DanMachi La légende des Familias – Tome 4

Coucou les matous, comment allez-vous ? Pas trop mal ? Tant mieux alors ! Pour ma part, je continue de récupérer tout en cherchant joyeusement un travail. Mais entre diverses recherches, je continue d’écrire et de me défouler. D’ailleurs, je continue ma partie sur GranBlue Fantasy alors si vous y jouez n’hésitez pas à me le dire.

Mais ce n’est pas pour cela que je viens vers vous en cette douce soirée. Non, vous vous en doutez que c’est pour un avis, mais lequel ? Certains doivent avoir une idée alors que d’autres pas du tout en fonction de là où vous me suivez. Prêt à retourner à Orario avec votre équipement ?

« DanMachi – La Légende des Familias »

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13€99 – Fantasy – 300 pages

En venant à bout du Minotaure, Bell a battu le record de rapidité de passage au rang supérieur et est devenu le lièvre le plus rapide du monde. Alors qu’il ne souhaite que repartir à l’aventure, toute l’attention d’Orario se concentre sur lui, et les offres pour former une équipe pleuvent. Pris dans cette tornade de popularité, il ne sait plus où donner de la tête lorsque, soudain, il rencontre Welf Crozzo, le mystérieux forgeron qui a créé sa première armure.

Découvrez également deux histoires courtes illustrant sa relation avec Nahaza d’une part et avec Hestia d’autre part !

Vous savez sûrement, depuis le temps, que j’apprécie découvrir l’univers de DanMachi sous son format Light Novel et que j’avais d’ailleurs également vu l’anime. Etant en retard dans le Light Novel, j’avais profité de la Retro MIA pour repartir avec le quatrième tome et retrouver, de ce fait, Bell et les autres. D’ailleurs, j’ai retrouvé une autre bouille que je connaissais déjà grâce à l’anime durant la lecture !

Mais avant de vous en parler, repartons vite fait dans l’histoire voulez-vous ? Notre petit Bell vient de battre un record de rapidité pour passer niveau 2 – parce que non, ce n’est pas aussi rapide que dans nos chers RPG – et attire l’attention de tout Orario sur le coup. Aventuriers et divinités n’hésiteront pas à se diriger vers notre petit Bell, souvent pour son plus gros malheur. Après tout, il reste fidèle à Hestia – la divinité de la Familia où il se trouveet même s’il recherchera de nouveaux équipiers tous ne sont pas à même d’être dans son groupe.

Et cela, certains personnages le font bien sentir lors d’une certaine situation que ce soit par leurs actes ou leurs paroles. Pour ma part j’ai eu envie de faire un meurtre vu la manière dont ce sont comportés certains aventuriers par rapport aux jeunes femmes se trouvant aux côtés de Bell pas que Lilli sur le coup – et j’étais bien contente lorsqu’elles ont réagit chacune à leur manière.

Mis à part les quelques petits incidents que subira notre malheureux aventurier de niveau 2, nous découvrirons également au début du tome la manière dont sont choisis les surnoms de ceux-ci. Vous vous doutez que ce ne sera pas grâce à un tirage au sort de mots sortant du dictionnaire, mais par nos… Chères divinités elles-mêmes… Et c’est là que nous voyons jusqu’où celles-ci peuvent aller pour tromper l’ennui et affubler de noms grotesques les malheureux êtres s’étant dépassé dans le donjon. Tout est possible et cela peut s’avérer radical dans certains cas… Mais jusqu’où ces êtres divins sont-ils capables d’aller ? C’est une bonne question pour laquelle la réponse se trouve dans le volume bien sûr, mais je me demanderai toujours comment ils peuvent se mettre d’accord sur ce genre de surnoms…

Mais hormis ces événements – et l’humour original des divinités – nous faisons également une nouvelle découverte sur le milieu des forgerons cette fois. Cela nous permet d’en savoir un peu plus sur la Familia d’Héphaïstos, l’une des familias que j’apprécie énormément bien qu’elle ne soit pas ma préférée et celle dans laquelle irait volontiers une amie. C’est marrant, mais je la vois parfaitement comme Welf… Du genre à ne pas hésiter à se mouiller si besoin ! De quoi ? Qui est Welf ? Ahaha, c’est vrai que nous n’en avions qu’entendu parler jusqu’ici. Et bien c’est un membre de la familia d’Héphaïstos comme vous vous en doutez et, comme la majeure partie des membres de cette familia, un forgeron.

Et qui dit forgeron, dit forge. De ce fait c’est sur ce domaine que notre champ d’observation s’agrandira sans pour autant que cela ne soit trop lourd à comprendre. Je me suis retrouvée comme Bell, fascinée par cette activité et subjuguée lorsque Welf en parlera réellement. Ce fut un véritable délice, un moment plus reposant à Orario et en même temps tellement enrichissant que je suis ravie d’avoir pu le découvrir en compagnie de notre petit héros aux cheveux blancs.

Parce que oui, l’histoire sera bien plus calme dans ce volume ce dernier étant une sorte d’entre deux. De gros événements ont eu lieu auparavant et ce tome 4 nous permet de nous ressourcer un peu, de nous poser tranquillement tout en voyant de nouvelles têtes. Des têtes connues de ceux ayant regardé l’anime, certes, mais qui restent très intéressantes à redécouvrir dans le format d’origine. Et oui, des personnages pouvant nous paraître exécrables à l’écran peuvent avoir d’autres facettes sur les pages du roman voire des réactions nous marquant bien plus. Chacun prend forme, doute, avance à son rythme et peut faire face à des imprévus.

Au  final, c’est cela aussi de se retrouver en pleine aventure. DanMachi ne nous cache absolument pas les difficultés pouvant être présentes, ces dernières changeant en fonction des familias ou des gens. Ils ont autant leurs qualités que leurs défauts, des faiblesses également ainsi que des passés aussi divers que variés. Certains auront plus souffert que d’autres dans leur vie, leurs rêves varieront également tout comme la confiance accordée. Mais être une équipe est-ce tout connaître des autres dès le départ ou découvrir petit à petit les gens en les voyant tels qu’ils sont réellement et en les appréciant pour celui qu’ils sont réellement ?

Le donjon s’offre toujours à nous avec sa dangerosité, mais nous paraît également bien moins dangereux dans ce tome de transition. Sûrement parce que Bell est déjà plus fort, que nous savons parfaitement ce qu’il est capable de surmonter et que la peur du Minotaure est un peu retombée. Par contre, je reste curieuse de voir ce que nous réservera Freyja, la déesse de la beauté nordique, vu qu’elle reste très attirée par Bell. Pauvre petit lapin n’ayant rien demandé à l’origine et attisant les convoitises depuis peu…

Les illustrations se trouvant dans ce quatrième volume sont toujours un régal pour les yeux, d’ailleurs les deux premières étant comme toujours en couleur attirent irrémédiablement l’œil et ne sont pas du tout envahissantes. De plus, l’une d’elle sert égalementcomme à chaque fois dans la sériepour le sommaire du tome ce que je trouve réellement original et agréable. Pour les autres, elles apparaissent aux moments importants ou pour mettre en avant certaines situations ou personnages ce qui nous permet de bien mieux visualiser ce qu’il se passe ou de savoir à quoi ressemble tel ou tel personnage. Même si pour la majeure partie nous les connaissons à présent ! A la toute fin, une petite fiche est également présente ce qui nous permet d’en savoir plus sur un personnage présent durant ce tome… Vous vous doutez sûrement de celui qui y a droit !

Au niveau de l’édition, Ofelbe continue de faire un beau travail sur cette série afin de nous permettre une immersion sans fausse note. Le papier est assez épais, les caractères de la police ne sont ni trop grand ni trop petit et ce même s’ils peuvent paraître un peu plus grand que la norme. Ce point peut être relativement important pour les personnes ayant du mal à lire des mots écrits en trop petits ou s’avérant désespérés lorsque c’est trop grands, pour ce dernier cas je rentre dans la catégorie, permettant ainsi d’avoir un juste milieu et d’éviter une fatigue inutile de la vue.

Et j’en fini sur ce quatrième volume, sur cette douce avancée en Orario, en parlant des deux petites nouvelles se trouvant à la fin. Celles-ci nous font découvrir d’autres facettes de certains personnages ou nous donnent d’autres informations. Les quêtes, par exemple, y apparaissent et trouvent une explication rapide tout en montrant les risques encourus également. Nous nous rendons également bien mieux compte de la manière dont se comportait Hestia, au début, lors des tout débuts alors que sa familia venait d’être créée grâce à notre petit Bell. Des éléments n’étant pas obligatoires dans la compréhension de l’univers, mais rajoutant un plus au background de certains des protagonistes ou dans notre culture générale orarienne… Oui, ce mot n’existe pas et alors ?

Vous l’aurez donc comprit, ce tome 4 fut un tome plus transitoire que les précédents, mais un tome de transition faisant bien son boulot et ne nous laissant pas sur notre faim. Il nous permet d’en savoir plus, de continuer d’être émerveiller par certains éléments et d’être surprit par d’autres. Un petit bonheur durant la lecture en soi ♥ Sur ce, je vous laisse les petits chats et je vous retrouverai probablement pour d’autres avis livresques ! Après tout, il faut que je vous parle du roman de Your Name, de Wonder Woman et… Ah bah cela dépendra en fait. Non, je ne suis pas encore totalement fixée. A bientôt les chatons et belle nouvelle semaine pour ceux qui liront l’avis demain.

Et vous les matous, lisez-vous la licence ? Quel est le format que vous préférez ? Quel familia rejoindriez-vous ? Avec quel personnage voudriez-vous être en groupe ?

Site de l’éditeurExtrait du tome 1Avis sur le tome 1

9 réflexions sur “DanMachi La légende des Familias – Tome 4

  1. Thiboutsu dit :

    DanMachi semble toujours aussi passionnant à ce que je vois ! Cette série a l’air d’être taillée pour durer, espérons que ce soit dans les meilleures conditions possibles.
    Je n’ai pas encore testé le T.1 du Light-Novel présent dans ma bibliothèque, je le lirai un jour… Je le lirai !

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