Le Chant des Souliers Rouges – Tome 3

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Bien ? Tant mieux alors ! Pour ma part je suis de très bonne humeur vu qu’il y a eu de la neige ! Oui, oui, de la poudreuse bien blanche et qui faisait un son bien agréable pour les oreilles. Malheureusement, elle a déjà disparu… Reviendra-t-elle ? Je l’espère en tout cas…

Aujourd’hui, je vous entraîne dans un Seinen dont on a déjà parlé sur le blog avec le troisième volume d’une série poétique et terriblement touchante… Prêt à reprendre les cours de flamenco les matous ? Pour ceux désirant d’autres avis Xander, Thiboutsu et Euphox en ont également parlé. (Oui, je suis à la ramasse comme souvent ~)

« Le Chant des Souliers rouges »

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8€29 – Seinen – 192 pages

Deux lycéens mal dans leur peau.
L’un gêné par son embonpoint et sa timidité, l’autre, par sa voix rauque.
Tsubura, souffre-douleur de la classe et Hana, le grand taciturne que tout indiffère, forment désormais une petite bande avec Kimitaka. Mais leur lien d’amitié naissant reste fragile…
En partageant les cours de flamenco de leur ami, ils trouveront peut-être, aux aussi, le moyen de s’épanouir…

Déjà la moitié pour la série Le Chant des Souliers Rouges avec ce troisième tome, un tome qui m’aura réellement touchée et même plus que les précédents. Difficile de ne pas l’être avec cette série après tout, car Mizu Sahara est juste dans ses propos et ses personnages si touchants.

Nous retrouvons Kimitaka, Tsubura et Hana dans ce tome trois. Le petit trio à l’amitié naissante, mais également à la fragilité présente en fonction de chacun. Chacun d’eux possèdent ses problèmes et peut-être que ce sera le cours de flamenco qui les sauvera tous en s’épanouissant. Ici, nous allons en savoir bien plus sur Tsubura et Hana tout en mettant légèrement de côté la danse. Parce que oui, ce qui nous importera ici ce sera d’en découvrir plus sur les deux nouveaux amis de Kimitaka, les raisons faisant qu’ils ont peu confiance en eux, mais également leurs points forts. De plus, Tsubura et Kimitaka devront trouver un chanteur… Vous devinez aisément qu’ils penseront de suite à Hana, bien qu’il ne sera pas simple de le convaincre.

Les raisons de ce choix sont rapidement expliquées dans ce troisième tome, mais également le souci d’Hana pouvant légèrement poser problème lorsqu’il est le centre de l’attention. Ce souci dont certains camarades de classe tenteront de profiter en le poussant à bout, mais heureusement pour Hana, Tsubura sera toujours là pour le protéger et ce même s’il sera la cible juste après des brimades. On se demande aisément s’ils arriveront à dépasser tout ce qu’il se passe, à prendre confiance en eux.

Et réussir à prendre confiance en soi n’est jamais simple… j’en sais quelque chose en soi, vu que je ne suis pas la plus confiante en mes propres capacités. Alors, oui, je comprends parfaitement ce que cela peut faire et ce même si je ne me trouve pas à la place des personnages. Des personnages réellement touchants et auxquels il n’est pas difficile de se comparer dans certains cas. 

Des personnages que l’on voit petit à petit évoluer, souffrir également par rapport à certains événements tout en essayant d’avancer. Ce n’est pas simple et pourtant, au fil du temps, ils y arrivent et prennent sur eux en tentant de se dépasser. Chacun devant faire face à ses faiblesses tout en prenant conscience de ses forces. Des forces pas toujours faciles à deviner lorsque l’on n’a pas confiance en soi comme ce petit trio relativement complémentaire. Tsubura et Hana prennent de l’ampleur dans ce troisième volume, on s’attache à eux, à leurs passifs et à leurs désirs suite à ce que nous apprenons. Deux personnages aussi touchant l’un que l’autre ♥

Le seul personnage s’avérant très peu présent au final s’avère être la demoiselle que nous rencontrions lors du premier volume. C’est dommage qu’on la voie si peu, même si cela reste compréhensible malgré tout… Après tout, c’est l’évolution de Kimitaka que nous suivons, même si dans ce troisième tome il était plus en retrait, et non pas celle de la basketteuse qui semble avoir déjà reprit goût à la vie. J’espère tout de même qu’elle réapparaîtra un peu plus au fil du temps, sachant que c’est une courte série malgré tout.

Cela ne m’empêche pas de m’immerger complètement dans l’histoire et ce troisième volume n’est pas différent des deux précédents. De ce fait, ce tome me touchait bien plus encore que ceux l’ayant précédé… Certes, je suis très émotive par rapport à tout ça – j’arrive même à pleurer devant Magical Dorémi, c’est pour dire – mais cela n’empêche que c’est réellement un très beau manga, avec un message fort et touchant.

De plus, l’histoire ne stagne pas. Elle avance, à son rythme et suite aux différents événements ou aux divers choix à réaliser. Elle prend place, touche à sa manière le lecteur et le renvoie, dans certain cas, à son propre passé, à ses propres peurs ou au fait que lui non plus n’a pas confiance en lui. Ce n’est pas toujours simple, lors de la lecture, de mettre de côté tout ce qui peut venir en tête, nous toucher et le troisième tome du Chant des Souliers Rouges fait que, justement, on se retrouve prit dans la réflexion.

Une réflexion par rapport aux personnages, mais également sur nous même. Leurs choix, leurs vécus, leurs avancées, leurs doutes, tout cela entre, en quelque sorte, en résonance avec ce que nous connaissons également. Le manga est juste dans sa manière d’aborder tout cela, de nous toucher, de nous donner envie de continuer de le découvrir tout en faisant en sorte qu’une part de nous se dise, parfois, que cela risque d’être rude malgré tout.

En soi, la série se bonifie au fil du temps et continue d’être réellement agréable à découvrir malgré cette légère « douleur » pouvant toucher certaine personne. Oui, il arrivera probablement que quelques lecteurs versent une larme en le lisant, alors que pour d’autres ce ne sera pas le cas, mais à mes yeux je trouve cela normal vu que Mizu Sahara fait en sorte qu’une part de nous soit touchée à sa manière.

Les dessins de la mangaka restent poétiques, mais également très doux. Ils montrent aisément les expressions, les sentiments de nos protagonistes et des autres sans que l’on ne soit perdu. Les lieux se reconnaissent, tout comme les personnages et, pour ma part, je me plais à observer chacune des planches du manga, d’en profiter et ce même si les dessins peuvent sembler étranges pour certains. Depuis le début, je n’ai eu aucun mal avec ceux-ci et cela continue au point que je les apprécie de plus en plus au fil de mes lectures et relectures. Il ne touchera d’ailleurs pas tout le monde de la même manière ou aura, toujours, du mal à passer chez certain mais cela dépend de la perception de chacun et de nos goûts. Je reste subjuguée par les couvertures également, toutes aussi jolies les unes que les autres.

Du côté de l’édition, Kazé fait encore une fois du bon travail par rapport à l’œuvre. La traduction est fluide et sans accrocs apparents faisant que les dialogues se lisent sans aucune difficulté tout en collant aux différents personnages. On les reconnaît aisément dans leurs manières de discuter et c’est réellement agréable. Les métaphores présentent sonnent également joliment et sont aisément compréhensibles. Pour ce qui est du papier en lui-même, il garde gentiment son encre qui n’aura pas finit en flaque informe sur certaines pages tout en laissant apparaître le texte sans que celui-ci ne s’efface. Au niveau du manga, il reste assez souple – il est beaucoup moins rigide que le manga Le loup de Hinata par exemple – et facile à transporter.

Alors, alors… Que dire pour terminer cet article avant d’enchaîner sur le tome 4 ? Comme vous le savez, cette série est un véritable régal à chacun des tomes pour ma part. Une belle surprise me touchant à chaque fois et me renvoyant sans difficulté à d’autres moments vécus auparavant. Certes, ce n’est pas toujours simple durant la lecture, mais cette série s’avère être un très beau coup de cœur pour cette année. J’ai toujours hâte de découvrir la suite, de voir comment ils vont avancer et ce qui nous attendra. De plus, le simple fait d’être plutôt en compagnie des amis de Kimitaka qu’avec ce dernier était vraiment intéressant et nous permettait d’en découvrir bien plus sur eux.

Et vous les matous, comment trouvez-vous ce manga ? Où en êtes-vous ? Le lisez-vous ?

 

Site de l’éditeur – Extrait

Kuroko’s Basket Replace Plus – Tome 3

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? J’espère que vous êtes en forme ! Pour ma part, je vais bien. Comme vous le savez peut-être j’avais mon premier entretien la semaine passée, mais finalement il fallait quelqu’un de bien plus expérimenté que moi (… En même temps avec 0 expérience… *Va chercher des Super Bonbons pour monter de niveau*) je vous en parlerai un peu plus dans le journal nekoien qui arrivera dans le courant de la journée. Sinon, préparez-vous à voir également arriver mon avis sur le tome 1 de Mon cousin l’avait prédit dans les prochaines 24h !

Aujourd’hui, je vous entraîne une nouvelle fois dans le milieu du basket en compagnie des personnages de Kuroko’s Basket ! Et comme vous vous doutez, ayant déjà parlé de la série initiale et des Extra Game c’est dans Replace Plus que nous nous dirigeons. Comme toujours, je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi du tome 3. Prêt ? On est reparti à Teikô les matous !

« Kuroko’s Basket Replace Plus »

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6€79 – Shônen – 192 pages

La fête du collège Teikô est sur le point de commencer ! Pour Momoi, c’est l’occasion idéale d’attirer l’attention de l’objet de son affection, le discret Kuroko. Par chance, ce dernier, de sa propre initiative, lui propose de devenir son binôme lors des différentes épreuves du festival. Mais attention, l’enjeu est de taille : on raconte que les gagnants trouveraient le bonheur… à deux !

Cette fois-ci pas de changements d’époque et d’équipe, non, nous restons avec nos basketteurs à l’époque du collège ! En compagnie de Momoi, nous découvrons la préparation de la fête du collège Teikô et… la fête en elle-même bien entendu.

Nous nous retrouvons donc à suivre la demoiselle aux cheveux roses durant ce troisième tome, un tome restant bien centré sur elle – Et les membres de la Génération des Miracles au collège – nous évitant, de ce fait, diverses petites histoires. Ici, une seule est suivie et cela m’avait d’ailleurs surprise au début vu que je m’attendais à ce que cela fasse comme dans les volumes précédents. Sauf que ce ne fut pas le cas et au final la surprise s’avéra même assez agréable… Même si Momoi reste l’un des personnages avec lesquels j’ai le plus de mal. Mais bon, ça c’est personnel et je sais que d’autres l’apprécient.

Dans ce troisième tome se déroulant au collège nous voyons les personnages avec leurs personnalités d’avant bien que nous pouvons voir sans aucun problème quelques bribes de leurs tempéraments connus. Après tout, certains n’ont pas énormément changé au fil du temps tel que Midorima contrairement à d’autres dont le caractère n’est pas allé en s’améliorant. Les voir dans le passé nous permet de nous rendre réellement compte de l’impact que tout cela a eu lorsqu’ils sont devenus les plus forts. Un impact bien plus important pour certains que pour d’autres.

Parce que oui, leurs liens étaient réellement forts lorsqu’ils se trouvaient au collège Teikô et ce jusqu’au « grand changement » (Je vais appeler cela comme ça, ce sera plus simple) menant aux personnages et aux situations que nous rencontrions dans Kuroko’s Basket et Kuroko’s Basket Extra Game. Dans ce troisième tome de Replace Plus nous nous en rendons encore plus compte grâce à la fête, aux taquineries, aux discussions et on se rend bel et bien compte des sentiments de la rose. Amitié, amour, envie de se dépasser, de faire plaisir, de montrer de quoi on est capable, esprit d’équipe, c’est également tout cela Kuroko’s Basket même si cela s’avère moindre que dans d’autres mangas pour certains thèmes cités.

Chacun des membres de la Génération des Miracles est un bon exemple par rapport aux désirs, aux rêves. S’ils sont entrés dans le club de basket de Teikô ce n’était pas pour se la couler douce, mais pour affronter des adversaires de plus en plus puissants même si… On sait jusqu’où tout cela à mener. Heureusement, il y avait tout de même des périodes plus calmes, plus habituelles dans la vie de collégiens tels que les sorties ou, tout simplement, les festivals. Et c’est ce que nous avons dans ce tome 3 comme vous le voyez depuis tout à l’heure. Un festival permettant de faire ressortir les qualités et les défauts de chacun, un festival donnant droit à des situations cocasses même si je plains Momoi dans certains cas.

Et je reste tellement attachée à Aomine… Mon cœur se serre dès que je repense à l’une de ses phrases prononcée dans la série initiale alors qu’il était – justement – au collège. Alors, le voir d’une humeur joyeuse, taquine, et aimer ce sport pour lequel il donnait tant fait réellement plaisir. Bien entendu, il n’est pas le seul du groupe que j’apprécie, mais il était le premier. Kise est le second, même s’il est l’un de ceux ayant le moins changé du groupe, pourtant lui aussi a été – d’une certaine manière – touché par ce qu’il s’est passé. Pareil pour les autres et bien entendu Kuroko, le joueur fantôme, le joueur apprécié de chacun des membres de la Kiseki no sedai et qui n’hésitera pas à leur tenir tête durant les matchs autant que possible dans Kuroko’s Basket.

D’ailleurs, dans ce spin-off, nous le voyons rire, sourire en compagnie de ses anciens amis. Nous le voyons également tel qu’il était avant, légèrement différent, mais en même temps tel que nous le connaissons. Lorsqu’il avait une idée en tête, il ne la lâchait pas déjà à l’époque et voir qu’il est resté ainsi fait également plaisir. Et le fait que ce tome suit une histoire unique plutôt que diverses petites historiettes nous permet de nous accrocher un peu plus à ces êtres de papier. Parce que oui, durant ce festival nous sourions face à certaines situations réellement cocasses, nous nous rendons bien compte de ce qu’aime chacun d’eux et… Et on voit bien qu’Akashi est vraiment doué en pas mal de choses finalement. (Même si je me demande où il est durant la course… Mystère)

Pour conclure ce petit avis, ce tome 3 est réellement celui que j’aurai préféré pour le moment par rapport au spin-off et je suis curieuse de voir si le tome 4 suivra la logique présente dans ce volume-ci. En attendant, retrouver les personnages dans ce spin-off s’avère agréable tout en nous permettant d’en apprendre plus sur ce qu’ils faisaient comme activité sur le côté – hormis le basket s’entend – ou dans le passé. Plus qu’à voir comment cela évoluera !

Et vous les matous, lisez-vous ce spin-off ? Qu’en pensez-vous ?

Site de l’éditeurExtrait

Kuroko’s Basket – Extra Game – Tome 2

Hey ! Comment allez-vous les matous ? Ici, la météo est tellement changeante que je tousse joyeusement. Rien de grave, je sais que ça passera, mais c’est assez casse-pied surtout lorsqu’on vous fait des remarques T_T ‘ M’enfin, ce n’est rien ! J’aurai ça assez souvent lorsque la météo sera telle qu’elle est… Mis à part ça, je reviens du cinéma où j’ai été voir « Valérian et la cité des mille planètes » qui fut plutôt sympa à voir !

Aujourd’hui, on repart sur un terrain de basket. Alors sortez vos chaussures et tenues de sport parce que ce sera sportif ! Nous allons courir dans tous les sens, tirer et même sauter, faire des passes aussi… On est parti !

« Kuroko’s Basket – Extra Game »

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6€79 – Shônen – 192 pages

Face aux Jabberwock, les Vorpal Swords envoient Aomine et Kise en binôme pour une prise à deux sur Silver. La stratégie paie et l’équipe remonte au score, mais l’écart reste important. Le dernier quart-temps commence et Kuroko, Kagami et leurs camarades de la G.M. vont chacun devoir libérer leur plein potentiel s’ils veulent remporter ce match. Le réveil du second Akashi sera-t-il suffisant face à Nash et la team américaine ?

Et je continue de rattraper mes petits avis en retard pour le moment (Même si je vous ai parlé d’un « non retard » dernièrement) et cette fois nous nous tournons vers le tome 2 de Kuroko’s Basket Extra Game. Pour l’avis sur le tome un, suivez le guide !

Nous sommes toujours en plein match et reprenons pile à la fin du premier volume, c’est-à-dire avec Aomine et Kise faisant tout deux face à un autre personnage durant le match de basket. L’équipe des Vorpal Swords fait tout ce qu’elle peut pour vaincre les Jabberwock et vice versa, quelle sera l’équipe vainqueur ? Les étrangers ou nos chers basketteurs ?

Comme vous vous en doutez, nous aurons la réponse dans cet ultime volume de Kuroko’s Basket Extra Game, volume qui clora les aventures « normales » de nos camarades basketteurs. Pour rappel, l’équipe des Vorpal Swords est composée de la Génération des Miracles et d’autres personnages que nous avions côtoyés durant l’aventure principale alors que l’équipe de Jabberwock est une équipe américaine.

Les différents caractères restent pareils à ce que nous avions connu auparavanttant dans la série principale que dans le tome 1 et je continue de détester, réellement, l’équipe de Nash. Je n’aime pas du tout leurs caractères (pourtant mon chouchou a un caractère bien à lui aussi…) et je n’arrive pas à apprécier leurs manières de jouer. Certes, c’est du street basket, mais vu leurs tempéraments j’ai juste envie de leur faire tomber les foudres de Zeus dessus ! Qu’ils retombent un peu sur terre, plutôt que de prendre tout le monde de haut (Comment ça une certaine génération des miracles a aussi été comme ça ? Oui, mais non pas tout à fait >.> Au moins, certains restaient fidèles à certaines choses morales >.<)

Tant que je mentionne notre chère génération des miracles ils sont… Fidèles à eux-mêmes et ce même si je plains Kise… On voit qu’il prend sur lui à certains moments, mais c’est son propre choix et il n’est pas le seul à se dépasser. Tous le font à leur manière et j’ai juste trouvé dommage que les autres personnages faisant partie de l’équipe soient légèrement mit de côté. Certes, en deux  tomes il aurait été difficile de tous les mettre tout le temps en avant, mais cela reste tout de même un peu triste pour eux. Bien que l’on sache pertinemment qu’eux-mêmes savaient, dès le début, qu’ils seraient moins importants que les membres de la GM. Les différents personnages de la célèbre Kiseki no Sedai (oui, j’avais envie de changer un peu…) ainsi que Kagami évolueront également dans leurs manières de jouer et l’ont se rend compte de l’évolution depuis la fin de Kuroko’s Basket.

Au niveau des techniques, on les reconnait sans difficultés que ce soit la Zone, les yeux de l’empereur, les passes de Kuroko ou toute autre technique vous venant en tête et il n’y a pas que les japonais qui en possèdent. Et oui, les américains aussi peuvent réserver quelques surprises – même si ce n’est pas le cas de tous les joueurs – et cela pourrait mettre à mal les Vorpal Swords s’ils ne font pas attention. Comment feront-ils pour s’en sortir durant le match face aux Jabberwock ?

L’histoire prend fin dans ce deuxième tome qui nous permet de totalement clôturer la série bien que nous ne sachions pas ce qu’il advient d’eux après le lycée. Il clôture également un certain élément lié à Akashi tout en nous permettant de savoir qu’il n’y a pas que les personnages que nous avions côtoyés durant la première série qui possèdent diverses techniques pouvant être considérées comme ahurissantes. (Même si la Zone est explicable avec un autre nom, oui, oui ! Cela existe réellement)

Pour ce qui est des personnages, comme vous l’avez lu plus haut j’ai réellement du mal avec l’équipe de Jabberwock… Ses membres m’horripilent et me donnent envie de les secouervoire de les remettre à leur place… Oui… Alors que je suis hyper timide – contrairement à l’équipe de Vorpal Swords. Même si nous connaissions déjà les personnages de cette dernière, cela fait plaisir de les retrouver et ce malgré la mise à l’écart de certains… Bon, on dira que c’est l’heure de gloire Génération des Miracles et Kagami, mais les pauvres sur le côté quand même… (Cela ne m’empêche pas d’avoir été plus que ravie de revoir Aomine et Kise pour la GM, mais un peu plus de Takao je n’aurai pas dit non !)

Du côté des dessins, ils suivent la logique du tome 1 en nous permettant une immersion dans les actions tout en reconnaissant sans problème ce qu’il se passe. Bah oui, ça serait bête de confondre un dunk et un tir quand même ! Comment ça j’ai pris des cas extrêmes ? Mais non… Au moins, vous êtes sûr qu’ici ce ne sera pas le cas et que vous comprendrez presque d’un coup d’œil ce que vous avez sous les yeux.

Au niveau des bêtisiers, ils sont toujours présents et cela reste vraiment un élément que j’apprécie énormément dans la saga Kuroko’s Basket quant à la catégorie « Après la Winter Cup », elle continue d’être agréable à découvrir vu qu’elle nous permet de savoir ce qu’il s’est passé juste après la dite Winter Cup et donc avant les Extra Game.

Résultat des courses, ce deuxième tome fut bien sympathique à suivre et nous permet d’avoir une fin logique pour les deux volumes tout en restant dans la continuité de la série principale. Il n’y a pas de problèmes au niveau des tempéraments qui sont restés identiques – malgré qu’ils aient un peu mûrit – et les personnages restent assez haut en couleur à leurs manières. Il n’y a que le fait que certains personnages soient moins présents qui peut poser quelques soucis à certaines personnes ou le fait que l’on voulait faire durer le plaisir, mais mis à part cela je n’ai rien vu de problématique. L’envie de faire du basket après avoir lu l’un des tomes est restée présente, également, ce qui est plutôt chouette je trouve !

Et vous les matous avez-vous lu cette courte série clôturant la saga initiale ? Qu’en avez-vous pensé ? Quelle équipe avez-vous préféré ? Quel personnage préférez-vous ?

 

Site de l’EditeurExtrait

Avis de la Neko : Pour ceux qui veulent un avis général sur la série principale c’est par ici ! Si j’y arrive je reprendrai les différents avis généraux durant le mois d’août, mais avant ça je dois encore vous parler de quelques titres alors un peu de patience !

Le Chant des Souliers Rouges – Tome 2

Coucou les matous ! Comment allez-vous ? Pas trop chaud ? Entre l’orage violent de la dernière fois et la montée des températures je commence à être totalement perdue (et accessoirement à tousser… Quand je vous dis que je fonctionne en fonction des changements météorologiques T_T) Je n’ai pas sût poster hier et jeudi – si je ne me trompe pas au niveau des jours – ayant travaillé dans le jardin et ayant eu quelques problèmes au niveau de l’électricité. C’est courant dans le coin, ne vous inquiétez pas et puis, le plus important, tout à survécu !

Enfin, j’ai tout de même encore de quoi faire alors je ne m’en plains pas et aujourd’hui nous reprenons notre parcours mangas. Je réfléchis à une manière de vous parler des autres romans/BD que je lis vu que vous l’avez sûrement remarqué, mais je n’en parle pas vraiment – sauf de temps en temps – sur le blog. M’enfin, je trouverai bien une solution et parfois cela arrive en pleine nuit. Pour le moment concentrons-nous sur le sujet qui nous passionne le plus, dans un monde identique au nôtre et où nous découvrons également le flamenco. Prêt ?

« Le Chant des Souliers Rouges »

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8€29 – Seinen – 192pages

Une danseuse à la retraite. Une blessure au genou. Un studio qui tombe dans l’oubli.

 Kimie Morino pensait avoir laissé derrière elle ses rêves de flamenco jusqu’à ce qu’elle trouve, sur le pas de sa porte, un jeune garçon la suppliant de lui apprendre à danser.

Afin de racheter ses erreurs et de faire honneur à Takara, Kimitaka va devoir convaincre Mme Morino de remonter sur scène…

Comme vous le savez déjà, j’avais vraiment beaucoup aimé le tome 1 et je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi de ce second volume que j’ai une nouvelle fois dévoré tout en passant par diverses émotions.

Nous retrouvons Kimitaka suite à son choix de se lancer dans le flamenco, de découvrir cette danse et ce sera grâce à Kimie Morino que cette envie pourra prendre vie, mais surtout grâce au tablao qu’elle possédait auparavant et qu’elle désire rouvrir. Malheureusement, pour la vieille dame la motivation ne fait pas tout et ce sera un autre personnage qui prendra sa place pour enseigner à notre jeune héros. Takashi apparait sous nos yeux et s’avère également emplit de rêves comme d’autres personnages. Dès le départ nous ressentons sa personnalité, sa volonté et le fait qu’il tente de donner le meilleur de lui-même.

Mais il n’est pas le seul personnage à être bien traité et c’était déjà le cas pour Kimitaka. Chaque personnage à sa place et chacun d’eux s’avère attachant à sa manière. Même si j’ai eu envie de secouer ceux avec qui Kimie Morino a dût parler à un certain moment. Mais c’est le genre de personnes qui m’énerve naturellement, des gens que l’on rencontre réellement et qui ne prennent pas en compte la passion, le désir d’autrui directement. Pour ce qui est des autres protagonistes, ils apparaissent petit à petit dont les camarades de classe que rencontraient Kimitaka durant le tome 1. Eux aussi se découvrent petit à petit et nous nous rendons compte sans difficulté qu’eux aussi doivent avoir leurs problèmes, leurs désirs, leurs peurs, mais également qu’ils sont présents pour notre petit héros. Mais bien sûr ils ne sont pas les seuls et j’apprécie de plus en plus la petite sœur dont on voit également l’évolution et qui nous permet de revoir, de temps en temps, Takara. Plusieurs personnages, plusieurs vies et pourtant des liens qui se croisent au fil du temps ou des événements.

Chacun d’eux vit, à sa manière, à travers les pages et nous touchent par leurs actions, leurs vécus, leurs rêves ou tout simplement leurs évolutions. Ils ne restent pas tels que nous les avons connus auparavant, ils grandissent et font leurs choix même si cela ne plait pas toujours aux autres, même s’il faut les expliquer ou que cela sort de l’ordinaire. Tout le monde à le droit d’essayer, de se lancer dans quelque chose de nouveau, de rater dans certains cas, d’avancer à son rythme et également de vivre. Et ce dernier élément est quelque chose de relativement important au fond, parce que vivre sans avoir constamment des remords par rapport à ce que nous avions fait dans le passé n’est pas simple. Pour se faire, il faut avoir le courage d’avancer, le courage de se lancer et ce n’est pas toujours facile.

Ce deuxième volume de Le Chant des Souliers Rouges nous permet également d’en découvrir un peu plus sur le flamenco et, ironiquement, je me suis retrouvée à tenter de refaire les actions de Kimitaka dans la cuisine sous l’œil amusé de ma mère. (Oui, si vous ne le saviez pas je squatte cet endroit assez souvent) On voit le club de flamenco naître, sous nos yeux, et découvrons les bases de cette danse en compagnie de divers personnages dont des nouveaux. J’appréciais réellement cela, étant curieuse – trop – et en savoir plus me faisait réellement plaisir pendant que je tournais les pages.

Les dessins sont également très doux dans leur manière de nous présenter les lieux, les personnages et je fonds face à la couverture. Je la trouve réellement magnifique et, allez savoir pourquoi, je la préfère même à la première qui était déjà très belle pourtant. Je les apprécie toujours autant, on retrouve la manière de dessiner de Mizu Sahara sans aucun problème et je dois avouer les apprécier encore plus qu’au début. On ressent les émotions à travers ses traits, mais également pas mal de positif lorsqu’on lit l’œuvre. Alors oui, les dessins nous permettent une immersion encore plus présente dans l’œuvre, une œuvre de plus en plus belle et touchante qui apparaît au point de donner les larmes aux yeux dans certains cas, de nous ramener à des périodes passées et à des événements de nos vécus.

Flamenco, basketball, les deux sports apparaissent et sont liés par les personnages. Des sports en apparence opposés, mais des sports permettant de retrouver un but à sa vie, une activité dans laquelle nous nous sentons bien et dans le cas de Kimitaka ce n’est que le début. Un début que je suis ravie de découvrir car on le voit reprendre goût à la vie, avancermême si cela peut sembler maladroit à certains moments et découvrir. Il est terriblement humain, attachant et je me retrouvais en lui sans aucun problème ayant également eu pas mal de difficultés. Pas au point du héros de Le Chant des Souliers Rouges, mais il m’a fallu du temps pour me reconstruire et c’est toujours le cas, en ce moment, alors chaque jour j’avance.

Je pense que vous l’aurez comprit mes matous, mais Le Chant des Souliers Rouges est vraiment un titre qui m’a touché, marquée et je pense pouvoir dire que parmi les mangas c’est réellement une série coup de cœur et poignante. Elle me fait réfléchir, me ramène dans le passé ou me rappelle qu’il ne faut pas baisser les bras, elle me rend également le sourire et ce grâce à l’évolution de notre cher Kimitaka. J’attends avec impatience la sortie du tome 3, mon cœur se demandant quelles seront les émotions qui me traverseront durant la lecture de celui-ci et ma tête me disant déjà qu’il y a peu de risques que je sois déçue.

Et vous mes matous lisez-vous Le Chant des Souliers Rouges ? Si oui qu’en pensez-vous ? Si non, y a-t-il une raison particulière ?

Site de l’éditeurExtrait

Kuroko’s Basket Replace PLUS – Tome 2

Coucou les matous, on se retrouve une nouvelle fois pour… Nani ? Comment ça, cela fait longtemps que je ne vous ai plus parlé manga ? Heu… Le dernier c’était Our Summer Holiday pourtant ! Bon d’accord, cela remonte un peu maintenant vu que c’était le 20 juin, mais tout de même…  Bon, d’accord, d’accord, on retourne parmi ces derniers et vous avez de la chance que j’ai un stock monstre et ne me dites pas « Tu es surtout en retard, Neko… » parce que… Parce que… C’est vrai. *désespère*

Nous nous tournons aujourd’hui vers notre monde – oui, c’est un bon début – et partons rejoindre des clubs de basket. Je n’ai pas encore parlé du tome 1, mais ce sera fait dans les prochains jours.  Je remercie grandement Anita et les éditions Kazé pour l’envoi de ce volume composé de quatre petites histoires. Vous avez votre ballon ? Allons faire un match !

« Kuroko’s Basket Replace PLUS »

6€79 – Shônen – 192 pages

Afin de clore les stages d’été du club de basket de Seirin, Riko a mis au point une épreuve de courage censée “détendre” son équipe. Et pour ce faire, quoi de mieux que la visite d’une maison hantée ? Kagami et Kuroko s’improvisent détectives et vont devoir collaborer avec sang-froid pour venir à bout de ce défi !

Découvrez également la suite des aventures de Kise lors d’un group dating hors du commun !

Vous vous souvenez sûrement de la série initiale, Kuroko’s Basket, et de sa courte suite, Kuroko’s Basket Extra Game, qui nous permettait de découvrir le club de basket de Seirin ainsi que la célèbre Génération des Miracles (La Kiseki no Sedai si vous préférez). Et bien, le plus naturellement du monde, dans Kuroko’s Basket Replace PLUS nous retrouvons tout ce joli monde !

Ce deuxième tome nous fait découvrir la fin des stages d’été où l’équipe de Seirin devra participer à une épreuve de courage élaborée par leur « gentille » coach, mais ce ne sera pas la seule petite histoire de ce volume. Troid autres historiettes – complétant celles se trouvant dans le tome 1 pour deux d’entre-elles – sont également présentes et nous permettent de voir d’autres personnages ou d’en retrouver (Vu que Seirin à une place de choix). L’équipe de Kaijo, par exemple, ou celle de Teiko reprenant nos chers protagonistes lorsqu’ils étaient au collège.

Parce que oui, nous continuons de voyager entre le passél’époque du collègeet le présentoù ils sont au lycée – nous permettant de voir les différences entre les personnages d’avant et ceux de maintenant ou tout simplement de découvrir leurs quotidiens. Enfin, par quotidien cela sous entend certains événements pouvant s’avérer assez originaux.

Nos chers personnages n’ont heureusement pas changés de caractère d’une série à l’autre ce qui s’avère déjà rassurant, d’ailleurs cela m’amuse toujours autant de voir le Aomine collégien et le Aomine lycéen qui ont des tempéraments pouvant s’avérer assez distincts malgré tout. Pareil pour Akashi en quelque sorte, même si pour lui c’est encore différent. Mais il n’y a pas que l’équipe de Teiko qui compte et… Et… Je sais que ce n’est pas gentil de rire des autres, mais l’équipe de Serin m’aura fait mourir de rire durant son test de courage.

Oui, oui… Alors qu’ils étaient paniqués moi je riais. Alors que je détesterais être à leur place… Le dessin aide, en plus, à se sentir immergé dans la partie légèrement plus terrifiante de cette partie du volume et si les personnages n’avaient pas été présents j’aurai réellement paniqué à certains moments. Merci à eux d’avoir été là pour me rassurer sur le coup surtout vu les différentes réactions. Et oui, mes petits matous, chacun des personnages aura sa manière de réagir et sera – ou non – à l’aise durant cette magnifique petite épreuve.

D’un autre côté, nous continuons de nous rendre compte que certains protagonistes ont vraiment du mal avec la gente féminine et cela peut poser quelques petits soucis… Surtout lorsqu’un sujet de conversation tend vers le sport préféré de nos basketteurs. Je ne vous en dirai pas plus sous peine de spoil ce qui serait réellement embêtant, mais si vous avez lu le premier tome vous vous doutez sûrement de ce dont je parle. Mais ce n’est pas tout vu que l’on découvre leur manière d’être en fonction des situations que ce soit dans le passé ou le présent. Je dois dire que j’aime énormément en découvrir un peu plus sur la vie à Teiko.

Les dessins, de leurs côtés, sont dans la logique des séries précédentes et permettent sans aucun problème la reconnaissance des lieux ou des personnages peut importe l’âge qu’ils ont. Je n’étais pas du tout dépaysée et même plutôt ravie de retrouver leurs différentes bouilles, personnalités. Surtout que je le revoyais comme je les avais laissés auparavant tout en découvrant diverses petites choses en plus. La traduction, de son côté, laisse également transparaître les caractères de nos petits basketteurs préférés et ce sans aucune erreur à première vue !

Bon, je dois avouer que les matchs de basket en eux-mêmes me manquent… Heureusement, les sujets tournant autours de cet élément sont, quant à eux, toujours présents entre les entraînements – même mentionnés, ils sont là ou les différentes stratégies mentionnées et cela m’a fait plaisir. Oui, oui, je me suis mise à réellement apprécier ce sport à cause de Kuroko’s Basket et à le comprendre un peu plus même si cela reste une fiction.

En résumé, j’ai tout de même passé un chouette moment en compagnie des personnages et je ressens toujours de la joie lorsque je les revois. Que voulez-vous, Kuroko’s Basket a été le premier manga de sport que j’ai terminé et celui qui m’a donné goût à ce genre, alors oui je suis naturellement ravie de repartir dans l’univers et recroiser les protagonistes s’y trouvant. Il permet d’en découvrir un peu plus sur ce nos personnages préférés font durant leurs sorties, leurs réactions dans certaines situations se trouvant hors du terrain de basket et ce n’est pas plus mal je trouve vu que cela renforce également leur background. Je me demande ce que réservera le tome 3, ce que l’on découvrira en sa compagnie et si nous nous tournerons vers d’autres équipes. Curiosité préparée pour la suite !

Et vous les matous vous êtes-vous lancé dans ce spin-off qui nous en apprend plus sur le quotidien de nos lycéens ou sur les équipes ? Qu’en pensez-vous si c’est le cas ?

 

Site de l’éditeurExtrait

Note de Neko : Je vous parlerai du tome 2 de Kuroko’s Basket Extra Game et du tome 1 de Kuroko’s Basket Replace PLUS dans les prochaines semaines. Je suis toujours en mission rattrape-retard pour le moment, ahah. Ne soyez donc pas surpris s’il y a un – ou plusieurs – jour où vous voyez réapparaitre du Kuroko’s Basket.

Les achats du mois de… Juin

Coucou les matous, comment allez-vous ? Qui dit début de mois, dit présentation des différentes arrivées du mois passé ! Ce fut relativement plus calme que d’autres mois étant donné que j’étais en examen, mais n’hésitez pas à dire si l’un ou l’autre titre vous intéresse pour un avis ou si vous en avez lu l’un d’entre eux ! Sur ce, je vous laisse avec l’article 🙂

Service Presse :

 

Pochi&Kuro – Tome 1 & 2 [Kazé]

Black Clover – Tome 7 [Kazé]

Le chant des souliers rouges – Tome 2 [Kazé]

Kuroko’s Basket Replace Plus – Tome 2 [Kazé]

 Les avis arrivent dans les prochains jours sans fautes ! L’article sera donc mit à jour, comme souvent, afin que vous puissiez cliquer sur le numéro du tome pour vous retrouver sur l’article correspondant. J’ai mis la couverture japonaise du tome 2 de Pochi&Kuro vu que je n’arrivais pas à mettre la main sur la vf, je ferai le changement dès que possible 🙂

Nouveautés :

 

Fire Force – Tome 1 [Kana]

Un Coin de Ciel BleuTome 1 [Nobi Nobi] Série en 3 tomesRemporté grâce au concours sur Facebook

Soul Eater – Triple tome (1 – 2 – 3) [Kurokawa]

To Your Eternity – Tome 1 [Pika]

Kingdom Hearts – Intégrale 1 [Nobi Nobi]

Our Summer HolidayOS [Delcourt/Tonkam]

 Et oui, deux manga d’un même auteur sur le coup, vu que Soul Eater sort à nouveau je me suis lancée dans sa lecture ! Pour ce qui est de la première intégrale de Kingdom Hearts, c’est le côté fan du jeu vidéo qui a parlé également… Oui, je suis faible.

Suites :

My Hero Academia – Tome 8 [Ki-Oon]

Im – Great Priest Imhotep – Tome 2 [Ki-Oon]

Wizard’s Soul – Tome 2 ; 3 ; 4 [Doki Doki] ♦ Série complétée

Je continue de rattraper mes légers retards dans certaines séries, d’ailleurs début de ce mois de juillet je me suis également acheté quelque chose en rapport avec My Hero Academia. Prochaines suites ? Heu… Je verrai bien ce sur quoi je tomberai ! Ce qui est sûr c’est que Yu-Gi-Oh risque bien de réapparaitre dans les prochains mois. Je suis tout de même contente d’avoir complété une série 🙂

Emprunts :

 

/

Aucun emprunt pour ce mois de juin… En même temps, j’ai passé plus de temps dans mes cours que dans mes lectures de ce fait j’ai évité de m’en ajouter… Pourtant, il y avait pas mal de mangas qui me tentaient à la bibliothèque !

DVD :

 

Les Animaux Fantastiques [BluRay]

My Little Pony – Friendship is Magic [Coffret 2 DVDs]

J’en vois déjà derrière leur écran se dire qu’il doit y avoir un problème… Oui, oui, j’ai bien acquis Les Animaux Fantastiques et My Little Pony et ce même si cela peut paraître étrange aux yeux de certains. Le premier a été payé plein prix quant au second, et bien j’ai profité de le voir à un prix dérisoire pour me le prendre.

Goodies :

 

Figurines FunkoPop – Végéta & Piccolo [DragonBall] ; Rush [Mégaman]

Cartes – Yokai Watch ; Black Clover [Accompagnant le tome 7]

Tsum Tsum Mystery Pack – Baymax Armor avec support (Pas de chance pour moi c’est un double ToT)

Marque-page – Le chant des souliers rouges [Accompagnant le tome 2]

Comme toujours quelque petits goodies se sont ajoutés et ma collection de Pop augmente. Parmi les DragonBall, il ne me manque plus que Cell parmi mes recherches (peut-être Beerus… Je verrai bien) et dans la collection Mégaman il m’en manque 3. Je ne les paie pas toutes vu que ma mère en profite également, ce qui me permet de faire quelques légères économies…


Le mois passé je n’ai pas sût vous parler de grand-chose, résultat vous n’avez eu que quelques articles. En plus des deux avis portant sur Our Summer Holiday et Un Coin de Ciel Bleu vous avez également eu droit à mon avis sur la première partie du tome 2 d’Exilium et sur le tome 1 du LN d’Overlord. Soit deux mangas, un ebook et un light novel. Comme vous le voyez, pourtant, il y a eu de l’arrivage… Ce début de mois de juillet sera principalement pour vous parler des Services Presses pour le moment – autant ebook que manga, vu que j’ai légèrement prit du retard avec le mois de juin – et par après ce sera tout autre chose. Je ne vous en dis pas plus, mais certains titres cités plus haut auront leurs avis tout comme d’autres qui n’y ont pas encore eu droit.

Et vous les matous quels ont été vos achats du mois de juin ? Le mois passé c’est-il bien déroulé ? J’espère que vous passerez tous de bonnes et agréables vacances pleines de jolies découvertes en tout genre.

Le Chant des Souliers Rouges – Tome 1

Et coucou les matous ! Vous allez bien ? Oui ? Tant mieux, personnellement je suis à moitié morte après les Olympiades d’hier et un souci majeur lié à la SNCB. Heureusement, j’ai survécu et je suis toujours là pour vous embêter à coup d’articles. Non, vous n’aurez pas ma peau par rapport à ça même si je suis retardataire professionnelle.

Nous allons parler d’un manga sortant en ce dix mai pour notre plus grand plaisir et que j’avais reçu en avance. Ayant été pas mal prise, l’article ne peut être mit en ligne qu’aujourd’hui mais je suis dans les temps 🙂 Une nouvelle fois je remercie les éditions Kazé et Anita pour l’envoi et la confiance ! C’est parti pour…

« Le Chant des Souliers Rouges »

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8€29 – Seinen – 192pages

Kimitaka rêve de devenir basketteur et Takara danseuse de Flamenco. Malheureusement, l’un comme l’autre manque de talent pour exceller dans sa passion. Un jour, ils se retrouvent par hasard sur le toit du collège alors que Kimitaka est sur le point de jeter ses baskets rouges et Takara ses souliers rouges de Flamenco. Bien qu’ils ne se connaissent pas vraiment, la conversation s’engage. Chacun dévoile son envie de changer de vie et, comme pour symboliser cette volonté, ils échangent leurs souliers et décident d’embrasser la passion de l’autre. Une nouvelle vie s’offre désormais à eux…

 

Kimitaka est un jeune homme passionné de basket doutant énormément depuis qu’il a été mit de côté par ses coéquipiers. Un jour, il rencontrera par hasard Takana sur le toit du collège et il échangera ses baskets avec les chaussures de la demoiselle, cette dernière voulant également se débarrasser de ce qui lui rappelait un autre sport : Le flamenco.

Kimitaka est assez désabusé et sans aucune passion au début du manga, c’est un garçon qui se mble avoir perdu le goût à tout. Pas d’amis, pas de passion, une société l’ayant rejeté, mais une famille présente malgré tout. Parce que oui, dès le début nous voyons son grand-père être là pour lui pourtant notre héros  reste l’ombre de ce qu’il était longtemps auparavant. Va-t-il réussir à retrouver une passion et surtout le goût de vivre ?

L’histoire en elle-même est assez touchante, bien que pouvant déstabiliser certaines personnes lors de la lecture. Après tout, ce qu’il s’est déroulé dans le passé menant au choix de se débarrasser des baskets se déroule avant ce que nous découvrons au début. Ce faisant, le manga alterne entre présent et flashback ce qui, dans mon cas, ne m’a pas perdue du tout et me permettait de comprendre un peu mieux les raisons des différents choix de Kimitaka. Des choix lourds de conséquences pour lui.

Nous voyons, de ce fait, le pauvre Kimitaka dans un piteux état au fond alors qu’il rentre au lycée, mais un certain événement lui permettra de réfléchir à un élément se trouvant dans le pitch : sa rencontre avec Takara. Nous verrons le jeune homme avancer petit à petit, se reconstruire comme un être normal et tout comme un autre personnage. Ses faiblesses, tout à fait humaines et communes à certains d’entre nous, sont présentes et pourtant cela le rapproche de nous, de notre quotidien, de certaines personnes que l’on connait.

Tout cela se fait progressivement, en douceur et en harmonie avec le protagoniste que l’on suit principalement durant le volume. Je suis certaine que les différentes rencontres qu’il aura déjà faite dans ce premier tome reviendront ou auront une importance dans la suite afin de permettre à notre lycéen de continuer sa reconstruction personnelle et de se retrouver lui-même. D’ailleurs, les liens entre les différents personnages apparaissent au fil du temps, certains se défont alors que d’autres se créent comme ceux existant dans les amitiés traditionnelles ou les rencontres que l’on fait par hasard.

Les dessins, de leurs côtés, sont également assez doux et bien que les oreilles puissent faire penser à des elfes ou que les pieds et les mains peuvent sembler « horribles » personnellement il ne m’a pas déplu. De toute manière, j’ai des goûts bizarres à certains moments alors ça ne m’étonne pas d’aller à contrecourant d’autres personnes par rapport à ces derniers et ce même durant des discussions bien animées. Ils étaient dans le ton, donnant une impression mélancolique à certains moments et nostalgique à d’autre tout en permettant de reconnaître tel ou tel personnage ou lieu. Leur douceur fonctionnait parfaitement avec la poésie de ce manga, avec sa manière de fonctionner au fil des pages et de nos découvertes.

La narration de l’histoire, une fois entrée dedans, est réellement bien réalisée et nous permet d’en savoir plus au fil du temps sans avoir trop d’informations en une fois. L’édition de Kazé, de son côté, est plutôt bien agréable je trouve et l’on retrouve la douceur de l’œuvre sur la couverture. Un tome se tenant merveilleusement bien en main également et transportable sans problème dans un sac !

Pour finir ce doux petit article et vous laissez en paix en ce mercredi, je dirai tout simplement que c’est un très beau titre pour lequel je suis curieuse de découvrir la suite et dont les thèmes présents m’ont assez touchée. Je me demande comment ce manga évoluera et ce que cela donnera au final.

 

Et vous les matous, comptez-vous tenter le titre ? Qu’en avez-vous pensé si vous l’avez lu ?

 

Site de l’éditeurExtrait