain c’est que l’optimisme présent dans l’histoire fait du bien au moral, un peu comme lorsque le soleil brille, et que ma curiosité me poussera à tenter le tome 2 !

Et vous l’avez-vous lu ? Vous tente-t-il ?

Site de l’EditeurExtrait

 

Les achats du mois de… Décembre

Coucou les matous ! Le mois de Décembre c’est bien passé ? Vous avez reçu plein de cadeaux ? Personnellement, j’aurai découvert la bibliothèque se trouvant à Namur et je suis bien contente de m’être perdue un peu en ville sur le coup ♥ Cela me permettra de lire certains mangas que je ne trouve peut-être pas obligatoirement ou d’en essayer d’autres avant de me lancer… En tout cas, ce qui est sûr c’est que niveau découvertes cela devrait aller !

L’année vient de débuter, mais qui dit début d’une nouvelle année dit… Nouveau mois. Voici donc le récap’ de tout ce que j’ai eu entre les mains le mois passé (et que j’ai acheté dans la plupart des cas) Pour ceux que ça intéresse un bilan pour l’année 2016 est sortit le 1 janvier (et pour ceux ne l’ayant pas encore lu, c’est que beaucoup l’ont déjà vu)

Service presse :

♫ 1 petit arrivant. ♫

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  • Black Clover (KazéTome 1)

La suite arrivera également dès que cela sera possible au fil des semaines 😀

Suites :

♫ 8 achats pour deux séries terminées ♫

  • Food Wars ! (Delcourt/Tonkam – Tome 14)
  • Food Wars ! L’étoile (Delcourt/Tonkam – Tome 2)
  • Magdala Alchemist Path (Ototo – Tomes 3 & 4) [Terminée]
  • Magi The Labyrinth of Magic (Kurokawa – Tome 24)
  • Q-Kou (Ki-Oon Tomes 3 & 4) [Terminée]
  • Save Me Pythie (Kana – Tome 5)

Vous vous demandez sûrement la raison pour laquelle je ne mets pas [Terminée] à côté de Save Me Pythie et bien c’est tout simple… J’ai tout lu, mais n’ai pas tous les volumes à la maison. Alors, je dois encore les acheter >.< *veut la collection complète*

Nouveautés :

♫ 2 achats ♫

  • Shirayuki aux cheveux rouges (KanaTome 1)
  • Yo-Kai Watch (KazéTome 1)

J’aurai presque chroniqué toutes mes nouveautés du mois de décembre quand on y pense oo’ Bon bah, Shirayuki aux cheveux rouges arrivera sûrement dans le courant du mois de janvier si tout va bien !

Emprunts :

♦ 4 petits emprunts ♦

  • Golden Kamui (Ki-Oon – Tomes 1 & 2)
  • Sorcière&Ténèbres (Komikku – Tomes 1 & 2) [Terminée]

Deux univers très différents sur le coup. Une série toujours en cours alors que l’autre est déjà finie. Vous vous doutez que je vais vous en parler sur le blog dès que possible après tout, tout est déjà écrit dans mon cahier spécial chroniques ! De jolies découvertes en tout cas !

Cadeaux de Noël :

♦ 7 mangas (qui en feraient 14 s’ils étaient en tomes simples) et 1 Blu-ray ♦

  • L’Attaque des Titans (7 Doubles tomes Belgique Loisir = 14 tomes Pika)
  • Baccano (Blu-ray)
  • Bravely Second (3DS)

L’Attaque des Titans ou le manga que je n’avais pas du tout essayé lors de sa sortie et que ma mère a décidé de m’offrir pour Noël. Le carton les contenant pesait une tonne n’empêche, je comprends mieux pourquoi le facteur avait du mal, ahaha. Comme je les lis pour le moment je peux dire que c’est une agréable surprise ! Pour Baccano, c’est mon père qui me l’a offert, pareil pour Bravely Second, et j’en avais envie depuis un bon moment ♥ Ah et je n’ai mit qu’une couverture sur deux en image par simple facilité *tousse*

Goodies :

  • Peluche – Zeus poulet (Save Me Pythie)
  • Figurine – Komajiro [+ médaillon] (Yo-Kai Watch)
  • Médaillons – Jibanyan fureur du chaton (Yo-Kai Watch)

Deux goodies provenant de mangas, c’est-à-dire la peluche vraiment trop, trop douce et adorable qui trône non loin de mon lit à présent et le médaillon de Jibanyan. Pour moi qui en achète lorsque cela est possible c’était une aubaine ♥


En soit, pas mal de découvertes durant le mois de décembre. Entre un nouveau lieu – parce que non, je ne situais pas du tout la bibli’ – et des mangas par-ci par-là, il faut avouer que c’était assez vivant ! J’ai ajouté une partie « Goodies » vu que j’en avais pour une fois (dont l’un est, encore, un cadeau de ma mère ♥) Passons rapidement à la suite à présent !


Que vais-je terminer dans les prochains mois ?

12 achats plus que probables dans les mois qui suivront afin de finir l’une ou l’autre série.

  • Library Wars – Love and War [Glénat ; 15 tomes][Il me manque 5 tomes]
  • Alice au royaume de Joker [Ki-Oon ; 7 tomes][Il me manque 4 tomes]
  • Save Me Pythie [Kana ; 5 tomes][Il me manque 3 tomes]

Que vais-je, probablement, débuter ?

  • Orange [Akata ; 5 tomes]
  • Card Captor Sakura [Pika ; ?][Si l’édition Anniversaire/2017 sort enfin **]
  • Baby-sitters [Glénat ; ?][Envie redonnée par MinehaOtaku sur Twitter]
  • Space Brothers [Pika ; ?][L’envie de le débuter a été donnée par Nintenn (Le Dévorêve)]

Pfiou 😀 J’aurai pas mal écrit sur le coup malgré moi oo’

Et vous, qu’avez-vous lu ou découvert ? Qu’avez-vous reçu comme cadeau ? Avez-vous des titres à conseiller ? ^o^