Re : Zero – Tome 1

Coucou les matous ! On continue la séance méga rattrapage, d’ailleurs je débute cet article juste après avoir terminé d’écrire mon évaluation certificative d’ACEC qui fait gentiment 8 pages de texte taille 11… Et je le reprends bien plus tard. C’est-à-dire fin du mois d’août quand même… Ce qui fait bien 2 mois après quand j’y réfléchis… Bon bah, on fera avec n’est-ce pas ?

Certains l’ont sûrement vu, mais j’avais débuté un certain Light Novel – en fait 2… mais passons le second arrivera plus tard – pour lequel j’avais regardé l’anime en compagnie d’Acchan. A chaque visionnage nous étions dedans et allez savoir pourquoi la version manga ne m’intéressait absolument pas faisant que je me suis lancée sur le Light Novel sans hésiter. Comme quoi… Vous vous demandez de quoi je parle ? Et bien préparez-vous à une nouvelle vie les matous, car nous partons dans…

« Re : Zero – Re : vivre dans un autre monde à partir de zéro »

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13€99 – Fantasy/Isekai

En rentrant de la supérette, Subaru Natsuki est soudain transporté dans un autre monde. Pourtant, aucun invocateur ne l’attend, et le danger accule déjà le jeune homme sous la forme de brigands. Par chance, il est sauvé par une magnifique et mystérieuse jeune femme aux cheveux argentés et son esprit félin. Sous prétexte de rembourser sa dette, Subaru l’assiste dans la recherche d’un objet qui lui a été dérobé. Mais alors qu’ils trouvent enfin une piste, Subaru et sa compagne sont attaqués par surprise et perdent la vie. Du moins, c’est ce que pensait le jeune homme jusqu’à ce qu’il rouvre les yeux à l’endroit même où il avait été invoqué.

Je me doute que vous avez déjà lu de nombreux avis sur ce titre, que ce soit l’anime, le manga ou le Light Novel d’ailleurs, mais j’espère tout de même que ma petite pierre à l’édifice vous permettra de vous faire un avis ou d’approfondir celui que vous aviez déjà. Pour ceux qui se poseraient la question, nous découvrons Re : Zero en suivant Subaru, un jeune japonais qui se retrouve dans un autre monde sans qu’il n’ait rien demandéen même temps, le héros demande rarement à se retrouver dans un autre monde tient…et face à cette nouvelle vie qui l’attend espère avoir eu des capacités en plus. Le hic ? Subaru est bel et bien resté le même pour le meilleur et pour le pire… Seul un élément a changé, un élément crucial qui fera basculer sa vie… et sa mort. Le cauchemar commencera rapidement pour le jeune homme.

Dans ce premier tome nous faisons la rencontre de Subaru, un adolescent lambda si nous nous fions à ce que nous connaissons jusqu’à son arrivée dans cet autre monde, un monde lui offrant une nouvelle vie où il peut repartir de zéro avec son sac de courses du kombini, son jogging et son GSM. Un équipement de base semblant pour le moins faible à nos yeux et qui pourrait, pourtant, avoir son utilité malgré les apparences. Le souci ? Notre cher Subaru découvrira rapidement que la mort frappe souvent sans que l’on ne s’y attende. A ses côtés, d’autres personnages prendront place dont une certaine demi-elfe que nous retrouverons fréquemment, celle pour qui Subaru voudra se dépasser et un être remplit de bonté.

Mais ma préférence ne va pas sur la demi-elfe, ni sur Subaru, mais sur une autre demoiselle arpentant les rues de la cité où notre héros a atterri. Elle est une voleuse, elle est rapide comme pas deux et m’a touchée malgré tout par rapport à ses envies, sa relation avec un certain personnage et – bien que cela n’ait pas sa place pour ce tome – j’étais triste de ne pas la revoir dans les tomes suivants même si c’est tout à fait logique. La jeune humaine à son caractère, ne se laisse pas marcher sur les pieds et je trouve ça réellement bien. Mais elle n’est pas la seule à m’avoir fait craquer… Non, loin de là, car une certaine boule de poils y arrive également sans problème. Une créature adorablement choute que j’ai envie de câliner… A mes risques et périls en soi.

Chacun des personnages que l’on croisera au fil des pages, des actions de Subaru possèdera son caractère et sa propre histoire, même ceux sans importance aux premiers coups d’œil peuvent pourtant avoir des liens avec d’autres personnes. Des personnages souvent haut en couleur qui finissent d’une manière ou d’une autre par nous marquer, même les trois voleurs du début dans la ruelle… Bon niveau background pour eux, je repasserai, mais vous avez comprit qu’ils sont liés à des événements bien précis.

Vous vous doutez que si j’ai lu les trois tomes à la suite, c’est que l’histoire m’a plu même si j’aurai pu m’arrêter au tome 1, ne pas découvrir ce qu’il se passait par après dans un certain Manoir et laisser la fin « libre » d’une certaine manière. Mais non, il fallait que je continue et j’ai été bien plus happée par ma lecture que par mon visionnage… C’est pour dire ! Ce premier tome posant les bases, il nous permet de voir des peuples différents, la magie, le côté bien médiéval-fantasy et retranscrit la douleur de Subaru, ses émotions sans trop de difficulté. Du moins à mes yeux. Je souffrais tout autant que lui, c’est pour dire.

Les illustrations de Shinichirou Otsuka rendent réellement bien et colle à l’image que l’on se fait des personnages ou des situations. J’ai réellement apprécié observer les détails se trouvant sur chacune des pages où il y avait et surtout… Je craque sur la couverture. Oui, elle compte ! Emilia est vraiment toute mignonne dessus avec Pack et les couleurs rendent vraiment bien, tout en douceur, ce qui tranche légèrement avec ce que l’on trouve à l’intérieur du Light Novel vous vous en doutez.

Résultat, Re : Zero compte parmi les Light Novel que je suivrai volontiers et à présent j’attends le mois de septembre pour lire le quatrième volume. Je ferai ce que je peux pour vous parler des tomes 2 et 3 également sur le blog, sans me forcer, mais juste parce que j’en ai envie et que je désire vous en parler. Oui, c’est à ce point-là. J’ai vraiment bien accroché à l’univers, à cette mort réversible qui laisse des traces, au fait que Subaru ne soit pas surpuissant et aux différents éléments qui apparaissent petit à petit.

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Et vous les matous avez-vous lu le Light Novel ou le manga ? Avez-vous vu l’anime ? Qu’en pensez-vous ? Aimeriez-vous finir dans ce monde ?

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Wonder Woman – Warbringer

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ma part, c’est une fin de week-end un peu plus cocooning après la rudesse de ces derniers jours… Il me faut vraiment un agenda, c’est déclaré, surtout avec tout ce qui doit encore arrivé. De quoi ? Une semaine totalement vide ? Heu… Heu… J’ai l’impression que ça n’existe plus du tout.

Aujourd’hui, je vous entraîne vers une super-héroïne que j’ai apprit à découvrir durant cette lecture bien avant qu’elle soit celle que nous connaîtrons tous. Une découverte effectuée grâce à la Masse Critique Prestige de Babelio et aux éditions Bayard que je remercie. Un titre dont je vous parle aujourd’hui dans la joie et la bonne humeur. Prêt à rejoindre les Amazones ?

« Wonder Woman : Warbringer »

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16€90 – Aventure – 400 pages

Un jour, elle sera la plus grande superhéroïne de tous les temps : Wonder Woman. Mais elle n’est encore que Diana, 17 ans, princesse des Amazones. Quand un bateau explose au large de son île, Diana porte secours à la jeune Alia, bravant ainsil’interdiction faite aux Amazones d’accueillir des humains parmi elles. Et Diana pourrait le payer d’autant plus cher qu’Alia est une Warbringer : descendante d’Hélène de Troie, elle fait souffler partout un vent de discorde. Ensemble, de New York à la Grèce, les deux jeunes filles vont pourtant tenter de contrer la malédiction qui pèse sur Alia.

Et c’est parti pour un roman les matous ! Certes, comme toujours je suis une retardataire professionnelle, mais il a réussi à être posté (Moi et les semaines beaucoup trop pleines…) pour le bonheur de certains. Je débute d’ailleurs en mentionnant le fait que, de base, je ne connaissais pas énormément Wonder Woman. Et non, je n’ai même pas vu les films où elle apparaît quant aux Comics je ne l’ai vue que dans le Justice League acheté lors des 48h BD.

Nous découvrons Diana Prince, celle qui deviendra Wonder Woman, alors qu’elle a 17 ans et a des difficultés à s’intégrer parmi les Amazones. Elle ne possède, d’ailleurs, pas encore tous ses pouvoirs et fait tous les efforts possibles pour prouver aux autres qu’elle a tout autant sa place qu’elles sur l’île de Themyscira où elle est née. Princesse de ce peuple ayant peu de considération pour elle, Diana fera tout pour prouver qu’elle est une grande guerrière ainsi que trouver sa place.

Le début du roman est relativement calme, pépère pourrait-on dire aisément, et pose les bases nous permettant de découvrir cette île unique, ses habitants et bien entendu notre future super-héroïne qui reste une jeune femme malgré tout. Elle n’est pas au-dessus de tout et je me suis énormément attachée à elle au fil des pages. Des pages qui se tournaient rapidement dès les premiers chapitres passés, ceux-ci nous permettant de bien comprendre ce qu’il se passe tout en nous faisant découvrir Diana. Mais elle ne sera pas la seule qui prendra face sous nos yeux, loin de là.

Déjà, les Amazones seront présentes, que ce soit la reine Hyppolyte – la mère de Diana – ou celles prenant un peu plus de place auprès de la jeune femme. Elles ont toutes un tempérament différent et se comportent, également, de manières diverses avec Diana. Amie, parente, camarade, rivale lors de la course, il y a de tout sur cette île aux allures de Paradis… Quoi que, d’une certaine manière c’est un Paradis vu qu’à l’origine ce sont les femmes tombées au combat que nous y retrouvons, hormis une personne : Diana. Raison pour laquelle elle n’est pas considérée de la même manière que les autres par certaines.

Un peu plus tard, d’autres personnages apparaîtront tel qu’Alia. La demoiselle vient de notre monde, celui que Diana ne connaît pas, et nous découvrirons rapidement ce qu’est cette jeune Alia. Ceux ayant lu le résumé le savent également, bien que le titre nous donne une jolie indication. La demoiselle est une Warbringer, une descendante d’Hélène de Troie faisant souffler un vent de discorde partout où elle se rend malgré elle. Comme quoi, ce n’est pas toujours la joie de descendre d’une personnalité antique. Mais elle ne sera pas seule car, aux côtés d’Alia et de Diana, nous verrons apparaître Jason, le frère d’Alia voulant plus que tout la protéger, Nim qui est la meilleure amie de la demoiselle ainsi qu’une personne pleine de doute malgré son extravagance et Théo, l’ami de Jason qui est également un génie de la technologie possédant un manque de confiance en soi évident.

Ces personnages gravitaient déjà autours d’Alia et graviteront, par la suite, autours de Diana également. Nous en apprendrons donc plus sur eux tout en nous y attachant car Leigh Bardugo parvient à faire de ce groupe de personnages un ensemble cohérent possédant une certaine profondeur tout en ayant de réelles interactions. Ces dernières ne sont pas fades, peuvent faire sourire et respectent bien les différents caractères. Puis la naïveté de Diana par rapport à notre monde est totalement adorable je trouve et tellement vraie qu’il est difficile de ne pas la comprendre… En fait, c’est même terriblement logique qu’elle soit perdue face à tout ça au début. Le seul personnage avec lequel j’ai eu un peu plus de mal est Jason pour lequel j’ai eu un mal fou à cerner son caractère bien trop changeant…

Bien sûr, nous ne resterons pas que sur l’île et sa mythologie car nous voyagerons également entre New-York et la Grèce. Cela ne sera pas un voyage de plaisir car de nombreuses personnes souhaitent la mort d’Alia afin d’empêcher une guerre, mais vous vous doutez bien que Diana fera tout le contraire et voudra la sauver. Et pour sauver quelqu’un quoi de mieux que de discuter avec un Oracle, Oracle qui nous fera savoir ce qu’il faut faire tout en faisant réfléchir suite à ses propos. Et si j’étais à la place de Diana qu’aurais-je fais ? Serais-je partie vers des destinations totalement inconnues afin de sauver une personne que je ne connais ni d’Eve, ni d’Adam ? L’aurais-je laissé mourir ou aurais-je voulu lui venir en aide ?

Certes, ce n’est pas nous qui vivons cela, mais cela peut paraître idiot ce sont ce genre de quête qui peuvent faire nous faire réfléchir sur nous-mêmes. Du moins, moi, ce sont des questionnements qui me viennent en tête lorsque cela arrive dans ces mondes de fiction. Pour ce qui est de notre future super-héroïne, ce seront également des découvertes sur énormément de domaines. Le monde extérieur, sur elle-même, mais aussi sur les autres et c’était réellement chouette de la voir découvrir tout cela.

Hm ? J’avais parlé de mythologie ? Et oui, elle est présente que ce soit au niveau d’êtres que nous croisons réellement tel que le peuple des Amazones voire des divinités ou suite à des évocations comme la désormais célèbre Hélène de Troie. Ce n’est pas survolé, tout cela possède réellement sa place et  c’est un régal de découvrir tout cela car il n’y a pas que les grands dieux grecs qui sont présents. Non, non, les plus mineurs peuvent prendre un peu d’ampleur pour mon plus grand plaisir et je trouve cela dommage qu’on ne les voie pas plus dans d’autres œuvres utilisant également la mythologie.

Je ne pourrai pas dire que je n’ai pas passé un bon moment, même un très, très bon moment tant je n’ai pas vu le temps passer lors de ma lecture. Bon, d’accord, je lis vite de base, mais dès que l’on rentre dans l’intrigue les pages sont lues en une journée sans difficulté même par une tortue j’en suis certaine ! Les voyages sont bien menés que ce soit au niveau géographique ou mythologique et mettent des étoiles plein les yeux. Sincèrement, l’île de Thémyscira apparaissait sans souci dans mon cerveau durant la lecture et je rêverais de la visiter tant elle m’a fait rêver. Pareil pour les autres endroits, moi qui ne suis pratiquement jamais partie je n’ai eu aucun mal à me rendre durant le temps de la lecture dans ces lieux présents.

De plus, les éditions Bayard ont fait un beau travail au niveau de la traduction du texte dans lequel je n’ai pas eu l’impression de voir de coquilles et c’est pareil pour la couverture. Lorsque l’on passe la main sur cette dernière, on se rend rapidement compte qu’il y a des parties en reliefs et pourtant elles ne dénotent pas du tout lorsqu’on regarde l’ouvrage une première fois. Elles sont même agréables au toucher.

Wonder Woman : Warbringer fut donc une très jolie découverte qui me donne envie d’en savoir plus sur celle qui deviendra Wonder Woman. L’histoire nous permet d’en savoir plus sur sa genèse, sur la manière dont c’est formé son caractère et sur qui elle était en tant que jeune femme de 17 ans. Une personne déterminée et prête à tout pour sauver l’humanité.

Et vous les matous avez-vous lu ce roman ? Connaissez-vous Wonder Woman ? Quelle est la mythologie qui vous intéresse le plus ?

 

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Pochi & Kuro – Tome 2

Coucou les matous, comment allez-vous ? Bien ? Vous avez profité de la Japan Expo pour ceux qui y sont allés ? De mon côté, j’attends impatiemment la Retro MIA qui a lieu sur Namur en octobre où je saurai à coup sûr me rendre. Alors si certains d’entre vous s’y trouvent, on s’y croisera sûrement ! Sinon, niveau santé je vais vraiment me mettre à détester cette satanée météo… Oui, ma gorge ne va pas mieux, mais hier j’ai également hérité d’une migraine et de la nausée. Le travail d’équipe de malade qui fait que… Je n’avais avancé sur rien du tout. Même lire était une épreuve ;_ ;

Aujourd’hui, je vous entraîne une nouvelle fois dans le Royaume des Démons mais avant cela je remercie les éditions Kazé et Anita de me l’avoir envoyé en même temps que le tome 1 dont je vous ai parlé un peu plus tôt ❤ Je passe vraiment un bon moment en compagnie des personnages. Prêt à retourner dans ce monde ?

« Pochi & Kuro »

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6€79 – Shônen – 192pages

Une délicieuse odeur d’humain flotte au Royaume des Démons : La chasse est ouverte !

Grâce au sortilège du vieil Ashley, Pochi peut comprendre Kuro : Il lui promet de la ramener chez elle en un seul morceau ! Malheureusement pour eux, Ishizu, le prince du Royaume des Démon est fermement décidé à la croquer afin d’accéder au trône. Il se lance alors avec ses sbires aux trousses de Pochi…

Deuxième tome de cette courte série et moitié de notre aventure dans le Royaume des Démons où nous retrouvons Pochi, Kuro et Léo ainsi que les autres personnages importants ayant prit place durant le tome précédent. Nos chers amis continuent leur aventure et font face… A des imprévus. Ce qui s’avère tout à fait normal, me direz-vous.

Dès le début nous reprenons là où nous avions été laissés à la fin du tome 1, un début déjà riche en informations et qui nous permet de comprendre les raisons pour lesquelles les humains ne peuvent pas parler la langue des démons. Au fond, cela s’avère logique quand on y pense, mais je n’y avais pas du tout pensé. Je pensais juste que c’était lié au fait que Pochi ne la connaisse pas, ce qui est normal, mais pas tout à fait…

Lors de ce tome 2, Kuro – notre bastonneur enflammé préféréfera un choix par rapport à Pochi et si vous avez lu le tome 1 vous connaissez son attachement envers la demoiselle. Un attachement qui s’avèrera relativement important pour Kuro, mais également Léo – même si dans son cas ce n’est pas tout à fait pareil par rapport à Pochi car un certain élément se mettant en place lors des premiers chapitres ne peut être présent que grâce à cela. Sinon ? Et bien sinon ce n’est pas très utile et je doute que cela fonctionne correctement.

D’ailleurs si vous avez lu le résumé vous savez de quoi je parle sans trop de problème, mais cela ne m’empêchera pas de ne pas le dire mot pour mot cette fois. De plus, Ishizu prend un peu plus d’ampleur dans ce second tome, mais pas seulement lui car on en sait un peu plus sur celui s’occupant du Royaume des Démons… (pas encore énormément, ahah) Le papa à Ishizu si vous voulez, même si on ne le voit toujours pas. Je me demande à quoi il ressemblera, si son physique sera proche de celui de son fils. Mais ce ne sont pas les deux seuls personnages à prendre un peu plus d’ampleur.

Léo également. Déjà bien présent dans le tome 1, nous en découvrons bien plus sur lui dans ce deuxième tome pour mon plus grand plaisir. J’aime énormément la créature qu’il est – comme sa famille – et j’étais r-a-v-i-e d’en savoir plus. Même si ce n’est pas le plus puissant, je l’aime bien moi ce gros matou et puis l’un des membres de sa famille que l’on rencontre est franchement sympathique. J’apprécie assez de voir que les filles ne sont pas des gros boulets et s’avèrent un minimum utile peu importe leur âge. Pochi tentant tout de même de se débrouiller par elle-même et faisant ses propres choix en fonction des situations, elle n’est pas inutile et sert également à l’histoire.

Une petite Pochi  pour qui tout ne sera pas simple dans ce tome, ce qui nous permettra une nouvelle fois d’en découvrir plus sur ce monde et… Ses maladies. Et oui, faut croire que tous les univers possèdent leurs problèmes de santé que croyez-vous ? Même un Démon peut tomber malade et pour nous, petits humains, cela s’avère même normal. Alors mettez-vous à la place d’une humaine dans un monde de démons et vous devinez aisément le problème.

L’humour reste bel et bien présent, pour mon plus grand plaisir, mais continue de faire équipe avec l’action et l’aventure bien que nos héros soient obligés de faire une pause. Tous les personnages – même les plus insignifiants – sont utiles et peuvent révéler quelques surprises. Ce qui est petit peut être tout aussi utile qu’un être gigantesque, ne l’oubliez pas. Ce n’est pas la taille qui signifie l’utilité d’un personnage et dans Pochi & Kuro cela se prouve grâce à quelques protagonistes, surtout l’un d’entre eux que l’on découvrait dans le premier tome. Petit, mais courageux et c’est ce qui est le plus important en situation de crise !

Nous voyons encore mieux les différents liens entre les personnages à présent, des liens allant autant de sentiments profonds jusqu’au respect (ou au profit… J’ai bien rit avec une certaine hiérarchie canine quand même) et ce peu importe la personne se trouvant en face. Peur, amitié, amour, respect, doute, espoir sont des éléments que l’on retrouve et ce même si certains personnages ne savent pas encore ce qui les poussent à faire telle ou telle action. Certaines réactions sont même terriblement adorables.

Alors oui, Pochi & Kuro est une lecture qui saura vous changer les idées, vous rendre le sourire si besoin et vous transporter dans son univers loufoque. Il y aura sûrement un personnage que vous préférerez ou plusieurs (… Je veux adopter Léo, c’est grave ? Enfin, j’adore Kuro aussi, mais je me vois mal utiliser le verbe adopter pour lui… *tousse*) et ceux-ci vous feront passer un très bon moment. De plus, redécouvrir différentes créatures ne fait pas de mal surtout lorsqu’elles sont bien exploitées. J’ai également beaucoup aimé les fiches personnages Y en a un qui est né le même jour que moi !!!! Erm pardon… – qui nous permettent d’en savoir un peu plus sur nos camarades démoniaques ainsi que les petites cases/historiettes à la fin du manga (qui étaient déjà présentes dans le tome 1.)

Vous l’aurez comprit, je suis vraiment aux anges dans l’univers que j’ai découvert avec Pochi & Kuro. Comment ça, je devrais utiliser un autre mot qu’ange ? Bah… Je ne vais pas dire en Enfer… Hm… AH ! Je me trouve dans un Enfer de bonheur ? Non, ça ne va pas… Enfin soit, ce n’est pas important. J’ai un sourire de trois kilomètres en le lisant, je passe un très bon momentet accessoirement ma mère également vu qu’elle a passé la soirée d’hier à les lire et je veux ardemment savoir ce qu’il adviendra de Pochi, ce qu’il se passera et puis je veux toujours en savoir plus. Non, ma curiosité ne connait pas de fin.

Et vous les matous que pensez-vous de cette courte série ? Passez-vous un bon moment en la lisant ? Y a-t-il un personnage que vous appréciez ? Si vous ne l’avez pas lu comptez-vous l’essayer ?

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Note de la Neko : Les deux tomes sont sortis en même temps, alors si vous avez l’occasion n’hésitez pas à les lire à la suite 🙂 Ces deux premiers volumes sont parfaits pour mettre de bonne humeur et vont également parfaitement avec l’été côté dépaysement ☺

Pochi & Kuro – Tome 1

Aloha les matous, comment vous sentez-vous ? Bien ? Tant mieux alors. Pour le moment, je continue de vous laisser avec différents articles et j’espère que cela ne vous dérange pas d’en avoir tant. Comme je suis toujours en train de rattraper mon retard, c’est un peu le sport, mais je suis ravie de vous partager les découvertes réalisées grâce aux services presses et à mes achats.

Aujourd’hui, on continue notre avancée dans les mangas reçus de la part d’Anita et de Kazé – que je remercie encore de tout mon petit cœur – et nous allons nous diriger non pas vers Black Clover ou Le Chant des Souliers Rouges, tout du moins pas encore, mais en direction d’un monde remplit de démons et autres créatures non humaines.

« Pochi & Kuro »

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6€79 – Shônen – 192 pages

Au Royaume des Démons, il existe un mets légendaire capable de conférer un immense pouvoir : la chair humaine !

Alors que Kuro, un jeune démon dans la dèche, pêche son dîner en compagnie de son meilleur ami… une lycéenne mort à l’hameçon ! Bien qu’affamé, Kuro tombe sous le charme de son adorable mais incompréhensible prise et ne peut se résoudre à la passer sur le grill… Hélas, les autres démons ont les crocs et, pour les deux compères, il ne va pas être facile de les empêcher de dévorer l’appétissante Pochi !

Mais que se cache-t-il derrière ce titre ? Deux prénoms, enfin un nom donné un peu par hasard également, qui reflètent nos deux personnages principaux. Pochi est le personnage humain, la seule humaine que nous connaîtrons réellement durant notre lecture et nous représentant en quelque sorte. Kuro… Et bien Kuro c’est l’un des démons, l’un des êtres de ce monde où les humains sont considérés comme une nourriture rare et de choix. Oui, oui, vous avez bien lu… Pour les habitants du Royaume des Démon nous sommes un aliment au même titre qu’un poisson rare, mais contrairement à ce dernier nous ne sommes pas « insignifiants » (Ne me tapez pas…)

Et oui mes petits matous, en tant qu’humain – et chair humaine à leurs yeux ne pensons pas être autre chose pour la majeure partienous permettrions au Démon nous dévorant d’acquérir un immense pouvoir. Lequel ? Ceci est une bonne question et nous découvrions certains éléments dans ce premier volume. De ce fait, je ne vous le dirai pas. Na ! Mais sachez que niveau pouvoir cela ne doit pas être de la gnognote. Ou alors ils ont vraiment des goûts étranges…

Ce premier volume nous permet de découvrir les lieux Parce que bon, avouez qu’un Royaume plein de Démons ça doit être franchement sympa quand mêmeet les personnages que nous suivrons ou retrouverons assez souvent. De ce fait, nous voyons Kuro dès le début en compagnie d’un gros matou dont la tête flotte nommé Léo. La logique de votre Neko veut qu’elle veuille câliner le pauvre Léo… Oui, je sais je suis humaine et je risquerais de finir dans son estomac, merci de me le rappeler…

Pour ce qui est de Pochi – aka l’humaine comme vous le savez en lisant le résumé – elle apparait quelques planches plus loin après avoir été pêchée. On se doute qu’elle n’avait sûrement rien demandé auparavant, mais comme nous ne la comprenons pas il est difficile de savoir réellement ce qu’elle était en train de faire avant de finir chez nos nouveaux amis. Pochi parle, cela est un fait avéré vu les bulles de dialogues, mais comme nous nous trouvons du côté démoniaque pour cette fois il s’avère que le langage humain nous est… Inconnu. Pour faire simple, le langage de Pochi se résume à de jolies formes dans les bulles montrant l’incompréhension des Démons envers notre langue et heureusement pour nous, ainsi que pour eux, la demoiselle sait se débrouiller en faisant divers signes. Vive les mouvements !

On ne s’ennuie pas avec nos personnages, d’une part parce que l’humour est omniprésentet ce n’est pas un euphémismeet que ça bouge pratiquement tout le temps. Même durant les phases de dialogues pures et dures vu que Pochi doit gesticuler, faire des mouvements, afin de se faire comprendre. Il n’y a bien sûr pas que des scènes humoristiques ou de discussions, après tout l’action est également présente et… Et… Je veux Kuro en garde du corps ! Comment ça ce n’est pas possible ? Mais… Mais… Sérieusement, il pète la classe lorsqu’il doit se battre.

A côté de l’humour et de l’action nous retrouvons également l’aventure.  Sinon ça ne serait pas drôle d’être bloqué au même coin et c’est ce qui nous permet d’en découvrir un peu plus sur les lieux, les autres personnagesNon, il n’y a pas que ce trio et divers éléments touchant l’intrigue qui peut sembler totalement saugrenue au début et qui, pourtant, se retrouve assez logique si on entre dans l’histoire. D’ailleurs, c’est durant les différentes interactions que les relations entre les personnages se développent permettant également l’apparition de certaines émotions tout à fait logique. Chacun d’entre eux ayant ses ambitions, son tempérament, cela permet de se rendre compte que les liens se forment doucement et ce même s’il y a des différences.

Pour ce qui est des dessins, ils sont dans la lignée de la plupart des mangas. Ce faisant si vous recherchiez un style graphique sortant de l’ordinaire ce ne sera pas vers Pochi & Kuro que vous devrez vous tourner, mais ils font très bien leur boulot et sont bel et bien dans l’ambiance du manga. Les personnages se reconnaissent en un coup d’œil lorsque l’on tourne les pages et… et je veux adopter les félins… Et sont agréables à l’œil qui n’est pas du tout agressé par les traits. Du côté de la traduction, je n’ai pas vu de souci durant la lecture qui s’est faite très rapidement dès que je suis entrée dans l’univers et l’humour de cette courte série en quatre tomes réalisée par Naoya Matsumoto.

Sur le coup, je ne peux pas vous en dire plus mis à part que j’ai enchaîné directement sur le tome 2. C’est un vrai moment de plaisir qui nous change les idées en une fraction de seconde car l’ennui n’a pas le temps d’arriver. Il est même totalement oublié ce monsieur l’ennui si vous voulez mon avis. Et puis, il est difficile de ne pas trouver certains personnages adorables ou de vouloir kidnapper un félin en apprendre plus sur le Royaume des Démons.

Et vous les matous comptez-vous vous lancer dans l’aventure Pochi&Kuro ? Pour ceux l’ayant déjà lu qu’en avez-vous pensé ? Y a-t-il un personnage que vous appréciez plus que d’autres pour le moment ?

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Note de la Neko : … Par contre depuis l’apparition d’un certain aliment parlant, j’ai du mal à regarder le fruit sur lequel il est basé de la même manière… Je ne dirai pas du quel c’est, mais difficile de vouloir avaler quelque chose quand notre tête fini par nous dire que c’est peut-être vivant. Pourtant, j’aime bien ce fruit moi ;_ ;

Fire Punch – Tome 1

Coucou les matous, comment allez-vous ? Moi ? Je suis plutôt fatiguée, mais je m’accroche. Le 1 juin approche à grand pas et les examens avec lui… Que je déteste cette période (Et oui, j’ai déjà eu un exam’ il y a peu qui c’était bien passé. Heureusement d’ailleurs.)

Aujourd’hui nous nous dirigeons vers un titre tout feu tout flamme qui ne sortira que le mois prochain. Et non, je ne vous parle pas de Fire Force sur le coup, sortit ce mois-ci,  même s’il faut avouer que le thème du feu à l’air d’être fréquent pour le moment… Je remercie d’ailleurs une nouvelle fois les éditions Kazé et Anita pour la découverte du titre longtemps en avance et pour la box qui l’accompagnait. Prêt à vous rendre dans un monde extrêmement froid ?

« Fire Punch »

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7€99 – Seinen – 192 pages

Dans un monde où tout est recouvert de glace, la famine et le chaos règnent sur la Terre. Parmi les quelques humains qui tentent de survivre, certains sont dotés de pouvoir surnaturels. Agni et sa soeur, Luna, font partis de ces « élus » et possèdent la faculté de se régénérer. Agni utilise ce pouvoir pour nourrir les habitants de son village. Pourtant cela ne suffira pas à les préserver du terrible malheur qui va s’abattre sur eux… Agni sera le seul survivant du massacre qui a brûlé tous ses proches. Il part alors dans une quête effrénée pour assouvir sa soif de vengeance !

Ah, Fire Punch. Le titre tant attendu par pas mal de monde et que j’ai découvert grâce à la box presse reçue le mois passé. Pas de remarques sur ma vitesse de pointe du moment je vous prie sinon je vous offre une maquette, trois travaux sur Word – si pas plus, j’ai arrêté de compter – et tout ce qui va avec l’arrivée des examens.

Fire Punch n’est pas un monde de Bisounours et si vous cherchez de la chaleur humaine – et surtout quelque chose de joyeux – passez votre chemin. Vous ne trouverez pas cela dans ce manga, certes la chaleur sera là, mais pas du tout celle à laquelle vous pensez. L’être humain n’est pas vraiment un être de bonté et la noirceur humaine est belle et bien présente sous nos yeux… Jusqu’aux pires vices.

Certes, certaines actions pourraient être compréhensibles grâce aux pouvoirs de certains « élus » surtout dans un monde où la nourriture semble bien moins présente que dans le nôtre, où la chaleur est une rareté. Pour survivre jusqu’où seriez-vous capable d’aller ? Certains choix paraissant inhumains à nos yeux, le sont également pour certains personnages mais d’autres préfèreront essayer de vivre un minimum, même si cela sera probablement mal vu par d’autres.

Le cannibalisme est-il quelque chose de simple à réaliser ? Non. Et les habitants du village, présents au début du manga, le montrent chacun à leur manière. Certains s’y adapteront mieux que d’autres, mais cela ne sera pas le cas de tout le monde. Peut-on garder notre humanité en mangeant de la chair humaine ? De quelle manière cela sera-t-il vu par des personnes extérieures ? La réponse arrive assez facilement en soi, mais ne sera probablement pas la plus heureuse.

Bien entendu, il y aura d’autres éléments pouvant heurter la sensibilité de celui qui lit le manga et qui risquent de marquer d’une manière ou d’une autre le lecteur. Certains auront du mal à se mettre dans la peau du héros – ce qui était mon cas – ou du mal avec les autres personnages. Pour ma part, j’ai plutôt apprécié Sun qui a un caractère diamétralement opposé à d’autres que l’on croise au cours du récit. Et… Je pense que je l’aime bien justement parce qu’il est comme un petit rayon de soleil.

Mais laissons les personnages de côté pour nous tourner un peu vers l’histoire, histoire qui – comme vous l’avez-vu plus haut – n’est pas la plus heureuse existant. Nous rencontrons notre héros et sa sœur au début du manga, deux personnages vivant heureux malgré la vie rude qu’ils connaissent. Malheureusement pour eux, ces moments heureux finiront par disparaître tout comme la chaleur s’en est allé de nombreuses années auparavant. Seul un monde froid subsiste, un monde où la survie prime sur le reste et où les bassesses humaines réapparaissent.

Et bon sang, je n’étais pas à l’aise lors de certains événements. Pour d’autres suites à des travaux scolaires j’étais déjà drillée (Oui, oui, le cannibalisme est entré dans mon programme d’étude à un moment… Me demandez pas pourquoi je l’ai vu en long, en large et en travers, mais voila ce fut le cas… Pareil pour l’esclavage) ce faisant je n’étais pas si choquée que cela par les éléments déjà connus grâce aux cours.  Enfin, en même temps je commence à être habituée à pas mal de chose… Mais pas à tout semble-t-il. Je dois avouer ne pas avoir tout prédit en avance au niveau de ce que l’être humain était capable de faire dans un tel environnement…

D’ailleurs, ma curiosité est restée titillée par certains élémentsmême si nous avons des réponses pour quelques uns d’entre eux dans ce premier tome – et c’est pour ça que je serai curieuse de découvrir le tome 2. Je note pour la suite que les certitudes ne le sont pas toujours en tout cas vu la surprise que j’ai eue et je n’étais pas la seule. Vous vous souvenez sûrement que je ne suis pas la seule à lire les mangas à la maison et bien ma mère c’était également lancée dedans pour le meilleur et pour le pire…

Parce que oui, elle était assez expressive tout au long de sa lecture. Souvent à coup de « Pourquoi ? » certes, mais cela ne l’a pas empêchée d’être également intriguée par un point. Bon deux, parce que cette histoire d’Elus semble un peu plus l’intriguer que moi sur le coup (Même si je suis curieuse sur ce point également). Plus qu’à voir comment cela apparaîtra dans la suite et si cela continuera d’aller dans la noirceur humaine. (Un p’tit rayon de soleil perdu please ! Comment ça je rêve ?)

Pour ce qui est du dessin, il fait son boulot en nous permettant de savoir qui est quimême au fil des anset les lieux. Par contre, je me suis encore faite avoir avec Sun au début par rapport à son sexe cela commence à être un peu trop fréquent ces derniers temps. Je suis une bille pour reconnaître une fille d’un garçon ou un garçon d’une fille ou quoi ? (Oui, je sais la phrase veut dire la même chose *tousse*)

Du côté de l’édition, j’ai reçu l’épreuve non corrigée qui se trouvait dans la box presse et je dois dire que malgré tout c’était franchement agréable. Comme Xander, je n’ai pas vu grand-chose de problématique dans l’œuvre hormis, à de très rares moments, des inversions dans les bubulles. Rien de bien grave lorsque l’on arrive à se situer comme il se doit.

Bon ce n’est pas un coup de cœur, mais la curiosité par rapport à la suite est bel et bien présente malgré tout. (Curiosité fois deux… Merci de me le rappeler oh grande maman TT’) Par contre, il ne faudra pas que je sois épuisée lors de la lecture du tome 2 sinon je risque soit de chialer pour rien – moi, hypersensible ? Nooon – soit de gueuler sur les personnages… Oui, oui ça m’arrive assez souvent et c’est assez violent quand je suis crevée. Ce ne sera pas un manga pour tous, ça c’est certain vu la violence et la noirceur présentes dans le titre. Un titre qui débute assez lentement afin de nous permettre de prendre nos marques – Même si pauvre Agni malaimé à la maison – et qui pourrait être encore plus surprenant dans le futur. Plus qu’à voir ce que Tatsuki Fujimoto nous réserve, à quelle température nous allons brûler (Oui, le froid ça brûle aussi) et la manière dont tout cela arrivera !

Êtes-vous curieux par rapport au titre les matous ? Compterez-vous l’essayer le 21 juin prochain ?

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