Challenge personnel – Saga à terminer

2021, une nouvelle année… Une année où je voudrais bien terminer certaines séries – et en débuter d’autres, mais ça je verrai au fil du temps -, une année où j’ai envie de me faire un petit challenge à ce niveau. L’article sera mis à jour, à chaque fois, qu’une saga que je fais se terminera dans ma bibliothèque et à la fin de l’année cela me permettra de visualiser un peu mieux ce que j’aurais effectué ! Tant qu’une série ne sera pas finie, je me retiendrai de craquer sur une nouvelle… C’est dur, mais il le faut sinon j’en aurai certaines qui attendront durant longtemps encore…

                • Les titres proposés par des ami/es

Kazé – Cœur de hérisson (Manque 2 tomes)

Hozuki est le mauvais garçon du lycée, connu pour être bagarreur et insociable… Seule Kii, une fille de sa classe, le voyant comme un hérisson sur la défensive, se prend d’affection pour lui et lui adresse la parole. Une amitié naît entre eux, évoluant rapidement en amour du côté de la jeune fille. Or, face à Hozuki qui n’arrive pas à faire la différence entre ces deux sentiments, leur relation s’annonce compliquée…

Ki-Oon – Im Great Preast Imhotep (Manque 3 tomes)

Depuis qu’elle est toute petite, Hinome n’a aucun ami. À l’école, on la dit maudite… Et pour cause : chaque son qui sort de sa bouche se transforme en flamme mortelle ! Alors qu’elle rentre comme d’habitude chez elle sans avoir parlé à qui que ce soit de la journée, elle tombe sur un étrange garçon en pleine cavale dans les rues de Tokyo. Elle lui propose de l’héberger, avant de découvrir qu’elle a devant elle rien de moins qu’Imhotep, le plus grand prêtre-sorcier de l’Égypte ancienne ! Malgré ses airs d’adolescent, il cache d’immenses pouvoirs… si grands qu’il s’est attiré la colère des dieux. Considéré comme le pire criminel de tous les temps, il a été condamné à un sommeil artificiel…
Mais 3 000 ans plus tard, le monde est de nouveau menacé par les Magai, des démons maléfiques, et les geôliers d’Im n’ont d’autre solution que de faire appel à lui pour régler le problème. Imhotep, qui voue une haine profonde à ces créatures, ne se fait pas prier pour les éliminer… en commençant par celle qui avait pris possession du corps de Hinome ! Réunis par le destin, Im et la jeune fille se lancent dans un combat sans pitié, avec pour le mage une chance de trouver la rédemption au bout du chemin…

Ki-Oon – Père & Fils (Manque 3 tomes)

Torakichi, apothicaire ambulant, passe la majeure partie de son temps sur les routes pour rendre visite à ses clients. Résultat, il n’a quasiment jamais vu son fils de trois ans, Shiro… À la mort de sa femme, il prend une décision qui changera sa vie : celle d’emmener le petit garçon avec lui sur les routes !
Mais si Torakichi est incollable sur les plantes médicinales, il n’y connaît rien aux enfants et est loin d’être un père modèle… Pourquoi Shiro pleure-t-il ? Pourquoi se réveille-t-il en pleine nuit ? Entre les soucis du quotidien et son travail éreintant, le jeune papa est complètement dépassé. Les aléas du voyage et les rencontres diverses l’aideront-ils à renouer le lien perdu avec son fils ?

Glénat – Library Wars (Manque 3 tomes) J’en avais déjà parlé ayant tout lu, mais ne possédant pas tout… Du coup, opération avoir les tomes manquants !

Japon, un futur sombre et incertain…
Au début de l’ère Seika (ère fictive), le gouvernement a voté un texte appelé “Loi d’Amélioration des Médias” et qui vise en réalité à un contrôle renforcé de la culture. L’armée est ainsi mise à profit pour censurer et détruire les ouvrages susceptibles de troubler l’ordre public, ou de porter atteinte aux valeurs de la patrie !
Afin de lutter contre cette répression, les bibliothèques se sont fédérées et mobilisées afin de créer une unité d’élite spécialement entraînée pour protéger les livres et leurs lecteurs. Depuis que, lectrice, elle fut sauvée d’une rafle par un des membres de cette unité d’élite, Iku Kasahara rêve d’en faire partie à son tour. Mais l’entraînement, mené d’une main de fer par son instructeur, s’avère impitoyable !

Pour un total de 11 tomes, cela devrait aller en dispatchant comme il se doit sur l’année.

                • Les titres que je terminerai cette année

Kurokawa – Magi The Labyrinth of Magic (Manque 5 tomes)

Aladin est un jeune garçon étrange qui ne se sépare jamais de sa flûte. Et pour cause, elle abrite Hugo son gigantesque compagnon sans tête. Il rencontre Ali Baba, qui ne rêve que de grandeur et de richesse. Il compte sur les labyrinthes, des ruines mystérieuses débordantes de trésors pour atteindre son but, et… sur la flûte d’Aladin. Arriveront-ils à déjouer les pièges mortels du labyrinthe et à se défaire de la convoitise d’autres personnages bien plus puissants ?

Kurokawa – Silver Spoon (Manque 1 tome) [Terminé]

Lorsqu’il arrive au lycée agricole Ohezo, situé sur l’île d’Hokkaïdo au nord du Japon, Yûgo Hachiken croit que sa vie sera facile : avec tous ces fils de fermiers incapables d’aligner deux équations, devenir premier de sa classe sera une partie de plaisir !
Mais c’était sans compter les cours d’élevage, de sciences de la nutrition, de gestion agricole et les clubs de sport épuisants… Comment va-t-il faire pour survivre dans cette galère !?

Kazé – The Promised Neverland (Manque 3 tomes) [Terminé]

Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et soeurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible ! Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !

Pour un total de 9 tomes, du moins si deux titres n’ont pas de retards… Le premier étant déjà terminé, il faut juste que j’achète petit à petit les tomes sortis ! Pour ce qui est de Silver Spoon et de The Promised Neverland, ils doivent normalement se terminer en 2021, nous verrons bien.

                • Les titres terminés

Tous les titres que je terminerai cette année seront répertoriés ici, cela me permettra à terme de voir le nombre. Bien sûr, il est fort probable que des titres non inscrit plus haut s’y trouvent… Ce sera en fonction de mes trouvailles.

  1. Mystical Beast Investigator : Une petite série en deux tomes des éditions Ototo qui fut une agréable surprise… Mais bien trop courte… J’aurais bien aimé que cela dure plus longtemps… Plus qu’à espérer qu’un jour le Light Novel sorte.
  2. Seven Deadly Sins : 41 tomes, l’une de mes séries les plus longues et qui m’aura fait passer par de nombreuses émotions. Je suis ravie d’avoir réussi à avoir l’édition limitée du dernier volume, d’avoir pu trainer un peu plus longtemps en compagnie des personnages.
  3. Silver Spoon : Série en 15 tomes dont le dernier aura pris un peu plus de temps à sortir, mais une série qui m’aura longtemps accompagnée. J’aime beaucoup la mangaka, ce qu’elle nous a dépeint dans ce manga et tout ce que l’on peut apprendre au fil des pages, l’humour également. Une autre série qui se termine. Cela fait… Bizarre…
  4. The Promised Neverland : Série de 20 tomes, l’une de celles qui m’aura tenu en haleine même si certains arcs étaient en-dessous des autres. Mon préféré restera celui du début, celui qui aura lancé le tout. Les petites recherches dans les tomes également auront été un plaisir, une douce surprise !

Nombre de tomes totaux : 78 tomes ; Nombre de tomes achetés : 6 tomes

Et vous, quelles sont les titres que vous comptez tenter de terminer cette année ? Quels sont ceux qui attendent sagement dans vos bibliothèques de voir les tomes manquants ?

Coffret – The Promised Neverland [Unboxing]

Coucou les matous ! Vous vous demandez sûrement ce qui prend autant de temps pour des parutions sur le blog ? Et bien, la réponse est simple : j’ai du mal à prendre en main la nouvelle interface… Et je relis énormément de tomes afin de vous faire des articles complets. Oui, oui, ça prend pas mal de temps tout ça… En attendant je suis surtout sur Instagram. J’ai également un Tipeee où les contreparties sont liées à la photographie, l’argent récolté me permettra d’acquérir du matériel et de vous faire des unboxings de manière plus régulières.

Voici donc le premier, j’ai réussi à ENFIN acheter l’un des coffrets de ce manga que je suis depuis le début. Vous aviez vu l’Unboxing du service Presse lors de sa sortie également, mais je n’avais pas sût avoir les autres box’ de la série. C’est que les coffrets ou collectors reviennent bien plus cher…

Le coffret que l’on aperçoit lors de l’achat ou lorsqu’on le sort de l’emballage protecteur si on l’a acheté sur le net. J’aime beaucoup les illustrations, les traits et les tonalités… On voit l’avancée, le fait qu’ils continuent le combat sur celle de la première face alors que l’arrière nous montre ce que l’on découvrira dans le coffret ainsi qu’Emma avec sa tenue blanche au-dessus et sa tenue actuelle juste en-dessous. Un reflet d’elle-même, ce qu’elle a été et ce qu’elle est actuellement. Les effets sur l’eau et la lune me plaisent énormément… J’aurais bien aimé avoir la dite illustration au complet sans les éléments nous donnant un aperçu des acquisitions. Illustration que vous voyez un peu mieux ci-dessous :

Elle donne bien n’est-ce pas ? Certes, je m’égosille un peu sur une illustration, mais est-ce si grave ? Vous la retrouverez dans le tome 16 au chapitre 143 en noir et blanc pour les curieux. Et si on continuait ? Prêt ? Passons à la seconde partie du coffret :

Le coffret permettant d’atteindre les mangas et les silhouettes. J’apprécie les parapluies qui rappellent les numéros présents sur le cou de nos personnages, ils peuvent même nous donner des idées sur qui pourrait être en-dessous. L’autre illustration nous montre les Démons, ces êtres mangeant les humains ainsi qu’un Ratri. L’ambiance est plus pesante et dans des teintes chaudes, rougeoyantes… On pourrait presque dire plus sanglantes également. Les deux illustrations donnent réellement bien, même si ma préférence va sur celle où l’on voit les parapluies. Ensuite, sur le bas on y retrouve le logo de William Minerva donnant la sensation que le coffret pourrait faire partie de cette bibliothèque si spéciale… Et oui, je me suis amusée à tenter de comprendre le mot présent. Pour ceux souhaitant essayer :

Pour les personnes voulant la réponse, nous l’avons déjà vu dans l’un des tomes – le 3ème – et plus précisément dans le chapitre 17. Sinon, pour ceux ne souhaitant pas se casser la tête surlignez juste ce qui suit : Monster. Ce n’est qu’un détail, mais ça m’a fait plaisir de le voir !

Les éléments qui apparaissent ensuite sont, comme vous le voyez sur une photo plus haut : les deux mangas et un élément semblant en plastique. Voici tout ce que c’est en réalité :

Le tome 16, celui continuant la série et nous entraînant doucement vers la fin – plus que 4 tomes – de l’œuvre de Kaiu Shirai et Posuka Demizu. Il est nommé « Lost boy » et pour les curieux – si vous n’êtes pas encore là, n’hésitez pas à sauter la citation – voici le résumé :

Pour percer le mystère de la « fille au sang maudit« , Emma et Ray ont repris le chemin des Sept Murs. Une fois la porte passée, ils se retrouvent prisonniers d’un univers qui ressemble étrangement à Grace Field House mais où règne une inquiétante atmosphère. Perdus dans ce labyrinthe qui se joue des lois de l’espace et du temps, parviendront-ils à trouver la sortie ?

J’ai rapidement parlé du tome 15 sur Instagram pour ceux voulant connaître mon bref avis. Pourquoi ne l’ai-je pas encore ajouté ici ? La réponse est plus haut, mais je le ferai plus que probablement… Ou alors j’attendrai d’avoir lu les 20 tomes pour vous faire un avis complet sur le titre. En tout cas, j’ai hâte de me plonger dans ce seizième volume afin de savoir ce qu’il se passe et m’amuser, à nouveau, avec les petites énigmes/recherches. Ces dernières sont toujours présentes et ne sautent pas spécialement aux yeux durant la recherche même avec les petits messages se trouvant sur le rabat de la jaquette.

Le second élément est le Gag Manga, un One Shot de ce que j’ai compris plus humoristique. Ce genre de manga passe ou casse et peut ne pas être apprécié par tous… Je ne sais pas encore ce qu’il en sera, ne l’ayant pas lu au moment où j’écris ces lignes. Voici le résumé :

Retrouvez Emma, Ray, Norman et toute la bande en mode joyeux lurons dans des péripéties farfelues s’enchaînant à un rythme frénétique ! Parviendront-ils à s’évader de Grade Field House au milieu de cette avalanche de gags délirants ?! Quant à vous, parviendrez-vous à reconnaître toutes les scènes-clés qui sont ici parodiées ?

Sur la couverture, nous retrouvons le trio initial ainsi que Little Bernie… Ce lapin qui se trouve également sur la tranche du manga. Le style est totalement différent de l’œuvre originale, cela se voit aisément rien que ce que l’on peut découvrir sur les quelques cases visibles à l’arrière. De ce que je peux voir, en scènes-clés, on retrouve celle où Emma et Norman se cache suite au départ de Connie, voulant lui ramener sa peluche avant qu’elle ne soit trop loin. La discussion entre Mère-Grand (ou Grand-mère) et Isabella dans la salle secrète également… Il n’y a que celle où Ray retire le livre des mains d’Emma que je ne vois pas, hormis l’une des discussions qu’ils auraient pu avoir avant que Norman ne soit livré… J’aurais peut-être plus simple après avoir lu !

Et puis il y a les silhouettes, au nombre de cinq elles étaient protégées dans une pochette en plastique :

Nous avons donc cinq silhouettes dont deux d’Emma, une de Gilda, une de Ray et une de Don. Je m’attendais à en voir une de Norman, je l’avoue, même si j’apprécie énormément Emma et que les deux silhouettes montrent aisément quand elle est armée et lorsqu’elle est en sécurité quelque part. Chacune des silhouettes représentent à merveille nos personnages, ce petit groupe « principal » qui c’est formé au fil des tomes. Elles sont toutes détachables, même si je ne l’ai pas fait ayant préféré les laisser dans le coffret à l’abri pour le moment. Le plastique était assez solide sous mes doigts lorsque je l’ai prit en main et les silhouettes semblent se détacher facilement d’après ce que j’ai pu sentir.

Et voilà qui nous mène à la fin de l’unboxing de ce coffret que vous avez déjà sûrement vu un peu partout. Je reprends doucement, mais sûrement même si vous me voyez peu par ici. J’ai pas mal de petites choses à vous partager, un autre « Unboxing » à faire même s’il n’est pas littéraire, ceux me suivant sur Instagram ayant déjà vu de quoi je parle. Un indice ? Des pins ~ Mais j’avais envie de reprendre avec ce coffret ♥

Et de vôtre côté où en êtes-vous dans The Promised Neverland ? Le lisez-vous ou le regardez-vous ? Avez-vous des coffrets ou des collectors même d’autres mangas ?

Note : 4 sur 5.

Photographies par Neko ; Illustrations/Alphabet morse : Shueisha

Spiritual Princess – tome 1

Coucou les matous, comment allez-vous ? On continue dans la reprise, petit à petit, avec les articles déjà débutés et que je mène doucement à leurs termes tout de même. C’est que les pauvres ont tout de même attendu presque un an avant de montrer le bout de leurs nez…

 

Nous partons une nouvelle fois dans un titre des éditions Kazé, j’en profite pour remercier Anita et lesdites éditions pour l’envoi des deux premiers tomes, j’espère que vous êtes prêt parce qu’aujourd’hui c’est…

 

« Spiritual Princess »

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6€99 – Shôjo – 192 pages
Série en 12 tomes

Akihime a beau être la fille d’un tengu, un demi-dieu reclus sur sa montagne, elle vit parmi les humains avec sa mère et se réjouit de faire bientôt sa rentrée au lycée. Ce qui n’est pas le cas de Shun, son ami d’enfance, déterminé à devenir un tengu grâce à l’aide du père d’Akihime. Ces deux derniers aimeraient que la jeune fille prenne son destin de princesse spirituelle un peu plus au sérieux… Mais c’est Takeru, son charmant camarade de classe, qui occupe toutes ses pensées !

 

Nous partons dans du folklore cette fois, celui bien présent au Japon et composé de créatures diverses et variées. Des êtres que l’on retrouve assez souvent, mais qui nous laissent parfois perplexe lorsque nous ne les connaissons pas, lorsque nous découvrons cette culture pour le moins inconnue au départ. Parce que non, tout le monde ne sait pas forcément ce qu’est un « tengu », et heureusement le résumé nous donne la réponse tout comme l’histoire, ne nous laissant pas perdu à ce niveau. Même si j’aurais aimé avoir plus d’informations sur tout ce qui touche aux tengu et ce n’est pas avec « Spiritual Princess » que j’en saurai réellement plus je pense…

Par rapport à celle-ci, nous nous trouvons dans un shôjo, une histoire d’amour mêlée de fantastique – ou plutôt mythologique dans le cas présent vu la présence d’une déité – se déroulant dans le Japon de notre époque. Akihime est une lycéenne pas comme les autres vu ce qu’est son père, cela ne l’empêche pas de vouloir vivre une vie « normale », de tomber amoureuse… comme n’importe qui ! Sauf qu’elle possède, à l’origine, des obligations, qu’elle est une « princesse spirituelle » et qu’elle ne prend pas du tout son rôle au sérieux… Ce qui peut poser de petits soucis.

Vous l’aurez compris, Akihime est l’héroïne… Une héroïne que l’on rencontre directement dans son quotidien sans avoir de plus amples informations que le fait qu’elle est la fille d’une humaine et d’un tengu avec quelques informations en plus… et que de ce fait certains éléments lui étant propres sont « hors du commun ». Je ne vous dirai tout de même pas tout, histoire de ne pas vous spoiler totalement non plus pour ceux souhaitant se lancer dans l’histoire. La base est assez simple à comprendre, classique en soi et sans trop de surprises… Mais si vous avez lu le résumé, vous avez sûrement vu qu’il y avait d’autres personnages : Shun et Takeru. Le premier est plutôt… Plein de mystères. On ne sait pas grand-chose de lui mis à part qu’il suit un apprentissage pour devenir un tengu tout en vivant une scolarité que l’on pourrait dire « normale ». C’est l’ami d’enfance d’Akihime, celui qui la connaît « normalement » le mieux. C’est avec notre petit duo que l’on se rend compte que les êtres surnaturels sont plutôt bien intégrés dans cette société où peu de choses semblent surprendre… Je ne sais pas vous, mais moi je serais plutôt ahurie de voir quelqu’un soulever un camion à mains nues. Après comme ils vivent là depuis un bon moment, il se peut que ce soit devenu quelque chose de normal pour la population. Enfin, il y a Takeru le garçon dont est amoureuse Akihime et… Et bien aucune idée du pourquoi du comment elle en est tombée amoureuse en fait. Bon au moins on ne tourne pas autour du pot, me direz-vous, mais j’aurais aimé en savoir plus…

Du côté des dessins, ils sortent de l’ordinaire. Cela ne me pose pas problème la majeure partie du temps, mais j’avoue avoir eu du mal à m’immerger avec ceux-ci, à réellement les apprécier. C’est tout à fait personnel et je ne doute pas qu’ils plairont probablement à certaines personnes ou qu’il suffit d’un temps d’adaptation. Pour le reste de l’édition, je n’ai pas souvenir d’avoir vu de coquilles ou d’erreurs au moment où je lisais le manga.

J’ai eu une impression de manque d’informations durant ma lecture de ce premier volume, d’être parfois livrée à moi-même pour comprendre voire extrapoler des événements m’étant inconnu. Pour le reste, malgré ce côté tourné vers les Tengu, je l’ai trouvé assez classique même si j’apprécie le fait que l’héroïne tente d’aller à l’encontre de ce destin qui lui est tracé. Certes, ce n’est pas un problème qu’un manga soit classique, cela fait du bien parfois même, mais ici ce côté classique mêlé au manque d’informations a fait que je me suis sentie éloignée de tout, des personnages, des « légendes » semblant s’y trouver… Et je trouve cela dommage. Il ne reste plus qu’à voir si les tomes suivants permettront d’en savoir plus. On est réellement loin du coup de cœur pour le coup, ce serait presque une déception pour moi en réalité… mais il y a toujours l’espoir de voir avec le deuxième tome ce que cela donnera, qui sait, peut-être qu’une bonne surprise s’y cache ou que je suis tout simplement passée à côté de ce premier volume.

Et vous l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé si c’est le cas ?

 

Maison d’éditionExtraitAmazonIzneoSoutien

Check Me Up – Tome 1

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Petit à petit, le blog reprend des couleurs, des articles et avance à son rythme. Il m’aura fallu le temps, mais je suis de retour pour vous jouer un mauvais tour, pour le meilleur et pour le pire. Et ce tout en douceur tout de même. Cette fois, nous partons vers un service presse reçu des éditions Kazé, je remercie d’ailleurs Anita pour l’envoi ! Prêt ? On y va !

 

 « Check Me Up ! »

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Josei  – 192 pages – 6€99 / 4€99
Série en 7 tomes

« J’ai travaillé si dur dans l’espoir de revoir l’homme de mes rêves… Ai-je pu me tromper à ce point ? »

 

Après cinq ans d’amour à sens unique, Nanase Sakura va enfin revoir l’homme qui lui a inspiré sa vocation d’infirmière ! Engagée dans le même hôpital que le beau médecin qui a bouleversé sa vie, elle déchante rapidement lorsqu’elle découvre sa vraie personnalité́. Craint par presque tout le corps médical, le Dr Kairi Tendô ressemble plus à un démon qu’à un prince charmant…

 

Beaucoup connaissent Maki Enjoji grâce au manga Happy Marriage ?!, mais pour ma part je la découvrais seulement avec ce premier tome de Check Me up ! Mit dans la collection Shôjo de Kazé, ce manga est en réalité un Josei. Son public d’origine est donc plutôt celui des adultes et non pas les jeunes adolescentes comme pourrait, par exemple, l’être Takane & Hana.

Dans ce tome nous découvrons Nanase Sakura, une jeune femme souhaitant devenir infirmière dans le but de retrouver l’homme ayant bouleversé sa vie. Ce début m’a un peu rappelé le départ de Library Wars – Love and War même si le milieu dans lequel nous nous retrouvons est tout autre. Ici, pas de risques pour les bibliothèques de disparaître ou d’avoir un corps armé car nous nous trouvons tout simplement à l’hôpital. Le monde de la médecine et hospitalier apparaît devant nous tout en gardant une certaine « douceur » malgré quelques évènements forts.

Vous vous doutez bien que tout n’est pas heureux dans ce genre d’endroit, j’espère ?

Différents services apparaissent au fil des pages même si nous nous arrêtons un peu plus longtemps sur certains d’entre eux. Pourtant, cela n’entache rien au récit, à l’humour présent et aux personnages que l’on voit évoluer tout doucement, prendre des décisions, avancer, s’en prendre – parfois – plein la figure. Certaines scènes sont touchantes, même si l’humour reste présent dans ce manga sans prise de tête, même s’il arrive que l’on voie la souffrance de certains d’entre eux ou qu’une mauvaise nouvelle ne tombe…

Il est facile de dire que c’est du « déjà vu », oui une demoiselle qui tombe amoureuse de la personne venant l’aider et souhaitant suivre une voie afin de retrouver le « sauveur » cela arrive souvent et même si le premier chapitre est assez « simple », les autres nous entraînent bien plus rapidement, mettent le ton et nous emporte dans la vie de Sakura, dans l’hôpital et les différents êtres y apparaissant. Certes, on se centre principalement sur notre héroïne et le Dr Tendô, mais d’autres apparaissent doucement et peuvent prendre une place qui leur est propre. Des liens différents se créent, même s’ils arrivent qu’ils se défassent rapidement.

Au niveau des dessins, ils sont relativement doux tout en permettant de directement voir que les personnages sont adultes – cela arrive que des personnages de plus de 18 ans aient des têtes d’enfant en fonction du charadesign employé – et j’avoue avoir bien apprécié le trait. Pourtant, je n’ai pas été plus emportée que cela lors de ma première lecture. C’était agréable, mais je ne me suis pas non totalement tombée sous le charme…

Peut-être faudrait-il que je relise une nouvelle fois ce premier tome ou que je tente avec le second, mais ce n’est pas l’une des séries que je classerais comme étant prioritaire dans mes achats. J’ai beau avoir passé un bon moment, je ne me suis pas totalement immergée dans l’univers, le milieu médical, mais peut-être n’était-ce pas, non plus, une bonne période lorsque je me suis lancée dans la lecture. Je suis certaine qu’il trouvera et a dû trouver ses lecteurs, mais voilà, ce n’était pas pour moi sur le moment n’ayant pas réussi à réellement m’attacher aux protagonistes dès le départ. Pourtant, ce titre est rempli d’humour, possède des moments plus sérieux et ce même s’il n’est, justement, pas à prendre totalement au sérieux… Sauf que voilà… ça n’aura pas prit cette fois chez moi. J’ai tout de même commandé le tome 2, étant donné que j’ai quand même passé un bon moment, je verrai bien lors de son arrivée car je reste curieuse de savoir ce qu’il se passera dans la suite. [Et comme dit, c’était peut-être juste lié à mon humeur sur le moment de la lecture]

 

Et vous l’avez-vous lu ? Qu’en avez-vous pensé ?

 

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We Never Learn – Tome 2

Coucou les matous, comment allez-vous en ce mercredi ? Pour ma part, je jongle entre recherche de stage – attente de réponses comprises, sinon ce n’est pas drôle -, travaux qui avancent petit à petit, articles en rattrapage – d’ailleurs les prochaines chroniques seront sur La fille du temple aux chats et le Light Novel Goblin Slayer – et RP sur un forum Harry Potter. Je passe ma vie dans Word actuellement en réalité.

Aujourd’hui, comme je vous l’avais dit dernièrement, nous partons dans un school life des éditions Kazé. J’en profite pour les remercier ainsi qu’Anita pour l’envoi du second tome de cette série. Les rattrapages avancent, doucement, mais sûrement et Inu-chan ainsi que Maman Neko m’épaulent, m’encouragent et n’oublient pas de me secouer lorsque je force de trop. Mais passons ce genre d’informations, vous n’êtes pas là pour cela. Prêt pour la lecture les matous ? Go !

« We Never Learn »

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6€79 – Shônen – 193 pages

Le tutorat de Nariyuki auprès de ses trois élèves se passe bien et Uruka a même réussi son dernier test d’anglais ! Cependant, le proviseur et Mlle Kirisu, la CPE du lycée, doutent que le jeune homme parvienne à aider Rizu et Fumino à progresser. Ils lui lancent alors un ultimatum : si elles n’obtiennent pas la moyenne aux prochains examens… il devra renoncer à sa mission auprès d’elles !

Nous retournons sur les bancs de l’école en compagnie de Nariyuki, Uruka, Rizu et Fumino qui continuent d’évoluer sous nos yeux, d’apprendre dans les matières qui leurs sont plus difficiles et d’avancer. A présent, Mademoiselle Kirisu fait savoir à notre jeune héros que s’il n’arrive pas à faire en sorte que les trois demoiselles réussissent leurs prochains examens en ayant la moyenne, il devra renoncer à cette mission si importante à ses yeux. Non pas parce qu’il est amoureux de l’une d’entre elle, la romance a beau être présente – même s’il est simple d’en faire abstraction si l’on omet certaines scènes – ce n’est pas ce qui pousse notre Nariyuki à aider ces génies. Non… Si vous vous souvenez du tome 1, c’est plutôt l’idée d’une bourse – au départ – qui l’intéresse plus que le reste.

Dans ce second tome, nous nous rapprochons un peu plus des personnages, continuons de les découvrir, d’en apprendre sur eux, de voir leurs forces, leurs faiblesses et parfois les êtres les côtoyant, proches d’eux d’une manière ou d’une autre voire ceux qui veulent attirer leur attention sans pour autant y arriver. Les relations entre chacun d’eux existent, évoluent, peuvent mener à des quiproquos ou être difficiles, des relations comme on en retrouve souvent lorsqu’un groupe est présent, lorsque l’on se retrouve dans de la vie scolaire, mais qui continue de marcher malgré les quelques stéréotypes que l’on peut voir. Il est simple d’avoir une préférence pour l’un ou l’autre des protagonistes que nous côtoyons au fil des pages, des tomes. Pour ma part, la génie des sciences est celle qui reste loin devant des autres tant je la trouve adorable.

Du point de vue de l’histoire, elle avance petit à petit tout en nous rappelant que nos rêves peuvent être en diapason avec nos capacités actuelles, qu’il arrive également que l’on tombe lorsque nous tentons d’avancer et que des personnes tenteront toujours de nous dire ce qui est le mieux pour nous sans pour autant se mettre à notre place. Oui, être un génie en littérature – par exemple – nous prédispose pour tout ce qui est lié aux lettres, mais faut-il absolument se diriger dans ce domaine ? N’est-il pas possible de s’améliorer dans les autres même s’ils sont plus difficiles pour nous permettre de réaliser notre rêve ? Va-t-on obligatoirement se casser les dents lorsqu’on tentera des études ou filières différentes de notre point fort ? Il arrive également qu’une personne extérieure, un être faisant naturellement des efforts pour arriver à avoir de bons résultats finissent par faire réaliser à autrui que tout ne tombe pas du ciel, que les essais à erreurs sont également importants et qu’avancer avec un but est bien plus important que de le faire sans aucune envie, aucun espoir.

Pour ce qui est de la romance, il serait possible de dire qu’elle évolue dans ce second tome même si cela s’avère assez maladroit ou stéréotypé dans certains cas, cette romance reste présente en toile de fond et n’apparait qu’à certains moments dans l’esprit de quelques personnages, suite à des événements non souhaités au départ. Événements souvent vus et revus si nous lisons des histoires d’amour depuis un moment, mais continuant de fonctionner quoi qu’il arrive. Certes, nous pouvons avoir la sensation de « déjà vu » liée à d’autres titres tels que Ichigo 100% ou Hatsukoi Limitedvoire d’autres bien sûr, je n’ai cité que les deux me venant en tête directement – mais étant donné qu’elle reste seulement en toile de fond, actuellement, elle n’est pas dérangeante.

Cette fois, chacun des chapitres nous permet de faire face à l’une des protagonistes féminines, d’en apprendre plus sur elle et de la voir avancer à son rythme. Cela évite d’avoir trop souvent le groupe complet sous les yeux, bien que chacune possède son tempérament, porte le manga à sa manière et puisse avoir certains traits de caractères se rapprochant de nous. Bien entendu, il arrive encore qu’elles soient regroupées ce qui est logique vu que Yuga est leur tuteur, tente de les faire avancer lors de séances de révision. Notre héro est, d’ailleurs, un très bon tuteur qui n’hésite pas à se creuser la tête pour trouver une solution utile, viable sur le long terme, pour ses protégées ce qui est réellement un plus. L’humour reste également bien présent, faisant sourire tout du long et du bien au lecteur qui, au final, ne se prend pas la tête et évolue également en compagnie de toute la petite bande, de leurs déboires, leurs avancées, leurs tentatives. C’est, réellement, l’un des points forts du titre à mes yeux.

Malheureusement, contrairement au premier tome et bien que je sois habituée – il faut dire qu’en lisant Food Wars c’est le genre de scène que l’on a l’habitude de voir – l’ecchi était un peu plus présent, plus voyant que dans le tome 1. L’œuvre n’en a pourtant pas besoin, pouvant l’éviter sans que cela ne fasse tâche, mais il aura fini par apparaître par touches par-ci, par-là. Fort heureusement, il n’est pas encore omniprésent, mais je trouve cela dommage car Taishi Tsutsui commençait réellement bien avec son premier tome. Après, peut-être que ce ne seront que des touches disséminées et non pas omniprésentes tout le long du récit, mais… Mais elles marquent malgré tout. Même si ce sont les premiers émois amoureux, que les remarques peuvent fuser de temps en temps, que l’on se cherche durant cette période, je me demande si l’utilisation du ecchi était réellement propice, s’il n’y avait pas d’autres solutions… D’ailleurs, j’ai bien apprécié lesdites remarques pour ça, car elles collent parfaitement aux discussions que peuvent avoir les adolescent(e)s entre eux, les taquineries, les tentatives de faire comprendre à l’autre que ça se voit comme le nez au milieu de la figure pour ses sentiments.

Ma lecture m’aura donc fait passer un bon moment, même si l’apparition d’un certain sous-genre m’aura légèrement embêtée. Pourtant, il a sa place malgré tout dans ce genre d’œuvre, mais je reste sur mon avis que We Never Learn n’en avait pas réellement besoin… Cela ne m’empêchera pas d’avoir sourit à de nombreuses reprises, fait apprécier un peu plus certains des personnages et que j’ai hâte de voir ce que réservera le tome 3, curieuse comme je suis.

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Y a-t-il l’une des demoiselles que vous préféré ?

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The Promised Neverland – Tome 5

Coucou les matous, comment allez-vous en ce 2 février ? Avez-vous mangé des crêpes, fêté Imbolc ou que sais-je encore ? Pour ma part, Maman Neko en avait préparé et, même si ce ne sont pas les mêmes que d’habitude, elles sont réellement bonnes !

On continue le rattrapage au niveau des articles et je reste dans la lignée du précédent vu que je vous parle une nouvelle fois de The Promised Neverland. Comme ça, je suis à jour pour le moment dans cette série et cela vous permet de savoir mon avis sur les tomes 4 et 5 du coup avant la sortie du sixième volume. J’en profite pour remercier les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce volume, ce qui me permet de vous en parler. Vous êtes prêt ? Go !

« The Promised Neverland »

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6€89 – Shônen – 192 pages

L’évasion

Alors que retentit le signal d’alarme et que le dispositif de sécurité se déploie, Emma et ses camarades se lancent dans une évasion périlleuse. Non seulement ils ignorent tout ou presque des dangers qui les attendent au-delà du mur, mais ils doivent surmonter le chagrin lié à la disparition de Norman… Leur soif de liberté sera-t-elle plus forte que le désespoir ?!

Cinquième tome de The Promised Neverland et celui marquant réellement la fuite des enfants de Grace Field House à travers un monde inconnu tant pour eux que pour nous en réalité. Ils continuent de surmonter le chagrin lié à Norman, doivent avancer, faire des choix et se protéger les uns les autres. Un choix a également été fait par rapport aux plus jeunes, que l’on aperçoit et qui vivent à leurs manières de jeunes enfants, l’un connaissant également la vérité.

Pour ce qui est des personnages, j’ai bien apprécié en découvrir plus sur Isabella et les raisons l’ayant poussées – au fond – à devenir une maman, ses choix, de nouvelles facettes de son tempérament. Même s’il est difficile de lui pardonner, au fond, elle est logique dans ses réactions, ses souffrances passées et sa vie n’aura pas été toute rose. D’une certaine manière, il y a eu un parallèle entre elle et le trio – j’ai du mal à utiliser duo… Je reste dans le déni pour Norman ! par rapport à la souffrance ressentie lors de la perte d’un être cher, de découvrir ce qui est caché de tous et ce même si son chemin diffèrera de celui des personnages que nous suivons. Pour ce qui est des enfants, ils doivent survivre, découvrir un monde qu’ils ne connaissent pas et tout comme nous ils se rendront compte que l’extérieur n’est pas un havre de paix.

L’univers que nous découvrons, qui devait être proche du nôtre, est en réalité totalement différent. Entre les Démons qui le parcourent et la flore, les découvertes vont bon train et cela ne m’étonnerait pas que même la faune soit étrangère à ce que nous connaissons ou alors légèrement différente à ce qu’elle était. Je me demande ce qu’ils trouveront là où ils doivent se rendre, les autres « contes » du livre qu’Emma a lu et s’avérant bien plus utile que prévu et si tout le monde s’en sortira dans ce monde si dangereux. La fin du tome me laisse craindre quelque chose, j’espère que tout se passera bien, que tous s’en sortiront et qu’ils pourront vivre tranquillement quelque part. Pourtant, je suis certaine que ce ne sera pas possible, que le huis-clos d’origine dans l’orphelinat est devenu bien plus important, plus grand. Le jeu d’échec avec Maman est devenu un véritable jeu du loup avec ce qu’il y a à l’extérieur… La pression reste présente malgré la fuite des plus âgés et je me demande ce qu’il adviendra des plus petits, d’Isabella qui sont restés dans l’enceinte de Grace Field House, qui a échoué à garder ses protégés dans l’enceinte de l’orphelinat.

Tant d’événements sont possibles, de craintes, de routes imaginables que j’ai du mal à réellement savoir ce qu’il se passera par la suite. J’ai certes de petites idées, mais je ne suis pas certaine du dénouement de celles-ci, de ce que je découvrirai en tournant les pages ou en ouvrant le tome d’après. Y aura-t-il une ville quelque part dans ce monde devenu hostile ? Y aura-t-il réellement un endroit où tous seront en paix, sans risque de se faire tuer ? Pourquoi, au fond, les Démons ont-ils besoin de manger les cerveaux d’enfants ? Isabella devra-t-elle livrer certains des plus jeunes bien plus tôt que prévu ? Sera-t-elle « congédiée » ? Tant de questions tournent dans ma tête, se mélangent et je tente de trouver des pistes, des indices lors de ma (re)lecture, me disant que oui, sûrement qu’il y aura des villes quelque part. L’espèce humaine existe toujours après tout, tous ne se trouvent pas dans les sites de Grace Field, mais peut-être ne sont-elles plus tout à fait comme celles que nous connaissons de nos jours. J’ai hâte d’en savoir plus, d’arpenter cet univers en compagnie des personnages, de voir en leur compagnie tout ce qu’il nous sera réservé.

Même si je me doute que la souffrance sera probablement présente au fil du temps, que la tristesse reviendra, que le deuil ne doit jamais être réellement loin. Mais ils arrivent pourtant à donner du courage, à ne pas perdre de vue leur(s) objectif(s), à avancer tout en réussissant à se mettre eux-mêmes de côté dans certains cas. Altruisme et survie ne font pas forcément bon ménage, ils le découvrent au fil du temps, mais savent faire des choix même s’ils sont difficiles autant pour eux que pour nous. Pour avancer, il faut également parfois briser quelque chose et ce, même, si les autres peuvent en souffrir afin qu’eux puissent vivre. Pourtant, même un être que l’on a perdu reste présent car il est là, dans notre cœur, et peut nous aider dans certaines situations, nous permettre de reprendre confiance, de voir que notre vision des choses à changer.

J’ai hâte de lire le tome 6 de The Promised Neverland, de voir ce qu’il va se produire par rapport à la fin de ce tome 5. La série continue d’avancer, doucement, et arrive à nous tenir en haleine lors de certaines situations, certains passages, bien que cela puisse sembler lent lors des premiers volumes qui posaient, en réalité, toutes les bases pour notre compréhension, nous permettre de voir le monde de la même manière que les protagonistes. The Promised Neverland reste une très belle découverte que je continuerai avec plaisir !

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Que pensez-vous qu’il se passera dans la suite ?

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The Promised Neverland – Tome 4

Coucou les matous ! Comment allez-vous aujourd’hui ? Pour ma part, ça va. Un peu froid lorsque je mets le nez dehors, mais je pense que c’est comme tout le monde vu que l’hiver est bel et bien présent pour moment.

Cette fois, nous nous retrouvons non pas pour un avis général comme la dernière fois, mais pour une suite de manga. Parce que oui, avec la mort de l’ancien PC des articles ont disparu dans le néant – non je n’avais pas tout enregistré – et donc je les refais au fil du temps. Pour m’y retrouver, j’ai noté tous les titres dont je veux vous parler dans l’application Task de mon téléphone et je coche une fois que c’est fait ! J’en profite pour remercier les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce tome, me permettant de vous en parler à présent. (Vous vous doutez que le tome 5 suivra par la suite, juste le temps de réécrire le malheureux perdu dans le néant informatique)

« The Promised Neverland »

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6€89 – Shônen – 192 pages

Le compte à rebours est enclenché pour Norman : Maman va le livrer aux démons ! Emma et Ray n’ont que très peu de temps devant eux pour tenter de contrecarrer l’implacable Isabella. Une seule solution, mettre à exécution leur plan d’évasion au plus vite ! Parviendront-ils à sauver leur ami ?

Quatrième tome de la franchise The Promised Neverland, nous nous trouvons encore à Grace Field House en compagnie de notre petit trio. Emma, Ray et Norman nous font face alors que le compte à rebours par rapport à la livraison de ce dernier aux Démons s’est enclenché. Y a-t-il un moyen de sauver Norman ? De mettre en place le plan d’évasion encore plus rapidement ? Est-ce que sauver tout le monde sera réellement possible ou faudra-t-il en laisser derrière ? Tant de questions apparaissent, même si nous savons l’avis de chacun d’eux par rapport à la dernière.

Et ce tome m’aura brisé le cœur. Même si je gardais une once d’espoir, même si je ne voulais pas y croire. Voir chacun des personnages souffrir à sa manière, être autant empli d’émotions m’aura marquée au fil des pages, des révélations, de ce qu’il se passe et je me dis que certains d’eux arrivent aisément à nous mener par le bout du nez, arrivent à nous cacher des éléments à nous petit lecteurafin de nous surprendre à un moment donné. Espoir, désespoir, joie, crainte, sentiment d’abandon, tout cela est apparu au fil des pages. Surtout lors d’un certain événement qui fait que le manga avance réellement. J’apprécie toujours autant Emma, elle est celle dont je me sens la plus proche et elle m’aura réellement surprise dans ce quatrième volume. D’ailleurs, il n’y a pas que le trio qui est mit en avant car, au fond, on se rend compte que chaque enfant à sa place dans cet univers.

J’ai bien aimé en découvrir plus par rapport à la sécurité des lieux, aux autres enfants, sur Maman et pourtant il reste encore tant de part d’ombres, d’énigmes à résoudre qu’il est difficile de ne pas être happé, d’une manière ou d’une autre par l’univers hormis si l’on n’apprécie pas les œuvres plus sombres. Parce que oui, tout le monde n’accrochera pas et c’est tout à fait normal. Dès le départ nous comprenons bien que les enfants sont considérés comme du bétail par les Démons, que peu possèdent une chance de survie et que les rares le possédant sont des personnes de sexe féminin – du moins d’après ce qu’on en sait actuellement – mais qu’elles doivent également avoir de « bons résultats » aux tests pour cela. Ce n’est pas rien, cela limite grandement le nombre de possibilité et rajoute également un côté plus dramatique aux Mamans des différents sites. Mais cela j’en parlerai lors de l’avis du tome 5 qui arrivera prochainement.

Parce que oui, The Promised Neverland est dramatique tout en jouant sur notre curiosité, notre envie d’en savoir plus, de voir les enfants s’en sortir. Tout est possible et face à Maman, les enfants jouent d’une certaine manièreune véritable partie d’échec où seul l’un des deux camps pourra probablement l’emporter. Lequel ? Il est difficile de le savoir en avance, hormis que tout s’accélère et que l’on pourrait très bien avoir des surprises. D’ailleurs, chaque action effectuée, chaque mot peut avoir son importance, son impact et même lorsqu’ils ont eu lieu dans le passé. Tout n’est pas forcément sût dès le départ, des pièces s’ajoutent au puzzle des mystères que nous connaissons et certains événements peuvent nous faire douter, nous faire nous remettre en question.

J’apprécie énormément cela, voir l’évolution, être surprise durant ma lecture et ne pas m’ennuyer – comme beaucoup – faisant qu’actuellement The Promised Neverland se débrouille réellement bien, m’accroche, me garde dans sa sombre toile. Mais je souhaite toujours en savoir plus, découvrir ce monde qui semble si proche du nôtre et en même temps si différent, voir toutes les possibilités offertes par le récit, ce qu’il nous sera réservé. Kaiu Shirai et Posuka Demizu nous en mettent plein les mirettes, les détails foisonnent tant au niveau visuel que dans la lecture au point que je me demande si certaines des phrases lues auparavant n’auraient, en réalité, pas un autre sens caché. Je m’immerge facilement dans cet univers, en ressort un peu plus retournée à chaque tome et me demande au-dessus de qui se trouvera l’épée de Damoclès dans la suite, s’ils en ressortiront indemnes ce qui me semble peu probable… Actuellement, ce tome 4 est celui qui m’aura le plus touché, marqué et est mon préféré jusqu’à présent des 5 sortit, même si le cinquième tome ne m’aura pas non plus laissée de marbre.

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? Lisez-vous ce manga ? Comptez-vous regarder l’anime ?

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Note de Neko : Actuellement, les petites images de fin permettant un résumé global de l’article seront absentes car il faut que je les refasse. Elles finiront probablement par réapparaître au bout d’un moment, ne vous inquiétez pas ! Pour ceux qui seraient curieux, j’ai écrit l’article en écoutant cette musique.

The Promised Neverland – Tome 3

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Je vous envoie tout plein de bonnes ondes remplies de bonne humeur et de joie dans tous les cas ♥

On continue dans notre lancée au niveau des avis et j’en profite pour remercier les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce troisième volume de…

« The Promised Neverland »

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6€79 – Shônen – 200 pages

Emma, Norman et Ray coulent des jours heureux à l’orphelinat Grace Field House. Entourés de leurs petits frères et sœurs, ils s’épanouissent sous l’attention pleine de tendresse de « Maman », qu’ils considèrent comme leur véritable mère. Mais tout bascule le soir où ils découvrent l’abominable réalité qui se cache derrière la façade de leur vie paisible !

Ils doivent s’échapper, c’est une question de vie ou de mort !

Troisième tome de The Promised Neverland et tome se déroulant toujours à Grace Field House. Vous savez, l’établissement – type orphelinat – où vivent Emma, Norman et Ray avec leurs petits frères et sœurs ainsi que Maman et Sœur Krone. Vous avez retrouvé le tableau ? Chouette, nous allons pouvoir nous y remettre alors !

Dans le tome précédent, deux autres personnages étaient mis au courant de ce qu’il se tramait lorsque les enfants étaient « adoptés » sans, pour autant, en savoir les aboutissants. La curiosité restant présente, vous vous doutez bien qu’ils ne sont pas rester les bras croisés et ont décidé de s’assurer que cela était vrai. Durant ce début de tome, la confiance est mise à rude épreuve et je peux parfaitement comprendre Don et Gilda par rapport à tout cela. C’est difficile à croire, difficile de se dire que l’on est trompé par une personne qui compte réellement pour nous et encore plus difficile de réaliser certaines choses.

Même si Don est plus impulsif que Gilda ou Emma, voire que Ray ou Norman, j’ai tout de même apprécié chacun des plus grands. De plus, j’étais ravie d’en apprendre plus par rapport au fonctionnement des « fermes » ou sur la manière de devenir « Maman » dans ce volume, même si l’échappée continue de se préparer, je me demande si elle ne se rapproche pas vu la fin de ce tome 3. D’ailleurs, si l’on se base sur chacun des événements il est possible de se dire que la fuite doit être de plus en plus proche…

J’ai de plus en plus hâte de voir le monde extérieur, de découvrir ce qu’il réserve, ses mystères car comme les enfants de Grace Field House nous n’en savons rien finalement hormis que certains éléments proviennent de là-bas et ce que l’on apprend dans ce volume. Cela reste vague, très vague, et de nombreux mystères restent à découvrir, comprendre et ma curiosité est réellement touchée actuellement. Je désire savoir… Je veux voir si les enfants s’en sortiront, si « Maman » gagnera, comment est le monde extérieur, les voir évoluer voire grandir si cela est possible. Je me demande vraiment ce que donnera la suite et j’ai hâte de pouvoir la découvrir.

Les personnages restent fidèles à eux-mêmes et j’ai été ravie de voir qu’ils font également des erreurs, comme n’importe qui. Ils ne sont pas parfaits et cela fait du bien de le voir, de s’en rendre compte, au point de faire des erreurs que n’importe qui, ou presque, ferait. Ma préférence reste sur Emma et vu ce qu’elle subit, je me demande ce que donnera la suite… Mais chacun d’eux possède son caractère, un trait de personnalité qui le fera apprécier de tout à chacun et ce même si certains des personnages s’avèrent être encore un peu « flous », laissés sur le côté. Peut-être en saura-t-on plus sur eux prochainement.

Au niveau de l’histoire, elle avance lentement vers la fuite menant, probablement, vers le monde extérieur. Pourtant, j’ai réussi à être surprise malgré moi lors de certaines scènes et j’attends avec impatience le tome 4 tel un enfant attendant le Père Noël. J’ai hâte de voir ce qu’il va se passer, surtout par rapport à la dernière page… Et je reste pressée d’en savoir plus sur le monde extérieur aux fermes.

Pour ce qui est du manga en lui-même, je n’ai pas eu de souci avec la traduction qui collait à chacun des personnages tant dans leurs manières de parler que leurs mots. Les pages n’étaient ni trop fines, ni trop épaisses – à mes yeux – et je n’ai pas aperçu ce qu’il se tramait de l’autre côté pour mon plus grand bonheur. Pour ce qui est de la souplesse du manga, il se pliait facilement et entrait sans difficulté dans un sac. L’encre, pour sa part, restait tranquillement sur les pages sans faire de flaques et ne se retrouvaient pas, non plus, sur les doigts pour mon plus grand bonheur.

Ce troisième tome reste dans la lignée des deux précédents, même si j’apprécie le fait que deux personnages ce soient rajouter au trio par rapport à la fuite et que les mystères par rapport à Grace Field House restent présents. J’ai tout de même hâte de voir le moment où ils fuiront, quittant ainsi les préparatifs, et ce que cela donnera !

The Promised Neverland - Tome 3

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? L’avez-vous lu ? Pensez-vous que l’échappée de Grace Field House est pour bientôt ?

 

Site de l’éditeurMini SiteExtrait tome 1

Takane & Hana – Tome 8

Hola les matous, comment allez-vous aujourd’hui ? Pas trop mal ? Tant mieux, parce que je vous entraîne dans un nouvel avis ! J’hésitais entre le tome 1 de Dr.Stone et le tome 8 de Takane & Hana, comme vous le voyez le choix est fait, mais le second titre arrivera prochainement (J’aurais bien dit demain… Mais je ne sais pas à quelle heure je rentre et une certaine personne risque de me secouer comme un prunier si je force de trop…) Petit à petit, le blog reprend du service et je commence à mieux gérer autant le nouvel ordi, Office 2016 que Gimp ♥

Je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce huitième volume de Takane & Hana, un shôjo que j’apprécie réellement et qui me remet de bonne humeur à chaque lecture. Prêt les matous ? On est parti !

« Takane & Hana »

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6€79 – Shôjo – 192 pages

C’est la Saint-Valentin ! Hana hésite autant sur le genre de chocolats à acheter que sur la façon de les offrir à Takane sans rien laisser paraître de ses sentiments… Passée cette épreuve, elle garde profil bas, mais c’est compter sans son père qui invite à l’improviste le prétendant à un dîner de famille. Un peu alcoolisés, les deux hommes discutent de l’avenir de la rencontre arrangée, lorsque Takane lance une réponse ambiguë…

En amour, tous les coups sont permis… Et ça, Hana l’a bien compris !

Dans ce tome 8, la couverture nous met directement dans un ton chocolaté avec ces nuances marrons digne d’un chocolat ainsi que les éléments s’y trouvant. On se doute de la fête prenant place ici, celle du chocolat et donc… La Saint Valentin ! Pour le bonheur – ou le malheur en fonction du point de vue – de nos chers personnages, car vous vous doutez bien qu’Hana se demande comment offrir ces satanés chocolats à Takane vu que ce n’est pas un geste tout à fait anodin lors de cette fête lorsque l’on y pense, bien qu’il existe deux types de chocolat si je me souviens bien : ceux de l’amitié et ceux représentant le sentiment amoureux.

On retrouve l’un des personnages aperçus dans l’un des tomes précédents, une demoiselle dont on connait le secret à présent et qui ne cache pas qu’elle apprécie Takane. Est-ce réellement une rivale d’Hana ou sera-t-elle une aide pour l’adolescente ? Bonne question et la réponse vous attend… Dans le tome ! Et oui, je ne vais pas tout vous dire non plus, cela ne serait pas amusant. Je trouve juste dommage que l’on aille dans le schéma classique du « Je l’aime, mais je ne peux pas le lui dire pour x raison » parce que Hana a un caractère bien trempé pourtant et cela fait que l’histoire ralentit légèrement. Mis à part cela, l’humour est toujours présent et j’ai bien apprécié que le grand-père mette « gentiment » son grain de sel malgré le tempérament de Takane nous rappelant aisément ce qu’il était dans le passé.

Comme dit juste au-dessus, l’histoire avance lentement dans ce huitième tome, mais je me dis que cela s’arrangera dans le neuvième vu que le grand-père de Takane entre dans la partie. Je dois tout de même avouer que voir un Takane guilleret fait du bien, tout comme voir les différentes bouilles au fil du tome et que le manga reste un vrai bonbon à la lecture. Il fait du bien au moral, fait sourire, donne envie d’hurler de temps en temps, fait rire et c’est réellement de bons moments que je passe toujours lorsque je les lis. Même si ce tome 8 ne sera pas mon préféré, il reste agréable à découvrir.

Les graphismes du manga restent identiques à ce que l’on a déjà connu, ils n’ont pas changé et respirent la joie de vivre des personnages lorsque cela est nécessaire. Ils participent également, à certains moments, aux scènes un peu plus humoristiques avec l’apparition d’un chibi ce qui est plutôt amusant. Du moins à mes yeux. Je continue de reconnaître chacun d’eux sans difficulté et j’apprécie retrouver leurs traits caractéristiques à chacune de mes lectures.

Pour ce qui est de la traduction réalisée par Sayaka Okada et Manon Debienne, je n’ai vu aucun souci et j’ai réalisé en le relisant que le manga avait nominé en 2018 au Prix Konishi de la meilleure traduction… Oui, je sais il y a l’autocollant dessus, mais je ne m’en souvenais absolument plus. Mémoire de poisson-chat quand tu nous tiens… Par rapport au papier, je n’ai pas eu de problème non plus – je ne me suis même pas coupée ce dernier étant assez épais, même s’il arrive toujours que l’on aperçoive, de temps en temps, un bout d’illustration juste derrière. Au niveau de la jaquette, ce n’est pas ma préférée, pourtant j’adore le chocolat, mais elle reste dans le ton de la série avec le surplus chocolaté présent ainsi que notre célèbre duo. Les teintes sont chaudes, chaleureuses et gourmandes.

Vous l’aurez sûrement compris, ce huitième volume n’est pas mon favoris même s’il reste dans la lignée des autres volumes du manga. J’aurais juste aimé que ça bouge un peu plus, mais peut-être faut il le considéré comme un tome de transition vu la fin qui me fait me demander ce que réservera le tome 9. Je ferai ce que je peux pour vous en parler prochainement – pas de date prévue, parce que je ne suis pas douée – en espérant vous y retrouver !

Takane & Hana - Tome 8

Et vous les matous, lisez-vous Takane&Hana ? Qu’en pensez-vous ? Quel personnage appréciez-vous ?

Site de l’Editeur – Extrait

Le Chant des Souliers Rouges – Tome 6

Coucou les matous, comment allez-vous ? Moi, je suis aux anges car je suis admise pour la suite de la formation ! Première partie dans la poche, les attestations d’accueillante d’enfants sont à moi ♥ Maintenant, direction auxiliaire de l’enfance pour la suite de l’aventure !!!

Aujourd’hui, nous partons dans une fin de série. Je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi du sixième et dernier tome de cette saga qui m’aura fait ressentir énormément d’émotions au fil de ses volumes ! Sur ce nous partons dans…

« Le Chant des Souliers Rouges »

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8€29 – Seinen – 192 pages

Un lycéen aux talons rouges qui danse le flamenco, entouré de sa bande d’amis. Une lycéenne au sac porte-bonheur qui joue comme titulaire dans l’équipe de basket. Depuis leur échange de chaussures rouges, Kimitaka et Takara se sont chacun épanouis dans leur passion. Et même si le temps a passé, ils ne se sont pas oubliés…

Alors que Takara va devoir se battre pour conserver sa place dans son équipe, Kimitaka trouvera-t-il le courage de se mettre sur le devant de la scène et de lui donner un peu de sa force ?

Le sixième tome du manga Le Chant des Souliers Rouges signe également la fin de cette série courte de Mizu Sahara que l’on a pût découvrir aux éditions Kazé. Cette fois-ci, nous découvrons sur la couverture Takara, notre basketteuse, dans des teintes ensoleillées qui lui vont à merveille. Nous la voyons en pleine action et j’aime toujours autant la douceur transparaissant sur les jaquettes de ce manga qui aura été une véritable douceur tout le long de sa découverte.

Vous le savez sûrement, cette série est l’une de celles pour lesquelles j’ai eu un agréable coup de cœur tant pour l’histoire que pour le graphisme sortant de l’ordinaire, ce faisant lorsque j’ai lu ce tome j’ai eu un pincement au cœur et ce jusqu’à la dernière page. Quitter Kimitaka et ses amis n’aura pas été chose facile, au point que je serais bien restée un peu plus longtemps en leur compagnie. Si vous avez lu la série, vous savez que Kimitaka était sur le devant de la scène jusque maintenant laissant Takara dans son ombre, pourtant de petits éléments étaient posés de ci, de là, ce qui provoquera sur le long terme les retrouvailles entre nos deux personnages.

Nos protagonistes auront bien évolué depuis le tome 1 et j’ai bien aimé le fait que la « boucle » ce soit bouclée entre Takara et Kimitaka. L’un avait besoin d’aide dans le premier volume et l’aura trouvé grâce à l’autre, alors que dans ce dernier tome ce sera l’inverse. Un retour d’ascenseur d’une certaine manière montrant les changements chez chacun d’eux et nous donnant également courage. Se dépasser, avancer, garder espoir, se rendre compte qu’au final nous ne sommes pas oubliés, sourire et vivre, au final, de la manière que l’on souhaite réellement avec les personnes que l’on aime et nos amis.

Quand on voit ce à quoi ont mené une rencontre et un simple échange de chaussures, quand on voit le bonheur de certains personnages s’accentuer au fil des pages et des tomes et surtout le fait qu’ils prennent, petit à petit, sur eux cela fait un bien fou. Oui, au départ tout n’était pas rose, et cela ne l’est pas toujours à présent non plus pour nos personnages, mais ils ne sont plus dans une spirale de pessimisme. Non. Ils positivent un peu plus, ils ont plus confiance en eux et cela doit être pour ça que j’arrive à me mettre à leurs places aussi facilement, à me dire que certains éléments pourraient être tout à fait plausible pour une personne lambda de notre monde. Et il n’y a pas que Kimitaka et Takara qui ont évolués, loin de là, car de nombreux personnages se sont améliorés, ont (re)prit confiance en eux en étant en contact avec l’un ou l’autreplus avec Kimitaka soit dit en passant vu que c’est celui que l’on suivait le plustout en gardant leurs caractères respectifs. J’ai apprécié chacun d’eux, des plus jeunes aux plus âgés, et je suis ravie de les avoir rencontrés durant ma lecture. Tsubura restera, d’ailleurs, mon chouchou parmi les amis de Kimitaka !

L’histoire, dans ce dernier volume, nous permet de nous rendre compte de tous les changements, des évolutions et comme dit plus haut de boucler la boucle qui c’était créée depuis le premier tome tout en voyant un peu plus Takara. On la découvre dans ce tome bien plus qu’auparavant et c’est tant mieux d’une certaine manière car on se rend bel et bien compte de l’impact qu’elle a eu sur Kimitaka. Et il n’est pas négligeable. Pareil pour les rencontres effectuées au fil des volumes qui auront marqué le trio en commençant par leur propre rencontre.

Une bien belle aventure s’achève, une tranche de vie tout en douceur et délicatesse m’ayant entraîné dans le monde du flamenco que je ne connaissais pas et m’ayant redonné le sourire dans des moments plus difficiles. Il y a toujours une lueur d’espoir quelque part dans les ténèbres et un simple geste, une simple rencontre peut la faire apparaître. Je suis ravie d’avoir découvert ce titre, parcouru ses pages, découvert les personnages tout du long et même si je suis triste de les quitter, je ne pleure pas pour autant. Je les quitte avec le sourire, avec le cœur remplit d’espoir et ravie de les avoir vu évoluer.

Le Chant des SouliersRouges - Tome 6

Et vous les matous, qu’en avez-vous pensé ? Comment avez-vous trouvé ce dernier tome ?

Site de l’éditeur – Extrait du tome 1